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Temps de lecture estimé : 13 mn
15/06/23
Résumé:  Une soirée prévue est annulée, mais remplacée par une autre.
Critères:  f fff jeunes frousses collègues groscul fépilée piscine voir exhib odeurs caresses intermast facial cunnilingu fist fdanus uro journal -lesbos
Auteur : Maudmoder            Envoi mini-message

Série : Un week-end

Chapitre 06 / 07
Une journée fatigante

Une journée fatigante




Résumé des épisodes précédents :

Un week-end en Charente avec des journées bien remplies et des expériences multiples



Le transat était confortable, très confortable. Parfaitement ergonomique, tellement ergonomique que je me suis assoupie juste après avoir constaté qu’Anna était elle aussi dans les mêmes dispositions. Nous fûmes réveillées par la sonnerie de son portable.



Lorsqu’elle se leva et se pencha pour récupérer ses lunettes de soleil, j’avais eu la vision furtive d’un scintillement rose entre ses fesses. Le plug était toujours en place. Je repris moi-même conscience de la présence de cet objet dans mon troufignon. Je me fis sourire moi-même, j’adorais ce mot qu’Alain m’avait appris. Il aimait parler de mon troufignon mignon, je trouvais l’expression délicate si tant est qu’un petit trou du cul puisse être raffiné. Je contractai un peu mes fesses pour bien analyser cette sensation nouvelle d’avoir un objet qui séjournait dans mon anus. J’étais très réceptive et pénétrable de ce côté-là. Je me rendais bien compte que si je gigotais un peu le plaisir s’imposerait. Anna prolongeait sa conversation avec Chouchou, elle revint un peu tendue, me semblait-il.



Rapidement elle eut même l’air plutôt guillerette. Elle s’allongea sur le transat et me tendit un livre. Sur la couverture au fond noir, une gravure ancienne montrait deux femmes orientales dont l’une appliquait du maquillage sur le visage de l’autre. Le titre était : « Massacre aux bains turcs » et l’auteur, Paula Brilland. La gravure était belle, apaisante, le texte semblait l’être moins, en feuilletant quelques pages j’avais vite compris que la violence et la mort étaient au cœur de ce polar qui faisait, quand même, plus de quatre cents pages. À la première page, une dédicace pour Anna parlait d’amitié et de compréhension et finissait par « Baisers pour Anna ».



Anna se tortilla presque sur son transat.



Je ne souvenais tout à fait de cette femme que nous avions qualifiée toutes les deux de quarantaine éblouissante. Et pour que deux femmes disent du bien d’une troisième, il fallait vraiment que ce soit exceptionnel… Nous avions eu affaire avec elle pendant deux ou trois mois au rythme de deux rencontres par mois. C’était une Libanaise de naissance avec des yeux fascinants presque dorés. Je me souvenais que nous avions trouvé que le contrat avait été finalisé trop rapidement malgré les félicitations de notre direction.



Ce souvenir qui avait initié notre relation nous fit rire.



Je dus en convenir et nous sommes parties dans une belle rigolade et un délire sur le corps d’Anita que ni l’une ni l’autre n’avions vu réellement, mais que nous nous étions mises à décrire en détail. L’heure avançait, la boutique de Marianne allait fermer et nous devions passer chercher Chloé.



Ce qui nous fit rire de nouveau


Nous avions toujours nos plugs en bonne place.



Je remerciai pour ce cadeau pour le moins intime et original. Nous sommes allées dans la salle de bain. L’extraction, si j’ose dire, fut presque plus difficile que l’introduction. Anna le fit avec douceur. Je sentais mon anus ouvert et dilaté et j’eus la pensée furtive, mais angoissante qu’il puisse ne pas se refermer. Je fus vite rassurée. J’avais éprouvé encore une fois une forte excitation à lui montrer toute mon intimité en écartant mes fesses.


Je la regardais se maquiller devant le miroir. Le maquillage est pour une femme un moment absolu d’intimité. Se maquiller côte à côte, c’est risquer d’exposer à l’autre les défauts réels ou supposés que nous voudrions dissimuler. J’optai pour un fard violet assez intense. Je complétai avec un rouge à lèvres nude-rosé qui s’accordait parfaitement avec la couleur des paupières. Anna me regarda :



J’en ai presque rougi. Elle s’est approchée et a déposé un léger baiser dans le cou qui déclencha quelques frissons lesquels se propagèrent sur le bout de mes seins. Elle dut le remarquer, car, en se collant contre moi par-derrière, elle m’entoura de ses bras et saisit mes mamelons en les faisant rouler entre deux doigts. Je sentis ses seins s’écraser contre mon dos. Mes tétons doublèrent quasi instantanément de longueur et en baissant les yeux je voyais mon clitounet qui pointait son nez. Je crus opportun, vu la situation, de demander à Anna :



Tout en continuant à malmener mes tétons elle s’esclaffa :



Plus elle parlait, plus elle pinçait mes pointes et plus ma petite queue à moi était sortie. Elle libéra une de ses mains pour la déplacer sur le clito. Le petit gland était tellement sensible que je sursautai quand elle le cajola du bout d’un doigt.



En disant ça, elle me serra le clito entre pouce et index et déclencha l’orgasme. Mes jambes flageolèrent un peu. Elle repoussa ma main qui voulait lui rendre le plaisir qu’elle venait de me donner. Elle lécha ses doigts enduits de ma cyprine.



Je voulus rafraîchir mon sexe un peu poisseux de mes émois.



Vu la température, nous choisîmes d’être légères. Je remis la même robe bleue, je n’en avais pas trente-six. Je mis une culotte pour ne pas tacher la robe. Anna enfila une robe longue avec un dos nu impressionnant. Nous avions, bien sûr, toutes les deux gardé nos poitrines libres de toute entrave.


Il y avait un monde fou sur la route de Royan. Nous avons prévenu Chloé de notre retard. Elle nous attendait au pied de l’immeuble dans lequel elle avait le studio prêté par Marianne aux saisonnières. Elle s’était changée. Ses cheveux roux étaient attachés en queue de cheval. Les yeux maquillés en vert. Elle portait un petit top qui lui laissait le ventre nu et qui ne cachait rien des contours de ses aréoles et de ses tétons. Un short qui dévoilait le charmant pli sous ses fesses. Aux pieds, des spartiates avec des lanières qui remontaient haut sur le mollet complétaient le tableau. Anna lui dit quand elle monta dans la voiture :



Elle répondit du tac au tac :



Au moins les choses étaient claires ! En retournant vers le restaurant nous continuâmes sur le sujet.



Je l’interrompis :



Et elle poursuivit :



Anna posa la question que nous avions au bout de lèvres :



Chloé avec son petit rire aigu nous fit un peu languir. Elle ne donna pas les noms ce qui, de toute façon, ne m’aurait servi à rien, ne connaissant personne. Anna, elle, identifia tout de suite une des clientes avec quand même un étonnement non dissimulé pour ce penchant caché. Nous n’eûmes, cependant, pas droit à des détails ni physiques ni d’attitudes malgré nos demandes pressantes.



L’expression nous amusa et elle poursuivit :



Et elle éclata de rire.


Le restaurant était comme habituellement, plein. Nous partageâmes une grande planche de charcuterie et chacune un très beau baba au rhum ou une Pavlova. La nuit n’était pas encore tout à fait tombée, un peu tôt pour rentrer. Chloé nous informa qu’elle devait faire l’ouverture du dimanche matin à neuf heures. Anna proposa :



Elle ne déclencha pas un enthousiasme fou à l’idée de reprendre la voiture et de marcher un quart d’heure dans le sable. Les autres plages étaient trop surveillées même la nuit pour se lancer dans une expédition clandestine de nudisme sauvage. La seconde proposition était par contre acceptable :



L’accord fut facile et nous nous retrouvâmes chez Anna. Au passage nous avions noté que la maison de Paula était encore plongée dans le noir. L’air était doux et immobile et la chaleur accumulée par les pierres du mur était restituée sur la terrasse créant une mini zone tropicale. Il n’était pas tard et le jacuzzi pas trop bruyant pour qu’il puisse être mis en route. Nous nous déshabillâmes dans le séjour dispersant nos vêtements au hasard sur le grand canapé. Nous n’avions pas allumé l’éclairage de la terrasse, seule la tache bleue du jacuzzi faisait office de grande veilleuse.


Nous étions restées un moment, nues, à savourer l’instant. Chloé, entre Anna et moi, avait l’air frêle. Ses petites fesses contrastaient avec nos gros derrières et nos grosses cuisses. En plus, elle n’avait pas la moindre trace de peau d’orange. Elle dut se rendre compte de la similitude de nos regards sur elle. Elle posa légèrement ses mains sur nos fesses et les caressa.



J’aimais la douceur de sa caresse, j’aurais voulu qu’elle se prolonge. Je sentais ses doigts qui s’aventuraient sur le haut de la raie. Elle devait faire de même à Anna, nous nous étions toutes les deux rapprochées d’elle. Je fermais les yeux pour me concentrer sur mes sensations. Ses doigts s’insinuaient plus profondément entre les globes de mes fesses. Son index caressa furtivement mon trou intime puis revint et se glissa dans cette rondelle prête à l’accepter. J’entendis un léger gémissement d’Anna qui devait subir un traitement identique. En voulant lui rendre la caresse, je tombai sur la main d’Anna qui occupait déjà le terrain et il n’y avait pas de place pour deux.


Je passais donc côté face pour noyer mes doigts dans une forêt rousse et abondante. Ses poils étaient soyeux comme une petite fourrure dense. Sous les poils une fente inondée et visqueuse témoignait de son trouble. Un tout petit bouton très dur contrastait avec le velouté des lèvres gonflées. Lorsque j’appuyai légèrement sur le bouton, je sentis Chloé se raidir et frissonner lorsque j’accentuai la pression. La main de Chloé vint alors se coller sur mon sexe. Mon clitounet avait évidemment pris toute la dimension dont il était capable dans ces situations. Ses doigts l’enveloppèrent dans de multiples stimulations qui déclenchèrent des rafales de décharges plus électriques les unes que les autres. J’ouvris les yeux pour ajouter l’excitation de voir un trio de femmes nues et excitées.


Nous étions étroitement reliées par nos mains, serrées les unes contre les autres. Une image me vint à l’esprit, celle des trois Grâces de Maillol au Luxembourg à Paris. Mais nos gestes étaient beaucoup plus précis et ciblés que ceux des statues. Ce fut Chloé qui se désolidarisa du groupe pour aller s’asseoir sur le bord du jacuzzi. J’allai la rejoindre et Anna, elle, sauta dans le petit bassin d’eau tourbillonnante. Chloé avait ramené ses jambes avec les genoux sous le menton ce qui exposait complètement sa vulve flamboyante entre ses cuisses.


Anna s’approcha et prit délicatement ses poils entre deux doigts et tira doucement pour ouvrir complètement la fente rosée et trempée. Elle enfonça deux doigts dans le vagin offert, les tourna plusieurs fois, s’éloigna pour venir vers moi et m’offrir ses doigts à goûter. Je suçais phalange par phalange afin de déguster au mieux le nectar parfumé du sexe de Chloé tout en caressant mon clitoris avec précaution pour ne pas déclencher une jouissance trop précoce. Anna retourna entre les cuisses maintenant ouvertes de Chloé et la lécha goulûment ce qui provoqua rapidement une tétanisation du corps de Chloé qui cria à réveiller les voisins.


Trop excitée pour attendre, Anna se masturba dans l’eau pour une détente rapide et nécessaire. J’appréciais chaque geste qui augmentait mon excitation. Chloé remise de sa jouissance vint m’écarter presque brutalement les cuisses. Mon petit membre cramoisi fut aspiré entre ses lèvres et en quelques secondes, pas plus, une fulgurance de plaisir ne put me faire également retenir un cri cependant moins intense que celui de Chloé.


Chloé n’en resta pas là. Ses doigts continuaient à jouer avec mes lèvres, les agaçant, les triturant, les pinçant. J’écartai mes cuisses le plus que je pouvais pour lui offrir une vue et un accès maximal. Je sentis un doigt se promener sur mon orifice de pipi. Elle remplaça son doigt par une pointe de sein ce qui eut pour effet immédiat de déclencher une fuite de liquide jaune et odorant. Elle m’encouragea à me soulager ce qui déclencha un jet sous pression qu’elle reçut sans sourciller.


Je sentais ma cyprine couler de mon vagin tellement elle était abondante et maintenant mêlée au pipi. Après s’être un peu reculée, Chloé introduisit un doigt, puis deux puis trois dans mon vagin. Je sentais qu’elle me remplissait et que je me dilatais sans difficulté. Le quatrième doigt rejoint rapidement les trois autres. J’avais une sensation extraordinaire de plénitude. Elle força un peu sans que cela me provoque la moindre douleur et toute sa main s’introduisit dans moi. En quelques va-et-vient, elle me déclencha un orgasme historique qui me laissa pantelante et apaisée.


C’était une première pour moi, Alain avait essayé, mais sa main était trop volumineuse. La petite main de Chloé était parfaite pour s’introduire entièrement dans moi et provoquer des sensations hors du commun. C’était une sorte de pénétration totale, de prise totale. Elle ressortit sa main tout doucement laissant mon vagin ouvert et dégoulinant. Je ne refermais pas mes jambes immédiatement comme si, sans en avoir totalement conscience, je voulais exposer tout mon sexe béant au regard d’Anna.


Après ces moments intenses, nous sommes restées muettes et indolentes. Il n’y avait que le bruit des bulles qui nous berçaient. Anna sembla se réveiller et demanda à Chloé :



Il n’y avait pas besoin de mettre la proposition aux voies.



En sortant du jacuzzi, je remarquai qu’il y avait de la lumière dans la villa voisine : Paula était rentrée. Avait-elle entendu les manifestations bruyantes de nos plaisirs ? La température avait bien diminué et nous avions toutes la chair de poule et les aréoles grumeleuses.


Après une douche chaude et sage, nous nous sommes retrouvées toutes les trois dans le grand lit, prêtes au sommeil, mais pour combien temps ?