n° 21722 | Fiche technique | 27674 caractères | 27674Temps de lecture estimé : 19 mn | 23/04/23 |
Présentation: Une histoire fort simple, plutôt soft, qui peut se lire en one-shot. Bonne lecture :) | ||||
Résumé: Notre première fois est restée assez soft, mais il y a eu ensuite bien d’autres fois... | ||||
Critères: fh hagé fagée extracon caresses fellation cunnilingu pénétratio fsodo -extraconj cuisine salledebain | ||||
Auteur : Patrik Envoi mini-message |
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Une histoire fort simple, plutôt soft, qui peut se lire en one-shot.
Bonne lecture :)
Depuis peu, nous avons des nouveaux voisins, Monique et Jacques, un couple de presque seniors comme nous. Nous avons rapidement sympathisé, ayant sensiblement les mêmes centres d’intérêt. Doucement, mais sûrement, nous nous préparons à basculer dans quelques mois à la retraite, un gros virage qu’il convient de bien négocier.
La différence entre Marjolaine et Monique est flagrante. La première est grande, mince et blonde, l’autre est petite, charnelle et brune. Idem pour la façon de s’exprimer. Ma femme est issue d’une famille inféodée à l’Éducation Nationale depuis au moins trois générations, avec une tendance à la préciosité qui a parfois déteint sur moi, je l’avoue. La femme de Jacques est plus « populaire » si je puis m’exprimer ainsi.
Pour résumer, elles sont presque opposées, mais finalement complémentaires.
Quant à nous les hommes, on va dire que Jacques est ma version en plus petite taille. Nous avons tous les deux des kilos en trop. Le seul avantage que j’ai est d’avoir un peu plus de cheveux (blancs, ma blondeur est un lointain souvenir) que lui, mais la calvitie est proche, c’est juste une question d’années, voire de mois…
Presque identiques, mais pas tout à fait pareils…
Marjolaine, ma femme, est assez facile à vivre, même si elle a parfois un côté pseudo-élitiste qui peut être agaçant, mais côté galipettes, ce n’est plus ça, elle n’éprouve plus d’envie depuis sa ménopause. Comme elle est gentille, elle me laisse faire des cochonneries sur son mignon petit corps, mais je vois bien qu’en réalité, ça ne lui fait ni chaud ni froid, contrairement à nos débuts.
Telle est la vie…
De son côté, Monique n’est pas comblée par Jacques qui a des problèmes de prostate, alors qu’elle aurait bien aimé que son mari continue à s’occuper d’elle comme il se doit. De plus, elle est globalement restée fidèle, sauf quelques petits flirts innocents.
Quand deux manques complémentaires viennent à se rencontrer, que croyez-vous qu’il advienne ? Monique est devenue ma nouvelle maîtresse, et moi, je suis devenu son réel premier amant…
Notre première fois est restée assez soft : je l’ai masturbée, puis je me suis offert une cravate de notaire, répandant mon sperme partout de son cou à sa poitrine. Voyant la flaque luisante, Monique s’était alors exclamée :
Quantité séminale que j’ai pu lui prouver plus d’une fois par la suite, car j’ai honteusement profité de ma nouvelle maîtresse depuis qu’elle l’est devenue. À ce propos, elle m’a dit, il y a deux jours :
Ayant l’esprit pratique, j’ai répondu :
Retour au moment présent.
Une fois de plus, après lui avoir fait l’amour, je lutine Monique. C’est vraiment pratique qu’elle soit ma voisine, que ma femme est souvent retenue par ses divers clubs et que son mari soit de temps à autre à la pêche !
Blottie toute nue contre moi, Monique murmure :
Puis elle devient songeuse :
Elle devient gênée :
Je la serre un peu plus dans mes bras :
Je me vautre sur elle, Monique se met à rire. Je ne mets pas bien longtemps pour m’introduire en ses cuisses et lui offrir une nouvelle jouissance. Je pensais qu’avec l’âge, il était normal que j’aie quelques soucis à remettre aisément le couvert. Avec Monique, il semble que cette assertion soit fausse…
Tant mieux !
Je ne vais pas faire le détail de toutes nos polissonneries, il aurait de quoi remplir au moins un bon paquet de pages avec ce que nous avons déjà fait, sans oublier le fait que nous ne faisons que commencer notre relation. Mais ça risquerait d’être un tantinet répétitif…
J’essaye d’être imaginatif et de tirer parti des opportunités qui se présentent. Cette façon de faire enchante Monique, ça la change de la banalité de la vie quotidienne, bien qu’elle me dise parfois que j’exagère ! Mais une fois mon grain de folie accompli, jamais avant ou pendant…
Comme c’est étrange…
Je vais vous raconter rapidement trois petits exemples pour illustrer mes dires, puis je passerai à autre chose de plus conséquent. Ces trois anecdotes ne sont pas le summum de ce que j’ai pu faire dans la haute cérébralité, mais j’avoue que ça m’a fait beaucoup de bien d’avoir osé concrétiser ce genre de chose. La vie est trop courte, surtout quand on arrive à l’âge de la retraite.
Commençons tout à fait logiquement par la première anecdote.
Nous avons décidé, Monique et moi, de convenir d’un petit code qui est le suivant : la première lettre du deuxième mot d’un SMS signifie quelque chose de bien particulier. Exemple : la lettre C signifie « ne pas mettre de culotte ». C’est justement la teneur du message anodin que je viens juste d’envoyer à ma voisine, j’ai utilisé la lettre C…
Jouera-t-elle le jeu aujourd’hui ?
Car son mari est là, et il est en train de recevoir des copains dans son salon. Est-ce que Monique osera, sachant qu’il y a actuellement quatre hommes dans sa maison et que je puisse être le cinquième ? Bonne question !
Subrepticement, je me glisse par la porte de derrière dans la maison voisine. Je parie que ma maîtresse sera souvent dans la cuisine, faisant des va-et-vient avec le salon. J’ai de la chance, elle est justement dans la cuisine. Quand elle me voit, elle murmure :
Et sans lui demander la permission, je m’agenouille devant elle, puis je relève le bas de sa robe. C’est avec joie que je découvre qu’elle a oublié de mettre quelque chose. Monique murmure à nouveau :
Elle réajuste sa robe, disparaissant quelques minutes, puis elle revient. En me voyant toujours là, elle me demande :
Je m’accroupis, puis je commence par caresser et embrasser ses deux belles fesses. J’adore ces deux monts blancs, différents de ceux qui sont accrochés plus haut devant. J’aime aussi ses seins, mais aujourd’hui, je décide de changer l’endroit de mes vénérations, et j’y vais de bon cœur !
Pour toute réponse, j’écarte mieux ses fesses pour dégager un petit trou inconnu, puis je donne un coup de langue vicieux dessus. Elle murmure :
Je donne quelques autres coups de langue, son entrée interdite frémit. Il faudra que j’aille faire un petit tour par-là, mais je sens que Monique n’est pas encore disposée, mais ça ne me coûte rien de la taquiner à cet endroit sensible, d’autant qu’elle ne dit rien.
Je sursaute ! Non, le mari n’est pas en face de moi, mais j’ai eu peur ! Elle aussi a sursauté quand elle a entendu son prénom. À son tour, elle hausse la voix :
Puis elle murmure à mon encontre :
Écartant au mieux ses fesses, je dépose un gros bisou dans sa petite cuvette. Elle glousse :
Je me redresse, elle met ses bras devant moi pour m’interdire d’approcher :
Interloqué, je ne m’attendais pas à cette réplique, je dois me retenir d’éclater de rire. Je préfère m’éclipser avant de céder à cette envie presque irrésistible.
Poursuivons avec la deuxième anecdote.
Ce matin, étant dans mon jardinet de devant, je vois Jacques sortir de chez lui. Je le hèle :
De ce fait, une bonne minute plus tard, subrepticement, je me dirige vers l’arrière de la maison de mon voisin (je sais, c’est une manie), avec la nette intention d’aller surprendre Monique dans la salle de bain située au rez-de-chaussée.
Prestement, je la capture dans mes bras, toute nue, juste avant qu’elle ne mette un pied dans la baignoire visiblement fort fumante :
Puis je l’embrasse dans le cou. Se laissant toutefois faire, ma maîtresse répond :
Profitant d’un relâchement de ma vigilance, elle me repousse, s’évadant de mes bras :
Elle met un premier pied dans la baignoire, puis l’autre. Ensuite, elle s’accroupit lentement, entrant petit à petit dans l’eau chaude. Intrigué, je plonge ma main dans le bain. Je la retire aussitôt :
À ma grande surprise, elle est maintenant allongée dans l’eau, ses seins en train de flotter, et quelques poils de sa touffe surnagent. Elle me désigne un flacon bleu :
Elle agite un peu les bras et les jambes, un peu de mousse apparaît. Moi, je me demande toujours comment Monique peut rester tranquillement allongée dans une eau bouillante sans se mettre à cuire ! Avec un naturel désarmant, ma maîtresse me dit :
L’instant d’après, je grimpe sur la baignoire, puis je me positionne à quatre pattes sur les rebords, ma verge pointée vers le visage de Monique. Je m’allonge un peu plus, comme si je couvrais le dessus du bain. Je laisse ma jambe allongée sur la baignoire et contre le mur, tandis que je repose mon pied sur le carrelage, c’est mieux ainsi.
Oui, c’est assez acrobatique, mais que ne ferait-on pas pour une fellation ?
Une jambe allongée contre le mur et l’autre posée sur le sol carrelé, en appui sur mes bras, mon sexe vient taquiner les lèvres de la baigneuse. Elle m’accueille aussitôt dans sa bouche, et commence une belle sucette. Oh que c’est bon, mais je n’ai pas intérêt à faire un faux mouvement !
Soudain, elle me retire momentanément de sa bouche :
Puis elle m’enfourne à nouveau dans sa bouche si accueillante. Allongée dans l’eau sous mon corps, Monique me lèche, me suce, baignant dans l’eau chaude, au milieu de divers amas de mousse blanche. Je crois que je suis en train d’assister à la plus rocambolesque fellation de ma vie. À côté de ça, les sucettes en voiture pendant que je conduisais, c’est du pipi de chat, même si c’était très excitant.
Tiens, à ce propos, c’est un truc que je pourrais demander à Monique, une fellation en voiture… Bonne idée que je range tout de suite dans un coin de ma mémoire !
C’est avec délectation que je suis en train de me déverser dans la chaude bouche qui me suce. Toujours allongée dans l’eau, ses seins flottant à la surface, Monique parvient à suivre, malgré le fait que j’éjacule toujours beaucoup de sperme à chaque fois.
Hélas pour moi, j’entends la porte d’entrée s’ouvrir. Je me retire, mais un dernier jet poisseux éclabousse le visage de Monique. Je m’exclame en sourdine :
Je dépose un rapide baiser sur un sein flottant :
Non, je ne me suis pas fait surprendre, mais j’ai eu chaud, car Jacques est venu faire un petit coucou à sa femme alors que je venais juste de sortir par-derrière. Entretemps, Monique avait copieusement savonné son visage, donc son mari n’a pas pu voir la souillure. Par la suite, nous avons souvent parlé de cette séance improvisée en riant.
Enfin, terminons avec la troisième et dernière anecdote.
Ce soir, nous dînons tous les quatre chez Monique et Jacques. Ma maîtresse et moi avons laissé Marjolaine et Jacques causer ensemble dans la salle à manger, tandis que nous sommes dans la cuisine pour préparer le reste du repas, un prétexte, bien sûr.
Seuls dans la cuisine, j’en profite pour enlacer puis embrasser ma voisine si tentante. Quelques secondes plus tard, elle me repousse en murmurant :
En parlant d’enfourner, j’ai une envie folle d’illustrer ce verbe à ma façon ! Monique s’étonne de mon explication :
Je m’agenouille devant elle, je remonte sa robe :
J’embrasse sa mignonne touffe, puis j’introduis ma langue dans sa fente pour aller lécher un petit bouton sensible. Monique se laisse faire quelques instants puis elle me repousse :
Je déboutonne ma braguette pour sortir mon sexe trop à l’étroit, puis je saisis la margarine, bien décidé à l’utiliser comme lubrifiant. Je m’en badigeonne le gland devant les yeux étonnés de Monique :
Sans lui demander son avis, je la soulève pour la poser à côté de l’évier. Puis je pose l’essuie-tout à côté de nous. Sa robe étant déjà remontée, je m’introduis en elle sans effort. Elle est à la fois stressée et excitée, jetant sous un coup d’œil vers la porte menant à la salle à manger. Pressé par le temps, je la pistonne joyeusement, une main sur un sein et l’autre sous une fesse, tandis qu’elle oscille du bassin pour m’aider à aller plus loin en elle.
Je sens que la sève est en train de monter, qu’elle va exploser dans quelques instants. Alors je capture les lèvres de Monique, à la fois pour l’embrasser et étouffer nos cris. Je plonge encore plus fortement en elle, puis je me raidis, les vannes sont grandes ouvertes.
Je l’embrasse furieusement tout en jouissant. Du fait qu’elle sait que je décolle au septième ciel et que je suis en train de l’inonder, Monique se met elle aussi à jouir faiblement. Nous restons soudés l’un à l’autre durant nos spasmes conjoints, c’est délicieusement bon ! Cette femme me fait redécouvrir le sexe alors que j’ai trois fois vingt ans !
Même lors des petits coups vite faits, bien faits…
Toute bonne chose possède une fin, je me retire, je suis devenu trop mou. Monique en a partout ! Elle saisit l’essuie-tout pour éponger le maximum, puis elle file illico dans la salle de bain pour se nettoyer. Je suis plutôt fier de moi.
Oui, je sais, c’est un tantinet puéril, mais à mon âge, on a envie de rester jeune, le plus jeune possible, avant de devenir trop vieux…
Aujourd’hui est le jour d’une première fois.
Une fois de plus, nous venons de faire l’amour, j’ai couvert son corps de baisers brûlants, mes doigts ont caressé sa peau frémissante, saisi ses seins, capturé ses courbes. J’ai ensuite plongé au plus profond de son intimité, au plus loin que j’aie pu aller, pour tout lui prendre, pour tout lui donner, pour me libérer dans ses cris de jouissance !
Enlacés, nous restons interminablement allongés l’un contre l’autre, blottis, imbriqués, dans un long câlin réparateur… Harmonie dans l’extase, harmonie dans le repos…
Puis est venu le moment attendu, convenu entre nous…
Fébrile, Monique est allongée sur le dos, bien calée par divers coussins, son corps alangui, sa peau légèrement en sueur et luisante. Sous ses fesses, j’ai disposé un gros coussin plié en deux pour bien mettre en évidence sa croupe, mettant bien en relief son petit trou interdit.
Armé d’une noisette de beurre, à défaut de lubrifiant adapté, je commence à enduire délicatement sa petite cuvette, la rendant chatoyante sous la lumière tamisée des volets à moitié baissés. Durant ce temps, mon autre main caresse ma maîtresse, ses seins, son ventre, son mont de Vénus, mes doigts sont avides de son contact, de sa chaleur, de sa douceur.
Pour masquer sa nervosité, Monique plaisante :
Je ne peux m’empêcher de rire un peu, puis je redeviens à moitié sérieux :
Frémissante, Monique se masturbe, ses doigts vont et viennent autour de son clitoris détrempé. Nos yeux étaient rivés, son regard planté dans le mien, son regard où dansent des lueurs étranges, faites d’émoi, d’appréhension, de convoitise…
Puis mon doigt s’enfonce, lentement, millimètre par millimètre, nos regards toujours rivés, soudés, elle me sourit. Moi, mon cœur bat la chamade tandis que je me glisse dans son intimité interdite. Je ne sais pas ce qu’elle peut lire sur mon visage, dans mes yeux, mais Monique me sourit toujours, un sourire ouvert et chaleureux.
Plus d’une fois, mon doigt cueille une nouvelle noisette de beurre pour venir l’appliquer ensuite, afin d’aller toujours plus loin en elle. Je fais très attention de ne pas lui faire de mal, je veux qu’elle y prenne plaisir – de se sentir introduite ainsi – pour que ma maîtresse devienne ensuite une femme possédée entièrement, rien qu’à moi, rien que pour moi, possessivement…
Mes mains sur ses seins, la courbe de son ventre, son mont prometteur plus bas, ses jambes qui frémissent malgré elles, ses cuisses toutes douces, mon doigt qui pivote en elle, dans cette entrée taboue, mais si excitante, si troublante…
Je laisse passer quelques instants, puis j’enduis mon gland puis mon prépuce de lubrifiant. Monique se pince légèrement les lèvres. Un peu inquiet, je l’interroge du regard, elle murmure :
Juste un simple mot de trois lettres.
Alors, le plus délicatement possible, j’écarte posément ses fesses de mes doigts, puis de mon autre main, je présente mon gland à l’orée de son petit trou déjà un peu évasé. Monique active sa masturbation, faisant rouler son petit bouton rose entre deux doigts détrempés.
Je la vois clairement respirer un grand coup, prête au choc, à la découverte. Je me rapproche un peu plus, je me positionne au mieux entre ses jambes, puis je pousse.
Je rencontre d’abord une petite résistance, je prends fermement ma tige en main pour mieux la guider vers sa cavité, Monique cligne des yeux, puis, d’un coup de bassin, mon gland entre en elle. Ma compagne de jeu ouvre la bouche, j’accentue ma pression, je m’enfonce jusqu’à faire disparaître en elle tout mon frein. Nous regardons, je lui demande :
Ah, elle n’a pas protesté que je l’appelle ainsi… Puisque ça va, je continue ma progression en elle, dans ce sombre tunnel, la moitié de ma tige s’engouffrant sans trop d’effort. Soudain, Monique souffle, je m’arrête, elle me lance :
Tout doucement, étant à mi-chemin, je commence à coulisser en elle, la sensation est si forte que je dois faire des efforts pour me maîtriser, au risque d’ouvrir les écluses. La respiration de Monique se saccade, ses doigts s’activent de plus belle entre ses lèvres luisantes et odorantes, cherchant, fouillant, caressant, roulant ses chairs roses et humides.
Je glisse en elle, dans son étroit conduit, entre ses parois serrées. Je décide d’aller tout au fond, pour la prendre complètement. Mentalement, je compte :
Un : un premier coulissement en elle, comme pour me guider.
Deux : un certain plaisir diffus s’empare de moi.
Trois : je n’en finis plus de m’enfoncer en elle, de glisser sans répit, d’aller au plus lointain, cherchant ce qu’il y avait de plus obscur en elle.
Monique gémit, un long « oooh » de surprise, d’étonnement, de sensation forte.
Puis j’arrive au bout de ma course folle, mes chairs collées aux siennes, nos poils emmêlés, nos peaux moites l’une contre l’autre. Je la regarde intensément, elle soutient mon regard, sa bouche toujours arrondie par son long gémissement.
À présent, je la pistonne, d’abord doucement, lentement, puis de plus en plus vite. Ma maîtresse murmurait des longs « oui », auxquels je réponds par les mêmes mots, mais plus brefs. Ma tige d’airain va et vient, fond en elle, remonte, luisante, glissante, puis repart plus loin encore, comme s’il n’y a aucune limite, comme si je pouvais m’enfouir plus profondément, fortement, au-delà de toute vraisemblance.
Durant ce temps, ses doigts s’agitaient intensément sur son clitoris en feu. Je vais, je viens, je suis en elle, rien qu’en elle, dans cet endroit interdit, je suis heureux, béat, j’en veux toujours plus, encore plus ! Rivé en elle, piochant en elle, creusant en toi, forant en elle !
Pourtant, ce n’est pas la première fois que j’occupe la porte d’ébène, mais c’est bien la première fois que ça me fait un tel effet. L’initiation de Monique à cette pratique ? Même pas, car j’ai eu le plaisir d’être l’initiateur de quelques femmes. Mais aujourd’hui, c’est… comment dire… c’est différent…
Le temps paraît suspendu.
Monique crie, son bassin se soulève, se tend, se plante plus encore autour de mon pieu incendiaire. Je ressens comme une décharge, ma maîtresse se laisse complètement aller, s’abandonnant à la double exploration de ses doigts sur sa vulve mouillée et de ma tige coulissant sans relâche dans son petit trou tabou…
Elle crie à nouveau, ce long gémissement que je te connais, mais à présent plus bestial, plus primal. Je n’arrive plus à résister, je suis au bout de mes limites ! Alors j’explose en elle, tandis que ma partenaire jouit comme une petite folle !
Puis arrive le brouillard blanc et cotonneux…
Je reste planté en elle, pour bien savourer, puis lentement, je me retire. Sous mon retrait, Monique gémit doucement. Son orifice reste béant quelques instants avant de se contracter, laissant néanmoins échapper quelques traînées blanchâtres.
Un fort beau spectacle, quoiqu’on en dise…
Épuisé, je m’affale à côté d’elle, ma tête sur sa poitrine, un téton entre mes lèvres, tandis qu’elle me caresse les cheveux. Pas besoin de parler, juste sentir l’autre sous ma joue, sur sa peau, sa chaleur, sa douceur, sa moiteur…
Le temps file, indéterminé. Monique ressuscite petit à petit, elle ouvre les yeux, puis s’exclame :
Levant la tête, je lui demande aussitôt :
Puis elle affiche un sourire narquois, prélude d’une phrase bien sentie :
Tout en la caressant, je la regarde avec tendresse. Elle se met à plaisanter :
Elle pose sa main sur ma joue :
J’embrasse ses doigts :
Je secoue la tête, puis je clame :
Je laisse à ma maîtresse le mot de la fin.