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n° 21726Fiche technique23029 caractères23029
Temps de lecture estimé : 17 mn
26/04/23
Présentation:  Une histoire fort simple, plutôt soft, qui peut se lire en one-shot. Bonne lecture :)
Résumé:  Depuis que j’ai eu l’immense plaisir de m’introduire dans le petit trou de ma maîtresse, je ne pense qu’à ça !
Critères:  fh hagé fagée extracon caresses anulingus préservati fsodo -extraconj -voisins
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message

Série : Voisin-Voisine

Chapitre 03 / 04
Autres voies


Une histoire fort simple, plutôt soft, qui peut se lire en one-shot.

Bonne lecture : )





Résumons la situation



Depuis quelque temps, nous avons des nouveaux voisins, Monique et Jacques, un couple de presque seniors comme nous. Nous avons rapidement sympathisé, ayant sensiblement les mêmes centres d’intérêt. Doucement, mais sûrement, nous nous préparons à basculer dans quelques mois à la retraite, un gros virage qu’il convient de bien négocier.


La différence entre Marjolaine et Monique est flagrante. La première est grande, mince et blonde, l’autre est petite, charnelle et brune. Idem pour la façon de s’exprimer. Ma femme est issue d’une famille inféodée à l’Éducation nationale depuis au moins trois générations, avec une tendance à la préciosité qui a parfois déteint sur moi, je l’avoue. La femme de Jacques est plus « populaire » si je puis m’exprimer ainsi.


Pour résumer, elles sont presque opposées, mais finalement complémentaires.


Quant à nous, les hommes, on va dire que Jacques est ma version en plus petite taille. Nous avons tous les deux des kilos en trop. Le seul avantage que j’ai est d’avoir un peu plus de cheveux (blancs, ma blondeur est un lointain souvenir) que lui, mais la calvitie est proche, c’est juste une question d’années, voire de mois…


Presque identiques, mais pas tout à fait pareils…


Marjolaine, ma femme, est assez facile à vivre, même si elle a parfois un côté pseudo-élitiste qui peut être agaçant, mais côté galipettes, ce n’est plus ça, elle n’éprouve plus d’envie depuis sa ménopause. Comme elle est gentille, elle me laisse faire des cochonneries sur son mignon petit corps, mais je vois bien qu’en réalité, ça ne lui fait ni chaud ni froid, contrairement à nos débuts.


Telle est la vie…


De son côté, Monique n’est pas comblée par Jacques qui a des problèmes de prostate, alors qu’elle aurait bien aimé que son mari continue à s’occuper d’elle comme il se doit. Mais bon, quand ça ne veut pas, ça ne veut pas…


Quand deux manques complémentaires viennent à se rencontrer, que croyez-vous qu’il advienne ? Monique est devenue ma nouvelle maîtresse, et moi, je suis devenu son réel premier amant…


Et je profite éhontément de ses bonnes dispositions !




Obsessions



Depuis que j’ai eu l’immense plaisir de m’introduire dans le petit trou de ma maîtresse, je ne pense qu’à ça ! Je sais que je devrais me calmer un peu, mais c’est plus fort que moi, je me sens comme un gamin qui s’est introduit dans un magasin de jouets la nuit et qui peut faire tout ce qu’il veut. Les plus gourmands remplaceront le magasin de jouets par une pâtisserie.


N’empêche que la sodo, c’est le pied !


Hélas, ce slogan ne rime pas… « Enculer, c’est le pied », ça rime, ça fait trois pieds à chaque fois, mais c’est trop vulgaire quand même. Je devrais demander à ma femme, la grande spécialiste de la littérature, mais je ne pense pas que me trouver un tel slogan sera sa tasse de thé…


Enfin bref, passons…


Enfin, passons, c’est vite dit, car j’adore m’attarder du bout de la langue autour du petit trou de ma maîtresse qui se laisse faire sans souci, allongée voluptueusement sur le dos. Elle aime aussi tous ces préliminaires un peu curieux. Durant ce temps, mes doigts cajolent délicatement sa fente déjà bien dégoulinante.



Tout en écartant un peu plus ses fesses, je fais remarquer :



Elle soupire abondamment :



Toujours allongée sur le ventre, Monique tourne la tête vers moi :



Elle se contente de rire faiblement. Je continue mon petit manège autour de sa rondelle qui s’évase de plus en plus. Sans oublier bien sûr de continuer à titiller son clitoris en feu. Elle se trémousse de plus en plus, signe évident que le plaisir monte en elle. Le résultat ne se fait pas attendre, puisqu’elle jouit bruyamment sous l’action de mes doigts pervers et détrempés.



Comme souvent, quelques instants plus tard, elle chasse mes doigts de sa fente quand la jouissance l’a submergée. Peu importe, mes doigts couverts de cyprine trouvent un autre endroit pour aller se nicher. Ma maîtresse sursaute un peu sous l’intrusion :



Je constate au passage que, contrairement à tout à l’heure, elle ne chasse pas mes doigts intrusifs. Je me penche sur son oreille pour lui annoncer la suite :



Ce qui ne l’empêche pas d’obéir quelques instants plus tard. C’est avec une lueur perverse dans le regard qu’elle dirige sans complexe ma verge vers elle, puis en elle, l’enfonçant lentement, mais posément, jusqu’à ce que tout disparaisse en elle, ses yeux toujours rivés aux miens. Bien sûr, je ne loupe pas une miette du spectacle qu’elle dirige, cette fois-ci !


Agenouillée de part et d’autre de mes cuisses, les yeux mi-clos, son regard toujours pervers braqué sur moi, elle murmure :



Je me tais momentanément pour contempler le spectacle impudique qu’elle m’offre, puis je reprends à mi-voix :



Je lance la main pour venir caresser ce sexe béant et totalement offert. Je sais que dans quelques minutes, ma belle maîtresse empalée jouira à nouveau, tandis que j’inonderai avec délectation ses sombres entrailles.


Oui, j’ai diverses obsessions un peu curieuses, mais avouez que ce sont des obsessions très… jouissives !




Petite discussion



Nous sommes tous les deux sur ma terrasse, il fait beau sans qu’il fasse trop chaud. Pour une fois, nous discutons sereinement sans faire l’amour. Mais la conversation n’est pas forcément axée sur la pluie et le beau temps, car Monique veut en savoir plus sur ma période libertine.


Je libertinerais bien mon interlocutrice, actuellement habillée d’un short blanc et d’un T-shirt rose qui laisse pointer ses tétons, Madame ayant oublié de mettre un soutien-gorge.


Essayant de faire abstraction de ses pointes qui me narguent, je me lance dans quelques explications de ma part, sur notre libertinage à Marjolaine et moi, mais il n’y a pas beaucoup de choses à raconter, nous n’étions pas des stakhanovistes. À la louche, nous nous offrions cette parenthèse, une fois par trimestre, en allant dans des clubs et parfois dans des saunas spécialisés. Par deux fois, il nous est arrivé de sortir et finalement de ne rien faire…


Accoudée sur la table de jardin, sa tête entre ses mains, ma maîtresse est pensive :



Me dévisageant, elle hoche la tête :



Je cherche dans ma mémoire :



Les souvenirs reviennent très vite :



Monique grimace :



C’est vrai que Monique a eu une vie moins agitée, sauf avec ses enfants qui étaient assez turbulents. Bien que je me doute un tantinet de la réponse, je demande néanmoins :



Monique affiche un sourire moqueur :



Elle s’étonne de ma réponse :



La fièvre s’empare à nouveau de moi.


J’ai une envie folle d’elle, de son corps, de toucher sa peau, de palper ses chairs sans toutefois la pénétrer. Ôtant tous mes vêtements, je me rue sur Monique, je la déshabille en un temps record, ce qui est d’autant plus facile qu’elle était en short et T-shirt.


Elle proteste d’une voix étouffée :



Debout, plaqué contre le dos de Monique, tous les deux face au soleil, ma verge bien raide coincée entre ses fesses douces et dodues, mes mains affamées rivées sur ses seins malléables, mes lèvres voraces nichées dans son cou, je ne suis pas loin du septième ciel, sans avoir toutefois éjaculé…


Je soupire d’aise :



Se laissant peloter, embrasser, désirer, Monique susurre, tout en ondulant :



Puis elle ajoute d’une voix plus feutrée :



Je suis dans un état suspendu, sans être vraiment le feu, sans être vraiment l’eau. C’est l’image qui me vient à l’esprit pour décrire ce que je ressens…


Ah ce corps si charnel, si offert, si doux ! C’est pire qu’une drogue, je n’arrive pas à m’en passer, je n’arrive pas à ne pas penser faire l’amour à cette femme, encore et encore, la désirer, la posséder, tout lui donner et tout lui prendre !


Je suppose qu’on appelle ça la passion…




Miniaturisation



Ce soir, nous sommes réunis une fois de plus tous les quatre autour d’un verre. Parfois, je lutine en vitesse Monique quand nous sommes dans la cuisine, c’est devenu une habitude, comme est aussi devenu une habitude de venir la surprendre dans son bain.


Ma maîtresse proteste pour la forme :



Néanmoins, devinez qui met un simple string ou rien du tout sous sa jupe ou sous sa robe pour me faciliter les choses ? La bouche dit « blanc » et le corps dit « noir », ou l’inverse…


Nous parlons de divers sujets. Je ne sais plus bien comment, mais la conversation vient de rouler sur les détectives privés. Je crois qu’on y est venu par les films noirs des années cinquante. J’explique à mon auditoire et surtout à Jacques qui semble être intéressé par le sujet :



Mon interlocuteur se cale dans son fauteuil :



Jacques hoche la tête :



Me souvenant de quelque chose, je me lève :



Quelques minutes plus tard, je montre les pages qui concernent les mini-caméras. Après avoir bien contemplé les divers articles, Jacques finit par dire :



Posant sa main sur le bras de son mari, Monique intervient :



Curieux, je demande :



J’affiche un certain sourire entendu en disant :



Tout en regardant fixement Monique qui rosit un peu. Mais elle se reprend vite :



Ma femme répond :



Peu après, installés sur la grande table de la salle à manger, nous jouons au Grüll, un petit jeu de cartes pas très connu, dans lequel il faut sauver ses bons lutins en évitant de tomber nez à nez avec des ogres voraces. Pas le jeu du siècle ou de la décennie, mais ça permet de passer un bon moment à quatre, surtout grâce aux vacheries que ce jeu permet.


Assise en face de moi, Monique s’est offert un petit luxe qui m’a étonné de sa part, elle qui ne prend pas souvent d’initiative : sous la table, son pied est venu taquiner mon entrejambe. Très vite, j’ai réussi à sortir ma verge. Du bout de ses orteils, ma maîtresse a commencé à flatter mon sexe, puis elle a réussi à coincer ma tige entre son gros orteil et le suivant, essayant de m’offrir une petite branlette maladroite. Je me serais bien laissé aller à éjaculer sur son pied, mais ce n’était pas le bon moment ni le bon endroit.


Mais je conserve l’idée dans un coin de ma tête pour concrétiser ce à quoi je viens de songer…




Occupation à deux



Aujourd’hui encore, Jacques est parti à la pêche, et Marjorie est partie dans l’un de ses clubs. Donc, devinez ce que Monique et moi sommes en train de faire ? J’ai un peu ralenti mon côté « du cul, du cul et du cul », je me reconsacre aux autres parties anatomiques de ma maîtresse.


Je suis allongé sur le dos, tandis que Monique me chevauche, me dominant de sa hauteur. Ses seins dandinent agréablement sous mon nez, je me fais un plaisir de les capturer de temps à autre et de jouer avec eux. Soudain, ma maîtresse se lance dans une hypothèse à laquelle j’ai déjà songé :



Je me souviens fort bien de mes débuts avec ma femme :



Ondulant du bassin pour mieux me sentir en elle, Monique confirme :



Monique affiche un petit sourire vicieux :



Saisissant ses seins qui s’agitent toujours sous mon nez, je rectifie :



Je recentre le débat ou plutôt nos ébats :



Puis remuant du bassin, je fais tressaillir ma maîtresse qui s’en donne ensuite à cœur joie. Peu après, bien empalée sur ma colonne de chair, elle commence à gémir puis à jouir. La voyant décoller pour le septième ciel, c’est à ce moment que je décide d’ouvrir grandes les écluses.



De multiples jets se perdent dans les profondeurs de la grotte dans laquelle je suis planté. Comme d’habitude, j’inonde l’antre de Monique, à tel point que ça déborde une fois de plus, et qu’elle et moi nous sommes souillés. Elle râle un peu comme souvent :



Je fais une autre suggestion :



Elle se redresse :



Chose dite, chose faite, elle se relève lentement, laissant sur ma verge et mon pubis une bonne partie de mon éjaculation. Cependant, pour moi, ce sera vite nettoyé, contrairement à ce qui reste englué dans les boucles de sa touffe…


Quand je jute dans son beau cul, le problème se pose moins. Monique l’a elle-même constaté, mais si elle ne déteste pas que j’aille me perdre dans son fondement, elle préfère quand je varie les plaisirs sur son corps et dans son corps.




Autre instant



Allongée sur le ventre, les fesses à l’air, Monique récupère de sa jouissance. Je fais la même chose de mon côté, avachi sur les oreillers. Soudain, sa voix fend le silence :



Elle hoche la tête :



Affichant un beau sourire, elle caresse ma cuisse :



Accoudée sur ses avant-bras, elle soupire :



Un petit silence s’installe que je romps :



Toujours allongée sur le ventre, Monique s’explique :



Je profite qu’elle m’insulte pour lui donner une petite claque sur ses fesses qui vibrent agréablement sous l’impact. Je songe alors à tout le sperme que je viens de déverser à cet endroit et qui ne semble pas vouloir s’évader.


Inexplicablement, je me sens fier de moi. Ça doit être un reste d’atavisme en provenance du mâle des cavernes, le fait d’avoir sa femme à lui, de marquer son territoire. Tout ça est bien flou, mais ce que je sais, je n’ai jamais ressenti ce genre de chose avec Marjolaine. Sans doute étions-nous trop civilisés…


Monique éveille sans doute en moi quelque chose de plus primal…