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Temps de lecture estimé : 11 mn
04/05/23
Résumé:  Une nouvelle étape va être franchie dans ce nouvel épisode. Jusqu’alors apprenti, Agnès et sa fille vont m’emmener un peu plus loin et faire de moi un Amant.
Critères:  grp fbi hbi fplusag jeunes -initiat -diffage
Auteur : Alex Tentra            Envoi mini-message

Série : Initiation par la meilleure amie de ma mère

Chapitre 03 / 05
Découverte de nouveaux horizons

Résumé des épisodes précédents :

À dix-huit ans, je rencontre Agnès, la meilleure amie de ma mère dans un vide-grenier. J’ose avec elle ce que jamais je n’ai osé avec une fille. Après un premier rendez-vous dans les bois, c’est accompagné de son gendre qu’elle passe la soirée chez moi et me fait découvrir la bisexualité… C’est ensuite qu’Agnès m’attira chez elle, où, lors d’une soirée avec Olivier, son époux et son amie Sonia, je découvris d’autres plaisirs. Et c’est alors qu’apparut la fille d’Agnès…




« Telle mère, telle fille… » avait dit Florence.


C’est par cette phrase quelque peu énigmatique que s’était terminée notre soirée. Agnès m’avait invité à prendre ma douche avec elle, pendant laquelle nous nous étions caressé le corps et embrassés. Je pense qu’elle n’aurait pas été contre un extra, mais j’étais trop fourbu. Sonia nous rejoignit au moment où nous en sortions. Elle saisit une serviette et s’empressa d’éponger Agnès, jusque dans les endroits les plus intimes. Je les laissais et, avant de rentrer chez moi, allais saluer Olivier, Alex et Florence qui se prélassaient sur la terrasse.


Il me fallut quelques jours pour prendre conscience de ce qui m’était arrivé. Il y a encore peu, j’étais un jeune n’ayant jamais eu le moindre rapport sexuel avec une femme, encore moins avec un homme. En quelques jours, Agnès m’avait entraîné très loin, dans un monde inconnu, dans le milieu dans lequel j’avais grandi. Jamais je n’aurais imaginé vivre tout cela, il y a encore quelques semaines, au début de l’été, alors que timidement je rappelais Agnès.


Après cette soirée, j’eus l’occasion de croiser Olivier en ville. Poignée de main virile et amicale, accompagnée d’un sourire plein de sympathie, il m’avait invité à boire une bière à la terrasse du grand café sur la place principale. Nous avions parlé de tout et de rien, un peu comme deux copains. Aucune référence à Agnès, Sonia ou Florence. Juste un moment amical et tranquille.


Agnès, elle, passa me voir plusieurs fois à la maison. Là encore, beaucoup de gentillesse, d’amitié. Nous avons fait l’amour, bien sûr, mais tendrement, sans rapport avec ce que j’avais vécu avec elle. Je la questionnais sur Florence, et son rôle d’éducatrice, mais elle ne voulut pas s’étendre sur le sujet.



Par contre, concernant Sonia, elle fut beaucoup plus volubile. Elles n’avaient eu que des rapports amicaux pendant de nombreuses années. Mais Olivier et Agnès l’avaient découverte en rentrant d’une soirée un peu plus tôt que prévu. Elle était dans leur piscine en compagnie d’Alex qui la besognait vigoureusement pendant qu’elle léchait Florence, assise sur le rebord. Ils comprirent par la suite qu’habituée de la maison, Sonia avait été séduite par Florence qui l’avait très vite convaincu de rejoindre son époux dans le lit conjugal. D’abord un peu hésitante, Florence et Alex l’avaient très vite transformée en véritable experte du sexe, au grand bonheur d’Agnès et Olivier.


L’été avançait donc, et Marie fut bientôt de retour. Bien entendu, je ne lui racontais rien de ce qui m’était arrivé. Nous avons repris notre flirt, quelques caresses par-ci par-là. Un soir, elle m’avoua qu’un autre moniteur de base nautique voisine de sa colo l’avait draguée. Elle me dit n’avoir pas résisté longtemps à ses avances et s’était laissé embrasser et caresser.



Elle fut surprise de voir combien son aveu m’avait excité. À mon tour, je l’embrassai, la caressai. Et ce soir-là, nous avons couché ensemble. Je dis bien « coucher ensemble », car en fait je ne peux pas dire que ce fut exceptionnel pour moi. Mais j’ai aimé lui faire découvrir les plaisirs charnels, ce qui lui fit comprendre que je ne lui en voulais pas, bien au contraire.


Malgré cela, nous nous vîmes peu. En journée, je continuais mon job d’été. Le soir, je trouvais souvent un prétexte pour retrouver la maison d’Agnès et Olivier. J’y devins un habitué pouvant arriver à ma guise, à l’improviste. C’est ainsi que j’appris à connaître Florence, la fille d’Agnès, qui, comme m’avait averti Sonia, était une éducatrice hors pair. Sans jamais y participer vraiment, elle dirigeait souvent nos ébats (qui ne manquaient pas), allant même jusqu’à organiser certaines soirées.


C’est ainsi qu’elle invitait des amis pour un apéro ou un dîner, qui se terminait immanquablement par une séance de sexe.


Quelques jours avant le retour de vacances de mes parents, Agnès m’invita à venir partager leur dîner. Florence, de son côté, avait invité un couple de quinquas très BCBG. Lui s’appelait Jean. Il était le pharmacien de notre ville. Après les présentations d’usage, il me dit connaître vaguement mes parents et se souvenait de moi, même si, me dit-il, j’avais bien grandi depuis la dernière fois qu’il m’avait vu.


Apparemment, il ne connaissait pas la maison, et très peu nos hôtes. C’est son épouse qui avait été conviée par Florence. Toutes les deux se connaissaient depuis qu’elles fréquentaient le même club de gym. Elle, Elizabeth, était de taille moyenne, brune et avec peut-être quelques kilos en trop qui ne faisaient que renforcer son charme de cinquantenaire.


Après un repas très convivial et copieusement arrosé, Olivier nous invita à passer sur la terrasse, pour goûter l’air doux de cette nuit de fin d’été. Agnès et Florence proposèrent à la femme du pharmacien de les aider à débarrasser pendant que leurs époux et moi nous installerions avant qu’elles nous amènent les digestifs. Je trouvai ça un peu cliché et commençai à ramasser quelques assiettes, mais Agnès insista pour que je les laisse faire. Quand je rejoignis les hommes, Olivier et Alex, étendus sur un transat, contemplaient la magnifique nuit étoilée avec Jean, lui-même installé confortablement dans l’un des fauteuils. Je restai debout à les écouter deviser sur la beauté de la nature.


Agnès fut la première à nous rejoindre en nous apportant les alcools et des verres sur un plateau. Rien n’aurait pu être plus naturel si ce n’est qu’au centre avait été disposée une petite corbeille remplie de préservatifs. Pour moi, il s’agissait là d’une annonce assez claire. Mais, bien que je m’attende à la direction qu’allait prendre la soirée, j’étais surpris de la façon choisie pour l’annoncer. Mais pas aussi surpris que Jean semblait l’être. Il mit quelques secondes à comprendre ce qu’il y avait sur le plateau. Puis il sembla vouloir interroger du regard Olivier, qui fit mine de ne pas comprendre, avant de se tourner vers Agnès. Ce qu’il vit le laissa bouche bée.


Il y avait de quoi. En lieu et place de la robe élégante qu’elle avait portée au cours du repas, elle avait revêtu une sorte de tunique à l’étoffe légère et… très transparente, qui laissait deviner à notre regard les magnifiques courbes libres de toute entrave, de sa poitrine, de ses hanches et de ses longues jambes. Un léger courant d’air chaud écarta les pans de l’étoffe, dévoilant ainsi son sexe, totalement épilé.


L’espace d’un instant, le temps s’est complètement arrêté devant cette vision féerique, pour moi en particulier, mais aussi (et sans doute surtout) pour Jean, qui semblait pétrifié.

La bouche entrouverte, le souffle court, ses yeux fixaient Agnès. Olivier rompit le silence qui commençait à peser.



Suivant le regard d’Olivier, nous tournâmes tous la tête vers la porte-fenêtre dans l’encadrement de laquelle se tenait Elizabeth, complètement nue.


Elizabeth fixait son époux avec un petit sourire de défi. Elle tenait ses mains dans son dos, ce qui lui faisait bomber légèrement sa poitrine aux larges aréoles. Son sexe, parfaitement taillé en ticket de métro, était une véritable invitation à l’accouplement. Elle portait autour du cou un collier de cuir, d’où partait une chaîne argentée dont l’extrémité était tenue par Florence.


Tirant légèrement sur la laisse, Florence approcha Elizabeth, puis, d’une pression sur l’épaule, la fit s’agenouiller devant le fauteuil de Jean.



Sans que Florence n’ait rien à ajouter, Elisabeth passa ses mains sur les cuisses de Jean, les faisant aller et venir sur le tissu sans détacher son regard du sien et s’attardant parfois sur l’entrejambe. Quand elle sentit que l’excitation de son époux était à point, elle saisit le zip de son pantalon et le descendit très délicatement, libérant par la même occasion un membre déjà fièrement dressé. N’attendant que cette occasion, elle abaissa rapidement la tête avalant le sexe d’une seule goulée, entraînant le gland au fond de sa gorge, puis remontant doucement en laissant traîner sa langue le long de la hampe.


Florence attendit quelques instants, le temps que les caresses buccales trouvent leur rythme, lent et doux, d’allers et retours réguliers. Dès que Jean commença à émettre ses premiers soupirs, elle retint Elizabeth de poursuivre sa fellation. Elle se saisit alors de la corbeille de préservatifs et lui présenta.



Jean sembla réfléchir un instant, le souffle court. Finalement, il se décida, prit l’un des sachets et le tendit dans ma direction.


Agnès s’en saisit, s’approcha de moi. Elle se colla contre mon dos et ses mains dégrafèrent mon pantalon et le firent glisser avec mon caleçon sur le sol. D’un geste précis, elle déroula le latex sur moi tout en dardant sa langue de la base de mon cou au lobe de mon oreille qu’elle suçota furtivement, avant de me murmurer :



D’une pression sur mes reins, elle m’accompagna jusqu’à Elizabeth. Je m’agenouillai et plaçai mon gland à l’entrée de l’orifice accueillant et offert.



Après un instant de silence destiné à laisser Jean digérer ce qui venait de lui être annoncé, Florence reprit :



Sur ces mots, Jean passa sa main sur la nuque de sa femme, sur laquelle il fit pression pour l’amener à le reprendre en bouche. Quant à moi, je saisis les hanches charnues de la belle quinquagénaire et me propulsai au plus profond d’elle, la faisant se cambrer et exprimer son plaisir dans un râle rauque de contentement.


Je suivais scrupuleusement la consigne d’Agnès en prenant mon temps, m’arrêtant parfois pour éviter une jouissance immédiate et prématurée. Elizabeth calquait son rythme sur le mien, ralentissant ou accélérant ses caresses quand je le décidais. Par moments, sans lâcher son mari, elle tournait la tête, me souriant du coin de l’œil.


Ainsi, le plaisir de notre trio montait progressivement. Florence avait détaché la chaîne du collier d’Elizabeth et s’était confortablement installée dans un fauteuil après s’être déshabillée. L’une de ses jambes posée sur l’accoudoir, elle se caressait langoureusement dans une position qui me rappela celle prise par sa mère, lors de la soirée passée chez moi.


Je tournai la tête et vis Agnès de dos, installée à cheval sur Olivier et s’empalant sur sa bite puissante qui lui remplissait la chatte. Ce faisant, elle suçait Alex, debout à côté d’elle. Le manège dura ainsi quelques instants avant qu’il ne se place derrière elle. Il sortit de sa poche un tube de lubrifiant dont il s’enduisit le sexe avant de pénétrer les reins d’Agnès. Il le fit d’un coup, apparemment sans ménagement, comme pour lui montrer qui était le Maître.


Très vite, ses râles emplirent le silence de la nuit, faisant accélérer les deux mâles qui la possédaient. Sans m’en rendre compte, je me mis moi-même à besogner énergiquement ma partenaire qui me répondait ardemment par ses coups de reins, m’entraînant encore un peu plus au fond d’elle.


Qui jouit en premier ? Je n’en sais rien. Mais pour ma part, je ne pus résister très longtemps et explosai dans un éblouissement étourdissant. Je m’écroulai, étendu sur le dos à même la terrasse.


Mon Dieu que cela avait été bon ! Tout en essayant de reprendre mon souffle, je laissai mon esprit vagabonder, pensant à ce qui venait de se passer, mais aussi me remémorant ce qu’avait dit Florence à Jean. Ainsi, Elizabeth allait d’ores et déjà être mon amante. Et j’allais être son Maître, pouvant profiter d’elle et expérimenter mes fantasmes comme découvrir les siens…


Perdu dans mes pensées, et peut-être même ayant perdu connaissance quelques instants, je réalisai soudain que je restai seul avec Florence sur la terrasse. Elle n’avait pas bougé de son fauteuil et me sourit quand j’ouvris les yeux.



Elle me prit par la main et nous partîmes à leur recherche.


Très vite, nous entendîmes quelques soupirs qui nous guidèrent jusqu’à la porte de la chambre d’Agnès et Olivier. Ils étaient là tous les cinq. Sur le lit, les deux femmes se tenaient tête-bêche, Elizabeth dessus. Chacune donnait du plaisir, la tête enfouie dans la fourche des jambes de l’autre. À côté d’elles, Jean pénétrait Alex pendant que la langue de celui-ci allait et venait dans la raie d’Elizabeth. Olivier, debout, se caressait en les regardant, avant que, comme pris d’une envie subite, il vînt se placer derrière Elizabeth pour la sodomiser.


Florence et moi les contemplâmes pendant quelques instants, avant qu’elle me dise dans un murmure :



Nous nous installâmes dans les transats.


Alors que nous contemplions les étoiles en silence, Florence me demanda si je pensais pouvoir assurer le rôle d’amant qui allait être le mien.



Après quelques instants de silence, je ne pus m’empêcher de lui demander :



Voyant mon incompréhension, elle se pencha vers moi et me murmura :