n° 21733 | Fiche technique | 19648 caractères | 19648 3401 Temps de lecture estimé : 14 mn |
28/04/23 |
Présentation: Une histoire fort simple, plutôt soft, qui peut se lire en one-shot. Bonne lecture :) | ||||
Résumé: La margarine est entrée dans nos pratiques, et ce, pour diverses raisons que je ne détaillerai pas, laissant ce soin à l’imagination de chacun. | ||||
Critères: fh hagé fagée extracon fellation fsodo -extraconj | ||||
Auteur : Patrik Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Voisin-Voisine Chapitre 04 / 04 | FIN de la série |
Une histoire fort simple, plutôt soft, qui peut se lire en one-shot.
Bonne lecture : )
Depuis quelques mois, nous avons des nouveaux voisins, Monique et Jacques, un couple de presque seniors comme nous. Nous avons rapidement sympathisé, ayant sensiblement les mêmes centres d’intérêt. Doucement, mais sûrement, nous nous préparons à basculer dans quelques mois à la retraite, un gros virage qu’il convient de bien négocier.
La différence entre Marjolaine et Monique est flagrante. La première est grande, mince et blonde, l’autre est petite, charnelle et brune. Idem pour la façon de s’exprimer. Ma femme est issue d’une famille inféodée à l’Éducation Nationale depuis au moins trois générations, avec une tendance à la préciosité qui a parfois déteint sur moi, je l’avoue. La femme de Jacques est plus « populaire » si je puis m’exprimer ainsi.
Pour résumer, elles sont presque opposées, mais finalement complémentaires.
Quant à nous les hommes, on va dire que Jacques est ma version en plus petite taille. Nous avons tous les deux des kilos en trop. Le seul avantage que j’ai est d’avoir un peu plus de cheveux (blancs, ma blondeur est un lointain souvenir) que lui, mais la calvitie est proche, c’est juste une question d’années, voire de mois…
Presque identiques, mais pas tout à fait pareils…
Marjolaine, ma femme, est assez facile à vivre, même si elle a parfois un côté pseudo-élitiste qui peut être agaçant, mais côté galipettes, ce n’est plus ça, elle n’éprouve plus d’envie depuis sa ménopause. Comme elle est gentille, elle me laisse faire des cochonneries sur son mignon petit corps, mais je vois bien qu’en réalité, ça ne lui fait ni chaud ni froid, contrairement à nos débuts.
Telle est la vie…
De son côté, Monique n’est pas comblée par Jacques qui a des problèmes de prostate, alors qu’elle aurait bien aimé que son mari continue à s’occuper d’elle comme il se doit. Mais bon, quand ça ne veut pas, ça ne veut pas…
Quand deux manques complémentaires viennent à se rencontrer, que croyez-vous qu’il advienne ? Monique est devenue ma nouvelle maîtresse, et moi, je suis devenu son amant attitré…
Et je profite éhontément de ses bonnes dispositions !
La margarine est entrée dans nos pratiques, et ce, pour diverses raisons que je ne détaillerai pas, laissant ce soin à l’imagination de chacun. Après avoir pris mon temps pour faire jouir de ma langue par deux fois ma belle compagne de jeu, je suis en train d’introduire tout doucement un morceau de cette substance, morceau taillé en frite (restons dans le culinaire) dans le mignon trou du cul de ma maîtresse. Pour ce genre de pratique, les préparatifs aident beaucoup, et l’idée de la dinde fourrée, qu’avait lancée Monique lors de notre première fois (du moins, par cette voie), est restée vigoureusement gravée dans ma mémoire et ma libido.
Le morceau jaunâtre disparu, je me positionne au mieux :
Mon gland étant bien appuyé contre sa cuvette et dans le bon axe, je donne un léger coup de reins pour forcer l’entrée. Elle gémit doucement :
Oui, je suis bien placé, ni trop haut ni trop bas. Il ne me reste plus qu’à faire comme un boulanger, c’est-à-dire tout enfourner. Ce que je fais en faisant coulisser millimètre par millimètre ma tige dans ce sombre conduit si tentant. Je suis devenu accro à la sodomie, peut-être parce que ma femme ne me laissait pas souvent intervenir de cette façon. Peut-être aussi qu’on peut se lâcher plus encore avec une maîtresse qu’avec son épouse. Peut-être aussi parce que Monique a des bonnes dispositions en la matière.
Ma tige est déjà enfoncée de moitié. Que c’est étrange d’entrer dans un lieu prévu pour sortir! Mais si les toilettes sont si proches de la salle des fêtes, c’est qu’il y a sans doute une bonne raison que le Créateur avait derrière la tête. Car, n’en déplaise aux grincheux et autres rabat-joie, même le règne animal utilise cette voie escarpée.
Il serait amusant de tenir des conférences sur le sujet avec diverses démonstrations à l’appui. Oui, j’adorerais montrer à toute la planète que je sodomise joyeusement et profondément ma maîtresse ! Je chasse cette idée saugrenue, j’ai nettement mieux à faire en étant enfoui dans les chaudes profondeurs de Monique !
Comment décrire le fait de coulisser confortablement dans cet étroit conduit cannelé ?
Plutôt que de lancer mille mots en l’air, il vaut mieux vivre ce genre de situation. Oui, ça se savoure, béatement, tout simplement. Je constate que je suis en train d’arriver au bout de mes possibilités. Quand c’est ainsi, on maudit la nature de ne pas vous avoir ajouté quelques centimètres pour en profiter encore plus. Mais est-ce que Monique aurait pu accueillir toute cette longueur fantasmée ? Je crains que non.
Aaah, ça y est, mon bas-ventre cogne sur ses fesses dodues de ma maîtresse. Je m’immobilise pour mieux apprécier l’instant. Je l’entends s’exclamer :
Je souris à cette alternative :
Ça fait tilt dans mon cerveau :
Ce qui ne l’empêche pas de commencer à se doigter pour contrebalancer mon intrusion en elle. Haletante, Monique agite déjà fébrilement ses doigts dans une fente que je devine ruisselante. Fente que je ne délaisse pas et que je connais fort bien, même si ces derniers temps, je suis plutôt adepte des sombres tunnels.
Je me redresse un peu, il est temps de jouer les locomotives à vapeur, en pistonnant sans relâche la voie escarpée de l’entrée des artistes. Je commence un lent coulissement de sortie pour bien apprécier la longueur dans laquelle je viens de m’enfouir, pour mieux replonger ensuite.
Puis, petit à petit, le mouvement s’accélère, le va-et-vient devient de plus en plus ample, puissant, vigoureux. Monique halète bruyamment, je sais qu’elle aime être prise de la sorte, totalement. Aujourd’hui, elle le manifeste tapageusement, avec des mots très crus, depuis qu’elle sait se laisser aller sans complexe :
Ne jamais contrarier une femme qui aime qu’on la sodomise ! Si j’écris un jour mes mémoires, je pense que ça ferait un bon titre de chapitre !
Le problème avec les mots crus est que c’est très excitant, surtout quand ils sortent de la bouche de la femme avec qui on baise crapuleusement ! Du coup, je serre les dents pour éviter de sauter trop rapidement à la conclusion, c’est-à-dire : me vider trop vite en elle.
Je dois attendre encore un peu, je sais que ses doigts fébriles s’activent fiévreusement dans sa fente dégoulinante et que sa jouissance va bientôt survenir. En attendant, dans une débauche de claquement de fesses et de bas-ventre, je continue de la pistonner, de la ramoner, en essayant d’être sourd à tous ces gros mots trop excitants !
Il ne faut pas me le dire deux fois ! J’ouvre enfin les vannes, mélangeant mes râles de plaisir à ses cris de jouissance ! J’ai l’impression d’exploser en mille morceaux, de me répandre dans toute la pièce, de décoller par-dessus les nuages pour aller me mettre en orbite autour de la lune !
Perdu dans le noir du cosmos, je flotte dans un épais nuage blanc.
Cette phrase est peut-être contradictoire, mais ce qu’on éprouve quand on jouit, puis un peu après, échappe à la logique humaine. Une petite idée mélangée du paradis et de l’enfer…
Je reste planté là, en elle, béat, liquéfié, mais tellement heureux…
Puis arrive le moment où il faut se retirer, ce que je fais lentement pour mieux savourer l’instant présent. Puis à quatre pattes, je me dirige vers la tête de ma maîtresse qui relève un peu la tête en me sentant arriver vers elle.
L’esprit toujours un peu confus, j’ordonne :
Monique ne se fait pas prier de lécher et suçoter ma sucrerie beurrée. Peu à peu, les dernières traces luisantes disparaissent, aidées par sa langue et ses lèvres voraces. Ce n’est peut-être pas très bon pour le cholestérol, mais aussi bien pour elle que pour moi, c’est magique pour la libido !
Que c’est bon d’être sans entrave !
Marjolaine m’attend dans le salon, installé sur le côté gauche du canapé, je n’aime pas trop son air sérieux d’institutrice qui va me faire la leçon. Plus de trente ans de vie commune m’ont aidé à lire ma femme, même si parfois je me trompe dans mon interprétation.
Je m’assieds à côté d’elle. Elle affiche un sourire un peu étrange :
Ma femme continue flegmatiquement :
Le ciel semble me tomber sur la tête, j’articule un faible :
Sereinement, elle m’explique :
Je commence à devenir anxieux :
Là, je commence à baliser un peu.
Quand le vin est tiré, il faut le boire. Je commence à comprendre le sens profond de cette maxime…
Quand j’arrive dans la salle à manger de nos voisins, Monique n’en mène visiblement pas large. Nous nous installons tous les quatre autour de la grande table. L’atmosphère est étrange, je préférerais être à mille lieues d’ici.
À notre grande surprise, à Monique et moi, Marjolaine et Jacques se tiennent par la main par-dessus la table. C’est le mari de ma maîtresse qui parle en premier :
Oh le choc ! Je n’ai rien vu venir ! Me devançant, Monique s’exclame :
Je récupère à peine du fait de savoir que ma femme et le mari de ma maîtresse se sont rapprochés, et que je n’ai eu aucun soupçon. Il faut dire que mon projecteur était braqué sur Monique. J’essaye de reprendre partiellement le contrôle :
De sa voix posée, ma femme prend le relais :
Inquiet, je questionne celle qui est encore ma femme :
Ma maîtresse intervient :
Monique en reste bouche bée. Son mari lui sourit :
Ma femme prend la parole, édictant de sa voix d’enseignante :
Puis, elle se tourne vers moi :
Elle se met à rire, suivie par nous tous.
C’est ainsi que nos nouvelles vies se sont mises en place. Depuis ce fameux jour, Marjolaine est très souvent avec Jacques, et moi avec Monique. Fréquemment, je vis et je dors avec ma maîtresse, comme si elle était mon épouse légale. Il nous arrive de plus en plus de faire les courses ensemble comme si nous étions en effet un couple tout à fait normal, et tant pis pour les commérages.
Même chose pour ma femme et son nouveau compagnon de vie.
Souvent le soir, je m’endors avec Monique et je me réveille avec elle, faisant très souvent à chaque fois des galipettes qu’elle accepte avec joie.
Maintenant, je peux l’appeler « ma chérie », elle ne proteste plus.
Ah oui, j’oubliais : Monique se rase à présent le minou, ou plutôt c’est moi qui m’en occupe. Elle estime que c’est plus pratique ainsi, et que ça fait plus sexy aussi. La première fois, son mari a été étonné, elle a répondu que c’était pour faire un essai, elle n’est pas rentrée dans le détail du fait que j’éjacule de grosses quantités. Elle n’avait pas envie de chagriner ce pauvre Jacques qui ne peut plus rien faire sexuellement parlant.
Je reconnais qu’une chatte glabre me facilite les choses quand je lui fais des cunnilinctus, et que voir distinctement ma verge glisser entre ses lèvres me procure un supplément d’excitation. Sans oublier la facilité de nettoyage…
Maintenant, Monique et moi pouvons sortir sans trop de difficultés. Parfois, nous allons au restaurant, ou au cinéma, ou les deux en même temps. Bien sûr, je me fais un plaisir de la lutiner, même au-dehors.
Un jour, nous irons dans un club, Monique aimerait connaître ce genre d’endroit, juste pour voir, du moins au début. J’ai l’impression de reculer dans le temps, comme si j’avais la vingtaine, la trentaine, ce qui n’est pas désagréable. Même sensation pour ma nouvelle compagne qui semble avoir effacé quelques années, elle paraît plus jeunette. Elle le dit d’ailleurs ouvertement :
Mutine, elle ajoute :
Je le lui prouve sur-le-champ en la capturant et en l’embrassant fiévreusement, frottant ma protubérance contre elle. Quand je libère ses lèvres, elle me gratifie d’un :
Bref, tout va bien, tout devrait aller bien…
Je sais que je devrais sauter de joie d’avoir Monique pour moi tout seul et sans entrave, mais il me manque à présent un petit quelque chose, le côté caché de notre relation adultère quand il fallait éviter que nos conjoints le sachent.
Du coup, je commence à regarder ma vraie femme (Marjolaine pour ceux qui auraient la comprenette plutôt lente) avec un autre œil, même si je sais que le sexe n’est plus dans ses habitudes… Quoique…
J’ai bien compris qu’il se passait quelque chose d’autre entre Marjolaine et Jacques, mais quoi ? Je n’arrive pas à cerner ce que c’est. Pourtant, lui ne peut plus rien faire à cause de ses ennuis de prostate, et elle à cause de sa ménopause. Mais ils sont devenus très complices, et il y a ce truc en plus que je lis dans leurs yeux.
Pour un peu, je serai jaloux…
Ai-je loupé un virage avec Marjolaine ? C’est toujours quand vous voyez quelqu’un s’éloigner de vous que vous réalisez son manque, même si ma femme est toujours là. En contrepartie, j’ai gagné Monique, ce dont je ne me plains pas du tout. À moi de faire en sorte que nous ne sombrons pas, ma maîtresse et moi, dans la routine et la banalité, car je dois reconnaître qu’une bonne partie du sel de nos relations est partie sans retour.
Du sel en moins, oui…
Mais rien ne m’empêche d’ajouter un peu de piment…