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n° 22023Fiche technique20309 caractères20309
Temps de lecture estimé : 14 mn
30/09/23
Présentation:  Entre le confinement, le télétravail et l’irruption du mouvement MeToo comment font les hommes et les femmes d’entreprise pour convoler l’un vers l’autre, alors que le bureau a toujours été un des lieu privilégié de rencontre et de rapprochement
Résumé:  En 2018, 14% des couples se formaient au bureau (sources France-Info) !
Critères:  fh ff hhh fhhh fbi hbi hplusag couple couplus inconnu collègues nympho collection fsoumise hsoumis fdomine voir fmast fellation double sandwich fsodo hdanus hsodo jeu sm gifle fouetfesse init
Auteur : JeffTrois      Envoi mini-message

Série : Télétravail : qu'en est-il des fantasmes du bureau…

Chapitre 03 / 04
Marie-Bertille en stage à Londres.

Résumé des épisodes précédents :

La crise de la Covid a porté un coup fatal aux rapprochements humains




La crise de la Covid a porté un coup fatal aux rapprochements humains.


Il est indéniable que la pratique du télétravail, qui en a découlé, a chamboulé beaucoup de nos habitudes, y compris nos relations sociales et amoureuses. Fini le travail tardif avec une accorte secrétaire ou une collègue de travail… Fini les rapides étreintes dans le local exiguë de la photocopieuse… Fini la pause-café avec la jeune stagiaire au petit minois affriolant qui faisait retrouver ses vingt ans à un jeune quadra…


Entre le confinement, le télétravail et l’irruption du mouvement MeToo, comment font les hommes et les femmes d’entreprise pour convoler l’un vers l’autre, alors que le bureau a toujours été un des lieux privilégiés de rencontre et de rapprochement des couples… En 2018, 14% des couples se formaient au bureau (sources France-Info) !

Alors, qu’en est-il aujourd’hui ?



Marie-Bertille en stage à Londres.



Marie-Bertille de Machin de Truc est une jeune parisienne. Enfin, elle ne l’est pas totalement. En réalité, elle est Versaillaise. Avec ce prénom donné par ses parents pour rendre un hommage appuyé, mais très désuet, à une lointaine ancêtre et un nom qui se dévisse ! Marie-Bertille n’a pas eu d’autres choix que celui de suivre la stricte éducation parentale et les us et coutumes familiaux, à savoir : un parcours scolaire d’excellence (Notre Dame de Sion à Versailles même, puis l’université d’Assas à Paris), une intégration à la vie paroissiale et aux bonnes œuvres.


Toujours bon chic, bon genre, traditionnellement, elle ne porte que du bleu marine et du blanc, assorti de petits foulards d’une grande marque et d’un joli collier de perles fines ras du cou. Longtemps, elle a porté des tresses souvent ramenées sur le haut du crâne pour former une sorte d’auréole. Avec un nez en trompette et une bouche très bien dessinée, mais rarement fardée, Marie-Bertille est une grande et belle jeune femme. Grande, elle domine ses autres camarades d’au-moins deux têtes. Brune aux yeux pervenche, elle n’est pas seulement intellectuelle, mais c’est aussi une sportive. Du sport, elle en a un maintien « noble », dixit sa mère. Toujours droite cela met en valeur sa poitrine qui sans être dans l’air du temps, reste avantageuse. Et, quand elle est nue, dans sa chambre et devant sa glace, elle en admire les tétons particulièrement réactifs. Comme elle contemple son ventre plat et son pubis, avec son triangle de poils ras, seule concession qu’elle s’autorise pour domestiquer la forêt amazonienne qui couvre son sexe car, dans la famille, il ne peut pas être question de se raser les poils du sexe. Souvent, elle regarde aussi ses fesses et ses jambes, des fesses musclées et des jambes nerveuses. Marie-Bertille ne fait aucun reproche à sa silhouette, sauf peut-être sa taille. Mais elle compense par des chaussures plates.


Comme souvent, dans ce monde un peu suranné de la haute société, surtout à Versailles, on ne parle pas d’amour et encore moins de sexe avec les parents, et les filles sont priées de rester vierges jusqu’au mariage. Enfin, c’est le souhait et le désidérata des mères et grands-mères, mais souvent la réalité est un peu différente.


Par exemple, Marie-Bertille a découvert son corps vers douze, treize ans. Depuis, à l’abri des draps de son lit, dans la solitude de sa chambre, elle a pris l’habitude de le flatter, puis de le caresser. Ainsi a-t-elle très tôt découvert la réactivité de ses tétons, ultérieurement de son clitoris. Vers seize ans, elle a connu ses premiers émois avec son tout premier flirt.


Un petit copain qui se contentait encore de la lutiner dans le fond du jardin, mais niaiseux et empoté comme jamais, il ne lui avait jamais exploré le fond de sa culotte. Le second garçon qu’elle a rencontré lui a appris, lui, à le masturber et lui a même enseigné l’art de la fellation, jusqu’à l’inviter à boire son sperme. D’abord réticente, ensuite en faisant la grimace, elle a fini par y prendre goût. Mais lui aussi ne savait pas comment donner réellement du plaisir à une fille. Aussi a-t-elle dû attendre son troisième chevalier servant, un peu plus âgé, pour se faire déflorer. Un dépucelage réalisé lors d’un week-end prolongé en Sologne, dans un relai de chasse où son père avait ses habitudes.


Dans une grange, sur des bottes de paille, elle s’était laissé aller jusqu’au bout. Mais en dehors d’une sensation désagréable lors de l’intromission de la verge dans son sexe et de quelques traces de sang, elle n’avait pas atteint le « grand bonheur » tellement espéré et décrit par toutes ses camarades comme une félicitée ultime. Alors Maris-Bertille s’était-elle contentée de cette unique expérience et elle était retournée vers ses chères études qu’elle menait brillamment. L’année de son Master II en droit des affaires internationales, Marie-Bertille se devait de réaliser un stage, obligatoirement à l’étranger. Elle choisit Londres et un cabinet d’avocats d’affaires des plus renommés dirigé par Andrea Smith de chez Smith, Smith and Co, un cabinet qui avait des bureaux dans les grandes places boursières et avait été fondé en 1880.


Elle avait rencontré Andrea lors d’une conférence et avait osé l’aborder pour lui demander un stage en lui remettant son CV. Andrea, en femme de caractère, n’avait pas mis longtemps à se décider. La quarantaine, veuve d’un lord qui avait eu le malheur de prendre un coup de sabot particulièrement vicieux de la part d’un hongre qu’il espérait dompter, depuis elle faisait fructifier le cabinet avec brio. Elle avait, disait-on, la bosse des affaires, un réseau de bons et riches clients et surtout le flair pour trouver les bons collaborateurs. Elle avait toisé Marie-Bertille, l’avait jaugée puis jugée, avant de lui donner rendez-vous pour entamer un stage à ses côtés.


Voilà comment Marie-Bertille s’était retrouvée à travailler à Londres aux côtés d’Andréa.


Elle était logée dans une chambre, au-dessus de l’appartement d’Andrea, dans le très chic quartier de Mayfair. Durant les quinze premiers jours, elle eut pour consigne de ne jamais marcher à moins de deux pas d’Andréa, les bras chargés de dossiers, d’un gros agenda et d’un carnet où elle avait appris à prendre des notes à la volée. Andréa appréciait la présence de Marie-Bertille et s’amusait de la prononciation de son prénom. Elle disait « Mairie-Beurrtille ! »… Elle aimait aussi parler avec elle, exposer des cas complexes, expliquer des choix de stratégies ou des réactions virulentes et appréciait les analyses et remarques de la jeune française. Bref, elles s’entendaient bien.


Pourtant, un truc clochait : Andrea trouvait que sa grande bringue de stagiaire était un peu coincée et qu’à défaut de se « détendre du string » elle n’arriverait pas à gagner cette plénitude de l’esprit qu’elle estimait nécessaire d’acquérir vis-à-vis des clients pour comprendre leurs dossiers. Elles en avaient parlé, ensemble. Andrea avait évoqué, à demi-mots et avec plein d’euphémismes le « côté obscur de la force du stage » et proposé à Marie-Bertille de travailler dans ce sens. Marie-Bertille, avait confiance dans l’expérience de cette avocate quinqua. En plus, elle-même se rêvait en une redoutable avocate d’affaire, intransigeante et affûtée. Alors, Marie-Bertille lui avait donné son aval, en promettant de suivre à la lettre ses conseils.


Andrea, avait toujours joué de sa personne au service de ses clients et leurs dossiers. Appartenant à la haute société londonienne, elle pratiquait – y compris quand son époux était encore de ce monde car initiée par lui – tous les jeux autorisés dans « l’underground londonien » qui avaient cours dans ce monde fermé : échangisme, masochisme, sadomasochisme, hétérosexualité, homosexualité, voyeurisme… Rien ne leur avait échappé, rien ne lui échappait et elle avait goûté à tout et… tout aimé. Alors, pour les quelques semaines qui restaient à Marie-Bertille, elle avait décidé de l’éduquer, à l’anglaise, comme elle !


Andrea avait d’abord invité un de ses jeunes amants pour un repas, en compagnie de Marie-Bertille. Après un traditionnel Sherry, assis devant un faux feu de cheminée, la conversation avait tourné sexe et pratiques sexuelles. Marie-Bertille, emportée par les vapeurs d’alcool, s’était laissé aller à quelques confidences. Et très vite, sur les conseils avisés et coquins d’Andrea, elle s’était retrouvée à genou, face au braquemard de l’amant d’Andrea qu’elle avait masturbé, léché, sucé et avalé sous le regard de l’avocate anglaise qui ne perdait pas une miette de la technique développée par sa stagiaire, donnant quelques conseils quand elle sentait que le jeune homme atteignait la limite de ses possibilités de résistance. En admirant le spectacle, elle avait aussi glissé une main entre ses cuisses et se masturbait face au spectacle offert. Et Marie-Bertille avait tout avalé. Et avant que la soirée ne se termine sur cette note épicée, elle découvrait réellement comment on fait une gorge profonde et, en quelques soirées identiques, elle sut en maîtriser tous les rudiments pour finir par ne plus suffoquer ou avoir les yeux pétillants de larmes. Elle était alors capable de fixer les yeux de son amant et lui distiller cette caresse buccale accompagnée de bavouillements et bruits de sucions intenses, sans oublier la technique du « lécher des boules », ou celle du « doigt dans l’anus de Monsieur » pour une gratouille prostatique, avant de finir par un nettoyage en bonne et due forme, après jouissance.


Marie-Bertille n’avait jamais été choquée par cette soirée, ni les suivantes et encore moins les fredaines réalisées. Comme toute bonne élève, elle s’appliquait, apprenait, emmagasinait les connaissances, suivait scrupuleusement les conseils d’Andrea et de ses amants. En clair, elle accumulait les expériences.



Un ou deux week-end plus tard, Andrea l’avait entraînée dans un château dans le Sussex (non, pas le suce sexe, même si cela se prononce pareil ! ) où elles avaient été reçues par un couple.

Lui, la quarantaine libidineuse, elle très nettement plus jeune. Après une soirée bien arrosée, il avait exigé que Marie-Bertille vienne devant lui tandis que sa jeune épouse troussait la jeune Française. Il l’avait fermement doigtée, à la limite du supportable, avant de porter ses doigts à son nez, puis à sa bouche. Dans le même temps il avait tendu son sexe en érection à Andrea pour qu’elle lui suce la queue. Ensuite, l’épouse légitime avait pris Marie-Bertille par la main, et l’avait allongée sur ses genoux, fesses en l’air. C’est Andrea qui lui avait écarté les fesses alors que le lord anglais pointait son dard devant son anus et lui perçait le fion, sans trop de préparation, faisant grimacer et souffler la jeune stagiaire qui avait la vue embuée par les larmes de douleur et de surprise. Cette pratique avait été réitérée plusieurs fois dans le week-end, laissant le cul de Marie-Bertille ouvert comme le tunnel sous la Manche, ce qui allait lui permettre de recevoir, plus tard, n’importe quel visiteur, et des mieux montés.


Ô ! Elle avait eu du mal à s’asseoir à son bureau durant presque toute la semaine. Mais Andrea avait apprécié la bravoure de sa jeune stagiaire, et avait décidé de continuer à l’éduquer, pour son plus grand bien.


C’est ainsi qu’elles se retrouvèrent dans un château des Highlands. Un vrai frigo. Et le temps gris, froid et pluvieux donnait un avant-goût du charme de l’Ecosse.


Reçues par un autre couple d’amis d’Andréa, l’accueil écossais avait été parfait. Dans un immense hall, aux pavés de granit glacés, Marie-Bertille et Andrea avaient été accueillies par un cornemuseux qui faisait couiner son instrument, et sur les marches, le maître de céans et un pas en arrière son épouse, lady Machin-Chose . So Scottish !

Après les salutations d’usage, le maître des lieux, devant tout le monde, s’était emparé de la main de Marie-Bertille et d’une pression l’avait fait agenouiller devant lui. Après quoi, elle avait dû soulever le kilt de monsieur et sucer sa queue et ses bourses, devant l’épouse qui restait stoïque, un peu en retrait. Et le cornemuseux qui continuait à souffler dans son biniou. Un peu surprise, Marie-Bertille s’était exécutée et avait sans doute contenté son hôte. Mais personne n’était là pour lui administrer une note.


Plus tard, dans la soirée, toujours devant tout le monde (y compris les domestiques présents) elle avait dû quitter tous ses vêtements, recevant de la part de l’hôtesse, un collier de chien avec une laisse. Ainsi parée, elle avait suivi le maître des lieux dans une chambre au sommet de la tour nord, pièce ouverte à tous les vents. Essoufflée par la montée d’une centaine de marches rugueuses, elle était arrivée au centre d’une pièce aussi nue qu’elle, sauf un fauteuil en bois qui trônait au milieu. Là, appuyée sur les accoudoirs, elle avait dû tendre son postérieur à la morsure de corrections infligées par le maître de céans qui ne ménageait ni sa peine ni ne retenait ses coups. Elle reçut plusieurs séries de claques, de coups de martinet, de battes en cuirs et pour finir d’une badine qui lui cinglèrent les fesses, la faisant se dandiner, pleurer, sangloter mais jamais demander grâce. Malgré la morsure du froid et des coups, Marie-Bertille endura. La même scène s’était reproduite le lendemain matin au sortir du breakfast. Puis le soir encore. Chaque fois, les coups qu’elle avait dû compter à voix haute, cinglaient ses fesses, le haut de ses cuisses et martyrisaient ses chairs, lui arrachant cris, pleurs, sanglots et gémissements. Mais jamais, elle n’avait demandé qu’ils cessent.


Et à la fin du week-end, elle fût même récompensée par la maîtresse des lieux qui vint vers elle, nue, en lui présentant une des badines de l’avant-veille, lui priant de lui administrer une vingtaine de coups en travers de ses fesses devant son mari et Andrea. Marie-Bertille, le cul portant les stigmates des avanies précédentes, s’ingénia à abattre sans ménagement la badine sur les fesses de la jeune femme qui comptait à voix haute, au milieu des sanglots, sous l’œil égrillard du mari qui avait sorti sa verge et se branlait devant ce spectacle.


Encore une semaine où la position assise lui avait été très inconfortable. Mais Andrea lui réservait encore quelques curiosités so british.


Un soir de semaine, elles se retrouvèrent dans un Club, un vrai avec entrée privée, présentation d’une carte de membre, ambiance feutrée. Mais à l’étage, dans la partie déclarée smoking room, les très rares femmes acceptées fumaient des queues plutôt que des cigares. Ici régnait la nudité pour les dames.


Marie-Bertille, nue, avait taillé des pipes, s’était fait doigter, lécher, sucer les seins avant de se faire saillir par devant, puis par derrière, sans oublier la bouche. Jusque-là, les membres du Club usaient de leur droits de cuissage sur la jeune femme avec une certaine bonhommie. Puis l’un d’entre eux, alors qu’elle se faisait besogner en levrette, à quatre pattes sur un moelleux tabouret, lui avait présenté sa queue à sucer. Bien entendu, Marie-Bertille devenant une vraie experte de la pipe, n’avait pas refusé. Mais c’était la première fois que les coups de boutoir dans son sexe, se répercutaient sur une queue qu’elle suçait. Elle avait aimé cette sensation. Plusieurs de ces messieurs avaient voulu suivre l’exemple. Puis l’un d’entre eux avait décidé de s’allonger sur le tabouret pour que Marie-Bertille vienne s’empaler sur son dard alors qu’un autre, lui écartait les fesses et se frayait un chemin dans son petit trou. La jeune Versaillaise, le sexe innervé par les accouplements précédents, sentait parfaitement les deux membres coulisser en elle, se frôler, racler ses intérieurs. Alors qu’elle ouvrait la bouche pour ahaner son plaisir, un troisième compère lui fourrait son vit jusqu’au fond du gosier… Il ne fallut pas longtemps aux trois comparses pour décharger dans Marie-Bertille.


Elle avait a-do-ré ce moment et en était sortie de longues heures après, repue, les jambes en flanelle, mais heureuse.


À quelques temps de ces dernières fredaines, Andrea l’invitait à la suivre dans un autre club, tout aussi select que le précédent. Mais là, les quelques messieurs qui le fréquentaient, étaient tous très old school… L’arrivée des deux femmes en fit fuir deux d’entre eux et les trois qui restaient leur firent une cour assidue. Puis tous se retirèrent dans la bibliothèque où ils pouvaient donner libre court à leurs pensées libidineuses. Bien entendu, la plus fraîche, Marie-Bertille, subit les assauts des mains et des lèvres de deux d’entre eux, son corps fut largement peloté. Très vite elle se retrouva nue. L’un des membres du Club lui administra une sévère fessée, dans une posture très traditionnelle. Les autres se contentant de se masturber au bruit des claques sur la peau des fesses de la pauvre française qui rougissait à vue d’œil, mais ne pleurait pas, ne mouftait pas. Elle comptait même les coups, presque naturellement. Au vingt-cinquième, le bras retombait pour lui administrer une longue et pénétrante caresse. Puis elle fut redressée avant de se voir proposer un harnachement. Alors, dotée d’une bite en plastique noire et d’un volume, somme tout, conséquent, le fesseur lui tournait le dos et avec la cyprine prélevée sur la jeune femme, s’enduisit légèrement le fondement avant de l’inviter à le sodomiser. Sans se poser de question, Marie-Bertille pointa le godemiché sur l’anus de son tortionnaire et dans une poussée unique et vengeresse, sans marquer aucune pause, lui pourfendit le cul avant d’entamer des allers retours de plus en plus profonds et de plus en plus violents. Et l’homme finit par éjaculer sur le visage d’Andrea qui attendait, à genoux devant lui, bouche ouverte, les mains sous des seins.


Andrea, en rentrant, avait expliqué que de telles pratiques étaient courantes chez de nombreux anglais issus des grandes écoles où la fréquentation des filles avait été anecdotique. Elle lui avait même fait la confidence que, durant leur première année de mariage, son époux n’avait jamais su l’honorer autrement qu’en utilisant son fondement et que par ruse elle s’était dépucelée toute seule et que de ce jour-là, il avait découvert son sexe !


Quelques semaines avant la fin du stage, un soir, était venue chevaucher Marie-Bertille. Elle lui avait roulé un long patin tout en lui caressant les seins. Puis des seins, la main était passée sous la robe de la jeune stagiaire pour aller lui caresser le sexe, glissant ses doigts entre ses lèvres, les mouillant aux premiers émois avant d’aller se perdre entre ses fesses. Marie-Bertille, qui n’avait jamais connu le pensionnat et donc les échanges lesbiens, appréciait cette douceur et sans protocole rendait à Andréa caresse pour caresse. Les deux femmes finirent dans le grand lit de l’Anglaise en se frottant l’une à l’autre, en se doigtant réciproquement, en se pénétrant partout et de plus en plus vite et loin, en se léchant tous les coins et recoins même les plus inaccessibles. Chacune rivalisait avec l’autre pour lui faire atteindre le plus vite et maintenir l’orgasme et en faire un de plus que l’autre. Au petit matin, les cheveux ébouriffés, des poches sous les yeux, les cuisses et les fesses poisseuses des plaisirs de la nuit, elles s’étaient réveillées dans les bras l’une de l’autre.


Marie-Bertille, au sortir du stage, avait regretté Londres, son ambiance délétère et démoniaque. Mais surtout elle était devenue une autre femme, une jeune femme de caractère sachant aussi bien encaisser des coups qu’en donner. Rien ne lui faisait peur. Rien ne lui faisait plus peur. Elle pouvait affronter le regard d’un homme, le soutenir, le défier mais elle savait tout autant le charmer et lui faire miroiter, juste avec cet air de fille soumise, mille et une folles nuits d’amour. Et le comble de cette situation, avec l’attitude d’une jeune femme BCBG, toujours impeccablement habillée mais qui était devenue accro au Cul, avec un grand « C » …


D’ailleurs, elle regrettait tellement Andrea et ses folies que, son diplôme en poche, elle s’empressa de rejoindre son cabinet d’avocats pour prendre la direction de la branche européenne et vivre aux côtés d’Andrea qui n’avait pas oublié de se trouver une nouvelle petite stagiaire, une Japonaise dont elle allait confier l’éducation « à l’anglaise » à Marie-Bertille.