n° 21758 | Fiche technique | 15627 caractères | 15627Temps de lecture estimé : 11 mn | 07/05/23 |
Résumé: Première partie, la révélation d’une DRH à la bouche gourmande. Deuxième partie, le petit groupe de libertines entrainent leur jeune collègue dans une sexualité de groupe. | ||||
Critères: grp frousses collègues uniforme grossexe sport boitenuit travail voir facial fellation cunnilingu préservati pénétratio double sandwich fsodo partouze init humour -humour -totalsexe | ||||
Auteur : Jacquou Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Sexe en entreprise Chapitre 03 / 05 | Épisode suivant |
Résumé des épisodes précédents :
L'histoire se passe dans une entreprise comme beaucoup d'autres, avec des hommes et des femmes qui travaillent ensemble, mais avec parfois des arrière-pensées sexuelles et même des passages à l'acte. Un petit groupe de femmes séparées, divorcées ou célibataires, à la sexualité active, fraye volontiers avec des hommes à la fidélité conjugale aléatoire. L'épisode précédent a raconté un petit règlement de comptes qui a échoué.
Les retombées de l’affaire résumée, la « sextape auditive », étaient encore très commentées à la machine à café lorsque le hasard mit en présence dans l’ascenseur la DRH prénommée Nadine et Fabien. Celui-ci marqua une gêne manifeste en présence de celle qui avait dû statuer sur son cas, d’autant qu’elle le considérait avec une lueur ironique dans le regard. Au moment de sortir de l’ascenseur à son étage, qui n’était pas celui de Fabien, car réservé aux cadres, elle l’interpella :
Fabien se demanda ce que le sort allait encore lui réserver, déjà qu’il ne se faisait plus d’illusion sur sa promotion. La DRH et son côté « executive woman » en tailleur chic et talons hauts n’avait rien de rassurant, même si elle était incontestablement belle femme avec ses cheveux teints en blond coupés courts, ses yeux bleus et ses longues jambes fines. Mais un peu glaçante quand même.
Assis non devant son bureau, mais sur un fauteuil où elle avait également pris place face à lui, il se détendit légèrement. Ce n’était pas un contexte de sanction. De fait, tout en croisant haut les jambes, elle lui demanda, un sourire en coin :
Fabien se demanda où la DRH voulait en venir. Ce n’était pas un entretien classique, c’était le moins qu’on pouvait en dire.
Il l’était, bien heureux de s’en tirer à si bon compte. Il retrouva la DRH à l’heure et au lieu convenus. Elle se présenta vêtue d’un mini short mettant en valeur ses jambes interminables et un débardeur. Ses coups droits étaient puissants, son service impeccable, et il perdit deux sets à zéro non sans avoir vaillamment résisté. Ils prirent une douche dans leur vestiaire respectif et se donnèrent rendez-vous pour le lendemain. À l’évidence, il lui avait plu, au moins sur le court.
Deux autres matches suivirent puis un troisième. Une certaine complicité s’était fait jour. Il apprit qu’elle était également en instance de divorce (« le boulot, vous comprenez ») et qu’elle n’avait pas d’enfants. Ils décidèrent de se tutoyer « mais pas dans la boîte, hein ? » demanda-t-elle.
Le troisième match venait de se terminer et il était en train de se déshabiller devant sa cabine de douche comme d’habitude lorsqu’il eut la surprise de la voir arriver vêtue simplement d’une serviette de bain nouée sous les bras. Son regard ne laissait pas place au doute : elle avait envie de sexe. Confirmation lui fut apportée lorsqu’elle lui dit, la voix un peu rauque :
Et de baisser son slip à l’intérieur de la cabine où elle l’avait poussé.
Et de saisir le plantureux pénis entre deux doigts pour le porter à sa bouche et l’engloutir avec une volupté évidente. Il ne tarda pas à remplir copieusement sa cavité buccale, car la dame avait de l’expérience. Il ne le savait pas encore, mais elle était de ces femmes aimant les hommes très sexués comme Fabien, non seulement pour le calibre de leur engin, mais aussi pour leur côté un peu faunesque, poils sortant du col de la chemise, barbe drue, avant-bras puissants, bref le contraire de ces hommes au corps glabre, vaguement efféminés, et moyennement membrés.
Tout en pressant ses couilles, elle le pompa avec ferveur et ne tarda pas à obtenir une éjaculation massive qu’elle engloutit sans en laisser une goutte. « Et en plus, elle avale », se dit Fabien, des étoiles dans les yeux. Elle ramassa sa serviette qu’elle avait laissé tomber en le suçant, révélant deux seins pointus et agressifs, et le quitta avec un baiser léger sur les lèvres ponctué d’un « merci ». Il n’en revenait pas.
Ils se séparèrent après qu’elle eut réclamé une nouvelle fois sa discrétion, mais non sans lui dire :
Il comprit qu’il allait la baiser, et c’était une sacrée nouvelle.
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Pendant ce temps, Camille faisait plus ample connaissance avec ses collègues femmes. Fine mouche, elle avait compris qu’elle ne pourrait survivre dans cette entreprise qu’en faisant allégeance aux anciennes et en particulier à Marianne qui l’avait précédée auprès du patron. C’est pourquoi elle mangeait en leur compagnie à la cafétéria et accepta leur proposition d’une soirée en boîte, d’autant plus facilement que son célibat la rendait libre depuis qu’elle avait largué son dernier boy friend.
Elle se présenta à la soirée vêtue d’une minijupe qui découvrait presque entièrement ses cuisses fines et d’un dos nu moulant étroitement des seins en pomme. Marjorie, Delphine et Marianne avaient également accentué leur sexualité pour la soirée, mais comprirent que la petite nouvelle appartenait à une autre catégorie. De fait, à peine étaient-elles arrivées sur les lieux que les mâles tournèrent autour de Camille comme des abeilles autour d’une ruche. Ce n’était pas totalement pour déplaire aux anciennes. Elles étaient venues pour danser, certes, mais avec l’intention et l’espoir de baiser en suivant. Et si Camille passait elle aussi à la casserole, elle serait définitivement liée à leur groupe et donc tenue en laisse. Question mecs, il y en aurait pour tout le monde, vu que les femmes qui baisent ont toujours un avantage. Et elles annonçaient clairement la couleur par leur tenue, leur attitude, leur sensualité affichée avec leur chair généreusement découverte. Même leur âge n’était pas un handicap face à des minettes qui, contrairement à elles, se feraient un peu prier.
Ce genre de virée s’était souvent révélé décevant pour ces femmes en manque d’homme. Soit qu’ils fussent trop jeunes, trop accompagnés ou trop lourds, auxquels cas elles rentraient ensemble boire un dernier verre chez l’une d’elles et dodo solitaire. Mais cette soirée s’annonçait sous d’heureux auspices.
Un syndicat de policiers venait de tenir son congrès et fêtait l’élection de quelques-uns dans la boîte. Ni trop jeunes, ni trop vieux et certains franchement pas mal, selon le jugement de ces dames. Lorsqu’elles apprirent qu’ils étaient en outre des représentants de l’ordre, leur besoin de sécurité nocturne s’en trouva conforté. Quant aux intéressés, ces quatre femmes apparemment disponibles leur ouvraient de vastes perspectives pour finir la nuit en beauté loin de leurs épouses ou compagnes. Si la petite jeune aux cheveux longs avait évidemment leur préférence, les trois autres, la rouquine et les deux brunes, leur paraissaient éminemment baisables dans la fièvre du samedi soir.
Après danses, parlotte, pelotages et sous-entendus, quatre hommes robustes furent invités à « boire un pot » chez Marjorie pour « finir la soirée », l’hôtesse ne faisant pas mystère de son attirance envers un brigadier trapu, pas beaucoup plus grand qu’elle. Ils s’étaient roulé des pelles sur la piste de danse et il était clair qu’ils allaient baiser ensemble. Delphine et Marianne se montraient aussi, l’alcool aidant, de plus en plus excitées, et se laissaient peloter en gloussant.
Camille tenait encore à distance le quatrième larron un grand brun aux yeux bleus, mais elle commençait à ressentir les signes du désir sexuel. Ses seins lui faisaient mal, elle réprimait difficilement l’envie de remuer les hanches et elle mouillait son string. Elle comprit alors qu’elle allait vivre la première partouze de sa vie. À vingt-huit ans, il était peut-être temps d’en arriver là. De toute manière, son jeune corps ressentait une furieuse envie d’être visité par un organe mâle et au fond, peu importait lequel puisqu’ils étaient plusieurs et puisque ce ne serait que le temps d’un soir. Elle était en outre curieuse de voir à l’œuvre ses collègues matures dans le sexe et d’entrer ainsi dans leur intimité comme une assurance tous risques pour son avenir à son poste.
À peine le petit groupe était-il arrivé chez Marjorie que celle-ci sortit quelques bouteilles et verres, laissa ostensiblement une boîte de préservatifs sur la table basse et entraîna, sans boire, son brigadier vers sa chambre, comme une urgence. Il restait deux fauteuils et un canapé qui accueillirent illico trois couples. Camille hérita du grand brun et répondit à son baiser, consciente qu'elle était arrivée à un point de non-retour. Son dos nu et sa jupette furent prestement retirés par le grand brun qui l’allongea sur le canapé et la dévora des yeux comme pour savourer à l’avance sa chance de posséder un canon pareil. Les cris de plaisir de Marjorie avaient franchi la porte de sa chambre, donnant le ton des ébats à venir.
L’inquiétude de Camille était maintenant de savoir si l’homme allait la satisfaire. Elle restait sur un rapport décevant deux mois plus tôt avec un mec qui avait éjaculé au bout de cinq minutes. Elle fut en partie rassurée lorsque le grand brun libéra une tige longue, fine et rigide qu’elle s’empressa d’encourager de la langue. L’homme avait retiré son string et la masturbait en même temps. Elle avait presque oublié le contexte de ses ébats et fut étonnée, avant de passer au concret, de découvrir que ses collègues l’avaient précédée. Entièrement nue, pieds au sol, la chevelure rousse en désordre, Delphine s’empalait dos à son partenaire assis dans le fauteuil, révélant à Camille son corps d’albâtre et son pubis roux, cavalant et ondulant, le visage irradié de plaisir, s’exclamant quand la bite avait touché un endroit particulièrement sensible. Juste à côté, le regard de Camille tomba sur le cul poilu du troisième larron, un homme grisonnant, qui pilonnait par-derrière Marianne, à genoux sur le fauteuil, couinant à chaque coup de bite.
Fascinée, Camille ne s’était pas aperçue que le grand brun était à genoux et la léchait. Elle s’abandonna au délicieux cunni tout en regardant baiser ses collègues, consciente qu’elle vivait un moment rare. Quand Marianne changea de position pour venir s’empaler et tressauter sur le membre épais de son partenaire circonstanciel, Camille ressentit un triple orgasme visuel, auditif et vaginal, la langue du grand brun accompagnant le choc de voir et d’entendre l’ex-assistante de direction proclamer un véritable hymne à la bite à grand renfort de mots crus accompagnés de frénétiques mouvements de fesses soulignés par son épais pubis brun. « Toi ma gaillarde, je te tiens en laisse maintenant », se dit Camille, tout en maintenant la nuque du grand brun sur son giron en s’abandonnant à la jouissance.
Puis le besoin et l’envie d’être pénétrée l’envahissent irrésistiblement. Sommé de passer à l’acte, le grand brun l’allongea sur le canapé, lui mit une jambe sur le dossier et l’enfila en regardant son corps parfait. Camille l’accompagna avec toute l’énergie d’une fille de vingt-huit ans en bouillonnement hormonal, ruant, s’exclamant, savourant sa chance d’être bien baisée, procurant à son partenaire d’un soir un plaisir inouï. Ils utilisèrent toutes les possibilités du canapé, le meilleur outil de l’amour. Camille laissa dans le dossier la marque de ses dents lorsque, sodomisée, elle réprima un double cri de douleur et de plaisir en découvrant l’orgasme anal. Elle remercia son amant en l’embrassant goulûment, découvrant avec ravissement qu’il bandait toujours pour elle.
Dans son extase, elle ne s’était pas aperçue que ses collègues n’étaient plus dans la pièce, mais avaient rejoint la chambre de Marjorie avec leur chevalier servant. Le grand brun l’y entraîna à son tour, la bite en avant. Les trois couples occupaient l’entièreté du lit dans un méli-mélo où il était à peine possible de savoir qui baisait avec qui. Les culs remuaient, les pieds s’agitaient, les mâles grognaient, les femelles couinaient. Impossible de trouver une place dans ce corps à corps. Le grand brun positionna Camille en lui faisant mettre les mains sur la tête de lit, pieds au sol et la pénétra en fléchissant les jambes. Camille fut à nouveau voyeuse et baisée en même temps, fouillée, creusée et ramonée tout en ne perdant rien du spectacle rare qui se déroulait devant ses yeux.
Longtemps plus tard, Camille devait se remémorer cette nuit exceptionnelle en considérant ses collègues concentrées sur leur ordinateur, pianotant sur leur clavier les lunettes sur le nez, très pros. À se demander si elle n’avait pas rêvé de les avoir vues écartelées, pilonnées, talonnant les reins de mâles en rut pendant qu’elle-même, Camille, se laissait fouiller en levrette par le grand brun, le regard hypnotisé par la scène torride qui se déroulait devant elle sur le lit dévasté.
En regardant la crinière rousse de Delphine devant son PC de travail, le souvenir de la même Delphine prise par trois types en même temps, par le sexe, par le cul et par la bouche, devant Marjorie et Marianne en train de se masturber, frappa Camille au bas-ventre. Elle avait joui à ce spectacle à la tête du lit et le grand brun avait éjaculé dans sa capote derrière elle. Celui-ci serait passé à sa portée à ce moment précis qu’elle l’aurait entraîné dans son bureau pour un coup vite fait.
Depuis cette fameuse nuit, l’envie de baiser ne la quittait plus et ce n’était pas la moindre victoire de ses collègues libertines. Elle faisait désormais partie de leur groupe avec l’avantage d’être plus jeune et donc plus désirée. Il lui suffisait de lever le petit doigt pour arriver à ses fins, mais sans toujours être vraiment satisfaite. Au fond d’elle-même, l’idée de connaître la même expérience que Delphine la tenaillait, sans toutefois passer à l’acte. Mais tout en vivant pleinement sa sexualité de jeune femme libre et jolie, son habileté fut de ne pas céder au patron, laissant ce privilège à Marianne qui lui en fut reconnaissante.
Dans les semaines qui suivirent, le groupe des libertines fut renforcé par deux nouvelles recrues : la pulpeuse Agnès, qui avait enfin cédé à son dragueur, Christian, lequel l’avait initiée au « vrai sexe » et bouleversé sa sexualité endormie, mais aussi la DRH, Nadine. Maîtresse occasionnelle de Fabien, elle avait décidé que le boulot n’était plus son seul horizon et qu’il était grand temps de vivre pleinement sa « vie de femme », manière polie de dire qu’elle allait désormais baiser le plus souvent possible.
La bande à Marjorie lui offrait de plus vastes perspectives que le solo. En séparant évidemment le travail et le plaisir. Ce qui n’allait pas tarder.
À suivre