n° 22024 | Fiche technique | 18662 caractères | 18662Temps de lecture estimé : 13 mn | 01/10/23 |
Résumé: Sophia en apprend davantage sur les règles du jeu. | ||||
Critères: grp vacances fsoumise hsoumis hdomine fellation fgode sm attache fouetfesse -dominatio | ||||
Auteur : Myhrisse Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Sophia Chapitre 04 / 11 | Épisode suivant |
Résumé des épisodes précédents :
Sophia a fini par trouver Danny et a obtenu son sperme, mettant fin à la torture de Bouc émissaire. Sophia s’est éloignée le temps de reprendre ses esprits après cette première matinée agitée.
Une cloche retentit. Sophia, qui observait le paysage depuis un pont supérieur en réfléchissant, se tourna vers le bruit. En bas, de nombreuses personnes allaient dans la même direction. Sophia se rendit au même endroit, considérant que c’était probablement ce qu’on attendait d’elle.
Cette nouvelle pièce, très grande, proposait une immense table en son centre. Les cinq officiers avaient pris place, le capitaine au bout. Bouc émissaire, Toilettes et Cordes se tenaient, à genoux, sur des coussins dans le fond. Eau attendait sur le côté, silencieuse, les yeux baissés, son seau plein, n’attendant probablement qu’un ordre pour bondir. La soubrette remplissait les verres. Aux côtés de l’officier blond se trouvait le soumis qui l’avait renseignée sur le gaillard arrière, lui permettant de trouver le salon des officiers. Il ressemblait à un petit chien fidèle.
Il jouait aux dés avec Danny et le capitaine, mais elle ignorait son nom. C’était celui qui surveillait la soubrette pendant qu’elle nettoyait le pont.
Sophia constata que la soubrette se crispa. La réaction n’était pas grande. Un néophyte n’aurait rien remarqué, mais Sophia avait l’habitude des sessions à plusieurs. Le geste ne lui échappa pas. Pourquoi le fait qu’elle suce cet officier dérangeait-il la serveuse ?
Sophia mit cette question dans un coin de sa tête avant de passer sous la table, devant cet officier. Il attrapa le carcan et le tint, d’une main, plaqué contre le rebord de la table, avant d’avancer sa chaise. Son sexe déjà dressé effleura le fond de la gorge de Sophia. Ce salopard ne voulait pas une simple fellation, mais une irrumation !
Sophia avait indiqué adorer ça dans sa carte. Qu’il se le permette ne la dérangea donc pas. Au contraire ! Elle s’en retrouva mouillée. Elle adorait se sentir ainsi possédée.
Il rectifia son erreur. Sophia serra le petit couvert en argent.
Cet échange l’avait fait mollir, ce qui n’était pas pour déplaire à Sophia qui supportait ainsi bien mieux la position. Le repas reprit.
Des notes s’élevèrent dans la petite pièce. Sophia ricana en reconnaissant « Du rhum, des femmes et de la bière, nom de Dieu ». Elle trouva ça carrément cliché, mais parfaitement adapté à l’ambiance.
Sophia entendit des bruits de vaisselle, mais ne put rien voir. Les odeurs lui chatouillèrent les narines. Son ventre gargouilla, mais seule la bite de Ryan lui fut donnée. La situation devait satisfaire l’officier, car son membre avait rapidement grossi. Ryan s’amusait à remuer du bassin. Il semblait très bien maîtriser ce qu’il faisait, car il avançait et reculait à peine, juste assez pour envahir la gorge de Sophia ou s’en retirer pour lui permettre de respirer.
Jamais Sophia n’avait eu à subir une irrumation aussi longtemps. Elle eut l’impression qu’une rivière coulait entre ses jambes. Elle avait peur que sa main moite ne fasse glisser la cuillère. Elle crevait d’envie de jouir. La situation la chauffait tellement !
Enfin, Ryan se recula totalement pour libérer sa proie. Sophia s’extirpa pour constater que le repas était terminé. Combien de temps était-elle restée là ? Elle n’en avait aucune idée. Son visage était trempé de larmes, conséquence incontrôlable de l’irrumation.
Sophia constata que les soumis et soumises, six au total, se tenaient en ligne, à genoux, dans le fond de la pièce. Sophia prit place à côté d’eux.
Sophia faisait partie de cette seconde catégorie. Qu’était-elle censée faire pour mériter une récompense ?
Les autres soumis et soumises hochèrent la tête. Sophia, occupée sous la table, ne s’en était pas rendu compte. Elle ne put qu’accepter.
D’où la demande dans un des questionnaires. Sophia avait dû donner, entre autres, ses entrées, plats et desserts préférés et ceux qu’elle n’aimait pas, en plus d’éventuelles allergies alimentaires qu’elle n’avait pas.
Bouc émissaire s’avança à quatre pattes, attrapa la bouchée sucrée dans la main du capitaine, la mâcha lentement, savourant son goût, puis avala. Enfin, il remercia le capitaine avant de retourner à sa place. Le pauvre avait subi. Son dos était couvert de zébrures. Il avait subi l’électricité puis la badine sur les fesses. Sa première matinée à bord avait été dure. Sophia estima cette récompense largement méritée.
Sophia resta un instant figée de stupéfaction avant de se lever pour rejoindre le capitaine, le carcan lui interdisant de le faire à quatre pattes comme son confrère. Elle s’agenouilla devant le maître des lieux avant d’avaler la bouchée attendant dans la main ouverte. Le chocolat explosa dans sa bouche. Une merveille !
Elle retourna ensuite à sa place, toujours interloquée d’avoir été récompensée.
Sophia n’en revint pas. Eux seuls étaient récompensés. Qu’avait-elle fait pour mériter ça ?
De fait, la soubrette avait déjà commencé à débarrasser. Sophia bondit sur ses pieds. Elle s’avança vers la table, mais le carcan compliquait tout. Bouc émissaire s’empara d’un morceau de quiche lorraine et la proposa à Sophia… dans sa main ouverte, paume vers le haut.
Sophia lui lança un regard noir. Manger dans sa main ? Il rêvait ! Pour qui se prenait-il ? Voyant son refus, il haussa les épaules, reposa la part de quiche à sa place avant de sortir. Toilettes prit sa place, se servant, lui, d’une fourchette pour nourrir Sophia.
Toilettes ne répondit rien en retour. Pouvait-il parler malgré le masque à gaz ? Était-il bâillonné en dessous ? Parlait-il seulement le français ?
Service retira l’assiette dans laquelle Toilettes se servait.
La soubrette se tourna vers elle, un rictus haineux sur le visage.
Sophia sortit, très énervée. Dehors, le capitaine les attendait, le visage fermé.
L’homme apparut moins d’une minute plus tard. En voyant les deux femmes, il soupira et leva les yeux au ciel.
L’homme se crispa, mais baissa les yeux, soumis. Sophia s’en voulut. Venait-il de perdre sa récompense à cause d’elles ? Mais pourquoi ? Sophia ne comprenait pas le lien de cause à effet.
Bouc émissaire plaça ses mains contre le mur du gaillard arrière, se penchant un peu en avant pour faire ressortir son cul caché sous sa culotte bouffante. Il avait déjà subi dix coups avant le déjeuner. Sophia secoua la tête.
Sophia hocha la tête, se demandant ce que le capitaine avait en tête.
Il tourna la tête vers elle.
Sophia serra les dents puis fit signe à Olivier de poursuivre. La punition lui fut difficilement supportable. Elle constata que la soubrette, elle, n’en avait que faire. Elle souriait.
Sophia se tourna vers Bouc émissaire qui, dos contre le mur, reprenait sa respiration. Elle fixa son entrejambe.
Olivier eut un regard narquois. Sophia n’était pas bien sûre d’apprécier.
Étant compersive, c’est ainsi qu’elle le serait aussi.
Sophia resta seule sur le pont que tout le monde avait déserté. Où étaient passés les autres ? Elle n’en avait aucune idée. Qu’était-elle censée faire ? Une chose était certaine : elle avait faim. Elle retourna dans la salle à manger pour découvrir la table vide. Service passait le balai. Sophia garda sa remarque acerbe pour elle et s’éloigna. Elle trouva rapidement Eau qui lui offrit volontiers à boire.
Elle rechercha ensuite un officier. Elle trouva le promeneur avec son chien. Elle lui indiqua poliment avoir besoin d’uriner. Il appela Toilettes, la libéra de son gode sous les yeux écarquillés de son chien puis la réharnacha une fois qu’elle eut vidé sa vessie. Elle le remercia avant de partir en vadrouille. Elle se rendit à l’avant du bateau, qu’elle n’avait pas encore visité.
Des mains pelotant ses seins la firent sursauter. Elle se tourna pour reconnaître le capitaine. Elle se détendit pour s’offrir à lui. Il déposa de doux baisers dans son cou, malaxant ses seins avec une redoutable précision. Il savait y faire, à n’en pas douter. Il s’amusa avec sa poitrine de ses doigts, mais également avec sa bouche.
Lorsqu’il cessa, Sophia ruisselait. Elle aurait joui d’une simple caresse sur son clitoris. Elle gémit de frustration alors que le capitaine s’éloignait, apparemment satisfait de son intervention. Sophia resta plantée là, le corps en feu, laissant une brise rafraîchissante lui offrir un peu de répit. Et ce gode qui l’ouvrait, impitoyable ! Elle adorait le sentir en elle. Il démultipliait son excitation. Elle voulait jouir ! Elle en avait besoin !
Elle se retourna pour se rendre sur le pont principal. Elle trouva Scott. Il doigtait l’Asiatique encordée, lui arrachant des petits cris suraigus. Alors qu’il la limogeait, clairement frustrée, une pince mordante sur le clitoris lui interdisant l’orgasme tant désiré, Sophia s’avança.
Scott acquiesça.
Il bandait à moitié. Il la laissa totalement faire. Sophia gagna rapidement son cadeau.
Il s’éloigna en remuant des hanches et des épaules, comme s’il suivait le rythme d’une musique que lui seul entendait.
Sophia réfléchit.
Scott, c’était fait. Ça n’avait pas été difficile.
Danny, c’était bon aussi. Elle y avait passé toute la matinée, mais c’était fait, grâce au défi imposé par Scott. Il avait été dans son sens à elle en lui demandant de faire ça. Sophia se demanda si elle ne devrait pas le remercier avant de rejeter cette idée.
Ryan avait passé tout le repas avec sa bite dans sa bouche, mais n’avait pas éjaculé.
Il lui fallait donc obtenir le précieux liquide de Ryan, du promeneur et du capitaine.
Sophia se rendit sur l’un des ponts supérieurs. Elle trouva le capitaine dans sa cabine. L’endroit, décoré avec goût de plantes et de tableaux marins, offrait un grand lit recouvert d’une couverture épaisse. Les pieds croisés sur un grand bureau vide, le propriétaire des lieux lisait un livre érotique.
Il se leva et lui fit signe de venir.
En bois massif, nul doute qu’il supporterait aisément son poids. Sophia s’installa, pliant les jambes pour que ses pieds reposent sur le plateau verni.
Sophia frémit de partout. Il comptait la pénétrer la tête en bas. Cette position offrait le meilleur angle de pénétration pour une gorge profonde.
Il profita de la bouche offerte. Maintenant le carcan d’une main, il empêchait Sophia de bouger. Le ventre de la soumise hurlait son besoin d’être rassasié. Elle adorait la situation, qui l’excitait au plus haut point. Compersive, elle l’était. Elle adorait donner du plaisir aux autres, mais son corps à elle aussi avait ses besoins ! Le plaisir cérébral, c’était super, mais un peu de physique ne lui aurait pas déplu.
Elle géra sa respiration, subissant impuissante les assauts du capitaine qui s’en donnait à cœur joie. Enfin, elle le sentit tressaillir, preuve qu’il ne tarderait pas à venir. Au moment fatidique, il se retira pour jouir sur sa poitrine, la recouvrant de son sperme.
Il aida Sophia à se redresser. Elle observa le sperme coulant sur son torse. Scott avait bien dit « goûté le sperme », pas juste « fait couler ». Sophia remercia le capitaine puis sortit. Elle se pencha en avant pour faire tomber une goutte au sol puis se mit à genoux avant de descendre au sol lécher le précieux liquide.
Sophia se releva. Ces génuflexions faisaient bouger le gode dans son ventre, augmentant son excitation sans la libérer pour autant.