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n° 22046Fiche technique12206 caractères12206
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Temps de lecture estimé : 9 mn
11/10/23
Résumé:  Je deviens l’amant d’Elizabeth, son Maître, même. Pour me remercier, elle imagine un cadeau qui, dit-elle, devrait me satisfaire au plus haut point.
Critères:  fh ff alliance voir caresses fellation pénétratio
Auteur : Alex Tentra      Envoi mini-message

Série : Initiation par la meilleure amie de ma mère

Chapitre 04 / 05
Vers la maitrise et au delà

Résumé des épisodes précédents :

À dix-huit ans, je rencontre Agnès, la meilleure amie de ma mère dans un vide-greniers. Si elle me fit découvrir le plaisir, c’est sa fille Florence qui me mit sur la voie de la maîtrise.




En disant ces mots, Florence avait plongé ses yeux dans les miens. Elle me fixa avec un petit sourire mutin, qui, je l’avoue, me troubla particulièrement.



Florence chuchotait ces mots, tout bas, approchant parfois ses lèvres au creux de mon oreille, puis me faisant à nouveau face. Par moments, du bout de son nez, elle caressait le mien, furtivement, allant même déposer un léger baiser au coin de mes lèvres.



Sa main vint délicatement se poser sur mon torse, à mesure qu’elle me parlait.



Je sentis la légèreté de ses doigts me caresser le ventre, puis descendre délicatement jusqu’à l’aine, avant de glisser innocemment vers la base de mon sexe qui avait pris fière allure…



Sa main avait commencé à me caresser, accélérant progressivement à mesure que mon plaisir montait.



Soudain, n’y tenant plus, je pivotai vers elle et plaquai ma bouche sur la sienne dans un baiser langoureux, rythmé par le ballet de nos langues. Elle s’étendit et, dans son mouvement, m’entraîna sur elle.


C’est presque naturellement que mon sexe prit possession d’elle. Elle était brûlante. Je goûtais ce moment, prenant mon temps, progressant millimètre par millimètre. Quand j’atteignis le fond de sa matrice, je me mis à genoux et plaquai mon pubis au sien, cherchant à aller plus loin encore. Le corps était cambré en arrière, les yeux mi-clos, elle soupira d’aise lorsque je commençai mes va-et-vient. Je sentais avec délectation les vibrations naître le long de ma colonne vertébrale, et progressivement monter vers le creux de mes reins. Mon plaisir était total et je crois que le sien aussi. À tel point que je crois que nos corps et nos esprits étaient dans une harmonie parfaite. Difficile de résister à une telle plénitude. Trop vite, je sentis les picotements de mon fondement, annonciateurs d’une jouissance imminente. Soudain, j’explosai et me répandis en elle. Elle se redressa, se colla à moi en passant ses bras autour de mon cou et m’embrassa. Puis, les yeux clos, elle posa son front sur le mien, reprenant son souffle et sans doute ses esprits.



Elle se recula, me fixant d’un regard incrédule.



Et elle partit dans un grand éclat de rire.



Cela étant dit, elle se dégagea, ramassa sa robe et déposa un dernier baiser sur mes lèvres avant de partir de se coucher.



Je fis de même, rejoignant ma maison, le corps vidé, mais la tête pleine.


Les semaines qui suivirent furent très chargées pour moi. Il y a eu d’abord rangement et grand ménage avant le retour de vacances de mes parents. Je ne cache pas avoir un peu fait de zèle en allant farfouiller dans la commode et les penderies de ma mère. Je ne tardai pas à trouver ce que je cherchais : lingerie féminine très hot, jouets sexuels et même quelques cassettes de films X, autant de choses qui confirmaient les dires de Florence… mes parents aussi étaient de fieffés coquins. Je laissai bien entendu tout en place, mais je me souviens encore ne pas avoir pu refréner un petit sourire intérieur quand ils sont revenus à la maison, en particulier en voyant ma mère. Je ne l’ai pas jugée, au contraire. En fait, je crois que j’étais heureux et peut-être aussi un peu fier d’avoir des parents qui avaient su rester jeunes.


Puis ce fut le moment de préparer la rentrée universitaire. Le Bac c’est une chose, mais reste à en faire quelque chose. Longues files d’attente pour l’inscription à la Fac, recherche active d’un studio pas trop loin du campus, studio qu’il fallut meubler, etc.


Mais j’eus tout de même le temps de retrouver Elizabeth. Agnès m’appela dès le lendemain de la soirée passée avec elle et me donna rendez-vous au domicile du pharmacien, sans que j’oublie de passer d’abord à sa boutique pour lui « acheter » des préservatifs.


D’abord espacés, les rendez-vous avec Elizabeth devinrent rapidement hebdomadaires, voire bihebdomadaires. Au début, Florence ou Agnès étaient présentes à chaque fois, afin de me guider et mettre en confiance, puis de manière espacée. Au bout de quelques mois, je devins autonome et commençai même à diriger Elizabeth. Autrement dit, je commençais à devenir son Maître dans une relation de dominé dominant qui suivait les envies de mon amante.


Au bout de quelques mois, Elizabeth m’avoua que les expériences que je lui permettais de vivre avaient eu beaucoup d’effets sur sa vie de couple, et contribué fortement à son épanouissement sexuel comme à celui de son époux. Elle me dit m’en être très reconnaissante et m’annonça souhaiter me remercier par un cadeau, un après-midi particulier qui, elle l’espérait, me comblerait au plus haut point. Elle me donna ainsi rendez-vous, sans me dévoiler le moindre indice sur ce qu’elle avait prévu.


C’est ainsi que par un bel après-midi de printemps, j’arrivais chez elle, une belle maison en meulière entièrement rénovée. Je gravis les quelques marches du perron, sonnai avant d’entrer par la porte qui était entrebâillée. Guidé par les soupirs que j’entendais, je pénétrai dans le salon, où je découvris Elizabeth et Sonia, nues toutes les deux, dans une scène de caresses saphiques particulièrement érotique. Appuyé au chambranle de la porte, je pris le temps de les contempler, prenant le soin de ne pas les interrompre. Soudain, alors que Sonia plaquait sa bouche sur le sexe d’Elizabeth, celle-ci sembla perdre le contrôle et se laissa littéralement emporter par une vague de plaisir. Au bout de quelques instants, revenant à la réalité, elle prit conscience de ma présence :



Sonia se leva et s’approcha de moi, posant sa main sur mon entrejambe.



Alors que Sonia entamait une fellation diabolique, Elizabeth nous rejoint. Elle me débarrassa de ma veste, glissa ses doigts sous ma chemise avant d’en défaire les boutons un à un. Se plaquant contre mon dos, elle détacha ma ceinture, fit glisser mon pantalon, accompagné de mon caleçon. C’est quand je fus aussi nu qu’elles, qu’Elizabeth saisit Sonia par le menton pour lui faire cesser ses caresses, à mon grand regret.



Elizabeth revint quelques minutes plus tard, revêtue d’une grande cape à capuche, tombant jusqu’aux pieds. Par les pans entrouverts, je devinais sa nudité et ses courbes enchanteresses. Le haut de son visage était quant à lui dissimulé par un masque vénitien.



Elle me prit par la main et me précéda dans l’escalier. Arrivés devant la porte, Sonia nous attendait, habillée comme Elizabeth, et semblait vouloir nous interdire l’accès. Elle me tendit un bandeau noir :



Je me saisis de l’étoffe et la noua derrière ma tête. Une fois fait, Sonia poursuivit :



Je hochai la tête en guise de consentement.



J’acquiesçai de nouveau. Elizabeth ajouta, alors que j’entendais la porte s’ouvrir :



Mes deux guides m’accompagnèrent alors jusqu’au lit. L’une d’elles s’agenouilla devant moi pour me reprendre en bouche et augmenter ma vigueur, qui à vrai dire n’en avait pas vraiment besoin. Quelques soupirs et bruits « humides » me firent comprendre que la seconde avait pris en charge la montée du plaisir de ma promise.


C’est moi qui interrompis les caresses buccales. On me fit monter sur le lit et on plaça mes mains sur des hanches qui ne semblaient attendre que moi. Des doigts délicats guidèrent mon sexe vers le sien et je sentis que l’on écartait les chairs pour me faire pénétrer de quelques millimètres. Quelques secondes passèrent avant que je décide de plonger dans le fourreau brûlant et accueillant. Alors, lentement, délicatement, je fis l’amour à cette femme, la tenant par les hanches, que je délaissais parfois pour laisser remonter une main sur son dos, jusqu’à lui saisir une épaule, voir la nuque. Puis je laissais glisser mes autres doigts sur son aine, jusqu’à atteindre ses lèvres et pétrir son bouton intime.


Mes guides, quant à elles, restaient à côté de nous. Caressant nos corps, dardant leurs langues sur la pointe dressée de mes tétons, dans mon coup, dans mon dos. L’une d’elles alla même jusqu’à une caresse anale d’une douceur inouïe.


Soudain, elles nous dégagèrent l’un de l’autre. Je fus installé sur le dos et ma partenaire invitée à venir me chevaucher. Très vite, notre plaisir commun se décupla. Me redressant, je plongeais mon visage entre ses seins qu’elle maintint longuement. Alors que son rythme s’accélérait, j’entendis son râle quand je plantai mon majeur entre ses fesses. Sentant l’orgasme arriver, elle prit ma tête à deux mains pour m’entraîner dans un baiser fougueux, entremêlant sa langue à la mienne dans un ballet endiablé, avant que mes lèvres ne se glissent dans son cou au moment même où je la sentis partir, presque en même temps que moi.


Nous restâmes ainsi quelques instants, reprenant notre souffle. Instinctivement, je posais mes lèvres sur sa peau. Je sentis sa main caresser ma nuque dans un geste plein de tendresse. Nos deux accompagnatrices nous rejoignirent et firent tomber nos bandeaux simultanément.


Il nous fallut quelques instants pour nous habituer à la pénombre de la pièce. Mais très vite, je reconnus Florence. Elle me sourit et nous nous embrassâmes, avant qu’elle ne me dise dans un souffle :



Je souris, plongeant mes yeux dans les siens. Une parole brisa le silence :



Florence et moi tournâmes nos regards vers le fond de la chambre. Nos mères, Fabienne et Agnès, étaient confortablement installées sur le divan et nous fixaient d’un air complice et rayonnant.



Elles se regardèrent. Et alors que leurs bouches se rejoignaient, je vis la main d’Agnès remonter le long de la jambe gainée de bas et se glisser sous la jupe de ma mère, pendant que celle-ci s’emparait de la poitrine de sa meilleure amie.