n° 21715 | Fiche technique | 24733 caractères | 24733Temps de lecture estimé : 18 mn | 21/04/23 |
Présentation: Une histoire fort simple, plutôt soft, qui peut se lire en one-shot, bien qu’elle soit le premier épisode d’une série de quatre. Bonne lecture :) | ||||
Résumé: Depuis peu, nous avons des nouveaux voisins, Monique et Jacques, un couple de presque seniors comme nous. Nous avons rapidement sympathisé, ayant sensiblement les mêmes centres d’intérêt. | ||||
Critères: fh hagé fagée extracon voir caresses entreseins -occasion -extraconj | ||||
Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Voisin-Voisine Chapitre 01 / 04 | Épisode suivant |
Une histoire fort simple, plutôt soft, qui peut se lire en one-shot,
bien qu’elle soit le premier épisode d’une série de quatre.
Bonne lecture : )
Depuis peu, nous avons des nouveaux voisins, Monique et Jacques, un couple de presque seniors comme nous. Nous avons rapidement sympathisé, ayant sensiblement les mêmes centres d’intérêt. Doucement, mais sûrement, ma femme et moi nous préparons à basculer dans quelques mois, à la retraite, un gros virage qu’il convient de bien négocier.
On ne compte plus les couples qui se sont séparés ou qui ont divorcé. Pendant toute une vie, les deux conjoints se sont en réalité croisés, sans vraiment vivre ensemble, sauf durant le week-end et les vacances. Mais ce n’est pas pareil que de vivre à deux durant toute la semaine, et ce, toute l’année, de janvier à décembre.
Après bien des années de vie dite commune, les deux parties découvrent que l’autre n’est pas exactement ce qu’elles croyaient. Et là, ça tourne souvent mal…
Marjolaine, ma femme, est assez facile à vivre, même si elle a parfois un côté pseudo-élitiste qui peut être agaçant. Hélas, côté galipettes, ce n’est plus ça, elle n’éprouve plus d’envie depuis sa ménopause. Comme elle est gentille, elle me laisse faire des cochonneries sur son mignon petit corps, mais je vois bien qu’en réalité, ça ne lui fait ni chaud ni froid, contrairement à nos débuts.
Telle est la vie…
Monique et Jacques sont actuellement dans notre salon. Installés confortablement, nous parlons d’un peu de tout et de rien, nos verres sur la table basse. Jacques parle de l’une de ses passions : la pêche, mais il sait le faire sans que ça soit barbant.
Assises toutes les deux dans le canapé, Marjolaine et Monique sont l’une à côté de l’autre, et physiquement, la différence entre ces deux femmes est flagrante. La première est grande, mince et blonde, l’autre est petite, charnelle et brune. Idem pour la façon de s’exprimer. Ma femme est issue d’une famille inféodée à l’Éducation nationale depuis au moins trois générations, avec une tendance à la préciosité qui a parfois déteint sur moi, je l’avoue. La femme de Jacques est plus « populaire » si je puis m’exprimer ainsi.
Pour résumer, elles sont presque opposées, mais finalement complémentaires.
Quant à nous les hommes, on va dire que Jacques est ma version en plus petite taille. Le manque d’activité sportive a fait que nous avons tous les deux des kilos en trop. Le seul avantage que j’ai est d’avoir un peu plus de cheveux (blancs, ma blondeur est un lointain souvenir) que lui, mais la calvitie est proche, c’est juste une question d’années, voire de mois…
Presque identiques, mais pas tout à fait pareils…
Verre en main, changeant complètement de sujet sans crier gare, Jacques me demande :
Puis une fois de plus, la conversation bifurque sur un autre sujet. J’ai bien constaté que Monique ne déteste pas les sujets portés sur le sexe, mais hélas pour elle, son mari n’abonde pas dans ce sens, idem pour ma femme. Quant à moi, je réponds, mais avec une certaine distance.
Une fois de plus, Monique tente sa chance :
Flegmatiquement, je réponds :
Les yeux de Monique brillent un peu :
Monique semble de plus en plus intéressée :
Puis elle se tait momentanément, cherchant sans doute un bon mot à sortir. Malheureusement pour elle, Marjolaine en profite pour réaiguiller la conversation autrement. Je vois bien que Monique est déçue, mais que Jacques est soulagé.
Assis l’un à côté de l’autre sur le canapé, Monique et moi sommes en train de discuter, mon ordinateur portable ouvert et posé sur la table basse. Son mari et ma femme sont partis acheter un cadeau pour la sœur de Jacques. Marjolaine est très forte pour ce genre d’achat, Monique s’étant déclarée nulle à ce sujet.
Comme le thermomètre est très clément en ce mi-printemps, Monique est vêtue d’un top rose qui laisse légèrement entrevoir un soutien-gorge à grosses fleurs, ainsi que d’une jupe bleutée qui dévoile ses gambettes bien charpentées. Pour ma part, je suis en noir, T-shirt et bermuda.
Ayant compris qu’on peut discuter avec moi de certaines choses, contrairement à son mari et à ma femme, Monique se confie :
Elle me dévisage :
Avec un sourire avide, Monique met les pieds dans le plat :
Ma femme et moi avons une vie assez mouvementée à une certaine époque, mais sans que ça se sache auprès de nos proches, nous y avons veillé. Je reste néanmoins évasif :
Monique me gronde :
Elle lève les yeux au ciel :
Tournant tout mon corps vers la gauche, pour mieux voir ma voisine, je souris :
Un peu pensive, elle hoche la tête :
Elle revient à la charge :
Curieuse, Monique essaye de s’aventurer un peu plus loin. Je souris :
Je me penche sur l’ordi. Ces photos sont soigneusement rangées dans un coin du disque dur et aussi sur deux clés USB, à titre d’archivage. Aidé par mon logiciel de vignettes, je montre un premier cliché en plein écran, puis deux autres.
Contemplant les photos, ses yeux brillent :
Je hoche la tête. Pour ma part, j’ai eu plus de facilités, c’est certain…
Sur l’écran, Marjolaine s’offre impudiquement à deux hommes en même temps, le tout dans une chambre d’hôtel. Que c’est loin, tout ça… Je bascule en mode planche-contact. Monique reste silencieuse quelques instants, puis elle demande :
Elle ouvre de grands yeux :
Monique se met à rire :
Tout en répondant, je referme mon logiciel d’affichage de vignettes, on ne sait jamais :
Me calant confortablement contre le dossier, par amusement, je lâche :
Mettant sa main sur ses lèvres, elle s’étonne de ma réponse plutôt leste :
Elle se met à rire :
Je m’étonne de ce qu’elle vient de dire :
pleine
Je hausse des sourcils :
Je vois bien que le sujet l’intéresse. Poing sous son menton, elle se penche un peu plus vers moi :
Je fais remarquer un point de détail :
Un léger silence s’installe, puis Monique rebondit en rosissant un peu :
Ça, c’est une grosse perche ! À moi de savoir si je dois la saisir ou pas. Je fais un bref résumé : ma femme n’est plus tentée par le sexe, mais je l’aime toujours. Monique semble en manque, son mari ayant des soucis. Je possède une petite expérience libertine que mon interlocutrice n’a pas, mais qu’elle aurait voulu avoir a minima.
Comme je suis ludique à ma façon, ayant rapidement pesé le pour et le contre, je réponds flegmatiquement, tout en posant nonchalamment mon bras gauche autour de son épaule, ce qui la fait légèrement frémir :
Surprise, elle me regarde avec de grands yeux, mais elle ne se dégage pas pour autant de mon emprise. Je vois bien qu’elle cogite à toute allure, se demandant comment elle doit interpréter ma réponse et mon geste. Elle sait que je ne déteste pas me lancer dans de gentilles provocations. Puisque je suis parti sur cette voie assez périlleuse, je continue sur ma lancée :
Faisant légèrement bouger mes doigts sur son épaule, je précise :
Je m’approche un peu plus de mon interlocutrice qui respire plus fortement que tout à l’heure, je le vois à sa poitrine qui monte et qui descend :
Son bras droit maintenant collé contre moi, sans me quitter des yeux, elle incline la tête sur le côté :
Elle se moque gentiment de moi :
Je respire un grand coup :
Mon bras étant toujours autour de ses épaules, ma main libre vient carrément soupeser son sein gauche, avant de refermer mes doigts sur cette mignonne masse molle et appétissante :
Se laissant toujours peloter, Monique demande :
J’approche mon visage du sien, continuant à parler :
Puis enfouissant mon nez dans son cou, je masse son sein lourd tandis que je commence à l’embrasser du creux de l’épaule à l’oreille. Elle n’oppose aucune résistance, se contentant d’être assez passive, mais pivotant néanmoins la tête pour faciliter l’accès de mes lèvres qui déposent plein de baisers brûlants sur sa peau.
Puis elle laisse échapper :
Alors je redouble d’intensité. Ma main glisse sous son top, pour mieux saisir son sein. Monique ne proteste toujours pas, elle frémit. Je me demande depuis combien de temps Jacques ne s’est pas occupé d’elle. Moi, j’ai la chance que ma femme accepte de se laisser faire, juste pour me faire plaisir.
Décidé à aller un peu plus loin, je libère ses seins en remontant le soutien-gorge qui les emprisonnait. Dans la foulée, je relève le top que je coince avec la lingerie à fleurs afin de révéler à l’air libre sa poitrine un peu tombante, dotée de larges aréoles.
Toujours muette ou presque, Monique respire fortement, je me penche sur ses deux lolos afin de les caresser, de les peloter et de les bisouter en même temps. Ses tétons durcissent sous mes lèvres et mes doigts.
Je capture un sein à sa base pour mieux l’apporter à ma bouche :
Pour toute réponse, j’engouffre dans ma bouche son téton et son aréole, faisant disparaître ainsi une partie de son sein que je dévore à ma façon. Intriguée par cette initiative, elle soupire :
Comme ma bouche est très occupée, je ne peux répondre, mais mon autre main s’occupe de son autre mont avec délectation. J’adore palper, tripoter ces masses molles et pendouillantes avec lesquelles je peux jouer sans retenue.
Peu après, Monique est allongée sur le canapé, le buste nu, son top et son soutien-gorge étant ôtés et posés sur la table basse, à côté de l’ordinateur qui contemple la scène. Agenouillé sur le sol, je continue à explorer le corps offert de ma voisine qui prend visiblement plaisir à se faire désirer de la sorte. Moi-même, je suis animé par une fringale non négligeable !
Évitant de me regarder, elle minaude :
Ce que je fais en faisait glisser mes lèvres et mes mains un peu partout.
Puis une de mes mains glisse lentement sur son ventre en direction de sa jupe. Mes doigts s’introduisent sous le tissu, puis sous sa petite culotte. Elle frémit :
Peu après, mes doigts se mélangent dans les boucles de sa toison, puis s’introduisant dans une fente déjà humectée, ils dénichent bien vite une protubérance fort sensible avec laquelle ils jouent vicieusement. Le traitement semble plaire à Monique puisqu’elle commence à gémir et à onduler.
Plus haut, mes lèvres s’occupent toujours de sa poitrine aux tétons exacerbés. Puis ma bouche remonte lentement vers son cou que je macule de baisers.
Mes lèvres arrivent sous son menton, tandis que mes doigts gluants s’agitent furieusement dans la fente à présent trempée de cyprine. J’aime quand une femme réagit de la sorte à mes caresses. Ça me rappelle une ancienne maîtresse qui adorait voir les hommes éjaculer pour elle, signe évident qu’elle leur faisait de l’effet.
Ma bouche glisse sur son menton, laissant divers bisous appuyés, puis se dirige vers ses lèvres entrouvertes. Je dépose ci et là des baisers, sans chercher à l’embrasser pour de vrai. Frémissante, Monique soupire :
Sa bouche s’ouvre un peu plus, je continue à bisouter ses lèvres, sans relâcher ma pression dans sa petite culotte. Soudain, je sens sa langue venir à la rencontre de mes lèvres. Elle murmure dans un souffle :
Ce que je fais aussitôt en capturant ses lèvres humides, et en entamant un baiser profond auquel elle répond avec une certaine passion, tandis que son corps vibre de plus en plus. Sa main agrippe ma nuque, pressant plus encore nos lèvres les unes sur les autres.
Pivotant la tête un court instant pour libérer ses lèvres, Monique murmure :
Obéissant, je plonge deux doigts en elle, tout en continuant de la masturber en excitant à fond son clitoris en feu. Elle pousse un long soupir d’aise avant de m’offrir à nouveau ses lèvres. Notre baiser devient de plus en plus torride et vorace, tandis que mes doigts agiles s’agitent en elle.
C’est alors que Monique se met à jouir en sourdine, nos bouches toujours collées, soudées, nos langues nouées.
Puis lentement, son corps se détend, son baiser s’atténue, puis elle me repousse, haletante, enlevant impérieusement ma main de sa petite culotte. Dans l’action, nos lèvres se séparent. Les yeux clos, elle pousse un long soupir :
Je continue de caresser sa poitrine, tandis qu’elle se repose et qu’elle récupère de sa jouissance qui vient de submerger son corps alangui.
Quelques instants plus tard, sa voix retentit :
Elle ne répond pas à ma question :
Elle se redresse à moitié, accoudée sur le canapé. Je dépose un baiser sur chacun de ses seins avachis. Elle me sourit :
Je me penche à son oreille :
Je murmure quelques mots crus, ceux que je n’ai pas prononcés tout à l’heure. Elle se met à rire :
Puis elle jette un coup d’œil sur mon entrejambe :
Soudain, le smartphone de Monique sonne. Intriguée, elle regarde qui appelle. Quand elle découvre le nom qui s’affiche sur son écran, elle décroche aussitôt, mettant le mode haut-parleur :
Durant la conversation, j’en ai profité ignoblement pour balader langoureusement mes mains sur son corps, sachant qu’elle ne pourrait pas protester à haute voix. Mais elle ne m’a pas chassé. Elle raccroche puis se tourne vers moi :
À présent, je la tripote éhontément, mettant mes mains partout, sans vergogne. Elle se met à rire. Soudain, je me relève, puis j’abaisse mon bermuda, révélant un sexe bien raide et à la limite de l’explosion :
Mais le sourire qu’elle m’adresse me dit que je peux y aller sans entrave. Néanmoins, tandis que je me positionne, ayant bien contemplé ma verge, elle me demande :
Alors je frotte mon sexe trop raide sur ses seins, sur ses aréoles, sur ses tétons, laissant déjà des traînées luisantes sur sa peau. Peu après, elle presse ses seins autour de ma verge, m’offrant ainsi un petit nid tout doux et moelleux.
Je suis ravi de son initiative qui annonce de belles choses :
Tout en me masturbant entre ses deux voluptueux monts, je gronde :
Puis elle ajoute avec un certain petit sourire :
C’est ainsi que Monique est devenue ma nouvelle maîtresse, et je suis devenu son réel premier amant…