n° 22031 | Fiche technique | 22292 caractères | 22292 3708 Temps de lecture estimé : 15 mn |
03/10/23 |
Résumé: Entre le confinement, le télétravail et l’irruption du mouvement MeToo comment font les hommes et les femmes d’entreprise pour convoler l’un vers l’autre, alors que le bureau a toujours été un des lieu privilégié de rencontre... | ||||
Critères: fh fplusag jeunes collègues profélève complexe travail école cérébral revede intermast init portrait -initiatiq | ||||
Auteur : JeffTrois Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Télétravail : qu'en est-il des fantasmes du bureau… Chapitre 04 / 04 | FIN de la série |
Résumé des épisodes précédents :
La crise de la Covid a porté un coup fatal aux rapprochements humains.
La crise de la Covid a porté un coup fatal aux rapprochements humains.
Il est indéniable que la pratique du télétravail, qui en a découlé, a chamboulé beaucoup de nos habitudes, y compris nos relations sociales et amoureuses. Fini le travail tardif avec une accorte secrétaire ou une collègue de travail… Fini les rapides étreintes dans le local exiguë de la photocopieuse… Fini la pause-café avec la jeune stagiaire au petit minois affriolant qui faisait retrouver ses vingt ans à un jeune quadra…
Entre le confinement, le télétravail et l’irruption du mouvement MeToo comment font les hommes et les femmes d’entreprise pour convoler l’un vers l’autre, alors que le bureau a toujours été un des lieu privilégié de rencontre et de rapprochement des couples… En 2018, 14% des couples se formaient au bureau (sources France-Info) !
Alors, qu’en est-il aujourd’hui ?
Arthur n’en revenait pas : une des plus jolies filles de l’amphi venait de s’installer à ses côtés alors qu’il y avait tellement d’autres places libres.
Et Arthur lui glissa son cahier plein de chiffres, de signes ésotériques pour le commun des mortels.
Après trois heures de cours de physique fondamentale, Caroline au lieu de se dépêcher de rejoindre la sortie, apostropha Arthur.
Arthur, flatté, interrompit son rangement qu’il faisait toujours avec soin.
Arthur devint rouge de confusion.
Bérénice était une chouette fille qui avait brillamment atterri sur les bancs de cette école d’ingénieur, mais restait à la traîne des classements. Alors elle avait demandé à Arthur un coup de main sur quelques cours. Et, bon camarade, Arthur avait partagé son savoir avec empressement. Bérénice était boursière, aussi ne disposait-elle d’aucune possibilité financière pour payer Arthur pour ses conseils qui avaient fini en cours. Alors elle avait payé de sa personne.
Ce n’est pas qu’elle était plus moche ou plus belle que d’autres filles. Un peu replète, naturellement blond vénitien, son teint de porcelaine lui donnait un charme un peu nordique, même si elle venait du sud de la France. Binoclarde, elle avait un corps appétissant… taille moyenne, des seins en pomme aux dimensions normales, un petit bourrelet douillet faisait office de ventre, des jambes fuselées. Entre elles, Bérénice cachait un sexe glabre, aux lèvres charnues qui laissaient dépasser les deux fines crêtes de ses nymphes.
Des expériences de l’amour physique ? Bérénice n’en avait pour ainsi dire aucune. Juste un petit copain au lycée qui s’était contenté de petits bisous et d’une main sur, puis sous son soutien-gorge. Et après ? Après, rien… Non, les études, les classes préparatoires aux concours, et tout son temps libre avait été consacré aux études et encore aux études.
Alors, un soir, sans en parler avec Arthur, Bérénice au dernier moment, s’était levée de sa chaise de bureau, avait respiré un grand coup et, sans réfléchir plus que ça, elle s’était désapée devant les yeux ahuris et exorbités d’Arthur.
Arthur, contemplait la jeune fille nue, qui tournait alors sur elle-même pour présenter toutes les faces de sa personne et, en déglutissant, il lui répondit :
Arthur, excité, repoussa sa chaise et s’approcha de Bérénice, l’enveloppant dans ses bras pour lui faire un tendre câlin…
Rapidement, leurs lèvres s’étaient cherchées pendant que les mains d’Arthur s’activaient le long de son dos. Sa peau était soyeuse, douce, chaude. Et ce simple contact avait réellement déclenché une érection dans son pantalon. Érection qui n’avait pas échappé à Bérénice.
Et en deux pas, ils s’étaient allongés, sans dessouder leurs lèvres. Arthur, hardiment, partit en exploration du corps offert. Les seins en pomme, aux aréoles à peine marquées mais pointues, devenaient plus fermes sous sa paume. Bérénice semblait aimer ce contact et, contre lui, il sentait son ventre se creuser. Alors il avait abandonné les seins pour plonger vers la fourche de ses jambes. Bérénice, les avait ouvertes pour laisser passer la main de son futur amant, et avec une certaine appréhension, maintenant, elle attendait la suite.
Arthur, timidement, avançait sa main et ses doigts vers ce tabernacle inconnu. C’est que lui aussi était resté sage. Les études, un peu de sport (pour grappiller quelques points en plus dans les concours), mais ni sorties, ni cinémas et encore moins de filles. Alors il découvrait vraiment le corps d’une femme. Bien sûr, il avait été sur Internet, mais là, il avait quelque chose de vivant, de chaud et de réactif entre les doigts. Alors, tel le bon élève, il voulait réussir son examen de passage et surtout, s’appliquer à bien faire.
Du bout des doigts, comme si la bouche vers laquelle il les dirigeait, allait le mordre, il découvrit le sexe de Bérénice qui, à ce premier contact, frissonna en poussant un long soupir de contentement. Puis les choses s’accélérèrent et Arthur finit par écarter les lèvres, trouver le bouton d’amour de Bérénice pour l’amener vers les premiers spasmes du plaisir.
Elle, pas en reste, avait sorti la verge d’Arthur et la caressait.
Malheureusement pour les deux amants, ni l’un ni l’autre n’avait de préservatifs et, pour ce premier contact, ils se caressèrent mutuellement, s’amenant chacun vers le plaisir et la jouissance de l’autre, en se promettant de faire l’amour la prochaine fois…
Arthur, malheureusement ne revit pas Bérénice, le confinement le privant de sa compagnie. Dès l’annonce, il s’enferma à double tour dans sa chambre d’étudiant, ne sortant que pour se nourrir. Et durant bon nombre des soirs au cours de cette sombre période, Arthur bandait en repensant au corps de Bérénice, à ses premiers émois, à la douceur de sa chatte. Il avait, lui semblait-il, l’odeur et l’humidité qu’elle avait dégagée, sur le bout de ses doigts. Alors, il se caressait jusqu’à jouir. Et comme cela le frustrait, il recommençait, quelquefois immédiatement et, certains soirs, il remettait au lendemain sa masturbation. Mais souvent, dans la journée, la pensée, l’image de la chatte de Bérénice surgissait dans ses pensées et, hop, il bandait !
Après plus d’un mois d’enfermement, le retour à la vie active d’étudiant fut un vrai soulagement comme pour beaucoup de ses camarades.
Voilà comment, il avait été surpris par la remarque de Caroline !
Arthur semblait désappointé par cette nouvelle.
Alors les deux élèves-ingénieurs sortirent de l’amphithéâtre ensemble, tout en parlant d’un programme d’études à refaire…
Quelques jours plus tard, Arthur venait toquer à la porte de la chambre de Caroline qui attendait avec impatience sa visite. Elle avait tout préparé… Ses cahiers, de quoi écrire et prendre des notes, elle avait mis un tabouret pour elle et une chaise pour lui. Sur le bord du bureau (enfin la planche qui servait de bureau), elle avait préparé deux verres et acheté une bouteille de soda. En même temps, elle avait refait son lit, mis une robe (ce qui était rare chez elle, plutôt adepte du jeans et des baskets) et enfilé ses plus beaux sous-vêtements…
Elle avait été attentive, bonne élève, notant les points que lui indiquait Arthur. La place était exiguë et leurs genoux n’arrêtaient pas de se frôler, puis tel un choc électrique de s’éloigner aussitôt l’un de l’autre, pour recommencer quelques minutes plus tard. Ensemble, ils avaient bu, s’étaient souri, leurs têtes aussi se rapprochaient, penchées sur une même feuille de papier jusqu’au contact, tempe contre tempe… alors Caroline avait avancé la bouche et les lèvres et, après avoir déposé un premier baiser sur la joue d’Arthur, ce dernier tourna la tête de surprise et elle en profita pour s’emparer de ses lèvres… La leçon était finie…
Caroline, nettement plus experte que Bérénice en matière de garçons, tout en s’emparant de la bouche d’Arthur, lui avait mis une main sur la nuque alors que l’autre partait directement sur son sexe qui, sous les coups de langue, commençait à prendre du volume.
Dans un souffle, Arthur glissa à l’oreille de Caroline :
Rassuré, mais un peu interrogatif, Arthur se laissait faire. Et ses mains se mirent à explorer le corps de sa camarade.
Oui, Caroline faisait partie des quelques jolies filles de la promotion. Bon, c’est vrai, elles n’étaient pas si nombreuses. Mais Caroline était belle, enfin selon les critères personnels d’Arthur qui ponctuait ce genre de jugement par « mais la beauté, ça ne se mange pas en salade ! » en faisant référence à une phrase souvent serinée par sa grand-mère. Mais là, il n’avait pas tort, Arthur. Caroline était belle, et même très belle. D’ailleurs, ne lui avait-elle pas avoué que, l’année du bac, elle s’était présentée à un concours régional de Miss, où elle avait été sélectionnée pour finir comme 1re Dauphine ! C’est dire si elle était belle.
Grande, brune aux cheveux lissés et carrés, le front légèrement bombé, un nez droit, des pommettes un peu saillantes, la mâchoire volontaire et des yeux gris verts. Elle avait une poitrine attirante, naturelle. Des bras secs et déliés se terminant par de grandes mains fines. Ses jambes semblaient interminables et magnifiquement proportionnées, même si elles étaient souvent cachées par un pantalon. Et, comme Bérénice, son sexe était glabre, quoiqu’en y mettant les doigts, Arthur découvrit qu’elle laissait une légère bande de poils ras, le long de ses lèvres formant une sorte de petit bourrelet, très excitant pour lui comme pour elle.
Caroline et lui s’étaient déshabillés et avaient roulé sur lit. Ils se découvraient et, Caroline, plus audacieuse qu’Arthur, s’était empressée de parcourir son corps avec sa bouche, excitant les tétons d’Arthur qui découvrait à chaque nouvelle succion, des sensations inconnues et agréables. Puis Caroline avait approché sa bouche de son sexe. Avec douceur et attention, elle l’avait gobé, puis aspiré, puis recraché avant de le reprendre et d’électriser Arthur qui ne savait plus que faire, ni comment faire, car il sentait monter dans sa tige les premières vagues de plaisir.
Intérieurement, et surtout ultérieurement, Arthur avait kiffé cette première pipe. Caroline était douée. Belle et douée ! Waouh ! Elle avait tout pour plaire… Mais Arthur se souvenait soudain qu’elle avait des capotes dans sa chambre, donc, elle n’en était pas à son coup d’essai, elle… Il avait conclu en bon petit mâle… « Et c’est une salope ! »
Caroline était loin de se douter des pensées qui assaillaient la tête de son camarade. Avec application, elle avait avalé tout son foutre et continué en déglutissant pour lui redonner de la vigueur. Elle voulait baiser et tant pis s’il n’était pas doué pour les préliminaires, elle saurait se contenter de ce qu’il avait à lui offrir. À plus tard l’éducation…
Et, tout en le suçant, Caroline enferma le sexe d’Arthur dans un préservatif et avant qu’il ne s’en rende compte, elle l’avait enfourché, écartant ses nymphes mouillées par le désir, et guidant le membre dans son sexe…
Remuant les fesses pour le caler bien fond d’elle, elle avait attendu quelques secondes pour entamer elle-même une série de va-et-vient qu’elle mena à son rythme, à son tempo, jusqu’à son extase à elle.
Arthur n’en croyait pas ses yeux, ni sa queue… Il était en train de baiser… Peu importe qui… Caroline… Bérénice… Il baisait ! Oui, il avait sa queue dans un con ! « Putain que c’était bon ! » Non, pas bon… Merveilleux… Non, pas merveilleux, juste énorme… Oui, carrément eu-nor-meuh ! Alors ses mains, ses hanches commencèrent à entrer en action… Il ne pouvait pas rester passif… Son instinct de mâle lui ordonnait de bouger… Et pour le plus grand plaisir de Caroline, Arthur se mit à la caresser, partout… Les seins, le ventre, les cuisses, les fesses, surtout les fesses, le haut de son sexe, débusquant son tout petit clitoris, mais tellement sensible. Et puis encore les fesses qu’il écartait et dont il explorait la raie pour aller trouver son petit trou…
Soudain, Caroline, sans crier gare, ôta une fois encore le phallus de sa chatte pour le pointer sur son anus… Une sensation qu’elle adorait, car elle était habituée à offrir cette partie à ses petits amis imprévoyants (c’est à dire, sans capote) et Arthur se retrouva aspiré par le boyau étroit et totalement inconnu. La sensation fût tellement puissante qu’en quelques secondes Arthur se laissa aller à la jouissance dans le cul de Caroline !
Un peu frustrée par la rapidité de cette première étreinte, Caroline avait quand même eu le temps de prendre son plaisir mais, pour elle, il avait un goût de trop peu. Pour Arthur, c’était une féerie dans sa tête ! Feu d’artifice… Champion du monde… Presque était-il à s’imaginer faire le tour du bâtiment en courant, à poil, en levant les bras comme s’il avait marqué le but de sa carrière… Il n’avait fait que l’amour, certes pour la première fois, mais tellement vite et avec tellement de niaiseries qu’il n’y avait pas de quoi triompher. Et soudain, il se sentit épuisé, les paupières lourdes, la tête vide et cette irrésistible envie de fermer les yeux, malgré le spectacle que lui offrait le corps nu de Caroline.
Et, telle une masse, il ferma les yeux et s’endormit.
Caroline était restée stupéfaite par la réaction d’Arthur. Et en vraie future mère poule, elle avait tiré la couette sur le corps nu d’Arthur, en le laissant rejoindre les bras de Morphée. Au moins, de lui, elle ne pouvait pas être jalouse… quoique !
Arthur et Caroline remirent souvent le couvert. Arthur, au fur et à mesure de leurs rencontres s’affirmait et prenait des initiatives. Il avait appris à la caresser, lui donner du plaisir, lui caresser le clitoris, mais aussi l’intérieur de sa petite chatte. Il y avait mis les doigts, mais aussi la langue, et même le nez. Caroline avait été aux anges. Son amant était en train de se modeler à sa convenance.
Bérénice était revenue en cours et elle avait repris sa place et ses cours particuliers avec Arthur. Des cours très particuliers. Bien sûr, Caroline était au courant, mais elle avait décidé que c’était bien mieux comme ça, et elle partageait Arthur avec elle. Arthur, lui marchait toute la journée sur un petit nuage. Il avait organisé sa semaine en fonction des filles… Et, bien entendu, c’était parfait. Sauf qu’il s’épuisait, s’étiolait, et ses résultats dégringolèrent.
Un jour, à la sortie d’un cours où il aurait dû briller, sa professeure le retint.
Arthur baissa les yeux, tel un enfant surpris à faire une bêtise. Il ne savait que dire.
Arthur avait enfin levé les yeux du sol et fixa plus attentivement la silhouette de la prof qui s’éloignait. Elle devait avoir entre 35 et 40 ans, mais pas plus. Belle jeune femme, blonde, toujours habillée élégamment, elle ne portait jamais de pantalon mais des jupes mi-longues. Dessus, de gros pulls ou vestes pull-over. Elle était très rarement maquillée, mais ses yeux noisette n’en avaient pas besoin. En fait, Arthur n’avait jamais eu de flash particulier sur elle. C’était une prof qu’il admirait plus pour ses qualités de chercheuse-enseignante que pour son physique. Et c’était la première fois qu’il était convoqué dans le bureau d’un prof.
Toujours penaud, à l’heure dite, il se présenta à Solange R., professeur de physique des particules (c’était écrit sur la plaque). La porte étant ouverte, il n’avait eu qu’à passer la tête pour vérifier qu’il était bien attendu. Assise derrière son bureau, encombré par une masse impressionnante de documents et papiers divers, Solange attendait Arthur.
Solange n’était pas une maniaque ni de la poussière ni du rangement. Arthur finit par dénicher un siège et s’installait face à sa prof.
Arthur, était rouge de confusion et gêné par la tournure de la conversation. Il avait échafaudé bien des sujets, mais pas celui-ci… Alors, de quoi se mêlait-elle ? En quoi cela pouvait-il la déranger ?
Et tout en terminant de parler, Solange s’était levée, avait contourné le bureau, avait fermé la porte et en se tournant vers Arthur, avait fait pivoter son fauteuil. Sans laisser au garçon le temps de réagir ou de protester, elle s’était penchée sur lui et lui avait pris les lèvres dans un baiser aussi chaud que les braises du Vésuve.
Arthur surpris, s’était laissé faire. Il avait surtout envoyé (par réflexe ?) sa langue et Solange l’avait accueilli dans sa bouche. Et elle avait porté sa main sur l’entrejambe d’Arthur qui, après un geste de recul, avait ouvert ses cuisses pour se laisser caresser. Solange avec dextérité avait sorti la verge en semi-érection et, en lâchant la bouche, avait avalé le jeune braquemart qui commençait à durcir. Passé les premières secondes d’hébétude, Arthur se concentra sur cette femme, cette prof qui le suçait. « Mais qu’est-ce qu’elle veut, cette salope ? », pensait-il, « Si elle veut de la bite, je vais lui en donner… » et sur ces pensées, il avait envoyé les mains de chaque côté de la tête de Solange qui entamait un rythme de succion qui l’excitait. Mais, maintenant, il savait se retenir alors, quand il eut senti que son plaisir commençait à monter, il avait enlevé la bouche, attrapant Solange par le bras et l’avait fait pencher sur le bureau, au milieu des papiers. D’une main, il lui avait troussé sa longue robe, caressé les fesses, repoussé son slip, envoyé les doigts entre ses jambes pour atteindre un sexe chaud, baveux et prêt à l’accueillir. Il s’était empressé de satisfaire la prof. Il avait plongé en elle en une grande poussée, trouvant un sexe large, plus large que les celui des deux filles, plus profond, mais tout aussi excité.
Enserrant la taille avec ses deux mains, une jambe à moitié relevée, il l’avait besogné hardiment, allant buter au fond de ce cratère chaud bouillant qui trempait sa queue et ses boules. Elle feulait, prononçait des mots crus qu’il n’avait encore jamais entendus, surtout dans la bouche d’une femme et en particulier d’une prof… « Salaud… baises-moi ! », « Encore plus… », « Donne-moi tout… », « Branle-moi la chatte », « Défonce-moi … », « Je vais venir… encore… salaud donne-moi tout… je viens… ah ! ’Tain que c’est bon »… Mais avant qu’Arthur ne se répande en elle, Solange envoya la main, le força à se retirer en lui disant « Viens m’enculer… Je veux que tu me défonces le cul…ça va être trop bon… », et de présenter son sexe à l’entrée de son petit trou. Et Arthur se retrouva devant une grotte serrée, luisante de plaisir qui s’ouvrit et l’absorba sans coup flétrir. Il ne lui fallut pas longtemps pour décharger son plaisir au creux du ventre de Solange qui suait, soufflait, ahanait, à moitié couchée sur le bureau.
Et tout en prononçant cette conclusion, elle abaissa sa robe, tapota sa chevelure pour remettre quelques mèches droites et signifia à Arthur que l’entretien était terminé. Dans le couloir, Bérénice et Caroline attendaient. Quand elles le virent sortir, encore un peu rouge de sa prestation, les cheveux du front collés par la sueur, elles comprirent ! Sans esclandre, sans cris, elles lui tournèrent les talons et partirent à grands pas vers la Cité U.
Par la suite, Arthur ne donna plus de leçon ni à Bérénice ni à Caroline. En amphi, elles s’affichèrent l’une comme l’autre avec d’autres garçons et ne fréquentèrent plus Arthur, à qui elles n’adressaient même plus la parole. Tous les quinze jours, Solange, au sortir de son cours, convoquait Arthur dans son bureau, verrouillait la porte derrière lui, et ils s’aimaient à la hussarde, au milieu des papiers et des copies. Peut-être même qu’un jour ou l’autre, la copie de Bérénice ou celle de Caroline reçut-elle des marques liquides, laissées par l’une des étreintes endiablées d’Arthur et Solange…