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n° 22194Fiche technique28547 caractères28547
Temps de lecture estimé : 21 mn
22/12/23
Résumé:  Cela ne se passe pas comme prévu et tel est pris qui croyait prendre : où fantasme réalisé rime avec consentement explicite.
Critères:  fh fplusag couple candaul inconnu fsoumise jalousie voir cunnilingu échange
Auteur : maelys            Envoi mini-message

Série : Offertes par nos compagnons

Chapitre 02 / 03
Je suis voyeuse aussi

Résumé de l’épisode précédent :

Mon compagnon a exaucé mon fantasme d’être partagée avec un inconnu, les yeux bandés. C’est à mon tour de l’être avec mon compagnon.




De retour dans la voiture, mon chéri m’oblige à garder le bandeau pendant dix minutes, de manière à ce que je ne puisse pas identifier le lieu où il m’a livrée, ce qu’il avait promis à mon profiteur. Je lui raconte par le menu ce que j’ai vécu et ce que cela m’a rappelé. Une main entre ses cuisses pour confirmer que cela l’excite bien. Je sens son membre dressé et je prends un malin plaisir à le masturber. Il retire ma main peu de temps après le début de ma caresse :



J’en ai la confirmation lorsque nous arrivons chez nous. Après que je suis sortie de la douche, il m’entraîne dans la chambre, ôte mon peignoir et me guide. Il m’installe allongée sur le ventre et ouvre mes jambes. J’imagine sa vue sur mon cul nu et ma chatte. Si cela m’a excitée d’avoir été à ce moment-là un objet de convoitise sexuelle, mon chéri l’est encore plus follement que moi. Le plaisir de savoir comment il avait palpé mes seins, examiné, doigté et usé de ma vulve et le plaisir que j’avais pris à être possédée. Je l’entends se déshabiller rapidement.

Il se place derrière moi. Il prend connaissance de l’état de ma vulve à l’aide de ses doigts, je suis tellement excitée qu’il la trouve certainement très lubrifiée.

Sans hésiter, il place sa verge sur mon vestibule, comme s’il voulait reprendre possession de mon vagin, s’enfonce complètement en moi et vient me labourer par derrière. Ces derniers temps, il adore cette position, m’indiquant que j’ai des fesses très bandantes et une chatte des plus appétissante. Il apprécie d’être sur moi et aussi de choisir entre le vagin et le cul. Sa longue queue fait merveille pour aller très loin en moi et c’est très bon de l’entendre grogner, y mettant de l’énergie, comme s’il voulait occuper un terrain qu’il avait perdu. Il coulisse longuement et profondément en moi jusqu’à inonder mon vagin de son sperme.


Tandis qu’il va prendre sa douche, je change les draps avant que nous nous retrouvions autour d’un petit café. Tout de suite, la conversation tourne autour de ce qui est censé se passer demain, mon inconnu devant livrer son épouse comme je le fus aujourd’hui.

Il a fait sa connaissance sur le blog du club libertin où nous nous rendons parfois.

Il écrivait qu’il avait envie de s’y rendre avec son épouse, mais essayer d’abord dans un cadre plus intime.

Il s’est longuement confié à Marc, sur le fait que son épouse et lui n’avaient jamais été voir ailleurs et que malgré l’aide de petites pilules, il n’arrivait plus à bander autrement qu’en se masturbant.

Il n’avait pas l’intention de la tromper, pas plus qu’elle, et comme il l’aimait toujours, ils en avaient discuté de manière à trouver une solution permettant de sauver leur couple sans aller voir ailleurs. L’idée résultant de leurs échanges était double. Savoir si Monsieur pouvait toujours satisfaire une femme et mettre Madame en situation d’être manifestement désirable pour un autre homme. Madame, comme Monsieur, n’ayant eu depuis plus d’un an aucune relation sexuelle, elle était sérieusement en manque, ne se satisfaisant encore moins que Monsieur des plaisirs solitaires, même partagés. Elle avait envie de se faire consommer comme un objet sexuel.

Manifestement, Monsieur était encore capable ! En tout cas, il m’avait bien consommée !


Voilà le contexte de notre échange de partenaires, un peu particulier, car nous pratiquons l’échangisme régulièrement dans des situations plus classiques.

Je suis censée être au boulot lundi matin. Mon chéri, lui, ne reprend que demain après-midi, voire mardi matin, si nécessaire.

À la différence de ma mise à disposition, l’inconnu, lui, veut voir et écouter ce qui se passe à distance grâce à une visio. J’évoque le fait que j’ai moi aussi envie de voir, et aussi de participer. J’aime aussi m’occuper des femmes.


Marc est très embêté, dans la mesure où ce n’est pas ce qui est prévu avec son interlocuteur échangiste, même s’il comprend très bien que ça m’excite.

Il l’appelle et après une discussion où il indique qu’il est prêt à renoncer à utiliser sa femme si en contrepartie du fait qu’il assiste via caméra interposée il n’accepte pas que je regarde sans intervenir. Après une hésitation et un échange avec Marc, j’ai l’autorisation de regarder par caméra interposée, mais surtout de ne pas intervenir.

Soit. Dommage, mais il faut savoir aussi respecter les fantasmes des autres.

Je consulte mon agenda et déplace mes rendez-vous du lundi, ce qui ne pose pas trop de problèmes, si ce n’est mon dernier interlocuteur ayant fait durer le suspense jusqu’à 18 h !

Je taquine mon chéri toute la soirée, dévoilant une fesse ou un sein. Tout en riant, il m’indique qu’il ne cédera pas à la tentation pour être en pleine forme et plein d’envies le lendemain. Je le mets au supplice quand nous nous couchons, écartant les cuisses en grand et me touchant devant lui. Il bande comme un âne, mais ne cède pas pour autant aux envies que déclenche habituellement l’offrande de ma chatte luisante.


Le lendemain matin, le petit-déjeuner est pris rapidement et nous installons le terrain de jeu : drap de protection sur le canapé et au sol dans le séjour, table totalement débarrassée.

Mon chéri installe l’ordinateur et sa webcam sur la desserte. De cet endroit, il peut l’orienter comme il veut vers n’importe quel endroit de la pièce.

Légèrement en retard sur l’horaire prévu, nous entendons la sonnette. Je m’installe dans la chambre devant mon ordinateur et me connecte à la visio.

Mon chéri va ouvrir la porte d’entrée et j’entends la voix de l’inconnu qui m’a baisée hier :



La porte se ferme et Marc entre dans la pièce avec une femme guidée par la main, comme je le fus la veille.

Elle est vêtue d’une robe découvrant ses jambes à mi-cuisse. Elle semble plus âgée que moi. Elle est ronde avec des formes voluptueuses. Sa taille est fine, malgré tout et surtout, elle a une poitrine phénoménale qui me donne l’impression d’avoir de tout petits seins.

Mon chéri l’accompagne vers une chaise et elle s’y assoit.



Le ton est donné. Marc va l’exciter et tenter de la rassurer.



Pas de réponse…



Moment d’hésitation…



De mon côté, ce dialogue cru fait que je mouille. J’ai retiré ma petite culotte et relevé ma jupe pour être à l’aise.

La voix de celui qui m’a consommé hier se fait entendre dans l’ordinateur.



Je suis stupéfaite des propos de celui que je pensais être un libertin, mais qui n’est qu’un pervers.

La réaction de Mélanie me surprend encore plus puisqu’elle se lève, fait glisser sa fermeture, dégage ses bras et laisse tomber sa robe au sol. Elle porte une parure chair en dentelle dessous.

Petit ventre, acceptable, et cuisses replètes. Elle a une belle paire de fesses, rebondie, mais qui semble assez ferme, dans sa culotte. Ses seins sont exceptionnels, renforcés par la finesse de sa taille.



Je quitte la chambre et sa caméra et entre dans la pièce au moment où Marc retire le bandeau de Mélanie, qui découvre la pièce, Marc auquel elle sourit en le parcourant rapidement de la tête aux pieds.

Elle jette ensuite un regard vers moi, me sourit également, avant que je m’assoie sur un siège.



Marc retire son t-shirt et son pantalon se retrouvant dans la même tenue que Mélanie. Il bande déjà totalement et c’est de bon augure. N’ayant vu que des photos habillées de Mélanie, il avait envisagé de recourir à une petite pilule qu’il utilise parfois quand une de nos aventures coquines nécessite de devoir honorer plusieurs femmes. Il n’en a finalement pas pris.


Il pose sa main sur la nuque de Mélanie, l’attire à lui et l’embrasse langoureusement à une Mélanie qui pose la sienne sur son épaule et répond à son baiser tendre.

Mon compagnon caresse sa taille et ses épaules, prolongeant un baiser qui provoque une réaction indignée de la part de cet homme auquel je regrette maintenant d’avoir donné mon corps :



En guise de réponse, Mélanie passe ses mains dans le dos et retire l’agrafe de son soutien-gorge :



Elle se tourne, face à la caméra pour que son mari n’en perde pas une miette, et Marc passe derrière elle. Elle n’est pas seulement dans le désir de plaisir, mais manifestement dans la punition de son mari.

Marc ne se laisse pas prier pour poser les mains sur ses deux appâts de choix. Il aime les gros seins, les miens pour commencer et tous ceux qu’il m’avoue essayer de deviner sous les tenues des dames. Ceux de Mélanie sont magnifiques. Ils se tiennent très bien malgré une cinquantaine bien avancée, il me semble, légèrement divergents et dotés de larges aréoles aux gros tétons. Elle apprécie les caresses de Marc, qui commence par les soupeser, les prenant en coupe, puis les malaxant, tout en embrassant son cou :



J’ai mis mes seins à l’air et je me les caresse. C’est très excitant de voir cette femme qui goûte au plaisir donné par l’attention de mon homme. Elle me regarde de temps en temps et semble apprécier que je me donne aussi du plaisir. Sur le grand écran, le mari semble avoir renoncé à convaincre son épouse de ne pas se donner à Marc et a baissé son pantalon. Il bande mou, c’est-à-dire presque pas, malgré l’énergie qu’il met à se stimuler de la main. Il semble avoir peur du désir et des envies de son épouse que j’imagine très sage depuis longtemps et qui est maintenant suffisamment révoltée pour donner libre cours à ses envies trop longtemps refoulées.


Quand la main droite de Marc quitte le sein de Mélanie pour caresser son ventre et atteindre la bordure de dentelle de son slip, notre mari jaloux arrête de se branler et hurle :



Mélanie dévoile son buisson naturel châtain avec quelques poils gris et Marc prend un tabouret, qu’il place à côté d’elle. Il s’agenouille et commence par lui embrasser les cuisses avant de faire passer sa langue dans la fente que l’on devine.

Quand il place la jambe de Mélanie sur le tabouret, sa vulve toute rose apparaît bien sur l’écran. Marc pose ses mains sur les fesses et place sa bouche entre les cuisses pour lécher ses grandes lèvres.

La caméra du mari se coupe ! Il ne veut plus rien voir de plus ?

Cela ne perturbe pas plus que ça les deux partenaires occasionnels, l’une chatte ouverte et qui se laisse dévorer, l’autre qui déguste l’intimité de sa belle du moment.

Mélanie semble libérée de la « disparition » de son mari. Elle caresse la tête de Marc tandis que celui-ci parcourt sa vulve. Elle ferme les yeux et se laisse aller au plaisir de la caresse buccale que lui prodigue mon compagnon. Son plaisir monte et elle se penche sur lui, semblant peiner à rester debout, sa jambe sur le tabouret.

Marc l’emmène vers le canapé que nous avons protégé avant son arrivée. Elle s’y assied et écarte les cuisses largement pour prolonger son plaisir.



Marc s’applique ; sa langue parcourt sa fente, adresse des coups de langue à son clitoris et alternativement dans son vestibule. Mélanie ferme les yeux, toute au plaisir de la sensation que procure sa langue. Je me touche la chatte, un peu envieuse de la délicatesse et de l’attention de mon compagnon. Pour tout dire, je suis carrément trempée et j’apprécierais que Marc s’occupe de moi.


Mélanie commence à gémir quand la sonnette retentit.

Nous savons tous les trois de qui il s’agit. Marc abandonne Mélanie (à regret, j’en suis sûre) et revient de la salle de bain vêtu de son peignoir et du mien qu’il tend à Mélanie. Quant à moi, je repasse culotte et soutien-gorge avant de réajuster ma tenue.

Marc se dirige vers la porte et ouvre, comme nous nous en doutions, au mari qui est arrivé en dix minutes, ayant vraisemblablement conduit de manière déraisonnable.



Il entre dans le séjour et s’adresse à Mélanie, après m’avoir jeté un regard rapide.



Le mari est ébahi en écoutant ce long monologue. Il était crispé en arrivant et le voilà avec les bras qui tombent et ses traits inexpressifs. Il vient de comprendre que pour une fois, il va devoir prendre en compte les désirs de son épouse.

C’est avec de la lassitude qu’il s’installe dans un fauteuil.

Mélanie se colle à Marc. Elle lui retire son peignoir. Il a perdu son érection, ce que l’on peut aisément comprendre.

Mélanie plaque ses seins contre le torse de mon compagnon et d’une main experte, caresse ses testicules.

Lançant un regard de défi à son mari assis, elle s’adresse à Marc d’une voix charmeuse :



Tu aimes que je te caresse les couilles… C’est bon… Touche mes gros seins… N’oublie pas ma chatte… Hum, tu durcis à nouveau… Attends, je vais accélérer les choses.


Elle se met à genoux et prend dans la bouche la verge de mon chéri qui commence à se redresser. Elle le pompe tant et si bien qu’en quelques instants elle reprend toute la vigueur espérée.



Ils se dirigent vers le canapé.



J’ai une furieuse envie de me toucher à voir Mélanie s’installer sur le canapé, ouvrir largement ses cuisses et poser ses talons sur la banquette. Je me retiens afin de ne pas offrir de nouveau cadeau à l’abject personnage qui m’a utilisée hier.

Marc prend les jambes de Mélanie et les fait passer au-dessus de ses épaules, renversant son bassin, et la maintient ouverte par les chevilles. Sa vulve est gorgée et son vagin dilaté, le vestibule béant.

Marc fait glisser sa verge sur ses grandes lèvres. Quand il s’est assuré qu’elle est correctement lubrifiée, il la place d’une main et pénètre Mélanie centimètre après centimètre. Elle est profonde ; elle entre tout entière, suscitant un soupir de contentement de la part de sa partenaire.

Progressivement, Marc accélère le rythme et ses cuisses claquent contre les fesses plantureuses de Mélanie dont les gémissements font place à des « Oh ! Oui ! »

Quand Marc, de son bras gauche, resserre les deux jambes de la belle, ses chevilles autour de son cou et qu’il utilise sa main droite pour stimuler en même temps son bouton, c’est l’explosion. Mélanie a un puissant orgasme sous les yeux de son mari dépité qui lui fait trembler les jambes.

Comme c’est très souvent le cas, Marc n’a pas joui, concentré sur le plaisir de sa partenaire et il se retire, la laissant pantelante sur le canapé. Elle respire fort, comme anéantie par le plaisir, les yeux fermés. Marc se masturbe en la regardant ce dont elle s’aperçoit en ouvrant ses yeux.



Mélanie se place à genoux pour offrir sa croupe, bien cambrée, exposant sa vulve détrempée et son vagin encore béant après la saillie de mon compagnon :



Mon compagnon caresse les fesses de sa belle amante mature, ne résiste pas au plaisir de tripoter sa chatte et plante son dard dans le fourreau doux, chaud et humide qui l’accueille à nouveau.

La main de son amante passe entre leurs jambes pour caresser les testicules de mon chéri qui ne résiste pas longtemps à un tel traitement. Il se cabre et pousse un grognement sonore avant de prendre appui sur le dos avant de se retirer. Mélanie reste en position et j’observe le sperme de mon compagnon dégouliner de son vagin et la tête dépitée de son mari.

Je mouille, habillée, sans pouvoir me toucher et j’ai vraiment envie d’une queue, la sienne, au fond de moi.


C’est le moment que choisit son mari pour intervenir :



Mélanie se lève et prend son peignoir. Son mari se précipite vers elle et Marc bondit, ne sachant ce qu’il compte faire. De fait, il s’agenouille, ouvre le peignoir et passe la tête entre les cuisses de Mélanie pour nettoyer sa chatte de sa langue. Mélanie repousse sa tête :



Je conduis Mélanie dans notre salle de bain et quand je reviens dans le séjour, le mari est parti.