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n° 21818Fiche technique19875 caractères19875
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Temps de lecture estimé : 14 mn
05/06/23
Résumé:  Après avoir enfin goûté aux plaisirs charnels avec K, je me demande ce qui se passe entre nous et comment va évoluer notre relation. K m’apporte une réponse à laquelle je ne m’attendais pas.
Critères:  fh jeunes copains hépilé école hsoumis fdomine hmast hdanus hgode init -initiat
Auteur : Victor Ward            Envoi mini-message

Série : Initiation en colocation

Chapitre 04 / 04
Tel est pris

Résumé des épisodes précédents :

Je suis surpris en pleine masturbation par ma colocataire. Celle-ci joue avec mon inexpérience et m'initie aux plaisirs du sexe, mais garde le contrôle. Mon initiation ne se passe pas comme je l'aurais espéré et je découvre des aspects de ma sexualité que j'ignorais complètement.




Ses dernières paroles me laissaient pensif, une fois de plus. Après un moment de silence, elle me renvoya dans ma chambre, prétextant vouloir dormir.

Après tout ce qui c’était passé, j’eus bien sûr de la peine à trouver le sommeil.


Durant les jours qui suivirent, je ne savais pas comment me comporter. Détachée, K le remarqua et après un certain temps et décida de crever l’abcès :



Sur ces mots, elle quitta la pièce et s’enferma dans sa chambre.

J’avais un peu avancé, et plutôt dans le bon sens, même. Mais je n’avais pas réussi à initier un rapport sexuel et c’était là que se trouvait mon blocage. En contrepartie, je savais que j’aurais droit à quelques moments chauds avec elle. Ça restait l’essentiel, même si j’aurais voulu être plus actif et prendre la suite à mon compte.


Pendant deux jours, il ne se passa rien, manifestement K était très occupée. Elle rentrait tard le soir et s’enfermait dans sa chambre. Le matin, on se croisait entre la cuisine et la salle de bain, entre un café et une brosse à dents. Les examens approchaient et les journées à la bibliothèque étaient longues pour elle comme pour moi.


Trois jours après notre discussion, nous étions tous les deux de plus en plus absorbés par nos révisions. Je commençais à faire une croix sur la suite de nos aventures ou en tout cas les remettre à plus tard. Pourtant, ce soir-là, nous ne nous étions pas vus. J’étais rentré avant elle, j’avais mangé seul et étais retourné dans ma chambre. Je m’étais effondré dans mon lit sans l’entendre rentrer. Je m’étais réveillé au milieu de la nuit, encore habillé, la lumière allumée. J’avais la tête dans le brouillard, j’avais dormi profondément et ne savais plus l’heure qu’il était. Je me suis levé, je me suis déshabillé et me suis dirigé vers la salle de bain pour me laver les dents. L’appartement était plongé dans l’obscurité et le silence le plus total. J’entrai dans la salle de bain et commençai ma toilette.

Soudain la porte s’ouvrit et K se glissa dans la salle de bain.



Ses mains parcouraient mon torse nu, excitant par moment mes tétons. Je ne tardai pas à réagir et sentis rapidement mon sexe se gorger de sang. Ses mains descendirent jusqu’à ma taille et se glissèrent dans mon caleçon. Elle sentit mon début d’érection et s’en réjouit.



Elle dit cela en riant et en me masturbant. Cette fois, je bandais sérieusement, elle me tenait et elle le savait.



En disant cela, elle saisit doucement mes testicules pour me faire comprendre que derrière les formes, il y avait un ordre.


Je la suivis donc à travers l’appartement jusque dans sa chambre, précédé par une solide érection. Arrivée dans sa chambre, elle me poussa sur son lit où je me retrouvai couché à plat ventre. J’allais me retourner quand elle me dit :



J’étais interloqué, mais je m’exécutai.



Sans réfléchir, je fis ce qu’elle me demandait, ce n’est qu’une fois à quatre pattes sur le lit que je réalisai dans quelle position je venais de me mettre.



Je sentis ses mains se poser sur les fesses, les écarter et son souffle dans ma raie. Puis sa main passa dans celle-là. C’était bon, mais assez perturbant. Pas totalement nouveau non plus, je m’attendais à ce que K me pénètre à nouveau avec ses doigts. La première fois avait été une surprise et une découverte, pas franchement désagréable, mais je gardais un certain blocage. Si ça ne tenait qu’à moi, je ne réitérerais pas l’expérience. Un de ses doigts commença à agacer mon anus.



Elle n’avait pas tort. Elle imbiba son doigt de salive et commença à forcer un peu. La pulpe de son doigt faisait de petits allers-retours et je commençais à céder.



Je sentis son doigt s’enfoncer. Elle attendit un instant puis le retira avant de me pénétrer à nouveau. Cette fois, j’étais plus détendu et elle put l’introduire sans difficulté. Elle commença alors quelques lents va-et-vient. Je commençais à prendre beaucoup de plaisir et je gémissais. Je tendis ma main pour saisir ma queue, mais elle m’en empêcha.



Elle synchronisait ses gestes, une main me pénétrant, l’autre me massant les couilles. Je me sentais délicieusement excité, avec une très forte érection.


Elle tournait son doigt en moi et mon anus se dilatait progressivement.



En disant cela, elle saisit ma queue et me branla doucement.



Comme je ne répondais pas, elle insista en se penchant vers mon oreille :



Ça faisait mal et j’eus un geste de recul.



Elle s’éloigna un peu et fouilla dans une armoire. Elle revint avec ce qui devait être du lubrifiant, car je sentis ses doigts gras et froids se poser à nouveau sur ma rondelle. Une légère poussée et elle put les rentrer facilement.



Ses doigts restèrent quelques secondes au fond de moi avant de se retirer doucement. Elle les laissa cependant en moi et les enfonça à nouveau. Pendant près d’une minute, elle poursuivit ses va-et-vient puis commença à tourner doucement ses doigts alors qu’elle les enfonçait. Je les sentais vriller en moi alors que je me dilatais de plus en plus.



En disant cela, elle appuya d’une main sur mes épaules. Je me retrouvai la tête enfoncée dans le matelas, les fesses en l’air. C’était un peu humiliant, mais j’étais surtout très excité. Mon gland était hyper sensible, même si personne ne le touchait. Tellement sensible que je tendis une nouvelle fois ma main pour me saisir de ma queue et me branler.



En disant cela, ses doigts se promenaient sur mon périnée, le caressant légèrement. Les sensations étaient folles et je ne pouvais m’empêcher de remuer les fesses. Je l’entendis rire, doucement. Elle insista et son massage devint plus marqué alors que les doigts de son autre main continuaient à me forer. D’ailleurs, ils me pénétraient désormais beaucoup plus vite et je ne sentais plus aucune gêne, ce n’était que du plaisir.


Après avoir massé mon périnée, K se saisit de mes couilles et je sentis sa main me les compresser légèrement. Je ne pus retenir un long gémissement. Comme pour beaucoup d’hommes, c’est un point très sensible de mon anatomie. Physiquement, mais aussi psychiquement, la crainte de la douleur est gravée en moi. Je réagis au quart de tour dès que l’on me touche les testicules, même avec la plus grande douceur. Je resserrai donc les jambes et essayai de me défaire de son emprise, mais elle ne me lâcha pas.



Je me détendis un peu et essayai de me laisser aller à ses caresses. Elle me massait doucement les boules, les faisait rouler. Entre ses doigts, elle en prenait une, puis l’autre, les serrant doucement alternativement. Ses doigts dans mon fondement avaient cessé de me limer et se concentraient désormais sur ma prostate, la massant légèrement. J’étais en transe, je me tortillais de plaisir et j’étais pris de tremblements. Une chaleur montait en moi, partant de mon bas-ventre et remontant tout le long de ma queue. J’avais l’impression que mon gland allait exploser alors qu’il ne subissait aucune stimulation. Je soufflais et je gémissais, j’avais complètement perdu pied. Alors la main qui me tenait par les couilles remonta le long de ma hampe et me caressa le gland.



Elle passa alors ses doigts devant mes yeux et je pus voir qu’ils étaient effectivement couverts d’un liquide gluant et transparent.



C’était plus une affirmation qu’une question et j’étais d’ailleurs incapable de répondre, car en prononçant ses mots, elle me fit sucer ses doigts et goûter à mon liquide séminal. Quand elle les retira, ils étaient cette fois recouverts de ma salive et elle s’en servit pour me branler. Très rapidement, je lui dis :



Elle cessa alors sa masturbation.



Elle s’éloigna alors et me laissa seul sur le lit, à quatre pattes, l’anus dilaté et la bite dure et dégoulinante. Frustré, humilié, une fois encore.



Assis sur le lit, je la vis traverser la chambre et fouiller dans son armoire. Elle en sortit un gode-ceinture. Un harnais de cuir noir sur lequel était monté un gode de taille modeste.



En disant cela, elle avait enlevé son t-shirt et s’approchait de moi, désormais vêtue de son seul string.



Je profitais du moment et l’enlaçai tout en léchant avidement ses seins. Pendant ce temps, elle enfila le harnais et quand je m’écartai de sa poitrine, je me retrouvai face au phallus en latex et pus en apprécier plus précisément les dimensions. J’allais à nouveau protester, mais n’en eus pas le temps, elle me repoussa et dit :



J’hésitais et elle me poussa et sans trop résister, je me retrouvai couché sur le ventre. Elle se plaça alors derrière moi et me prit par les hanches.



Je me laissai faire et sans reconnaître que j’en avais envie, je me retrouvai en levrette sur le lit. Je sentis alors qu’elle passait ses doigts enduits de lubrifiant sur ma raie et enfonça à nouveau un doigt. Je soupirai.


K retira son doigt et je sentis alors quelque chose de plus dur, de plus large sur mon anus. Comprenant qu’elle allait me sodomiser, je me contractai. Elle le remarqua.



Je n’en fis rien.



Ses paroles à la fois crues et bienveillantes semaient le plus grand trouble en moi. Au fond de moi, j’en avais envie, mais quelque chose d’inconscient m’empêchait de me laisser aller. Mes réflexions furent interrompues quand je sentis le gland de latex appuyer à nouveau contre mon anus. Cette fois avec plus de force. Une main de K me tenait une hanche et me tirait vers elle. Je sentais mon orifice s’ouvrir malgré ma résistance. Je sentis sa main quitter ma hanche et pensai que j’avais gagné la bataille et sauvé la virginité de mon cul. Alors que je me détendais un peu, cette main s’abattit sur mes fesses et claqua de manière sonore. Je poussai un gémissement de surprise et au même moment K donna un petit coup de reins. Cela suffit à faire entrer le gland du gode, juste quelques petits centimètres.



J’étais sous le choc, ce n’était pas la douleur, mais la surprise. Mon cerveau ne comprenait pas ce qui se passait. J’étais en train de me faire sodomiser. La sensation était étrange, loin d’être désagréable cependant. Le gode avait un diamètre sensiblement plus large que les doigts et K et je me sentais rempli.



Parole performative, je sentis au même moment le gode s’enfoncer plus profondément en moi. La sensation d’être rempli devenait encore plus forte, lentement, centimètre par centimètre. Puis, elle s’arrêta et se pencha sur moi. Je sentis ses seins s’écraser dans mon dos et elle me murmura à l’oreille :



Elle se retira lentement, j’ai cru qu’elle allait me libérer, mais non, le gode resta dans mon anus et toujours lentement, elle me pénétra à nouveau, et recommença, de plus en plus vite.



J’étais décontenancé par ses propos, mais ça avait peu d’importance, je commençais vraiment à prendre du plaisir à sentir le gode coulisser en moi. Ses mouvements étaient lents et profonds, ses mains me tenaient fermement par les hanches et je gémissais. Plus elle me baisait et plus je me détendais, prenant encore plus de plaisir.


Soudain, elle donna deux coups de reins plus forts et plus profonds, je sentis son pubis frapper contre mes fesses. Je ne pus retenir un cri à la fois de plaisir et de surprise. Le gode avait appuyé plus fortement sur ma prostate, lançant un éclair tout au long de ma queue. Contente de son effet, elle recommença et dit :



Malgré les propos humiliants, j’étais très excité, je commençais d’ailleurs à bander très dur. Mon érection s’était ramollie avec la pénétration, mais cela ne m’empêchait pas de ressentir des sensations incroyables dans mon sexe. Je le saisis et commençai à me masturber. Elle le remarqua, se retira et me demanda de me retourner. Je sentis comme un vide entre mes fesses.



Je me retrouvai allongé sur le dos, elle se plaça entre mes jambes qu’elle releva. Elle pointa à nouveau le gode sur mon anus et me pénétra d’un seul trait qui me fit soupirer. Une fois bien au fond de moi, elle commença à aller et venir et se pencha vers moi pour m’embrasser à pleine bouche. Mon sexe dur était collé contre son ventre, elle le sentit. Se détachant de moi, elle me dit :



Elle saisit ma queue, se pencha et laissa couler un filet de salive sur sa main. K commença alors à me branler en synchronisant sa main avec ses coups de reins. Je n’en pouvais plus, les sensations étaient incroyables, je ne comprenais plus d’où venait le plaisir, de mon cul, de ma bite, tout mon bas-ventre était en feu. Elle accéléra encore ses mouvements et je gémis que j’allais jouir.



Je me laissai aller et mon sperme jaillit avant de venir s’écraser sur mon ventre. Un jet, deux jets, trois jets, ils étaient épais et conséquents. Cessant de me masturber, K continua cependant de lents va-et-vient dans mon fondement et j’avais l’impression que mon sperme s’écoulait désormais en continu. Je fermai les yeux et soupirai. J’étais vidé, dans tous les sens.


K vint se coucher sur moi et m’embrassa tendrement.



Elle sourit et posa sa tête sur mon épaule. J’étais sur un petit nuage, moitié assoupi.

Quelques minutes plus tard, je repris conscience quand K se leva pour aller se laver. De retour dans sa chambre, elle m’invita à en faire de même.

Quand je sortis de la salle de bain, la porte de sa chambre était fermée. Je compris et allai me coucher dans la mienne.


Le lendemain, je ne l’ai pas vue. Quand nous nous sommes recroisés, nous étions tous les deux très pris par nos examens et n’avons pas reparlé de cette nuit-là.

Tout s’enchaîna très vite ensuite, la fin des examens, la fin du semestre puis les vacances. K déménagea rapidement et sans que nous recommencions nos frasques.


Quand je suis rentré de vacances, elle n’habitait plus là. J’étais un peu triste. Quelques jours plus tard, je reçus un mail de sa part. Elle me disait avoir apprécié notre collocation et ses à-côtés. Qu’elle avait vu l’occasion de réaliser un fantasme et qu’elle espérait que je ne me sentais pas trop utilisé. Elle estimait cependant que j’avais eu ma part, ce que je ne pouvais que reconnaître.


C’est sur quelques banalités numériques que se termina mon initiation sexuelle, pourtant peu banale, elle !