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Temps de lecture estimé : 14 mn
03/07/23
Résumé:  La suite de la vie d’Anaïs entre soumission et humiliations
Critères:  ff fff fplusag nympho fépilée jardin douche fsoumise humilié(e) voir exhib odeurs ffontaine fmast caresses intermast cunnilingu fdanus gifle fouetfesse confession -lesbos -dominatio
Auteur : Anaïs Soumise            Envoi mini-message

Série : La vie d'Anaïs

Chapitre 02 / 10
La vie d'Anaïs - 2

Résumé de l’épisode précédent :

Anaïs aime être soumise et exhibée




Nous allons, madame Germain et moi, au centre culturel. Nous entrons dans les toilettes de femmes. J’ai ma jupette extra courte et une jolie culotte en dentelle blanche. En haut, j’ai un débardeur large, très échancré sous les bras. Si je me penche en avant, on voit tous mes seins. Madame Germain me demande de prendre ma position habituelle. Elle me retrousse la jupette, me caresse les fesses, elle me pince les tétons. Je dégouline de plaisir.


Je sais que quand la porte va s’ouvrir, la personne entrante verra une fille en culotte en train de se faire tripoter, elle verra mes seins, elle me verra soumise. Madame Germain devine mes pensées, elle regarde la porte.


La porte s’ouvre sur deux femmes dans la quarantaine. Les yeux s’écarquillent, les bouches s’ouvrent d’étonnement. Aïe ! je reconnais l’une d’elles, c’est la dame de l’accueil, à l’entrée du centre culturel, celle que je salue chaque fois en entrant. Madame Germain me crie dessus.



La dame de l’accueil, qui doit avoir les clés de tout, verrouille l’accès des toilettes de l’intérieur. Madame Germain me fesse généreusement. Je mouille comme jamais, je piaille, je me tortille.



Pour toute réponse, je pousse un cri et lâche un jet de cyprine dans ma culotte. Ça déborde sur mes cuisses. Je suis prise de tremblements.



Les deux voyeuses s’approchent. La dame de l’accueil me prend les tétons et les tord. L’autre baisse ma culotte et me met deux doigts. Madame Germain m’embrasse. Je repars dans l’orgasme.



Je suis insultée, giflée. Je pousse un long gémissement et comme ma culotte est baissée, je gicle ma cyprine sous leurs yeux. La dame de l’accueil me retire complètement ma culotte.



Je regagne la voiture de madame Germain, sans culotte sous ma jupette fripée, le débardeur mouillé montre mes tétons dressés. J’ai l’air d’une catin qui sort d’un bordel. Je baisse la tête quand je croise des gens.


Vendredi soir, dix-neuf heures, je suis à l’accueil du centre culturel. Je me suis habillée en petite coquine, jupette très courte, écossaise rouge et noir, culotte blanche, chemisier blanc déboutonné sous les seins, chaussettes blanches, montantes, tennis blanches.



Sous le comptoir, je suis en face ses cuisses qu’elle écarte. Elle se caresse la culotte. J’ai envie d’y mettre mon nez, mais… le vigile… Je suis excitée, je mouille.



Pendant le court trajet, nous faisons une pause là où il y a des fauteuils et des canapés, un lieu d’attente ou de discussions. Madame Sophie me tripote la culotte, me caresse, ouvre en grand mon chemisier puis m’attire le nez contre sa culotte. Elle se frotte sur mon visage. Elle écarte le fond de sa culotte sur le côté.



Je suis à genoux devant Sophie, en train de la butiner. C’est le moment où Julia, la directrice, nous rejoint. Elle me met directement la main entre les cuisses.



Je ressors d’entre ses cuisses la figure barbouillée de cyprine, les cheveux mouillés. Fière de l’avoir fait crier. Nous n’entrons pas dans les toilettes habituelles, mais dans un local marqué « réservé au personnel ». Outre les casiers, il y a aussi, un banc central, des toilettes, un lavabo, et une douche. Elles me coincent entre elles. J’ai quatre mains qui me touchent partout, les fesses, la chatte, les seins pendant qu’elles s’embrassent à pleine bouche. Je comprends qu’elles sont ensemble.



Je m’exécute. Madame Julia enjambe le banc et plie les jambes. Elle colle sa chatte sur mon visage et bouge d’avant en arrière. Elle se branle sur ma figure. Je sors ma langue et je lèche. Elle coule beaucoup. Elle crie, elle me jouit dessus. Madame Sophie me branle avec ses doigts. Madame Julia me pince les tétons. Je gicle encore sous leurs yeux.



Je suis assise au fond de la douche, les cuisses ouvertes, j’attends. Elles arrivent complètement nues. J’ai toujours ma jupette et mon chemisier ouvert. Elles se caressent sous mes yeux. Instinctivement, je me caresse aussi. Puis elles s’approchent et tendent le ventre au-dessus de moi.



Et d’un seul coup, toutes les deux ensembles, elles me pissent dessus en plein visage. Curieusement, ça me fait jouir. Mes jambes se tendent, je crie :



Puis je me pisse dessus à mon tour en me l’étalant sur les cuisses, sur le ventre, sur les seins. Je n’ai jamais pissé pendant l’orgasme, c’est fabuleux. Je vais pour prendre le tuyau de douche.



J’ai dû fouiller dans mon coffre pour trouver une protection pour le siège de la voiture. Pourvu que je ne me fasse pas arrêter. Rien que cette idée me provoque des fourmillements. Je m’arrête sur le bas-côté, je me branle et au moment de jouir, je pisse dans ma culotte. Je deviens vraiment très perverse. Oh, quand madame Germain va savoir ça… Dès que je rentre, elle me tombe dessus.



Je raconte tout à Madame Germain, y compris l’épisode de la voiture. Je suis allongée en culotte sur le canapé, la tête sur ses cuisses. Je me touche par-dessus ma culotte en narrant mes aventures. Elle me titille les pointes. Je lui dis que je dois être malade, nymphomane, que je mouille tout le temps, que j’ai toujours envie de jouir et que j’aime ça. Je lui dis que j’aime que des femmes abusent de moi et me forcent à faire des choses sales, humiliantes, dégradantes.



Je me redresse et l’embrasse avec plein d’amour. Puis je vais dans l’herbe un peu plus loin. Madame Germain me suit. Je reste debout, les jambes écartées. Je glisse ma main dans ma culotte et je me branle. Elle me regarde, alors le plaisir monte vite. J’essaie de me retenir pour faire durer le plaisir, mais mes efforts sont vains. Je lâche prise.



J’ôte ma culotte et tente d’éponger la pisse et la cyprine mélangées. Il y en a trop. Un filet de liquide coule du tissu. Madame Germain me prend la culotte des mains et me barbouille le visage avec, puis me l’enfonce dans la bouche.



Nous sommes toutes les deux nues dans la douche. Madame Germain me savonne partout, me caresse, m’embrasse, me serre contre elle. Elle me met des doigts partout et les lèche après. Elle se met des doigts et me les fait lécher. Elle met un doigt dans mon petit trou. Avec le savon, ça rentre tout seul.



Je me jette à genoux, le visage contre son sexe. Je lui enfile deux doigts et je suce son clitoris. Elle me pisse dans la bouche. Je sens sur mes doigts le flot de cyprine à l’intérieur. Elle jouit en pissant, je suis fière de moi. Ses jambes ne la portent plus. Elle s’assoit à côté de moi sur le carrelage. Elle frotte son visage sur le mien, dans mes cheveux. Elle m’embrasse.



Arriverai-je à être propre aujourd’hui ?


Madame Germain m’annonce que ses amies, Gisèle, Marion et Brigitte viennent passer le dimanche prochain avec nous. Je crains le pire.


Mini jupette volante, pas trop courte, et débardeur très échancré sur les côtés et juste une petite culotte fine pour qu’on voie si je mouille. L’air ingénu innocent comme je sais si bien faire, d’après madame Germain. Sauf que j’ai un plug dans les fesses. La plus importante partie est grosse comme un œuf et de l’extérieur on voit une pierre précieuse rouge.


Les amies doivent voir ma culotte et mes seins le plus souvent possible. Et si elles me font des trucs, je dois me laisser faire. Oh, je mouille déjà rien que d’y penser.


Après les présentations d’usage, au cours desquelles la dénommée Gisèle me dévore des yeux, nous nous installons dans le salon de jardin. Madame Germain me demande d’aller chercher et de servir les boissons fraîches. Puis je m’assois à côté d’elle, juste en face de Gisèle. J’écarte un peu les cuisses de temps en temps pour lui montrer ma culotte.


Je retourne en cuisine pour chercher des grignotages. Gisèle est dans mon dos. Elle passe la main sous ma jupe et me touche les fesses.



Je suis troussée, le ventre contre la table en train de me faire peloter le cul quand madame Germain arrive dans la cuisine.



Madame Germain retourne au jardin et me laisse avec Gisèle. Elle relève mon débardeur et m’attrape les tétons. Elle me les tire, les pince, les mord. Quand elle voit que ma main s’agite sur ma culotte, elle mord plus fort. Je l’embrasse à pleine bouche. Elle me demande de baisser ma culotte. Quand elle voit que ça coule sur mes cuisses…



Gisèle s’assoit sur le bord de la table et relève sa robe. Oh, elle n’a pas de culotte. Elle me tient la tête pour donner son rythme. Elle me barbouille de cyprine. Je rentre ma langue et je caresse son clitoris avec mon nez.



Je remonte ma culotte, elle rabaisse sa robe et nous retournons au jardin. Au moment de sortir, Gisèle me retire ma jupe. Je ne suis plus habillée que de mon débardeur mouillé qui exhibe outrageusement mes tétons et de ma culotte quasiment transparente.



Gisèle me pousse devant elle, les commentaires fusent.



C’est oui à l’unanimité. Nous passons au salon, madame Germain lance le film. Les commentaires reprennent de plus belle.



C’est encore oui à l’unanimité. Je sais ce qui m’attend. Je suggère à madame Germain de ne pas me déculotter à cause du plug. Elle me répond avec humour que je ne serai pas déculottée, ouf… Puisque je serai toute nue. Elle fait durer le plaisir. Madame Germain me touche les fesses et la minette devant ses copines, Madame Gisèle joue encore avec mes tétons. Les deux autres s’y mettent. Je dois toutes les embrasser. Elles me tripotent toutes. Je gémis, je suis à la limite de jouir. Puis, je dois me mettre toute nue devant elles. Mon plug apparaît.



Je m’installe sur les genoux de Louise, les fesses tournées vers les spectatrices, jambes écartées. Elles sont à moins de deux mètres et doivent bien voir ma minette et mon plug.



La fessée commence, vigoureuse. La nouveauté, c’est que madame Germain s’adapte. Une claque sur la fesse gauche, une claque sur la fesse droite, et une claque au milieu, sur le plug. Je sens la vibration dans tout mon ventre. Je sens ma chatte qui coule. Je crie, mais c’est de plaisir.



J’ai les fesses qui brûlent, le plug qui me branle le cul. J’ai envie de crier que je suis une pute, une salope, une enculée. Je me contente de gémir. L’orgasme me terrasse. Je sens des jets de cyprine gicler.



Je suis allongée sur le canapé, presque inconsciente tellement l’orgasme a été fort. Louise me câline, m’embrasse. Elle me parle à l’oreille.



C’est Marion qui sert des boissons fraîches, je récupère. Brigitte sort de son sac un gode vibrant. Elle me demande de venir lui mettre, car ma fessée l’a trop excitée. Je commence à l’enfoncer.



Je force son petit trou et appuie sur le bouton. Comme sa chatte est libre, je la suce. Marion regarde en se branlant. Gisèle et Louise se touchent mutuellement. En quelques minutes, c’est un concert de jouissances.