n° 21840 | Fiche technique | 14443 caractères | 14443Temps de lecture estimé : 11 mn | 14/06/23 |
Présentation: Quel excitation d’être partagée, d’être temporairement un objet de désir pour un inconnu. | ||||
Résumé: Mon chéri organise mon partage avec un libertin, les yeux bandés. | ||||
Critères: fh hplusag extraoffre candaul collection fsoumise contrainte intermast fellation pénétratio échange yeuxbandés confession -dominatio | ||||
Auteur : Maelys Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Offertes par nos compagnons Chapitre 01 / 03 | Épisode suivant |
Cela fait quelques semaines que mon chéri me parle d’un homme de notre région qui a envie de soumettre une femme consentante qui serait masquée de manière à ne rien voir et qui obéirait à tous ses désirs. Ce type de situations m’excite au plus haut point. Je lui fais part de l’excitation que le fait de m’imaginer à la merci d’un inconnu me procure. Comme à son habitude, après avoir recueilli mon assentiment, il me dit qu’il va s’occuper à satisfaire ce fantasme. Je l’aime, mon chéri ! Il me comprend si bien.
Dimanche matin. Marc s’est levé avant que je me réveille. Je suis humide. Sans doute un rêve coquin de fin de nuit. J’ai une grosse envie de sexe et je vire mon t-shirt pour me présenter toute nue dans la cuisine, histoire de me faire prendre tout de suite. Dans ce genre de situation, mon chéri bande instantanément et me prend immédiatement sur la table ou devant l’évier.
En riant, il me dit que je vais avoir besoin de garder des forces et qu’il ne me prendra pas, malgré l’envie qu’il a de me baiser. C’est ce matin qu’il va me livrer en pâture à cet inconnu.
Mon chéri choisit ma tenue. Il a sorti de l’armoire une parure rose qui met bien en valeur mes gros seins et mes hanches bien larges.
Il me tend une jupe en cuir qui m’arrive à mi-cuisses et un petit haut qui laisse ouvert de manière qu’on puisse voir mon soutien-gorge. Il termine avec des talons hauts et un manteau.
Nous montons dans la voiture et il me tend un masque qui me rend totalement aveugle et après un quart d’heure de route, il m’aide à sortir de la voiture après avoir passé sa main sous ma jupe dans ma culotte. Je suis déjà toute mouillée à l’idée d’être un objet de désir pour un homme que je ne connais pas. Il me tient par la main. Je suis tout émoustillée ne sachant pas où je me trouve. Il me fait monter un petit escalier et frappe à une porte. Il me lâche la main en me disant. :
La porte s’ouvre. J’entends une voix masculine. Je dirais que l’homme a entre soit cinquante et soixante ans.
Il me prend par la main, ferme, et j’imagine qu’il me dirige vers une grande pièce. Il retire mon manteau. Me voici debout dans une maison inconnue, n’y voyant rien et à la merci de cet homme mûr.
Sans un mot et sans préliminaires, il déboutonne mon petit haut. Je l’entends s’asseoir dans un fauteuil. J’imagine qu’il regarde mon soutien-gorge et mes gros seins qui sont prisonniers. Le fait d’avoir les yeux bandés facilite la création d’images. Cela me renvoie à la première fois où j’ai montré mon soutien-gorge à un homme très intéressé par les attributs féminins de sa camarade, la seule à être aussi bien dotée dans le groupe de copains à l’époque. Cet attrait pour l’interdit ! Ce goût pour l’inconvenant qui ne m’a plus jamais quitté ! Ce pouvoir que je sentais naître sur les hommes !
Je reviens vers mon mystérieux mateur qui doit prendre le temps de les imaginer tout en sachant qu’il peut me les mettre à l’air quand il le souhaite, ce qui m’excite.
Il me demande de me mettre à genoux. Pas très facile avec ma petite jupe en cuir très serré qui laisse voir mes jambes nues.
Je me place à genoux contre le fauteuil entre ses jambes et je sens son sexe tout durci dans son pantalon.
Il passe ses mains sur mes épaules et me retire le petit haut en tirant le vêtement par les manches. C’est vraiment très excitant de savoir qu’il peut mater ma poitrine, qu’il choisit de faire comme il veut pour me dévêtir et me soumettre à ses caprices.
Il dégrafe mon soutien-gorge et le retire. Me voici à genoux entre ses cuisses, les seins nus. Je sens l’air frais sur mes seins. Il me fait languir, car rien ne se passe. Je sens presque son regard scruter ma poitrine. Depuis toujours les hommes ont été attirés par ma grosse poitrine et ils n’ont qu’une idée en tête lorsqu’ils me voient, c’est de m’imaginer les seins à l’air.
Encore un souvenir dans ma tête. Celui du premier baiser et du pelotage en règle qui s’en suivit. Me voyant peu farouche, mon premier flirt avait soulevé les bonnets et admiré ma poitrine avant de pétrir mes seins tout nus devant un mec pour la première fois. J’avais adoré et lui aussi, d’après ce qu’il avait hélas raconté à ses amis, tout fier d’avoir vu les seins de Maelys, la fille que tous les garçons imaginaient nue au moment de se branler.
Ce faisant, il prend ma main et la place sur son pantalon entre ses cuisses. Je le branle, lui sans doute en train de mater mes seins. Il a choisi de faire durer le plaisir et de prendre son temps pour me consommer comme un produit dont Marc lui a fait la promotion.
Après avoir fait durer le plaisir, il passe sa main sur mes seins et il les pétrit, me tire les tétons et me caresse la totalité des globes. Cette sensation délicieuse me renvoie encore à mon premier pelotage en règle ! Mes seins ne durcissent que davantage !
Il me demande ensuite de me lever et de baisser ma petite jupe.
Je m’exécute. Ma culotte est le dernier rempart à ma nudité complète. Son regard se porte sûrement entre mes cuisses. Il prend le temps de déguster la vision, retardant d’autant le moment de découvrir le fourreau qui accueillera sa verge.
Il me demande de baisser ma culotte, ce que je fais.
Hormis mes chaussures et mon masque, me voici totalement nue devant lui. Il me prend par la taille et me fait placer à genoux de part et d’autre de ses cuisses sur le fauteuil.
Il me fait asseoir sur ses genoux, caresse mes cuisses et ma taille, pétrit mes fesses, différant la découverte manuelle de ma vulve. Il me demande de lever les bras et de placer mes mains derrière ma tête puis me donne quelques petites claques sur les fesses.
Il m’intime l’ordre de me lever. Il m’admire quelques instants sans doute. J’imagine son regard porté sur mon intimité. Je me sens mouiller.
Une autre image me revient en tête. Je me souviens d’un mercredi après-midi, un copain, beau garçon, m’avait raccompagnée chez moi, espérant sans doute bénéficier d’une faveur de ma part, comme de lui montrer mes seins, ma réputation ayant fait le tour du village.
Au moment d’arriver chez moi, je n’avais pu m’empêcher de le provoquer, sachant que j’avais la maison seule pour moi tout l’après-midi.
Nous avions discuté des couples qui se formaient et peu à peu la discussion avait glissé sur des aveux d’inexpérience nous concernant tous les deux.
Je me sentais mouiller et ses yeux brillaient.
Sa sœur venait d’accoucher et il m’avait fait part de son étonnement sur le fait qu’un bébé puisse téter de si petites choses (les tétons). J’avais saisi alors la balle au bond en évoquant le fait que nos tétons étaient plus gros que ceux des hommes. En disant cela, je les sentais d’ailleurs grossir sous mon soutif.
Il ne savait ou n’osait rien répondre alors je l’avais provoqué. Il n’attendait que cela.
Évidemment qu’il voulait voir ; il était là juste pour ça ! Il avait acquiescé. C’est avec un grand sourire que j’avais défait t-shirt et soutien-gorge. Ce fut Noël avant l’heure pour lui, surtout quand je n’opposai aucune résistance lorsqu’il posa ses mains dessus, pour découvrir sa première paire de seins. Il en eut bien plus !
Mes pensées vagabondes sont interrompues par la presque surprise du contact d’une main sur ma vulve.
Mon inconnu me donne confirmation de sa curiosité lorsqu’il me demande d’écarter les poils de ma chatte. Je sais qu’il pourra faire ce qu’il veut de mon sexe et j’écarte mes grandes lèvres. Je lui montre ce que j’ai de plus intime.
Ces doigts qui se promènent sur mes grandes lèvres, qui tirent mes petites lèvres et visitent l’entrée de mon vagin me renvoie à ce fameux après-midi avec mon beau copain qui sans ambages, après avoir joui de la découverte de mes seins, m’avait avoué n’avoir jamais vu de sexe féminin.
Curieuse et pas trop stupide, je lui avais rétorqué que je n’avais jamais vu non plus de sexe masculin. Sans chichis, il avait balancé son pantalon et son slip, me permettant d’observer mon premier mâle en rut. J’étais déjà avide et mes mains avaient parcouru son membre dressé et ses testicules tout durcis et recroquevillés. Il avait trouvé cette découverte très agréable, car, il s’était brutalement reculé, se pliant presque en deux, je le compris après, au bord de l’éjaculation au simple contact, certes fugace, mais néanmoins inquisiteur.
Devant ma réelle surprise face à cette réaction, il m’avait demandé de montrer à mon tour ce dont il retournait entre les cuisses des filles.
J’avais très envie de tout lui montrer et surtout que d’autres doigts que les miens lors de mes explorations nocturnes ou sous la douche, me parcourent la vulve. Je m’étais donc débarrassé donc aussi vite que lui de mon pantalon et de ma petite culotte en coton maculée de mouille, bien écarté les cuisses, afin que ses yeux brillants examinent le mystère d’entre elles. Ses manipulations, entre mes poils, en mes lèvres, étaient des plus agréables et je ne l’avais interrompu qu’au moment où il envisageait de me doigter, alors que seuls mon auriculaire ou un stylo me permettaient à l’époque de visiter tactilement mon vagin.
J’avais pris sa main pour la poser sur mon clitoris et saisi sa verge. Il avait juste fallu que je le décalotte pour qu’il lâche tout son sperme dans ma main. Souvenir d’un liquide poisseux, collant et blanchâtre qui ne m’avait pas laissé un souvenir impérissable, en tout cas moins que l’extase dans laquelle cet événement avait plongé mon copain.
Je suis rappelée à la réalité du moment quand, toujours assis dans son fauteuil, mon inconnu d’âge mûr me demande de me mettre à genoux au sol entre ses cuisses.
Il bande dur. Je découvre une queue pas très longue, moins que celle de mon homme, mais d’un diamètre assez intéressant.
Après avoir léché son gland, je prends sa verge d’une main à la base. Je le suce un long moment ; je sens sa respiration s’accélérer il semble apprécier ma caresse.
Il prolonge son plaisir. Ça n’en finit pas, il semble vraiment apprécier de me voir le sucer.
Je le sens bientôt se raidir et il repousse ma tête, proche de l’éjaculation.
Il se lève et se dégage de ma caresse.
Me voici devant lui, offerte en levrette sur son fauteuil. Je n’imaginais pas que Marc lui avait envoyé des photos aussi crues de moi.
C’est toujours pareil avec les mecs. Dès qu’ils me voient, ils ne rêvent que de deux choses : mettre mes seins à l’air pour bien me les peloter et me mettre à quatre pattes pour me prendre en levrette.
Je suis totalement surprise en sentant sa verge s’introduire dans mon vagin, sans aucun préliminaire.
Il commence à venir en moi en me tenant par les hanches. Le fauteuil balance et ça accentue sa pénétration durant les va-et-vient. Je ne peux m’empêcher de commencer à gémir ceci d’autant plus qu’il m’adresse quelques claques sur les fesses. C’est si bon d’être possédée sans ne pouvoir rien faire. Il me tient bien par les hanches et me besogne presque avec brutalité. Je sens le tissu de son pantalon contre mes fesses et ses coups de boutoir me donnent du plaisir. Je suis saillie par un étalon et je pousse des petits cris. Ça claque fort. Je suis presque au bord de l’orgasme. Il alterne rudesse et douceur.
Ce sadique s’en aperçoit et se retire.
Il me met debout et se déshabille à en juger par les bruits que je distingue puis je l’entends s’asseoir sur le fauteuil.
Je sens le contact de sa peau. Un peu de ventre, la cinquantaine avancée. Il me tient par les hanches. Je bouge mon bassin pour lui donner du plaisir. Il pétrit mes gros seins durcis tandis que je m’active. J’avance et je recule en même temps mon bassin pour que sa verge frotte bien les parois de mon vagin. C’est bon ! À son tour de souffler. Je le sens presque au bord de l’extase quand il m’interrompt et m’ordonne de me lever.
Qu’est-ce qu’il va vouloir faire de moi ?
Il me demande de m’allonger au sol, un parquet flottant de ce que je sens à défaut de voir.
Il se met à genoux et me tire par les jambes. Je sens ses cuisses contre les miennes et sa queue posée sur mon pubis.
Il m’écarte les cuisses en grand et se couche sur moi pour me prendre en missionnaire au sol sans ménagement pour mon confort, sans aucun effort pour alléger le poids conséquent de son corps. Je me sens être juste un vagin dont il use pour se donner du plaisir en glissant à l’intérieur de moi.
Je dois néanmoins bien avouer que c’est très bon, car il ondule du bassin pour bien me labourer. Je recommence à gémir très, très fortement.
Après de longues minutes de ce délicieux traitement, il se retire et se remet à genoux puis saisit mes chevilles pour placer mes jambes sur ses épaules.
Il me visite profondément de sa queue en faisant basculer mon bassin.
Ça déclenche chez moi un gros orgasme.
Me voyant anéantie, il me demande de me mettre à genoux et de le terminer en le suçant
Il me saisit la tête à deux mains et se branle littéralement avec ma bouche. C’est lui qui imprime le rythme !
Après quelques minutes, je manque de m’étouffer, car il éjacule dans ma gorge. Il se retire de ma bouche.
Il me balance les vêtements et je me rhabille. Il prend ensuite son téléphone :
Cette phrase m’excite ! Ainsi mon chéri va rendre la pareille à sa femme.