Résumé des épisodes précédents :

Après cette soirée chez Sylvain le vendredi, je reviens chez moi assez perturbé, mais au moins l’objectif avait été atteint : je ne pensais plus à ma rupture avec Virginie. Malgré tout, je me dis qu’on a dérapé et que c’est une erreur que je ne referai plus.

Le samedi, je sors avec des potes de l’université et je picole beaucoup, le dimanche je me retrouve avec une grosse gueule de bois. Après une matinée devant Netflix, je me lance un porno. Assez vite, je passe à du porno shemale, puis à un plan ou un mec suce une shemale. Hmmm, tout ça me rappelle ma soirée avec Sylvain et son gros sexe lisse dans sa culotte. Je me branle bien, passe une heure à mater des styles de pornos que je ne regardais jamais avant et finis par avoir un super orgasme.

Le lundi j’arrive tôt au bureau, quand Sylvain arrive il dit bonjour à tout le monde, je réponds vaguement. Ne sachant pas comment me comporter, j’évite de me retrouver seul avec lui. Le jeudi matin, on se retrouve en réunion d’équipe, Sylvain est assis dans le fond, pas loin de moi. Après la présentation de notre boss, il passe la parole à Caroline de la compta. Elle porte un tailleur bien cintré avec un bon décolleté et une jupe en cuir noir. Directement je repense à notre conversation et regarde vers Sylvain. Lui aussi me regarde avec des yeux rieurs et me fait un discret signe de tête vers Caroline qui continue à parler chiffres. Je sais que lui aussi s’imagine Caroline en train de nous dominer tous les deux, en train de nous branler une bite dans chaque main puis de venir frotter nos glands l’un contre l’autre. Tout ça me passe en tête quand je vois l’air amusé de Sylvain.

La réunion se termine peu après et Sylvain vient me parler.

• — Alors ? Qu’est-ce que tu as pensé de la présentation sur notre situation comptable.
• — Très, très intéressante ! J’aurais aimé en apprendre plus.
• — Ah, ah, moi aussi, si seulement Caroline pouvait nous donner une formation en… comptabilité… dit-il avec un air entendu.

Après cette conversation, je me décoince et recommence à déconner avec Sylvain comme avant. Dans l’après-midi il reçoit un colis Amazon qu’il range dans son sac. À dix-huit heures, Sylvain propose à tout le plateau d’aller boire un verre, comme on le fait souvent entre collègues. On est trois à accepter. Mais Joachim et Irène partent après une demi-heure et je me retrouve seul avec Sylvain. On se regarde avec un air entendu, mais gênés à la fois, sans oser aborder le sujet. Après quelques secondes de malaise je change le sujet de conversation.

• — C’était quoi le paquet Amazon que tu as reçu cet après-midi ?
• — Ouf ! Ça… c’est un cadeau que je me suis fait à moi-même. Mais je préfère ne pas en dire plus.
• — OK, garde tes secrets… dis-je intrigué.
• — Et toi, pourquoi tu te trimballes ce gros sac aujourd’hui ?
• — Oh ça, c’est des affaires à Virginie que je dois lui rendre. J’avais dit que je passerais ce soir mais je viens d’annuler parce que je n’ai pas envie de la revoir.
• — T’as bien raison, te prends plus la tête avec elle. Tu vas vite te trouver une autre meuf.
• — Je laisserai tout ça à l’accueil du bureau, demain, comme ça elle passera récupérer ses fringues et ses culottes sans que j’aie à lui parler.
• — Ah bon, il y a ses sous-vêtements là-dedans ? dit Sylvain avec un intérêt évident.

Pour la deuxième fois de la journée je le regarde et sais exactement ce qu’il a en tête. Mais au lieu d’être gêné ça me donne envie de faire durer ce moment. Donc je prends le sac à mes pieds, sans un mot je le pose sur la table et j’ouvre la poche qui contient les culottes. Sylvain passe sa main dans la poche et y jette un coup d’œil en faisant attention à ne pas exposer son contenu aux autres clients.

• — Intéressant… Tu es sûr que tu dois lui rendre tout ça ?
• — Malheureusement je ne veux pas créer un conflit avec Virginie. Pourtant c’est moi qui ai choisi et payé la plupart de ces sous-vêtements.
• — Alors c’est presque comme s’ils sont plus à toi qu’à elle, tu es sûr que tu veux pas les garder pour… le cas ou…
• — C’est vrai que c’est tentant, je pourrais en tout cas trouver des raisons de retarder un peu les choses. Pour ne lui rendre qu’après ce weekend. Dis-je m’imaginant déjà passer le weekend à me branler en essayant les culottes de mon ex.
• — Pourquoi attendre le weekend ?
• — Ah, ah, tu m’as convaincu, je vais rentrer tôt et faire quelques essayages…
• — Pourquoi attendre de rentrer chez toi ?

Là je suis pris au dépourvu. Qu’est-ce qu’il veut dire ? Devant mon air étonné Sylvain éclate de rire, ça détend l’ambiance. Il se penche vers moi et me dit à voix basse.

Je pense que j’ai mis la main sur une culotte en coton et dentelle, je te mets au défi d’aller la mettre aux toilettes et de revenir boire un verre avec moi.

Là-dessus il sort sa main du sac, je vois un flash de couleur fuchsia avant qu’il mette la main sous la table. Je passe, moi aussi, une main sous la table et il vient y déposer la culotte brésilienne que je connais bien car c’est moi qui l’ai achetée. J’ai une seconde d’hésitation mais le fait de sentir cette culotte dans ma main et le regard joueur de Sylvain me font dépasser mes réserves. Je me lève sans un mot et me dirige vers les toilettes le cœur battant.

Heureusement il est encore tôt et les toilettes sont propres et quasi vides. Je m’enferme dans une toilette, je suis obligé d’enlever mes chaussures, mon pantalon puis mon boxer pour pouvoir passer la culotte. Cette situation inédite d’être nu dans des toilettes publiques mais surtout les sensations quand je remonte la culotte brésilienne, range mon sexe sur le côté et sens l’arrière me rentrer entre les fesses m’excitent. J’ai une demi-érection quand je ressors des toilettes. Je sens la culotte à chaque pas. J’ai l’impression que tout le monde peut se rendre compte que je porte une culotte mais Sylvain est le seul client à me regarder traverser le bar. En me rasseyant je prends mon boxer en poche et le lui passe sous la table. C’est son tour d’être surpris.

• — Oh je vois que tu te prends au jeu, John ! Tu veux dire que je dois aller échanger mon boxer pour le tien ?
• — Non, c’est juste pour te donner une preuve que j’ai relevé le défi. Mais je vais te choisir quelque chose de mieux que mon boxer à porter.
• — Hmm j’espérais que tu dirais ça !

Comme je connais le contenu du sac, je n’ai pas de mal à trouver le string auquel je pense. Il est assez simple en coton bleu. Je l’ai choisi parce qu’il se porte assez haut sur la taille.

• — Voici ta nouvelle tenue Sylvain. Dis-je en le lui passant sous la table.
• — Merci… il y a pas trop de tissus dis-donc.
• — Non et ce n’est pas ton seul défi, en revenant tu me donneras une preuve que tu le portes mais pas en me donnant ton boxer comme moi !

Sylvain ne semble pas comprendre mais il part tout de même aux toilettes. Je recommande deux bières et l’attends avec impatience. Assez vite je le vois revenir. À sa démarche je vois bien qu’il a mis le string et qu’il kiffe ça. Il se rassied face à moi et bois une gorgée de bière.

• — Alors et ma preuve ?
• — Elle est déjà sur ton téléphone cher collègue !

Ça, je ne m’y attendais pas. Je prends mon téléphone et vois que j’ai un nouveau message sur SnapChat. Je l’ouvre et vois une photo de Sylvain en gros plan ou plutôt du string de Virginie qui a du mal à contenir la bite gonflée de Sylvain. Après dix secondes la photo s’efface à jamais.

• — Ah ça, je ne m’y attendais pas !
• — Ah bon, tu attendais quoi comme preuve alors ?
• — Ben, je pensais que tu me montrerais l’élastique qui passe sur ta hanche.
• — Aaaah oui, j’aurais pu faire ça.
• — Mais la photo c’est très bien, je vois que tu es resté bien rasé.
• — J’ai bien aimé la prendre en tout cas.
• — Je sens qu’on est bien parti pour une deuxième soirée découverte… ça te dit de venir chez moi quand on a fini nos verres ?
• — Oui volontiers.

Trop excités, on laisse nos bières à moitié bues et on quitte le bar. En chemin on s’achète des sushis à emporter. En cinq minutes à pied on arrive à mon immeuble. On est les deux seuls dans l’ascenseur. Sylvain me tourne le dos et soulève sa chemise en disant :

• — Voici ta deuxième preuve Monsieur.

Je vois le string bleu qui dépasse de sa ceinture.

• — Ah mais c’est pas comme ça que ça se porte ! 

Je prends les élastiques de chaque côté et les tire vers le haut pour les placer bien haut sur ses hanches. Je vois la ficelle du string se tendre et remonter assez haut.

• — Wouah, c’est plus tendu là. Mais tu as raison c’est comme ça que ça se porte. 

On croise une voisine dans le couloir et puis on arrive enfin dans mon appart. J’ai très envie de faire des cochonneries tout de suite, mais à la fois je sais qu’on sera plus à l’aise après une douche. J’installe Sylvain avec une bière et les sushis devant la télé et vais dans la salle de bain. Je ressors en peignoir de bain et il va se laver à son tour. Je mange en l’attendant. Quand il ressort lui aussi en peignoir la tension est retombée. Je vois bien que lui aussi a envie de recommencer notre petit jeu mais je sais comment revenir sur le sujet.

• — Le problème de cet appart c’est qu’il y a des voisins en face avec une bonne vue sur le salon.
• — Ah ouais ! Tu peux pas faire comme chez moi alors, pour tes… soirées télé.
• — Non, c’est pour ça que j’ai tout mon petit matos dans la chambre.
• — Ah bon… ! je peux voir ?

Je suis ravi de sa demande. Je l’emmène dans la chambre. J’avais préparé le coup en étalant toutes les culottes de Virginie sur le lit et en lançant une vidéo d’essayage de culotte sur l’écran attaché au mur face au lit.

• — Ah très intéressant de voir ta petite organisation de branleur ! Tu es mieux installé que moi mon vieux ! En plus je vois que toi aussi tu es fan de Lauren Alexis, tu as de bons goûts.
• — Oui j’adore ses vidéos d’essayage de lingerie, trop bandant et c’est elle qui m’a donné le goût d’acheter de la lingerie.
• — À propos, dit Sylvain en prenant un string mauve en main, on se rhabille ?
• — Hi hi, volontiers, on va profiter du fait qu’on bande plus pour pouvoir mieux les porter. Tu peux choisir ce que je dois mettre et moi je choisis pour toi.
• — OK, alors tu vas mettre ce beau string mauve. L’avant est assez grand et en dentelle. Comme ça, ça permettra d’encore contenir ta queue quand elle aura rebandé.
• — Ça marche, Sylvain, mais c’est toi qui me le mets !

Ravi, Sylvain se met à genoux devant moi, il défait ma ceinture. Mon peignoir s’ouvre laissant voir ma bite gonflée, mais encore pendante. Je passe un pied puis l’autre dans le string qu’il remonte ensuite lentement. Il écarte bien le tissu en dentelle mauve pour venir emprisonner ma bite vers le bas, coincée contre mes couilles, puis il relève bien les côtés du string pour le faire rentrer entre mes fesses.

À mon tour je choisis un tanga en soie rouge. Je m’agenouille devant lui, je profite de l’excuse de l’accommoder pour lui tripoter le sexe. Je suis curieux de manipuler sa bite maintenant qu’elle est molle. Sylvain me laisse faire un grognant d’approbation et je le sens gonfler sous mes doigts. Ensuite, je lui fais faire un demi-tour, écarte son peignoir pour bien voir ses fesses quand je relève le tanga bien haut et qu’il va se cacher entre ses fesses toutes rondes et lisses. Je me relève et on fait tous les deux quelques pas dans la chambre, peignoirs grands ouverts.

• — Hmmm c’est vraiment agréable de marcher en string, j’ai kiffé de faire ce trajet en rue depuis le bar en portant ma culotte brésilienne.
• — Oui, ça stimule entre les fesses à chaque pas, ça me rappelle mon petit cadeau qu’on m’a livré au bureau tout à l’heure.
• — Ah ton mystérieux colis ! Tu vas me montrer ce qu’il y a dedans maintenant qu’on est entre nous ?
• — OK John, mais tu promets de pas être choqué ?
• — Non, non, promis ! dis-je d’autant plus curieux.

Sylvain va chercher son paquet dans le salon et revient en l’ouvrant. Il en sort une boîte noire qu’il ouvre devant moi. Nous y découvrons une collection de plugs anaux de différentes tailles. Ils sont en métal argenté, dans la boîte il y a également une bouteille de lubrifiant. J’en prends un en main, il est plus lourd et plus froid que je ne m’imaginais.

• — Ouf ça c’est vraiment porno !
• — Oui ! Encore plus que ma vaginette. Mais ça fait longtemps que j’ai envie d’expérimenter ça et après notre soirée vendredi dernier je les ai commandés.
• — C’est vrai que j’ai vu pas mal de pornos où ils s’amusent avec des plugs mais j’aurais jamais imaginé en utiliser.
• — Pourtant tu es aussi très sensible des fesses si tu aimes porter des strings ! Tu as jamais été te caresser là derrière en te branlant ?
• — Non jamais, mais c’est vrai que la caresse du string me plaît beaucoup.
• — Alors c’est encore un truc auquel je dois t’initier ! Va t’allonger sur le lit.

Excité que Sylvain prenne les choses en main, je me couche sur le lit. Je garde le peignoir mais il est grand ouvert. Sylvain arrive avec sa boîte, il enlève son peignoir et s’agenouille à côté de moi. Il tire la dentelle de mon string sur le côté, ma bite en jaillit en érection.

• — Ah je vois que tu as repris des formes !
• — Oui, dès que je porte de la lingerie ça me fait bander. Puis parler cul avec toi, je kiffe aussi même si là j’ai un peu peur de ce qui suit.
• — T’inquiète pas John, je vais y aller petit à petit, je suis sûr que tu vas en redemander ! Pour commencer, je vais juste mettre du lubrifiant sur ton beau zizi.
• — Hmmm c’est froid mais ta main, elle, est bien chaude et ça glisse bien du coup !
• — Oui, c’est bon de rebranler ta queue ! Maintenant tu vas plier tes genoux et les ramener jusqu’à toucher ta poitrine.
• — Comme ça ?
• — Oui mais en plus tu écartes tes cuisses, voilà comme ça, dit Sylvain qui se déplace pour être face à moi, ses genoux touchant l’arrière de mes fesses et me maintenant dans cette position.
• — Wouah ! C’est le genre de position que prennent les meufs en chaleur, je me sens encore plus exhibé que quand je suis à poil ou en string devant toi.
• — Exactement mec mais c’est ça qui est bon, se sentir un peu salope, dis Sylvain en versant une généreuse dose de lubrifiant sur mes couilles qu’il vient ensuite étaler tout le long de ma raie dont il a écarté la ficelle. De son autre main il me branle lentement.
• — Oui c’est vrai que c’est trop excitant de me sentir exhibé et de faire un peu la salope… Tu as raison c’est délicieux comme caresse, encore meilleur que ta branlette la semaine dernière.
• — Ah je savais que tu serais aussi sensible du cul que moi ! Je pense que tu es presque prêt, je te rassure le premier plug est pas plus large que mon index. Sylvain est en train de masser ma rondelle avec son doigt lubrifié, je gémis à chaque fois qu’il augmente la pression.
• — Oui Sylvain je suis prêt, mais je te préviens que je vais pas résister longtemps, je suis déjà prêt à gicler.
• — Regarde il va rentrer très facilement. Mais je vais pas te laisser gicler dans ma main cette fois.

Sylvain présente le plug le plus étroit à mon anus lubrifié et appuie dessus lentement je le sens rentrer sans soucis, m’élargir lentement, augmentant mes sensations. En même temps il se penche en avant, vient prendre mon gland en bouche et commence à le sucer avidement. Cette double sensation me fait crier de plaisir. Je sens le plug se mettre en place dans mon cul, la bouche de Sylvain toute chaude et humide sur mon gland et sa main qui me branle fort. Je jouis très fort, lui remplis la bouche de sperme mais il garde mon gland en bouche et me semble avaler tout. Puis il se redresse avec le sourire, je déplie les jambes en gardant le plug bien enfoncé en moi.

• — Quel pied ! Tu m’as encore une fois fait jouir super fort Sylvain. Tu as pensé quoi de ta première pipe ?
• — Bah c’était fort court mais trippant. Je suis très fier de t’avoir fait jouir avec ma bouche et ça m’a plu cette sensation de sperme qui jaillit, puis d’en découvrir le goût.
• — Moi, la semaine dernière j’avais recraché par surprise mais ce soir j’ai aussi envie de goûter ton jus. D’ailleurs c’est à mon tour de m’occuper de toi et à ton tour de prendre une position de salope, dis-je en enlevant mon peignoir et remettant mon string en place.
• — Avec plaisir John, je m’installe comment ?
• — Pour commencer, assieds-toi sur mon peignoir ici au bord du lit, écarte bien les cuisses !
• — Je me mets à genoux devant le lit, prends les hanches de Sylvain en main et viens poser mon visage contre son paquet. Je tire avec les bras, enfonçant mon visage contre son tanga, je sens son érection pressée contre mes lèvres, mon nez et ma joue. Je commence à lécher le tissu tendu avec une langue bien mouillée.
• — Hmmm ça sent bon la bite malgré ta douche !
• — Aaah c’est que ça m’a bien excité de m’occuper de ton petit cul et de sucer une queue pour la première fois !
• — Hmm oui, c’était trop bon et ce plug que tu m’as mis continue à me stimuler à chaque mouvement !
• — Oh tu me chauffes trop John ! Laisse-moi sortir ma bite de ce tanga tout mouillé s’il te plaît !
• — Pas si vite ! Tu vas garder le tanga mais venir te mettre à quatre pattes sur mon peignoir.

Sylvain s’exécute sans se faire prier.

• — Mieux que ça ! Descends sur tes coudes et cambre le dos !
• — Eh, eh ! Tu sais ce que tu veux John…
• — Oui comme ça, avoue que ça te fait bander cette position ? dis-je en venant caresser son paquet tendu entre ses cuisses.
• — Hmm oui, moi aussi ça m’excite de faire ma salope.

J’asperge ses fesses d’une généreuse dose de lubrifiant, ça coule entre ses fesses et le long de ses cuisses. Je viens étaler tout ça de mes deux mains, concentrant petit à petit mes caresses sur sa raie. Sylvain m’encourage de ses gémissements. J’écarte la ficelle du tanga et continue mes caresses sur sa raie bien ouverte. Je sélectionne un plug de taille moyenne dans la boîte. Le sentant tout froid, naturellement je le mets en bouche pour le réchauffer. Me retrouver à sucer ce plug anal me rappelle les pornos que je mate souvent. Sans plus réfléchir, je viens poser ma langue sous les couilles de Sylvain et la remonte lentement, tout le long de sa raie. Son gémissement de surprise et de plaisir m’encourage, je recommence à lui lécher lentement le cul en salivant fort. Petit à petit, ses gémissements m’amènent à concentrer mes caresses sur sa rondelle. Je continue à caresser son paquet sans sortir sa bite. Sylvain ondule son bassin et gémis non-stop. Comme je sens sa rondelle bien détendue après quelques minutes de massage avec ma langue, je viens la remplacer par mon majeur qui y glisse sans problème, une phalange à la fois jusqu’à être entièrement enfoncé dans son petit trou. Je garde mon doigt en place et viens me coucher sur le dos, passant la tête entre les cuisses de Sylvain. J’écarte son tanga, sa bite jaillit super tendue. Je la saisis de mon autre main et la dirige vers ma bouche. Je prends son gland en bouche et commence un va-et-vient avec mon majeur dans son cul. Entre deux gémissements Sylvain me prévient qu’il est sur le point de jouir. Pour le faire basculer, je viens rentrer mon index en plus de mon majeur. C’est serré mais bien lubrifiés, les deux doigts rentrent entièrement. Il n’en fallait pas plus, Sylvain hurle de plaisir et vide ses couilles dans ma bouche. J’avale tout son foutre et garde mes doigts et sa queue bien en place alors qu’il s’écroule sur le côté après son orgasme, continuant à gémir de plaisir. J’ai de nouveau une grosse érection dans mon string, la soirée ne fait que commencer…