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Temps de lecture estimé : 13 mn
07/07/23
Présentation:  La suite de mon parcours de soumise.
Résumé:  Toujours plus soumise.
Critères:  ff fff travail amour fsoumise fdomine humilié(e) exhib lingerie -lesbos -dominatio
Auteur : Anaïs Soumise            Envoi mini-message

Série : La vie d'Anaïs

Chapitre 03 / 10
La vie d'Anaïs - 3

Résumé des épisodes précédents :

Je suis soumise aux femmes




Je profite d’un mois de congés annuels pour effectuer ma période d’essai au centre culturel. Dans un premier temps, je dois gérer le planning du personnel. Je commence à neuf heures, comme Sophie, à l’accueil. Madame Julia, la directrice, arrive toujours beaucoup plus tard. Le centre n’ouvre au public qu’à dix heures.

Il y a tout un rituel matinal. En arrivant, je monte à mon bureau, Sophie me rejoint. On se dit bonjour en se serrant l’une contre l’autre, on échange un long baiser. J’ai les bras autour de son cou et elle me caresse les fesses. Elle me fait toujours des propositions indécentes :


Tu viens me lécher la minette pendant l’heure du déjeuner. Tu te trompes dans le planning, je veux te fesser. Le soir, à dix-huit heures, j’ai envie de faire pipi. Tu dois montrer ta culotte aux femmes de ménage. Etc.


Le ton est donné. Quand madame Julia arrive, je dois d’abord montrer mes dessous du jour. Puis, je lui apporte son café. Si elle est seule, je dois ouvrir mon chemisier et lui offrir mes tétons. Si elle n’est pas seule, je dois montrer ma culotte au visiteur. Pour cela, j’ai ma chaise dans son bureau, il y a une barre devant à mi-hauteur. Quand je mets les pieds dessus, mes genoux remontent bien haut. Il me suffit d’écarter un peu les cuisses et d’être en face du visiteur. Parfois, je dois le faire juste pour elle, et là, je dois me caresser. En général, je passe sous le bureau pas longtemps après.


Madame Julia décide de me fournir une tenue de travail. Il s’agit d’une robe/blouse blanche en nylon, boutonnée sur le devant, qui m’arrive à mi-cuisses. On voit ma culotte à travers, et mes bouts-de-sein, n’en parlons pas. J’ai vraiment l’air d’une allumeuse. Tout le monde me suit du regard, les clients comme le personnel. Je surprends des conversations chuchotées.



  • —  C’est la pute de la patronne.
  • —  Oh, regardez cette salope !
  • —  Celle-là, elle n’a pas froid aux yeux ni ailleurs.


Je peux taquiner Sophie, je montre ma culotte aux deux femmes de ménage. Tous les matins au vestiaire, quand j’arrive, elles partent. Pour passer ma blouse, je dois retirer jupe et débardeur. J’ai l’impression qu’elles m’attendent, car elles sont déjà prêtes à partir et elles ne partent pas. Je me jette à l’eau, je me déshabille. J’entends un oh la la, quand les deux Antillaises voient mes tétons.



En l’absence de réponse de ma part, elles me titillent chacune un bout de sein. Malgré moi, je soupire et laisse échapper un petit gémissement.



Il est presque huit heures, j’attends en culotte comme demandé. Ce matin, je porte mon plug. Je sais que je vais être malmenée, j’en ai envie. Je m’allonge sur le banc, les pieds au sol de chaque côté, j’ai les jambes bien écartées. Je tends les bras au-dessus de la tête, j’ai les seins offerts. Elles arrivent. Ou plutôt non, elle arrive. Il n’y a que la plus jeune. C’est Une jolie métisse, mince aux grands yeux noirs.



Je me jette dans ses bras. On s’embrasse longuement. Je me frotte contre son corps, elle me caresse le dos et les fesses. En descendant plus bas, elle sent mon plug.



Anita est assise sur le banc. Je suis debout, nue, j’ai les jambes écartées, elle me touche partout. Elle me fait tourner sur moi-même pour tout voir. Elle fait bouger mon plug, elle passe ses doigts sur mon abricot. Elle s’étonne que je coule autant. Elle me fait des petits bisous sur la chatte. Je tente de la prévenir.



Je me maltraite le clitoris, elle fait bouger le plug dans mon cul. Je pousse malgré moi un hurlement et ça part. Un gros jet puissant lui arrose le visage, je tremble de partout. Le haut de sa robe à fleurs est trempé. Anita me lèche l’abricot, les cuisses et laisse sa tête contre mon ventre. Je lui caresse les cheveux. Mes jambes ne me portent plus, je tombe à genoux. Je la regarde dans les yeux.



Anita me tire les cheveux en arrière et je reçois une paire de gifles vigoureuses. Elle me fait pleurer, puis elle lèche mes larmes et me couvre le visage de baisers. Puis je fais glisser sa culotte sur ses cuisses, elle se soulève pour aider et avance ses fesses au bord du banc. Sa culotte est bien mouillée aussi. Je la sens, je me la passe sur le visage et en la regardant dans les yeux, je lèche le fond. Puis je viens déguster sa petite chatte lisse, je grignote son clitoris. Elle pousse des petits cris de plaisir. Anita pose un pied sur le banc pour s’ouvrir encore plus.



Dès que je lui mets un doigt dans le cul, elle pousse un long cri et m’arrose le visage. Je continue de lécher et de bouger mes doigts jusqu’à ce que la source se tarisse. Puis, c’est encore des câlins bisous au goût de cyprine. Allez, vite à la douche, il est bientôt dix heures…


Anita veut me parler. J’ai rendez-vous chez elle vendredi, après le boulot. Elle habite un petit deux-pièces en centre-ville. En réalité, c’est plutôt un interrogatoire. Elle veut tout savoir sur mon art de vivre, à quoi je suis soumise. Je lui raconte tout, mes exhibitions forcées ou non, les fessées, les gifles, les humiliations publiques, les insultes, les tortures de mes tétons, Les séances de léchage, je lui avoue même que je me fais pisser dessus et que tout çà me fait mouiller et jouir sans arrêt.



On se met nues et on échange nos culottes. On se regarde dans les yeux pour les renifler, les lécher en se traitant mutuellement de cochonnes, puis on se jette dans les bras l’une de l’autre. On s’embrasse, on se frotte les tétons les uns contre les autres. J’aime sa peau marron clair sur ma peau blanche. Anita m’attire dans la chambre et déplie une grande serviette sur le lit, puis elle ouvre un tiroir de la table de nuit et sort une collection de godes, en cas… Mais il ne se passe rien, il y a comme un blanc. Enfin, elle se décide à parler.



J’attrape l’oreiller qui nous sépare et je le jette loin. Je me lève et sors précipitamment de la chambre pour aller fouiller dans mon sac à main. J’entends Anita éclater en sanglots. Elle a dû croire que je partais.



Anita est debout, je m’agenouille devant elle et je sors de derrière mon dos une petite boîte avec un ruban autour. Je la lui donne, elle la déballe et, au moment où elle l’ouvre :



Dans la boîte, il y a le même plug que le mien, mais avec un bijou brillant blanc. Elle fond en larmes.



En deux secondes, elle a le nez dans l’oreiller, les fesses en l’air. Je lui lèche le petit trou, je rentre ma langue dedans, je pousse ma salive le plus loin possible. Ma chatte coule, j’y mets le plug pour le lubrifier puis je pousse sur l’anus d’Anita.



Nous sommes toutes les deux garnies, on se montre, on se touche, on joue devant le grand miroir, on se compare. Nous tombons d’accord pour dire que nous sommes exactement foutues pareilles – sauf les tétons qui sont beaucoup plus gros chez moi et sa couleur de peau marron clair qui contraste avec ma peau blanche. On va pouvoir faire garde-robe commune.


Il faut fêter çà, Anita sort une bouteille de champagne et deux flûtes. Entre deux gorgées, on se grignote l’abricot. On n’arrête pas de jouir. On est toutes les deux barbouillées de cyprine, un peu pompettes. On dit n’importe quoi.



Même pour circuler dans l’appartement, on ne se lâche pas la main. Le champagne aidant, je me dirige vers les toilettes.



Anita s’accroupit dans la douche, sa main s’agite entre ses cuisses. Elle ouvre grand la bouche. J’avance le ventre vers son visage et je l’arrose copieusement de pisse. Elle en a partout, ça lui coule sur la chatte.



Puis nous inversons les rôles. Je lui enfile deux doigts dans la minette et je commence des va-et-vient.



Anita se caresse à toute vitesse, le ventre en avant, les cuisses écartées. Oh qu’elle est belle comme ça ! Je sens des contractions sur mes doigts, elle va jouir. Je rapproche mon visage.



Nous sommes toutes les deux assises au fond du bac. On s’embrasse, on se lèche, on se traite de pisseuses, de cochonnes. On se dit qu’on pue la pisse. Nous nous lavons mutuellement avant de nous sécher et de nous allonger sur le lit. Un peu plus tard, nous commandons des pizzas pour reprendre des forces. Anita me demande de dormir avec elle cette nuit. J’en ai très envie aussi. C’est la première fois que je dors avec quelqu’un. Dans les bras l’une de l’autre, les jambes emmêlées, seins contre seins, bouche contre bouche. Là, c’est plus que du sexe, plus que du vice, je suis amoureuse. Anita devine mes pensées.



La petite de la boulangerie a failli perdre la vue quand elle a livré des croissants à deux folles en culotte qui ont ouvert, serrées l’une contre l’autre sans cesser de s’embrasser. Les grandes discussions commencent au petit déjeuner. Anita veut que je l’emmène quand je suis soumise à d’autres femmes et veut subir les mêmes choses que moi. Anita me demande de venir dormir avec elle aussi souvent que possible.


Je propose Linda, pour commencer les présentations. Je préviens Anita qu’elle sera fessée devant la voisine d’en face et qu’elle devra certainement venir entre ses cuisses pour la faire jouir, entre autres… Nous y allons un soir. Sur la terrasse, nous devons nous mettre en culotte et nous caresser devant la voisine. Linda me dit :



Mon sang ne fait qu’un tour, je gifle Linda de toutes mes forces, je renverse la table remplie de verres et de boissons. Il y a de la casse. Ce qui me retient de continuer, c’est que la lèvre de Linda est fendue et qu’elle saigne, sûrement ma bague.



Joyeux début. On ne peut pas dire que ce soit une réussite. Anita garde le silence. Elle a l’air inquiète et désemparée.



Par contre, le rendez-vous avec madame Germain se passe très bien. Dès notre arrivée, nous sommes en culotte et seins nus. Louise est assise entre nous deux, les bras sur nos épaules, elle nous titille les tétons et nous bavardons comme des bienheureuses. Je lui raconte notre rencontre, notre coup de foudre, notre amour. Quand ma main remonte sur la cuisse de Louise, Anita fait pareil. Nos mains se retrouvent pour caresser la culotte de Louise. J’embrasse Louise, Anita aussi.



Anita ne quitte pas l’écran des yeux, elle se caresse la culotte en regardant. Dès la fin du film, elle vient devant Louise et lui retire sa culotte. Elle la sent, se la passe sur le visage et vient se coucher sur les genoux de Louise.



Et elle en reçoit une bonne. Elle a le feu au cul au sens propre. Puis, Louise nous entraîne sur son lit. Nous sommes nues toutes les trois. Anita chevauche la tête de Louise et se fait manger l’abricot pendant que je mange celui de Louise. Qu’est-ce qu’elle est belle, ma chérie, comme ça, en se caressant les seins ! Puis, nous inversons plusieurs fois les rôles. C’est un concert de cris de plaisir. La cyprine gicle dans tous les sens. Pour finir, nous sommes, Anita et moi, côte à côte, le nez sur le lit et les fesses en l’air. Louise mouille ses doigts dans nos chattes et nous en enfonce deux à chacune dans les fesses, toute la longueur, bien au fond.



Je regarde Anita sur le côté, elle me regarde aussi. On se rapproche, on s’embrasse. On entend le bruit mouillé de nos chattes.



Quand Louise revient du lavabo, nous sommes enlacées en train de nous bécoter, de nous caresser le visage en disant des mots d’amour.



C’est dit, le vers est dans le fruit.