n° 21833 | Fiche technique | 16214 caractères | 16214 2772 Temps de lecture estimé : 12 mn |
10/06/23 |
Résumé: Après les premières réunions à l’agence immobilière, Thomas d’Accourt part comme prévu en déplacement mais reste en contact avec Claire... | ||||
Critères: f fh frousses inconnu collègues travail telnet voir exhib vidéox fmast entreseins fellation anulingus 69 | ||||
Auteur : Lovefurs Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : L'agence immobilière Chapitre 04 / 04 | FIN de la série |
Résumé des épisodes précédents :
Les réunions à l'agence se sont enchainées dans une ambiance… coquine.
Comme prévu, en début de la semaine suivante, je m’échappe à l’étranger dans le cadre de mon travail. Direction Rome pour la cinquième fois en deux ans. Certes, ce n’est pas le bout du monde, mais cette destination me permet, lorsque mon patron m’y envoie, de passer de bons moments. Les bureaux de l’antenne Italienne de mon entreprise sont plutôt bien placés au cœur de la ville et peuplés de jolies collaboratrices. En parcourir les couloirs, c’est un peu comme assister à un défilé de haute couture. Ce qui n’est pas pour me déplaire, surtout en ce mois de décembre où mes collègues n’hésitaient pas à porter de belles fourrures afin de se protéger du froid. Une veste courte en racoon sur un pantalon moulant taille haute surmonté d’un chemiser en satin à la compta, une robe en cuir dissimulée sous un blackglama à la logistique ou encore une DRH emmitouflée dans un énorme manteau de zibeline, tout était un régal pour mes yeux de fétichiste. Je me demandai même si le directeur local ne recrutait pas son personnel en priorisant le physique et le style.
Bien évidemment, comme au siège Aixois de mon groupe, je ne me faisais pas prier pour coucher avec la gent féminine locale dès qu’une occasion se présentait. Une petite réputation de charmeur ou de baiseur me précédait même, en fonction des services, ce qui avait le don d’exaspérer gentiment les mâles de la boite.
De généreux frais de mission me permettaient de louer de confortables appartements sur une plateforme internet bien connue, lors de mes déplacements chez nos voisins transalpins. Jamais le même afin de ne pas me sentir comme à la maison. Un peu comme si j’étais en vacances.
Un soir, préparant mon rendez-vous du lendemain matin, affalé sur mon lit, une notification me signala la réception d’un message de Claire, la rouquine de RDK Immobilier :
Heureux de recevoir ce texto de ma jolie conseillère, je terminais en quelques minutes l’étude de mon dossier avant de lui répondre :
Quelques jours passèrent, l’esprit accaparé par le gros chantier que nous étions en train de mettre en place. Les réunions et les visites du site s’enchainaient. Je sympathisais rapidement avec plusieurs représentants des entreprises partenaires du projet. La tenue bottes en caoutchouc et casque mettait tout le monde sur un quasi pied d’égalité.
Un vendredi après-midi, une cérémonie fut organisée pour la pose de la première pierre. Les godillots boueux et les casques avaient laissé place aux costumes et aux belles toilettes. Lors du traditionnel vin d’honneur qui concluait les festivités, je me retrouvais à deviser avec Vanessa, la responsable d’un bureau d’étude avec qui nous travaillions. Je la connaissais depuis de longs mois mais les circonstances et les tenues dans lesquelles nous nous étions croisés ne m’avaient jamais invité à imaginer quelque chose d’autre qu’une relation professionnelle.
Mais là, en civil, sa beauté me sautait au visage, quelque chose en elle m’attirait sexuellement. Sa ressemblance avec Claire était flagrante. Sa crinière rousse, ses seins qui paraissaient lourds et ce même regard mutin derrière ses lunettes me donnèrent une idée. Et si c’était elle que je baisais en live devant Claire… ?
Je passais le reste de la soirée à tenter de la charmer, notamment en la complimentant sur le choix de sa tenue et en particulier son manteau de fourrure. Puis, ne voulant pas précipiter les choses, je lui fis comprendre que j’apprécierais si elle acceptait qu’on se revoie hors du contexte professionnel. Elle accepta que l’on dine ensemble le lendemain soir mais insista pour que ce soit dans un endroit discret sans m’expliquer pourquoi. Elle acquiesça aussitôt lorsque je lui proposai d’organiser ce repas à mon appartement.
De retour à mon logement, je m’empressai d’envoyer un message à Claire :
Le samedi fut consacré au rangement de l’appartement et à la préparation du repas. Un filet mignon avec une sauce au foie gras étaient au menu. Tout le monde raffole de la cuisine française, même les Italiennes. L’heure du RDV approchait, je vérifiai que l’angle et le zoom de la webcam étaient bien réglés en direction du canapé et je démarrai la visio en coupant le son et la vidéo entrante.
Quelques instants après, l’interphone retentit me prévenant de l’arrivée de Vanessa. Lorsque j’ouvris la lourde porte en bois de l’appartement, une déesse du désir se tenait devant moi. Sa tignasse rousse tombait magnifiquement dans un contraste de couleurs sur ses épaules recouvertes d’une sublime étole de renard bleu. Son corps était moulé dans une robe en cuir rouge bordeaux qu’un lacet venait serrer au niveau de son décolleté laissant entrevoir la courbe de son imposante poitrine. Les bottes assorties à sa robe soulignaient parfaitement le galbe de ses jolies jambes. Il émanait de cette femme une classe certaine qui la rendait sexy.
Je l’invitai à entrer et lui fis faire le rapide tour du propriétaire afin de casser la glace et détendre l’atmosphère que je trouvais déjà chargée de désir. En nous positionnant bien face à la caméra, je lui proposai de la débarrasser de son étole mais elle préféra la garder en m’assurant qu’elle aimait beaucoup le contact des matières douces sur sa peau. Cette remarque me fit rougir d’autant plus qu’en disant cela elle avait caressé sa joue avec la fourrure en me fixant dans les yeux.
Nous nous sommes assis côte à côte sur le canapé afin de prendre un verre de vin en guise d’apéritif. Le vin blanc liquoreux éveilla nos sens rapidement. Les regards de plus en plus insistants de Vanessa suffirent à créer une bosse dans mon pantalon. Je la désirais et elle le savait. Ses yeux plantés dans les miens, elle posa sa main manucurée sur mon entrejambe et commença un massage appuyé afin d’augmenter encore mon désir pour elle. Toute à sa caresse, elle approcha son visage du mien et nos bouches se soudèrent dans un baiser chaud et humide. Je ne pouvais m’empêcher de jeter un œil régulièrement vers la caméra en espérant que le spectacle plaise à ma complice. Je ne dut pas être assez discret car Vanessa le remarqua :
Je me rendis compte que ma partenaire ne s’était pas dit que quelqu’un pouvait nous observer en direct, ce qui fit durcir encore plus ma verge.
Se prenant au jeu, les regards de la belle italienne vers l’ordinateur se firent de plus en plus nombreux. Elle se leva et vint s’asseoir sur mes genoux, dos à moi. Elle était vraiment superbe dans cette robe. Elle bougeait ses fesses sur moi alors que je la tenais par les hanches. Je caressai le cuir de sa tenue en glissant vers son ventre. Elle caressait ses seins à travers le doux tissu. Tantôt doucement, tantôt fort en les prenant à pleines mains. Elle se pencha en arrière, ce qui me permit à mon tour de prendre ses seins à pleines mains comme elle l’avait fait quelques instants auparavant.
Ma queue toujours emprisonnée dans mon boxer et mon pantalon venait taper contre son cul. Les seuls mouvements que m’autorisait notre position étaient des caresses et de sensuels baisers sur ses épaules et dans son cou. La sensation de la fourrure de son étole sur mon visage m’électrisait au plus haut point.
Elle prit mes mains dans les siennes et les fit descendre le long de sa robe. Arrivé au bas du vêtement, elle m’invita à caresser ses cuisses. Ses bas étaient d’une douceur incroyable. Elle se souleva un instant afin de retrousser légèrement le bas de sa robe, m’offrant ainsi l’accès au liseré de ses bas et surtout à son intimité qu’elle investit aussitôt de ses doigts afin d’en vérifier la lubrification.
Claire devait être aux anges en nous admirant à distance. Je l’imaginais en train de triturer sensuellement son joli clitoris et de malaxer ses gros seins.
Vanessa était vraiment chaude et je sentais qu’elle aimait vraiment le cul.
Je ne savais pas ce qu’elle avait en tête mais la situation m’excitait et je lui laissai volontiers la main en m’exécutant.
Toujours habillé, allongé sur la table comme demandé, je la vis s’approcher et venir se mettre à califourchon sur mon visage face à la caméra.
Sa mouille inondait mon visage et j’aimais ça. Ma langue passait de ses lèvres à son clito qui durcissait un peu plus à chaque fois que je le titillais.
Elle pétrissait ses seins à travers le cuir puis délaça doucement le décolleté qui s’ouvrit lentement. Une par une, elle sortit ses mamelles de leur carcan de manière impudique. Sans le savoir elle s’exhibait devant une inconnue. Cette pensée m’envahit l’esprit et mes ongles entrèrent un peu plus dans la rondeur de ses fesses.
Dégoulinante de mouille, elle s’extirpa de mon visage et me le lécha.
Cette petite toilette terminée, elle se réinstalla sur ma bouche mais cette fois-ci en « 69 ». Ma langue dans sa chatte et mon nez collé à sa rosette. Elle se pencha en dégrafant mon pantalon. Mon sexe, qui n’attendait qu’une telle libération depuis un bon moment déjà, jaillit fièrement lorsqu’elle descendit l’élastique de mon boxer.
Alors que je lapais avec bonheur son petit bouton, elle modifia légèrement sa position et écarta ses fesses avec ses mains pour me faire comprendre qu’une feuille de rose lui ferait le plus grand bien. Elle frissonna lorsque ma langue glissa sur la fine peau reliant son con à son anus.
De son côté elle saliva sur ma tige et mes boules avant de me prendre en bouche. Ses lèvres ourlées et sa langue de velours me donnaient l’impression d’être dans sa chatte. L’état d’excitation dans lequel elle m’avait mis depuis son arrivée allait m’empêcher de tenir très longtemps.
Elle arrêta de me sucer quand elle sentit mon sexe et le bas de mon ventre se contracter. Elle plongea sa main entre ses cuisses et enduisit ses gros globes de cyprine afin d’y faire coulisser ma queue.
Je ne sais même pas si elle avait terminé sa phrase quand un premier jet de sperme vint s’écraser sous son menton, rejoint rapidement par un deuxième. Elle se redressa aussitôt, s’asseyant encore plus fort sur mon visage. Dans un éclair de lucidité, elle dégrafa sa fourrure pour ne pas la souiller et regarda mon foutre couler lentement entre ses seins.
Je sentis le plaisir monter en elle. Elle étala ma semence sur ses seins et c’est quand elle tira fort sur ses tétons que sa jouissance explosa, inondant encore plus mon visage.
Les jambes flageolantes, elle se releva, alla juste devant l’ordinateur, mit du sperme sur le bout de ses doigts et les porta à sa bouche.
Claire devait être folle devant son écran. Je ne pensais pas que cette soirée serait aussi chaude. J’avais hâte de débriefer avec elle…