n° 21871 | Fiche technique | 16512 caractères | 16512Temps de lecture estimé : 12 mn | 28/06/23 |
Résumé: Anaïs, jeune fille soumise, s’offre à des femmes. | ||||
Critères: ff inconnu toilettes fsoumise humilié(e) exhib lingerie ffontaine -lesbos -dominatio | ||||
Auteur : Anaïs Soumise Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : La vie d'Anaïs Chapitre 01 / 10 | Épisode suivant |
J’ai 25 ans, on me dit mignonne, un mètre soixante pour quarante-cinq kilos, un petit 90 B avec des gros tétons ultra-sensibles, taille très mince et un joli petit cul rebondi, blonde aux cheveux mi-longs. Ma tenue favorite consiste en une petite jupette évasée et un débardeur très échancré ou une petite brassière, sans soutien-gorge, je n’en ai pas besoin. Je porte une culotte ou un string à la couleur de mon humeur du moment. Il suffit que je me baisse ou que je lève les bras pour que mon petit dessous soit visible.
J’aime les femmes plus âgées que moi. Je suis d’un naturel plutôt soumis, exhibitionniste. Il m’arrive de jouir en imaginant que je suis mise nue en pleine rue ou que ma jupe reste coincée dans les portes du métro et que je reste en culotte sur le quai. Je mouille ma culotte quasiment en permanence.
Quand je pars en chasse, entendez par là que je vais montrer ma culotte et me faire tripoter, de préférence par des femmes inconnues. J’ai toujours mon air de naïve ingénue qui ne le fait pas exprès. Ainsi quand je vais dans les toilettes publiques du centre culturel, côté femmes, et je me penche sur le lavabo, sur la pointe des pieds, pour m’approcher du miroir, mimant celle qui retouche son maquillage. Je sais que dans cette position, ma culotte est bien visible.
Beaucoup de femmes me regardent d’un air méprisant. C’est les jalouses. De temps en temps, je ferre le poisson. Et aujourd’hui, c’est un gros poisson. Une très jolie femme d’une quarantaine d’années, mince, brune, avec des grands yeux verts
Au moment où sa main est au bas de ma jupe, je tends les fesses. Sa main touche ma culotte. Si elle la retire en s’excusant, tant pis. Si elle la laisse, bingo ! Il me suffit de bouger un peu les fesses en écartant un peu les jambes pour inciter à la caresse. Et là, la caresse arrive toujours. Quand la main découvre que ma culotte est trempée, la deuxième main entre en scène devant. Je suis tripotée entre les cuisses devant et derrière. Je coule de plus belle.
Elle me prend la main et m’entraîne dans les toilettes pour personnes handicapées, c’est la plus grande cabine. Dès que la porte verrouillée, elle m’embrasse à pleine bouche. Je passe les bras autour de son cou, je me laisse encore caresser entre les cuisses. Elle me lâche et se recule. Je suis toute gémissante.
Je retire ma jupe et dans la foulée mon débardeur. Je n’ai plus que ma culotte et mes chaussures. Je me caresse l’abricot par-dessus ma culotte. Mes tétons pointent, je me les titille. Elle a la bouche ouverte et elle soupire, elle doit être excitée, elle se tortille comme quelqu’un qui a envie de pisser. Je me décide, je viens contre elle et plaque ma main entre ses cuisses, je la branle à travers sa robe. Elle gémit, moi aussi. Elle m’embrasse amoureusement en me malaxant les fesses.
Je suis debout, dos au mur, je baisse lentement ma culotte puis finalement je la retire. C’est une éponge. Je me frotte les seins avec et la garde dans ma main. J’écarte les jambes et pousse mon bassin en avant. Je maltraite mon clitoris. Elle pose ses fesses sur le bord du lavabo et remonte sa robe à la taille. Elle met la main dans son string et se touche aussi en me regardant.
Je gicle un gros jet de cyprine presque jusqu’à ses pieds, puis un autre. Dès que ça se calme, je me précipite à genoux devant elle, j’écarte le fond de son string et je suce voracement son clitoris. Elle me prend par les cheveux et donne son rythme. Elle mouille beaucoup, je sens qu’elle va jouir.
Elle jouit en poussant un petit cri retenu. Un flot de cyprine me barbouille le visage, je bois tout ce que je peux. Puis elle me caresse amoureusement les cheveux et les joues. Je reste la tête contre son ventre. J’ai envie qu’on s’embrasse, mais je n’ose pas à cause de mon visage souillé. C’est elle qui me relève. Elle me lèche les joues, la bouche. Le baiser n’en finit pas… Oh que c’est bon !
On se réajuste, moi je me rhabille. Elle retire son string et me le tend, elle enfile ma culotte mouillée, j’enfile le string. Elle dit que ça me fait un beau petit cul.
Nous nous quittons sur ces bons mots pleins de promesses et un dernier baiser.
Elle me prévient qu’il y a un vis-à-vis. Que sa voisine d’en face ne cesse de mater et qu’aujourd’hui elle ne va pas être déçue ! Nous nous posons sur des transats inversés, je fais face au vis-à-vis, Linda tourne le dos. La voyeuse ne se cache même pas. Elle est accoudée sur la bordure de sa fenêtre à une vingtaine de mètres.
Linda me pose une pince à linge sur chaque téton. Aille, ça pince fort. Mais c’est si bon. J’imagine le spectacle que j’offre. Je me touche à travers le string. Je dois me mettre debout à côté du transat de Linda, puis baisser le string.
Je regarde la voyeuse dans les yeux, je ne retiens pas mon cri de jouissance. Je gicle fort, je tremble. Puis, je remonte le string. Apparemment, j’ai giclé dessus aussi, il est trempé. J’aime me promener comme çà, en string, avec des pinces à linge au bout des seins. Être soumise devant témoin… Humm ! Oh, Linda, j’ai mouillé aussi le transat. Je me place à quatre pattes dessus et je tends bien mes fesses.
Je reçois une vingtaine de bonnes claques sur les fesses puis Linda baisse le string à mi-cuisses. Encore une vingtaine…
Linda passe sa main entre mes cuisses et me touche l’abricot juteux. C’est trop, je crie encore mon plaisir, je lui gicle sur la main. Je dois ensuite la suivre dans sa chambre. Elle dispose une grande serviette de bain sur le lit (elle est prévoyante) puis me retire les pinces à linge. Elle se met nue, je dois garder le string.
Je sens son nez me renifler, sa bouche m’embrasser l’entre-jambes. Je déguste son abricot. Elle mouille beaucoup, moi aussi. Mon orgasme monte, je me retiens, Je voudrais que nous jouissions en même temps. Elle baisse le string, le passe sous sa tête et me suce à pleine bouche. On dirait qu’elle est attachée à moi. Quand elle crie qu’elle va jouir, je lui mets deux doigts au fond de la chatte Elle pousse un hurlement de plaisir et m’arrose la bouche. Je hurle aussi en lui giclant sur le visage. Je me retourne et viens contre elle. On se bécote toutes souillées de nos jus, on se câline, on se caresse.
J’habite un petit deux-pièces que me loue madame Germain, une quarantenaire jolie, grande, brune, solitaire. Elle ne reçoit que ses copines de temps en temps. Elle occupe la maison principale et moi une dépendance au fond du jardin. J’ai accès à la buanderie au sous-sol de sa maison, car je n’ai pas encore de lave-linge. Nous avons chacune notre panier à linge sale et chacune s’occupe de ses lessives. Nous avons un salon de jardin commun et parfois on s’y retrouve pour papoter en se désaltérant.
Vu notre différence d’âge, je suis un peu sous sa coupe. Quand nous nous retrouvons, on se fait la bise et elle me serre dans ses bras affectueusement en me caressant le dos. J’aime sentir son corps contre le mien. Quand nous sommes sur la banquette de jardin, elle passe son bras derrière mes épaules. Je me blottis tout contre elle. Sa main repose sur la peau nue de mon cou et j’aime quand ses doigts me font des petites caresses. Elle doit bien voir mes tétons qui pointent.
Parfois elle est assise et je m’allonge à côté en posant la tête sur ses cuisses. Je plie les genoux, ma jupe glisse et on voit ma culotte. Je vois bien qu’elle regarde. Malgré le soutien-gorge, je vois que ses seins gonflent et ses tétons pointent. Tout en bavardant, j’écarte un peu les genoux. Je sens sous ma tête des contractions de ses cuisses alors j’appuie plus fort ma tête contre son bas-ventre. Si elle savait combien j’aimerais qu’elle relève sa robe pour poser ma bouche contre sa culotte… La mienne est trempée de désir.
Aujourd’hui, j’ai tellement mouillé ma culotte que j’ai été directement à la buanderie, cul nu sous ma jupette. Je ne résiste pas, j’ouvre le panier de madame Germain et je fouille. J’y trouve une magnifique culotte en dentelle rouge. Elle ne doit pas être là depuis longtemps, car elle est encore humide et odorante. Je mets mon nez dedans. Je sens son odeur intime. Je lèche le fond. Ça m’excite terriblement, je glisse une main sous ma jupette et je me branle en me barbouillant le visage avec son petit linge intime. Je jouis en trente secondes. Je gicle sur ma main, mes cuisses et jusqu’au sol. Je m’essuie la minette, la main et les cuisses avec la culotte rouge et je la remets dans son panier. Le bruit du lave-linge a couvert mon cri de jouissance.
Peu après, madame Germain m’invite chez elle pour regarder un film. Nous sommes assises l’une contre l’autre comme à nos habitudes. Je la sens un peu crispée. Elle attrape la télécommande et lance le film. Et là, c’est l’horreur. Je me vois sur l’écran, dans la buanderie. Tout y est, jusqu’au jet de cyprine, et mon nettoyage intime avec sa culotte rouge.
Au lieu de l’effacer, elle fait défiler le petit film en boucle. Sa main sur mon épaule descend un peu et elle me pince le téton. Je pousse un petit cri de surprise. Elle me lâche. Je reprends sa main et la tire jusqu’à mon sein. Elle reprend mon téton et le fait rouler entre ses doigts.
Je reçois au moins dix minutes de fessée. Je ne suis pas déculottée, mais elle me remonte la culotte entre les fesses. Elle n’y va pas de main morte, ça doit l’exciter de me claquer aussi fort, je crie, je me tortille, je pleure, mais je sens que je coule. Mais ce n’est pas la fin de ma honte. Elle me fait relever. Elle se soulève un peu et retire sa culotte. Elle me la tend, elle est toute mouillée.
Je passe sa culotte sur mon visage, et je me caresse le clitoris. Elle aussi sent ma culotte. Le plaisir vient vite. Elle me caresse les fesses. C’est quand elle me prend fermement les tétons et qu’elle secoue que l’orgasme me submerge.
J’ai beau essayer de retenir mon jus avec ma main, il y en a trop. J’inonde sa robe. Je reçois une paire de gifles.
Elle m’attrape par le cou et me serre contre elle. J’ai toujours les cuisses écartées autour des siennes. Elle m’embrasse à pleine bouche. Elle passe ses mains partout sur moi. Quand elle m’appelle « ma petite salope », je recommence à jouir. C’est sa main qui s’agite entre mes cuisses. Elle me pénètre avec deux doigts recourbés qui touchent le point sensible à l’intérieur.
J’arrose sa main et sa robe, je suis giflée puis embrassée, câlinée. Nous allons à la douche ensemble. C’est la première fois que je la vois toute nue. Elle est belle. Comme moi, elle est tout épilée. On se savonne mutuellement partout. Nos corps glissent l’un contre l’autre, nos cuisses se mêlent. Je descends à genoux, elle vient sur ma bouche. Je mordille son clitoris en lui enfilant deux doigts. Elle pousse un hurlement en jouissant dans ma bouche, je bois tout.
Madame Germain me tutoie, je continue de la vouvoyer. Maintenant, à la maison, je passe mes journées en culotte ou en string. Puisque Madame Germain m’appelle « petite salope », je veux être à la hauteur. Tous les soirs, je viens entre ses cuisses pour la faire jouir, J’aime son jus et ses cris. Moi je me branle dès qu’elle me regarde. Je lui dis que, finalement, je veux bien qu’elle m’exhibe pour ses copines, que l’idée m’excite beaucoup, qu’elle peut me donner la fessée devant elles, qu’elles peuvent abuser de moi de toutes les façons. Je lui raconte mes aventures au centre culturel. Elle veut venir voir ça.