Deux curieux en culotte

Résumé de l’épisode précédent :

Une fois qu’on a joui, l’excitation retombe vite. Heureusement, Sylvain s’est directement levé pour aller dans sa salle de bain. Quand il ressort en peignoir vingt minutes plus tard, je suis toujours dans le fauteuil, j’ai lancé Fast & furious 5 sur Netflix.

• — Très bon choix, Fast 5, c’est vraiment le meilleur de la franchise.
• — Oui, je trouve aussi, dis-je. Après, c’est un peu parti en vrille.
• — À ton tour d’aller prendre une douche, collègue ! Je vais t’apporter une serviette propre.

Je regarde Sylvain qui est en peignoir de bain, le genre qu’on pique dans les hôtels. Il est pieds nus avec la vaginette nettoyée en main. Je ne pensais pas prendre ma douche ici, mais son ton est assertif et c’est vrai qu’après une journée de boulot et une longue branlette, je pue un peu. Je passe donc dans la salle de bain et prends une bonne douche. Je découvre que Sylvain a tout le nécessaire de rasage dans sa douche, pas étonnant qu’il soit tout lisse. Par jeu, je prends son rasoir et passe sur mon pubis ou ça recommence déjà à repousser. Soudain, la porte s’ouvre, je reste figé. C’est Sylvain qui est venu m’apporter un peignoir de bain. Il m’a surpris en train de me raser le pubis avec son rasoir.

• — Désolé je t’ai pas demandé si je pouvais utiliser ton rasoir.
• — Ah non, vas-y au contraire, c’est une bonne chose que tu rafraîchisses tout ça. Passe bien partout, devant et derrière.

Sylvain reste encore un moment à mater ouvertement mon zizi qui gonfle à vue d’œil puis s’en va en laissant la porte ouverte. Du coup, je continue mon rasage en passant sur mes testicules et ma raie pour que tout soit bien net. Je me savonne puis me rince. Quand je sors enfin de la douche, je vois un autre peignoir d’hôtel posé sur mes vêtements et, au-dessus, une culotte en satin bleu-turquoise. Immédiatement, mon stress et mon excitation remontent en flèche.

Je prends la culotte en main, c’est tout doux et glissant avec un peu de dentelle noire sur les côtés. J’hésite en regardant mes vêtements que Sylvain a laissés là, mais ce serait bête de ne pas au moins l’essayer, juste par curiosité. Je passe une jambe, puis l’autre, le temps que je la remonte mon zizi est déjà bien gonflé. Je le rentre dans la culotte et sens le satin qui vient mouler mes fesses, mes bourses et mon sexe. C’est exactement ma taille, juste un peu tendu devant sur mon paquet, mais ça fait des sensations fort différentes d’un boxer et quand je me regarde dans le miroir, mon reflet me trouble… pas de la gêne ni de l’humiliation, plutôt de l’excitation. Alors, sur un coup de tête, je passe le peignoir et sors de la salle de bain.

Étonnamment, Sylvain s’est entièrement rhabillé. Pantalon beige et polo Fred Perry gris avec liseré bleu. Il me sourit et me fait signe de me rasseoir dans le fauteuil à côté du sien. Je sens la culotte frotter à chaque pas et mon paquet gonfler. Malgré le peignoir, j’ai l’impression d’être exhibé au regard rieur de Sylvain, mais il ne fait aucun commentaire. Il va nous rechercher des bières, sors des pizzas du four, et on mange devant la fin du film.

Une heure plus tard quand le film se termine, Sylvain se tourne vers moi.

• — Alors, ça te fait quoi de porter une culotte ?
• — C’est… différent, mais on s’habitue, je l’avais presque oubliée.
• — Ha ha, oui, on s’y fait vite ! Mais ton gage, c’était de passer le reste de la soirée en culotte, pas en peignoir ! Alors tu vas te lever et m’enlever ça.

Son ton s’est durci et malgré la montée d’adrénaline et le souffle court, je me mets debout. Je me tourne face à lui et détache la ceinture du peignoir qui s’ouvre légèrement.

• — Mieux que ça… Donne-moi le peignoir et va me chercher une nouvelle bière !

Sa maison, ses règles. Je laisse glisser le peignoir et le tends à Sylvain sans oser le regarder dans les yeux. Il regarde mon paquet tendu en souriant. Puis je sens son regard sur mes fesses quand je vais à la cuisine. Je sens la culotte qui me caresse à chaque pas, je reviens avec sa bière, Sylvain sourit encore plus en constatant que mon paquet s’est encore tendu.

• — Ah, je vois que ça te fait de l’effet tout de même.
• — Oui, dis-je d’une petite voix. C’est agréable comme sensation.
• — Ça te fait sentir comment ? demande-t-il en me faisant signe de rester debout devant lui.
• — Je me sens un peu exhibé, un peu… chaudasse.
• — Un peu ?
• — Bien chaud, à m’exhiber comme ça en culotte.
• — Ha ha, je le savais ! Et encore, cette culotte-là, elle est sage, maintenant tu vas aller mettre ceci.

Sylvain me tend un string en dentelle noire. Ma bite tressaute dans ma culotte quand je le prends et je retourne dans la salle de bain sans un mot.

• — Alors, pourquoi tu traînes ?
• — C’est que j’arrive pas à la mettre.
• — Pourquoi, c’est pourtant ta taille !
• — Oui, mais… ça dépasse.
• — Ah ah, fais pas ton timide, laisse dépasser et viens me montrer ça.

Je vois que Sylvain prend tout ça comme un jeu et je me dis qu’il a raison, on s’amuse bien, autant continuer. Je ressors de la salle de bain et me dirige lentement vers lui. Devant, le string couvre juste mes couilles et la base de ma bite, et encore, même ça c’est transparent à travers la dentelle. Au-dessus, mon sexe est plaqué contre mon ventre et mon gland est décalotté, tout rouge et luisant. Derrière, je sens la ficelle tendue qui stimule ma raie à chaque pas.

• — Ah, voilà, maintenant tu fais vraiment sexy ! Mais on va pas réussir à faire rentrer ton zizi dans cet état-là ! Comment est-ce qu’on pourrait régler ce problème ? demande Sylvain avec un air faussement innocent.
• — Je pourrais me rebranler dans le fleshlight, c’est ce que toi tu fais, non ?
• — Oui, c’est ce que je fais quand je suis seul, mais là, à deux, on peut trouver d’autres options…
• — Oui, on est à deux, mais à la fois je suis le seul en culotte.
• — Qui te dit que tu es le seul ? réplique Sylvain avec un large sourire.
• — Ah, je croyais, comme tu t’étais rhabillé et que c’est moi qui ai reçu le gage.
• — Tu n’es pas assez curieux, dit Sylvain en se levant.
• — Pourtant, si, je suis fort curieux et j’apprends beaucoup de choses ce soir.
• — Si tu es curieux, viens voir par toi-même ! dit Sylvain debout devant moi avec les mains sur les hanches.

C’est vrai que je suis curieux de voir ça. Comme Sylvain reste planté là, je m’accroupis face à lui. Il m’encourage :

• — Vas-y, viens voir ce qui t’intéresse.

Je me mets à genoux pour être à l’aise et viens détacher sa ceinture, puis j’ouvre les boutons de son pantalon un à un. Il grogne un peu pour m’encourager, alors j’ouvre le pantalon et découvre de la dentelle rouge qui commence assez haut sur sa taille. Intrigué, je tire vers le bas et découvre son gros paquet. Il porte une sorte de shorty rouge qui se termine assez haut sur ses cuisses. Je vois la forme de ses couilles et de son sexe placé sur le côté, il est déjà bien gonflé, mais sans doute pas à son maximum. Je fais descendre le pantalon à ses chevilles, Sylvain, lui, enlève son polo puis soulève un pied après l’autre et pousse le pantalon de côté. On est maintenant tous les deux en lingerie, lui debout dans son shorty rouge, moi à genoux en string noir. Lentement, il commence à tourner sur lui-même comme pour me faire faire le tour du propriétaire. Le shorty monte haut sur ses hanches, mais vu la coupe, il lui rentre aussi entre ses fesses toutes lisses. Il termine son tour. Avec ses mouvements, il s’est un peu approché de moi, son paquet est maintenant juste à vingt centimètres de mon visage et je peux voir qu’il a encore grossi.

• — C’est vrai que c’est bien excitant de porter de la lingerie, merci de m’avoir fait découvrir ça. Je comprends maintenant pourquoi tu aimes en porter quand tu te branles.
• — Oui, ça a été une vraie découverte. Depuis, je porte souvent des culottes pour me branler, mais le faire comme ça devant toi c’est encore autre chose.
• — Oui, c’est vrai que c’est trippant de savoir que tu me regardes, puis c’est trippant aussi de voir ton zizi moulé dans cette dentelle rouge. Il a l’air très bien en tout cas, ce shorty, il te permet d’y rentrer tout ton zizi même quand il bande, et super sexy à la fois, dis-je en gardant mon regard sur la bite de Sylvain.
• — Ha ha, oui, c’est un de mes préférés. Tu veux l’essayer ?

Je fais signe que oui de la tête.

• — Alors, prends-le ! me dit Sylvain, toujours les mains sur les hanches.

Je mets un moment à comprendre, lève les yeux vers lui et le vois qui me regarde avec un sourire complice et un hochement de tête pour confirmer qu’il m’invite à lui enlever son shorty pour pouvoir le mettre.

Mon regard revient à son pubis. Je tends les mains. J’entends Sylvain pousser un soupir quand mes doigts se glissent sous l’élastique de sa lingerie. Je commence à tirer vers le bas, découvrant son pubis tout lisse. Comme il est resté en place derrière, je viens passer mes pouces sous l’élastique en bas de son dos et, là aussi, tire vers le bas, je sens la douce peau de ses fesses. Une fois l’élastique sous ses fesses, je reviens devant ou le shorty est resté à la base de son sexe.

• — Vas-y, te prends pas la tête ! me dit-il en me voyant hésiter.

Je libère son sexe qui se redresse immédiatement juste devant mes yeux. Malgré la douche une heure plus tôt, je sens une odeur de sexe. Ce n’est pas la même odeur qu’une chatte, plutôt comme l’odeur de la mienne quand je me branle, mais là, c’est l’odeur du sexe de Sylvain. Comme tout à l’heure dans le fauteuil, voir et sentir cette belle grosse bite toute excitée juste devant mon nez me fait bander encore plus dur. J’inspire profondément par le nez pour mieux sentir son odeur de bite tout en terminant de baisser sa culotte jusqu’à ses pieds.

Sylvain se recule, toujours les mains sur les hanches et le sourire aux lèvres. Je récupère sa lingerie et me relève. J’enlève mon string, sentant la sensation agréable de la ficelle qui sort d’entre mes fesses, puis mets le shorty de Sylvain et le remonte sur mes jambes. Ma bite se retrouve de nouveau coincée vers le haut.

• — Non, tu l’as mis n’importe comment ! me dit Sylvain en passant derrière moi.

Il prend l’élastique entre ses doigts et le tire de plusieurs centimètres vers le haut, je sens le shorty rentrer entre mes fesses et se poser sur le bas de mon dos tandis que le bas de mes fesses est découvert. Je pousse un gémissement et lève mes bras pour montrer à Sylvain que je le laisse s’occuper de moi. Ses mains passent sur l’avant du shorty, il écarte l’élastique et de son autre main, saisit ma queue et viens la pousser sur le côté. Nouveau gémissement nettement plus fort. Sylvain fait ça bien lentement et je sens ses doigts qui me serrent bien et malaxent ma bite. Instinctivement, je recule un peu mes fesses et sens qu’elles viennent cogner la bite de Sylvain.

Ma bite est maintenant bien en place, mais au lieu de la lâcher, Sylvain remonte sa main de quelques centimètres, ce qui vient recalotter. Il se met à malaxer mon prépuce me faisant une sorte de mini-branlette concentrée sur mon gland. Je gémis en continu et recule encore mes fesses jusqu’à sentir que sa queue se retrouve coincée entre son ventre et mon shorty. Sylvain grogne de plaisir. Il retire sa main de ma culotte, mais vient directement la reprendre par au-dessus de la dentelle.

• — Je vais encore t’apprendre quelque chose ce soir, dit-il en commençant à me branler à travers mon shorty.
• — Hmm, c’est super bon ! Je sens la dentelle qui me caresse toute la bite.
• — Comme ça, tu comprends pourquoi j’aime mettre des culottes pour me branler et tu me trouves plus bizarre.
• — Oh oui, j’ai bien compris et je te juge plus du tout ! Au contraire, je veux que tu m’apprennes encore des trucs.
• — Là, je t’ai montré presque tout ce que je fais comme cochonneries quand je suis seul.
• — Mes branlettes ne seront plus jamais les mêmes. Mais c’est trippant aussi d’expérimenter ça avec toi, dis-je en faisant bouger mes fesses contre sa queue.
• — Oui, j’espère qu’on pourra se refaire des petites soirées comme celles-ci, mais là, je te sens prêt à juter dans ta culotte.
• — Hmm oui, si tu continues comme ça, je vais pas tarder, mais… j’aimerais bien jouer avec ta bite moi aussi.
• — C’est vrai que c’est kiffant de jouer avec un autre zizi ! Attends, comme tu m’as pris la mienne, je vais aller mettre une autre culotte.

Sylvain se recule et va fouiller dans sa collection de lingerie. Moi, je m’assieds dans le fauteuil face à lui, je fais exprès de bien m’exhiber, vautré dans le fauteuil, cuisses écartées et je me caresse à travers le shorty. Tout en me matant, faire le show, Sylvain sélectionne une culotte bleu électrique. Il revient vers moi, sa bite raide se balance à chaque pas. Il vient se mettre debout juste devant mon fauteuil, entre mes genoux écartés. Il passe ses pieds dans la culotte et la remonte jusqu’à ses cuisses.

• — Tu veux de l’aide ? dis-je en me redressant.
• — Oui, s’il te plaît, répond-il en reprenant sa pause, mains sur les hanches.
• — Je vais commencer par la monter ici, devant. Ah, ça monte bien haut, ça couvre presque toute ta grosse bite.
• — Oui, c’est un tanga, c’est normal que ça monte plus haut.
• — Il te reste juste le gland qui dépasse, mais je m’en occuperai après, pour l’instant, tourne-toi !
• — Oh oui, remonte le bien, j’adore cette sensation quand le tissu glisse entre mes fesses.
• — Oui, chez moi c’est vachement sensible aussi. Wouah, le modèle tanga te fait de superbes fesses ! Ça donne envie de te mettre une fessée, ha ha !
• — Ha ha, peut être que j’aimerais ça aussi, mais d’abord tu avais promis de t’occuper de mon gland qui dépasse.

Sylvain se retourne face à moi, j’en profite pour glisser à genoux afin d’être à la hauteur de son gland. J’avance mon nez presque contre son gland et inspire à fond. Il gémit en sentant mon souffle sur son gland humide, moi, en sentant son odeur de sexe. Je viens prendre une bonne dose de salive sur mes doigts puis, sans hésitation, je vais l’étaler sur son gland ou je l’étale bien partout. C’est mon premier contact avec un zizi et ça me plaît. Je veux descendre étaler ma salive le long de sa queue, mais elle est coincée dans le tissu de la culotte et ça serait triste de déjà la lui enlever. Donc j’écarte le tissu du côté du tanga et vais chercher sa queue que je fais sortir sur la gauche tout en laissant le tanga bien en place. Je la garde en main et viens directement faire couler un gros filet de bave sur son gland. Je viens récupérer cette salive sur son gland et l’étale tout le long de sa grosse bite et ses couilles. Je dois revenir trois fois ajouter de la salive, découvrant le plaisir enivrant du mélange de l’odeur de sa bite combinée à ma salive. Quand sa queue est toute trempée de bave, je commence à la masturber lentement en serrant bien fort. Ma main gauche est revenue branler ma propre bite à travers le shorty. On gémit tous les deux non-stop.

• — Hmmm, c’est trop bon, John ! Tu fais ça super bien, maintenant c’est moi qui suis sur le point de gicler.
• — Hmmm, moi aussi je suis prêt à juter dans ma culotte.
• — C’est cool si je jouis comme ça, juste… devant ton nez ?
• — Oui, je vais pas être dégoûté, t’inquiète. Au contraire, je vais même aller un pas plus loin.

Sans plus d’explication, j’avance et viens prendre son gland en bouche. Sylvain gémit super fort, presque un cri, et je sens un jet de sperme me remplir la bouche. Il y en a tellement que ça me surprend. Je me recule et reçois les jets suivants sur le visage. Sentir le goût de son sperme en bouche, puis ses jets qui s’écrasent sur mes lèvres et mon nez me fait basculer, je jouis dans le shorty. Je gémis moi aussi, c’est un super orgasme qui continue un peu quand Sylvain a fini de jouir et que je viens écraser mon visage contre sa bite dégoulinante. Après un moment, Sylvain va s’affaler dans le fauteuil en riant.

• — Wouah, quel super pied ! Je pense jamais avoir joui aussi fort.
• — Moi aussi, hyper bon, j’ai juté une quantité impressionnante dans ma culotte.
• — En plus, tu m’as… pris en bouche. Moi aussi j’avais trop envie de voir ce que ça fait, mais j’ai eu peur de te choquer.
• — Mec ! C’était trop kiffant, tu vas adorer.
• — Alors, ça veut dire qu’on va se refaire ce genre de soirée ?
• — Oh oui, Sylvain ! Je sens qu’on a encore plein de trucs à expérimenter !