Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 21713Fiche technique12480 caractères12480
2013
Temps de lecture estimé : 9 mn
20/04/23
Présentation:  La suite de la soumission de Françoise
Résumé:  Julie envoie Françoise dans un sex-shop avec des instructions bien précises.
Critères:  soumission f fhh ffh facial fellation cunnilingu coprolalie -dominatio
Auteur : Kamelott            Envoi mini-message

Série : Françoise et Julie

Chapitre 02 / 10
Le sex-shop

Résumé des épisodes précédents :

Dans le premier épisode, Julie, une jeune institutrice découvre par hasard que Françoise, sa collègue, la cinquantaine, est attirée par la soumission. Elle-même découvre être excitée par le rôle de maîtresse. Les deux vont de découverte en découverte…





La soirée avec Françoise a été finalement plutôt soft, enfin, par rapport à ce que cela aurait pu être. J’ai décidé de changer mes plans au dernier moment.

Bien sûr, elle est allée jusqu’au salon à quatre pattes, tenant la ceinture de cuir entre ses dents. J’ai chargé Philippe de vérifier, à nouveau, si notre soumise mouillait toujours.



Ce faisant, l’intrusion digitale du coquin a déclenché une série de soupirs et de halètements… J’ordonnai à mon mari :



Puis, m’adressant à Françoise :



Un coup de ceinture particulièrement cinglant marque les deux fesses de Françoise qui laisse échapper un cri de douleur.



Nouveau coup sec, nouvelle zébrure sur ce cul superbe, nouveau cri de douleur. Du coin de l’œil, Julie observe son mari. Manifestement, il bande comme un bourricot.



Il s’exécute, non sans en profiter pour glisser deux doigts qui amènent à nouveau la soumise au bord de l’orgasme. Julie vient se placer en arrière et commence la punition. Des coups beaucoup plus légers, mais suffisamment forts pour rougir les fesses de Françoise. Pourtant, cette fois, celle-ci laisse échapper de petits gémissements de plaisir. Changement de position de la Maîtresse, elle applique désormais les coups, toujours modérés, directement sur la fente. Maintenant, la punie, alterne petits cris et halètements. Sans aucun doute, l’orgasme arrive…



Un orgasme violent l’emporte, elle jouit, complètement tétanisée, dans un long cri.

Philippe n’en a évidemment rien perdu, il a sorti son sexe et se branle vigoureusement. Julie lui sourit, résistant à une furieuse envie de l’imiter. Elle doit conserver le contrôle de la situation. Elle laisse passer une minute pour donner le temps à Françoise de récupérer, puis enchaîne :



Bien sûr, pour Philippe et moi, la soirée ne s’est pas arrêtée là. Je vous raconterai un jour prochain. Si vous êtes sages… Ce qui m’étonnerait un peu…


Sept jours plus tard, nous attendons Françoise en regardant une vidéo transmise par Nicole, une amie tenancière de sex-shop. Les ordres envoyés à ma collègue étaient de se rendre dans cet établissement la veille de son retour chez nous.


Les premières images montrent Françoise, pénétrant, tout hésitante, dans la boutique. Elle porte des talons très hauts conformément aux consignes reçues, une robe verte, en tissu suffisamment léger pour qu’il soit évident qu’elle ne porte pas de soutien-gorge ni probablement aucun dessous. La gérante de l’établissement la regarde avancer, un léger sourire aux lèvres, repensant à la description donnée par son amie Julie. Une grande brune, timide, plutôt jolie : c’est bien elle. Françoise confirmera plus tard que c’était sa première fois dans un sex-shop. On la voit avancer jusqu’au comptoir, timide, avec méfiance et en rougissant, n’osant pas regarder les rayons, encore moins les autres clients. Nicole l’attend, le regard sévère, le sourire commercial. Dans la salle, trois hommes et une femme examinent différents sex-toys.



Nicole a parlé fort, les quatre clients lèvent la tête. Françoise murmure :



Elle a encore rougi, mais Nicole notera que son souffle s’est accéléré. Sans pitié, la gérante lance :



Françoise répète un peu plus haut, ce qui ne semble toujours pas convenir.



Françoise n’a plus le choix, elle a promis de strictement obéir… pas question de flancher. De plus, au fond d’elle, toujours morte de honte, elle sent l’excitation la gagner, un ruissellement sur ses cuisses le lui confirme. Julie a été très claire : aucune culotte. Elle prend sa respiration et répète, très haut cette fois :



Les quatre clients comprennent qu’il se passe quelque chose de croustillant et s’interrompent dans leur quête respective. Tous les regards sont maintenant braqués sur Françoise. Nicole, impitoyable, poursuit :



À nouveau, elle s’est exprimée dans un murmure. La gérante fait mime de se fâcher.



Françoise ne s’indigne pas de l’insulte, elle baisse la tête et répète en hurlant presque. Non sans difficulté, son souffle s’accélère. Elle est désormais le centre de toutes les attentions, les clients se sont même rapprochés, plus qu’intéressés.



Françoise ne relève pas plus le tutoiement que l’insulte précédente. Tête baissée, elle lance des regards furtifs aux autres clients, morte de honte, et en même temps, folle d’excitation. La gérante revient avec deux boîtes dont elle déballe le contenu. Elle tend l’œuf vibrant et montre la télécommande qu’elle garde en main.



Pour la démonstration, Nicole appuie sur « start ». Un bourdonnement se fait entendre et l’objet se met à vibrer.



Les quatre clients se sont encore rapprochés. Françoise jette un coup d’œil aux autres clients, tout proches maintenant. Tous la regardent ostensiblement, son rythme cardiaque s’accélère, elle halète presque. Elle hésite, se décide enfin, relève sa courte robe et s’introduit l’objet. Dès qu’il est en place, Nicole appuie sournoisement sur le bouton.



Françoise est incapable de répondre, l’orgasme arrive, il est tout proche, elle opine juste de la tête. Un des trois hommes a sorti sa queue et s’astique sans la moindre gêne, les deux autres le font plus discrètement, tout comme la femme dont la main s’active frénétiquement sous sa jupe. Nicole stoppe le diabolique engin, déclenchant un cri de frustration de la part de Françoise.



Françoise frustrée de cet arrêt a hâte de jouir, elle s’exécute avec précipitation. Elle a dépassé le stade de la honte. Elle veut jouir, jouir en public… soumise. La vibration reprend. Le quatuor a également réactivé son activité masturbatoire. En quelques secondes, Françoise atteint l’orgasme avec une violence qu’elle n’avait jamais connue, encore plus fort que la semaine dernière. Incapable de garder la station debout, elle se laisse aller sur un fauteuil pour récupérer. À ses côtés, l’homme qui a sorti sa bite jouit aussi, lâchant de longs jets blancs. Les deux autres aussi, peut-être, on ne sait pas. Un peu honteux, ils s’éclipsent discrètement. La femme a ralenti le rythme, elle attend manifestement la suite avec un petit sourire vicieux. Nicole laisse la soumise récupérer pendant une minute avant d’ordonner :



La gérante rigole, feignant la colère :



Le ton est ironique, méprisant. À nouveau une insulte. Françoise ne proteste pas. Elle prend conscience de ce qu’elle savait déjà : elle adore. Ordres, insultes, humiliations, ça l’excite. Déjà, elle sent à nouveau la cyprine couler. Au fond d’elle-même, ravie, elle s’avance vers le client. Celui-ci se pose également dans un fauteuil, attendant la prestation promise, le sexe encore à moitié rigide.

Françoise s’approche, s’agenouille puis s’applique à bien lécher le membre qui reprend même un peu de vigueur. Elle se prend au jeu, aspire et lèche consciencieusement.

La femme observe tout en reprenant plus lentement son mouvement de va-et-vient sous sa jupe. Manifestement elle aussi très excitée.

Enfin, Françoise termine son ouvrage. C’est la première fois qu’elle avale du sperme. Un peu dégoûtée au départ, finalement, elle apprécie ce goût un peu âcre. Elle se redresse, le client se rajuste, remercie et se sauve. Maintenant, l’excitation est de nouveau là, Françoise, tête baissée, attend humblement. Elle voudrait bien que la gérante réenclenche la vibration. Toutefois, cette dernière ne l’entend pas ainsi.



Sans tergiverser, la cliente, une belle brune plantureuse dans la quarantaine, s’installe dans un fauteuil, jambes sur les accoudoirs, jupe relevée. Sa petite culotte rose a manifestement absorbé beaucoup d’humidité. Françoise semble hésitante, la gérante l’interpelle :



Françoise s’abandonne définitivement, elle se remet à quatre pattes et s’approche. La cliente dirige la manœuvre :



La soumise s’exécute docilement. Elle a devant elle une chatte trempée, odorante, en partie cachée par une abondante pilosité noire. Elle avance une langue timide.



La cliente a presque crié, écartant encore plus les cuisses, elle se pétrit les seins, gémissante.

Nicole a relancé les vibrations, le plaisir monte pour les deux femmes. La gérante, experte, gère cette approche du plaisir. Elle laisse Marie jouir la première dans un flot de cyprine avant de déclencher le second orgasme de Françoise. Celle-ci s’effondre au pied du fauteuil, terrassée par un plaisir inconnu jusque-là.

Enfin, elle se redresse, la gérante lui tend un kleenex pour lui permettre d’essuyer son visage souillé. La cliente se rajuste et sort, non sans l’avoir remerciée.



La vidéo s’arrête là, je referme l’ordinateur et me tourne vers Philippe, l’énorme bosse au niveau de la braguette ne laisse aucun doute sur son état. J’avoue que, moi-même…




À suivre