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Temps de lecture estimé : 9 mn
08/05/23
Résumé:  Après une séance d’épilation qui a dérapé, ma colocataire décide de poursuivre mon initiation. Pour mon plus grand plaisir.
Critères:  fh jeunes hsoumis fdomine voir pénétratio init -prememois -initiat
Auteur : Victor Ward      Envoi mini-message

Série : Initiation en colocation

Chapitre 03 / 04
Dans sa chambre

Résumé des épisodes précédents :

Ma colocataire a décidé de prendre en main mon initiation sexuelle et elle joue avec moi. Elle m'a d'abord surpris en pleine masturbation avant de décider de m'épiler le sexe et les fesses. Cette épilation a été pimentée de quelques caresses qui ne m'ont pas laissé indifférent.




J’étais encore un peu déboussolé et me rhabillai tranquillement dans ma chambre. Une nouvelle fois, je ne savais pas si je devais me réjouir ou me plaindre de ce qui c’était passé. J’étais vierge, je n’avais pas d’expérience avec les femmes et je me retrouvais entre les mains de ma colocataire qui prenait plaisir à jouer avec moi. Je n’avais pas à me plaindre, elle me donnait du plaisir, elle m’avait fait jouir comme jamais je n’avais joui auparavant. Mais je n’avais pas l’impression de maîtriser la situation et je m’étais à deux reprises retrouvé dans une situation passive.

J’en étais là de mes réflexions quand elle me rappela :



Après tout, qu’est-ce que j’avais à perdre ? Encore un peu de dignité ? Peut-être. Mais en vingt-cinq ans, c’était tout de même K qui m’avait offert mes seules expériences sexuelles, je n’étais pas en position de faire le fier. Autant aller au bout de la démarche, une telle occasion ne se présenterait peut-être pas de sitôt.

Je sortis de ma chambre pour me diriger vers la sienne. La porte était entrouverte, la lumière tamisée. J’entrai et vis K couchée sur son lit, elle m’attendait.



Elle dit cela en riant et je perdis le peu de confiance en moi que j’avais pu rassembler.



Son langage cru me mettait mal à l’aise et je n’avais pas vraiment prévu de discuter de fonctionnalités anales des hommes et des femmes. Mais je devais bien reconnaître qu’elle avait raison. Nous étions étudiants et on aurait pu disserter longtemps sur la symbolique de la pénétration ou sa construction sociale, mais je me sentais sur un terrain mouvant et préférai voir la tournure qu’allait prendre notre discussion. J’étais à la fois curieux et un peu excité à nouveau.



J’hésitai un peu, mais finis par le rejoindre sur son lit. Elle portait un simple t-shirt blanc, sans rien dessous, ça se voyait. Et un bas de survêtement. Rien de très sexy en soi, mais la situation la rendait très désirable.



J’étais très gêné et je ne savais que répondre. Je n’osais même pas la regarder. Pourtant, je n’avais pas de fantasmes inavouable, rien que du très classique. Après toutes ces années de frustration, du sexe très classique m’aurait rempli de joie.



Elle avait vraiment décidé de ne pas me ménager, je devais me lancer.



En disant cela, elle se rapprocha beaucoup de moi. Je sentis son corps se coller contre le mien. Je commençai même sentir ses seins s’écraser contre moi. Elle ne portait pas de soutien-gorge. Cette sensation m’excita et je recommençai à bander. Sa main se posa sur mon ventre et elle me caressa lentement.



Je lui obéis.



C’est quand elle m’a balancé ça que j’ai pris conscience que tout était vrai. Que mon entrée dans la sexualité était non seulement tardive, mais totalement tordue et que je n’avais rien choisi. Je n’avais pas vraiment de regret, mais je n’en étais pas fier. J’étais perdu dans mes pensées quand elle poursuivit :



En disant cela, elle saisit ma queue à travers mon short et commença à me branler.



J’étais déjà en train de soupirer dans sa main.



Elle enleva son t-shirt et je pus revoir ses seins que j’avais déjà vus de près. En deux temps trois mouvements, elle était nue à côté de moi, ayant fait valser son pantalon. Je l’admirais, sans doute bouche bée, c’était la première fois que je voyais une femme nue. Elle s’en est amusée en prenant un air exaspéré :



Je me suis exécuté et j’ai baissé mon short pour exhiber une énorme érection. Elle m’a regardé et m’a dit :



Je me suis retrouvé étendu sur le dos. Elle m’a alors chevauché. Je voyais son vagin épilé à quelques centimètres de ma queue dure et gonflée. Elle l’a saisie et l’a pointée vers l’entrée de sa chatte. Je tremblais d’impatience et d’excitation. Doucement, elle est descendue sur mon membre. J’ai senti une chaleur humide entourer mon sexe. C’était délicieux, incroyable. Couché sur le dos, j’avais les yeux rivés sur son vagin qui était en train d’avaler mon sexe. En levant mon regard, j’ai vu qu’elle aussi était en train d’observer cette pénétration, puis ses yeux se sont plantés dans les miens.



Elle posa cette question au moment même où ma bite était totalement entrée en elle.



En disant cela, elle commença des va-et-vient, lents. Je la voyais monter et descendre. Mes yeux se sont posés sur ses seins qui ballottaient en rythme. Elle était magnifique. Je sentais ses mains sur ma poitrine qui appuyaient de plus en plus fort. Son rythme s’est accéléré et je la sentais coulisser sur toute la longueur de mon sexe.



J’ai grogné une réponse, je ne pouvais pas faire beaucoup plus, toute mon attention et mes sensations étaient concentrées dans mon sexe qui connaissait pour la première fois cette sensation de chaleur et de douceur.


Elle se pencha sur moi et m’embrassa à pleine bouche. Sa langue s’enfonçait profondément dans ma bouche et je sentais ses seins qui s’écrasaient contre ma poitrine. Son bassin frappait presque contre le mien. Je commençais aussi à bouger, essayant d’enfoncer ma bite au plus profond d’elle.



Elle se redressa, elle prit mes mains et les posa sur ses seins que je commençai à pétrir. J’étais aux anges, incapable de réaliser ce qui m’arrivait.



Je me retrouvai avec son divin fessier sous les yeux, mon sexe pointant fièrement vers sa chatte. Il y a encore une heure, je n’aurais jamais pu croire cela possible. En ce laps de temps, j’étais passé de puceau rentrant de son footing pour gérer sa frustration à une sorte de soumis dont on doigte le cul jusqu’à l’orgasme pour être désormais derrière une femme offerte, prêt à la pénétrer. Mon cerveau n’arrivait plus à suivre, mais heureusement, mon sexe prenait le relais. Bandant comme taureau, je posai mes mains sur les hanches de K et m’approchai de sa chatte. Quelle sensation de pouvoir pénétrer quelqu’un ! Je regardai ma bite entrer dans cet antre chaud et me régalai du spectacle. Je profitai de chaque centimètre. Un peu trop au goût de K :



Je suivis donc ses ordres et mes pulsions et m’enfonçai en elle avant de ressortir. C’était incroyable, jamais ma queue n’avait été prise dans une étreinte si douce et chaude à la fois. Serrée, mais pas trop. Je commençai de va-et-vient, fixant ce cul que je tenais entre mes mains. J’étais au paradis, mais rapidement, le paradis me rattrapa et je me retrouvai au bord de l’orgasme. Je me retins et ralentis mes mouvements. K s’en aperçut et m’encouragea :



À ces mots, je donnai encore deux puissants coups de reins et éjaculai en elle. J’étais submergé de plaisir. J’allais me retirer, mais elle me dit :



Et alors, elle plaqua ses fesses contre mon bassin, passa une main entre ses jambes et commença se caresser le clitoris. De temps en temps, ses doigts frôlaient mes couilles, en réaction, je lui donnais de légers coups de bassin.


Soudain, elle s’est cambrée et j’ai senti sa chatte se serrer autour de ma queue. Elle a joui en soupirant.

Je me suis retiré et je me suis couché sur le dos. Elle est venue se blottir dans mes bras. Je me sentais mieux que jamais, un sourire béat scotché sur mes lèvres.