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n° 22027Fiche technique18043 caractères18043
Temps de lecture estimé : 13 mn
02/10/23
Résumé:  Sophia tente de se nourrir.
Critères:  fh ff grp vacances fsoumise hsoumis hdomine intermast fellation fsodo aliments attache -dominatio
Auteur : Myhrisse            Envoi mini-message

Série : Sophia

Chapitre 05 / 11
Nourriture

Résumé des épisodes précédents :

Après avoir été récompensée au déjeuner, Sophia apprend de Scott la règle lui permettant d’accéder au plaisir. Elle se met en quête de sperme. Elle a déjà obtenu celui de Danny, de Scott et du capitaine.




Sophia s’éloigna de la cabine du capitaine. Encore deux. Des gémissements et des coups de boutoir l’attirèrent sur le pont inférieur. Dans une cabine, Ryan tringlait la soubrette. Sophia regarda l’officier culbuter la jolie Service par-derrière, la limant avec fougue avant de se déverser dans son con. « Merde, pensa Sophia, il ne va pas être prêt à remettre le couvert immédiatement. »


Ryan sortit sans accorder un regard à Sophia. La soubrette rajusta sa tenue et fit mine de sortir. Sophia la prit de vitesse en entrant dans la pièce.



La soubrette marmonna plusieurs sons incompréhensibles tout en se balançant d’un pied sur l’autre. Ses épaules se détendirent et ses sourcils se froncèrent. Finalement, elle dit :



Sophia n’avait pas spécialement prévu de faire jouir la soubrette, mais uniquement de lécher sa chatte pour y récupérer le précieux liquide. Cependant, détendre Service permettrait probablement aux relations de s’apaiser. Peut-être qu’ensuite, la soubrette serait plus encline à la laisser manger. Olivier avait demandé de la solidarité. Il s’agissait davantage d’un échange mutuellement bénéfique, mais c’était déjà un bon pas, non ?



Un essai. Un orgasme. Ça faisait bien cent pour cent, non ?



Sophia s’agenouilla et réalisa le cunnilingus sous les conseils de la soubrette. Service ne mit pas longtemps avant de perdre toute faculté à parler et de se contracter de manière très explicite. La respiration redevenue calme, la soubrette la remercia d’un souffle.



« Plus qu’un », pensa Sophia. Où pouvait se trouver le promeneur ? Elle sortit pour trouver le petit chien accoudé à la rambarde, observant le paysage. Sophia se plaça à ses côtés. Il se tourna vers elle et ne fit aucune remarque sur sa poitrine recouverte de sperme ni sur le fait que la soubrette ressortait souriante de la cabine d’où venait Sophia.



Sophia grimaça. Voilà qui n’allait pas lui simplifier la tâche.



Franck venait de se déverser dans le cul de cet homme. Donc, en théorie, son sperme se trouvait là. Elle pouvait demander à ce mec de pousser puis lécher le résultat. Sauf que l’idée même d’agir ainsi la révulsait. Or Olivier avait bien dit que jamais personne ne devait se sentir mal. Le but était de s’amuser, et un anulingus, c’était hors limite pour Sophia. La scatophilie ne la branchait pas du tout. Elle allait devoir trouver autre chose.



Devoir trouver des manières de recueillir le sperme des cinq officiers la mettait en joie, elle devait bien l’admettre. Elle passait un bon moment. Le carcan lui faisait un peu mal aux épaules. Elle aurait aimé jouir et son estomac grondait, mais en dehors de ça, elle se sentait merveilleusement bien.


Elle soupira. Que faire maintenant ? C’était râpé pour la jouissance aujourd’hui. Elle devrait tout recommencer le lendemain – ce qui ne la dérangeait pas le moins du monde. Au contraire, elle en souriait d’avance. Pour l’heure, elle se trouvait désœuvrée. Comment remplir ce temps mort ?



Sophia hocha la tête. Elle n’était pas brat pour un sou, mais connaissait le principe pour l’avoir souvent vu.



Sophia rit. Elle comprenait. Elle non plus ne supportait pas que Bouc émissaire se prenne les conséquences de ses erreurs, même si elle le savait consentant et heureux de recevoir. Elle ferait tout pour qu’il ne reçoive pas de douleur, et ce même si cela devait le rendre malheureux. Elle fut prise d’un doute. Elle décida qu’elle irait voir Bouc émissaire pour discuter avec lui. Elle avait besoin d’éclaircissements.


En attendant, Vide-couilles lui avait demandé quelque chose. S’occuper de lui ne dérangerait pas Sophia. Cet homme n’avait rien d’un apollon, mais il était craquant et il la matait comme si elle était un diamant étincelant.



Sophia enregistra l’information. Le finir avec une main. Elle n’avait jamais fait ça non plus, tous les dominants croisés ayant toujours exigé une fellation complète. Décidément, ils avaient l’art de la découverte malgré la présence de joueurs expérimentés. Sophia allait se mettre à genoux, mais Vide-couilles l’en empêcha.



Sophia rougit de la tête aux pieds. Elle se sentit un peu honteuse. Elle ricana nerveusement. Elle hocha la tête avant de souffler :



Sophia ricana. Bi, il l’était sans aucun doute. Ce type avait des perversions très intéressantes, jugea Sophia. Il la lécha, la nettoyant avec précision, retirant toute trace de sperme, faisant glousser Sophia.



Vide-couilles ricana. Ses yeux brillèrent. Il embrassa les seins de Sophia puis retira sa culotte bouffante. Sophia se mit à genoux et attrapa la bite dure dans sa main.



Il continua à la guider, n’hésitant pas à tenir son poignet pour lui imposer son rythme. Enfin, il gicla sur le pont dans des râles sourds.



Elle devait s’admettre amusée. Masturber un mec sur le pont d’un bateau au milieu d’une forêt sous un vent tiède avait quelque chose de surréaliste. Qui pouvait se vanter d’avoir fait une telle chose ?


La porte de la cabine voisine s’ouvrit pour dévoiler Franck, tiré à quatre épingles.



L’estomac de Sophia criant famine, elle décida de se rendre en cuisine.


La Caucasienne bâillonnée rangeait des plats. L’Asiatique se trouvait attachée à un pilori dont Sophia n’avait pas remarqué la présence lors de sa précédente venue.



La cuisinière fit « non » de la tête. Celle au pilori dont Sophia ne voyait que l’arrière, la courbe de ses fesses à peine visible sous la tunique crème, lança :



Elle découvrit que l’Asiatique avait la bouche libre. Sophia supposa que le pilori était la condition pour avoir le droit de retirer le bâillon.



L’Asiatique gloussa joliment. Scott entra à ce moment-là. Il se dirigea droit sur l’Asiatique, contourna le pilori et présenta sa queue à la femme à sa disposition. Elle le suça puis il se retira pour faire coulisser son sexe dur dans le cul de la femme offerte. Il se vida dans ses entrailles puis s’en alla sans autre forme de procès, non sans attraper un petit gâteau en passant.



Sophia rit. L’autre cuisinière ricana sous son bâillon.



Scott avait été clair : aucun officier ne donnerait jamais de plaisir à aucun soumis ou soumise. Les cuisinières ne dérogeaient pas à la règle.


Bouc émissaire fit son apparition. Sophia fronça les sourcils. La cuisinière au pilori lui avait dit que seuls les officiers pouvaient manger en dehors des heures de repas. En même temps, si Bouc émissaire dérogeait à cette règle, c’était lui qui prenait or il adorait ça. Ça ne devait donc pas le déranger plus que ça.


Bouc émissaire ouvrit un placard, en sortit un flacon rouge et s’approcha de l’Asiatique. Sophia le regarda faire, incrédule. Lui avait le droit de donner du plaisir à la cuisinière. Venait-il lui offrir la libération tant désirée ?



L’Asiatique gémit et se tordit. Sophia reconnut de la peur. Que se passait-il ?



Elle devait probablement souffrir de la mâchoire.



Il plaça sa main sur le sexe de Commis et massa avec douceur. L’Asiatique sensible réagit au quart de tour. Sophia ne voyait pas bien, mais vu les bruits, Bouc émissaire s’amusait aussi à caresser les parois internes de la femme à disposition. Nul doute que ses gestes étaient très agréables. Pourquoi l’Asiatique l’avait-elle supplié de ne rien faire ? N’avait-elle pas envie d’avoir du plaisir ?


Bouc émissaire attrapa la bouteille rouge et versa un peu du liquide sur sa main droite avant de reprendre ses attouchements. Les cris de l’Asiatique se firent plus aigus. Sa respiration devint sifflante et des larmes perlèrent à ses yeux. Elle supplia d’une voix misérable. En réponse, Bouc émissaire remit du liquide rouge et poursuivit.



Il se leva, laissant l’Asiatique se tortiller sous l’effet de la chaleur intense. Il revint avec un seau dans la main. Il plongea sa main dedans avant de la plaquer sur le sexe de l’Asiatique qui hurla. Sophia jeta un œil dans le contenant métallique : glaçons. Après le chaud, le froid. Il s’amusa avec son jouet vivant quelques instants avant de partir, un sourire satisfait sur le visage.



L’autre cuisinière blêmit.



Chef s’approcha, s’accroupit devant sa compagne et secoua négativement la tête. Sophia lut dans son regard « Tu n’es pas comme ça ». Les épaules de Commis s’affaissèrent et elle hocha la tête. Sophia observa les deux femmes. Elle pourrait leur proposer de leur donner ce plaisir, mais elle en avait marre. Elle n’était pas homosexuelle et n’avait jamais été attirée par les femmes. Elle avait déjà pris sur elle pour Eau puis Service. Ça suffisait ! Et puis, elle était fatiguée. Ses épaules la tiraient. Du repos ne serait pas de refus.