n° 22033 | Fiche technique | 16903 caractères | 16903Temps de lecture estimé : 12 mn | 04/10/23 |
Résumé: Sophia cherche à obtenir le précieux sésame. | ||||
Critères: fh ff grp vacances fsoumise hsoumis hdomine fellation cunnilingu fgode pénétratio fsodo sm attache -dominatio | ||||
Auteur : Myhrisse Envoi mini-message |
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Résumé des épisodes précédents :
Sophia a découvert le lavage matinal dirigé par Service. Elle a obtenu le sperme de Franck en embrassant Vide-couilles, puis celui de Scott et celui du capitaine. Au déjeuner, personne n’a été récompensé.
Sophia regarda Danny et Ryan sortir de la salle à manger. Elle aurait pu les suivre pour les sucer et récupérer le précieux sésame, mais son estomac criait famine. La faim gagna. Forte de l’expérience de la veille, elle remplit une assiette de différents restes puis s’installa. Elle refusa de nouveau de manger dans la main de Bouc émissaire. Toilettes la nourrit. Service ne lui retira pas son assiette.
Lorsqu’elle arriva à la cuisine pour donner le couvert sale à la soubrette, Sophia constata, heureuse, qu’Eau y était aussi. Elle espéra que cela permettrait à sa comparse d’obtenir la récompense tant désirée.
Sophia ressortit à la recherche de Danny. En chemin, elle croisa Vide-couilles à qui elle offrit ses seins. Il fut un peu déçu que le sperme du capitaine ait presque totalement disparu depuis le matin. Elle lui promit de venir le voir directement après le lendemain. Vide-couilles en sautilla de joie. Elle le fit jouir avec sa main puis repartit en quête de Danny.
Elle le retrouva dans le carré des officiers. Il accepta volontiers la fellation durant la partie de dés. Une fois qu’elle eut reçu son cadeau, Sophia se tourna vers Ryan.
Cette fois, Sophia comprit. Ryan n’éjaculerait qu’avec Service, et avec personne d’autre.
Sophia sortit. Voilà qui compliquait nettement les choses. Comment obtenir le précieux sésame. Il ne lui manquait plus que lui ! Malédiction ! Voilà que la mission tournait au vinaigre. Sophia resta devant le carré des officiers et suivit Ryan dès qu’il sortit. Amusé, il la laissa le filer. Il rejoignit Service qu’il surveilla pendant un long moment avant de la baiser sans ménagement et sans préparation sur un tonneau. Sophia s’avança vers la soubrette.
Lorsque Sophia se releva, le visage plein de la mouille de Service, un immense sourire barrait son visage. Ça y est ! Elle avait réussi !
Toute guillerette, elle retrouva Scott sur le pont principal. Il administrait une punition à Bouc émissaire, pour une raison qu’elle ignorait. Elle attendit qu’il ait terminé et lui offre son attention.
Sophia lui lança un regard interrogateur.
Scott confirma d’un geste de la tête.
Sophia rougit intensément. Devoir le raconter l’émoustillait comme jamais.
Scott lui lança un regard perçant accompagné d’un rictus amusé.
Scott la transperça du regard avant de se tourner vers Bouc émissaire, toujours présent et à l’écoute.
Elle se tut avant de se maudire intérieurement pour sa stupidité. Bien sûr que les soumis aussi. Le sperme de tous les hommes à bord, Scott avait pourtant été clair. Sophia se tourna vers Bouc émissaire avant de le déshabiller des yeux, le regard perçant.
Sophia le laissa s’éloigner. Elle partit dans la direction opposée pour trouver Toilettes. Il accepta avec joie sa proposition de fellation. Vide-couilles fut plus que ravi de ce second service. Il l’observa lécher le sperme sur une poutre sans faire de remarque. Sophia revint finalement vers Bouc émissaire, qui regardait le paysage.
Sophia explosa de rire.
Il en connaissait, des expressions. Il ne se tut que pour éjaculer au fond de sa gorge. Sophia se releva, ravie, pour retrouver Scott. Elle estima qu’il restait peu de temps avant le dîner. Elle avait intérêt à se dépêcher.
Scott lui sourit en réponse.
Scott se retira dans un bruit de succion avant d’essuyer son sexe sur les fesses de la femme au pilori.
Il lui parlait comme à un chien. Sophia lui envoya un regard narquois. Une alarme résonna, fruit d’un minuteur quelque part, dans la cuisine. Chef vint libérer et bâillonner sa compagne puis les deux lesbiennes s’activèrent devant les fourneaux. Le repas du soir ne tarderait pas, comprit Sophia. Elle sortit de la cuisine, poussant chaque porte. Où était le dixième soumis ? Sophia n’en revint pas de l’avoir raté, de ne pas s’être rendu compte de son absence. Elle s’en voulut.
La cloche du repas du soir s’activa que Sophia cherchait toujours. Ryan fut aussi envahissant que d’habitude puis ce fut l’heure des récompenses.
Sophia sentit cette fois une certaine animosité envers elle.
Sophia avala avec bonheur le morceau chocolaté, nourriture appréciée malgré l’incompréhension. Sophia reprit sa place.
Le capitaine ne daigna pas lui répondre. Les officiers sortirent sans un mot ni un regard pour la soubrette tremblante. Service semblait sur le point de craquer. Alors que d’habitude, elle se ruait pour débarrasser la table, elle resta sur le sol, la respiration difficile. Sophia en profita pour aller manger, ravie de pouvoir prendre son temps. Elle refusa de manger dans la main de Bouc émissaire qui s’en fut sans s’offusquer. Toilettes se chargea de la nourrir puis partit à son tour. Sophia, repue et ravie de l’être, retourna voir Service.
Service, qui crut que Sophia s’en plaignait, s’exclama :
La voix de la soubrette s’érailla. Il y avait quelque chose de plus profond dans sa remarque.
Sophia se tourna vers la table sur laquelle s’amoncelait la vaisselle sale.
Sophia fit ce qu’elle put malgré son carcan. Elle aida la soubrette à porter la vaisselle jusque dans la cuisine, permettant à Service de commencer à nettoyer tandis que Sophia effectuait les norias. Lorsque l’intégralité des couverts sales fut dans la cuisine, Sophia se dirigea vers Eau. La femme aux mains attachées dans le dos affichait elle aussi un visage fermé.
Ainsi fut fait. La nuit tomba. Seules les cabines des officiers étant pourvues de lumière, cela sonna la fin des recherches. Chacun se trouva un coin pour dormir. Sophia retrouva le carré des officiers et ses coussins. Cette seconde nuit entravée et engodée fut difficile. Les pensées de Sophia la menaient vers des trésors de lubricité.
Au réveil sous la douce voix de Service qui réclamait la présence de tout le monde sur le pont, Sophia tremblait. Elle avait besoin de jouir. Cela devenait vital. Il fallait trouver le dernier soumis, où qu’il soit. La frégate n’était pas si grande que ça quand même !
Sophia embrassa Vide-couilles à pleine bouche pour recueillir le sperme de Franck, mais aussi et surtout parce qu’elle bouillonnait de désir. Ses tétons pointaient. Elle ruisselait.
Bouc émissaire grommela avant de hocher la tête. Sophia sautilla d’un pied sur l’autre. Cette fois, Eau fut présente en même temps que les autres. Le lavage fut rapide. Toilettes, Eau, Service, Sophia et Bouc émissaire se retrouvèrent pour s’organiser.
Toilettes, Eau, Sophia et Bouc émissaire se répartirent les zones du navire et se séparèrent. Eau avait demandé à fouiller autour de la cuisine, où on avait le plus besoin d’elle. Toilettes fouillerait les étages, proche des officiers qui le réclamaient souvent. Bouc émissaire refusa de s’enfoncer trop profondément au risque de rater un appel. Seule Sophia était assez libre pour aller loin, mais son carcan gênait sa progression si bien qu’elle avançait lentement.
Elle estima le déjeuner proche lorsqu’elle frissonna en pénétrant dans ce qu’elle supposa être la cale. Ici, en temps normal, il y avait de l’eau et des rats. Heureusement, cette frégate n’étant pas sur la mer, ce désagrément n’existait pas. Sophia entendit un bruit de moteur. La chaudière, peut-être, supposa-t-elle.
Elle se dirigea vers le son et se figea, le cœur bondissant. Elle l’avait trouvée ! Le dixième soumis ! Il… Elle s’approcha lentement, observant la situation dans laquelle le pauvre se trouvait.
Sur un tapis roulant avançant à une vitesse lente, il marchait les mains attachées aux poignées de part et d’autre de l’appareil électrique, très anachronique. Ses chevilles, reliées par une chaîne courte, enchaînaient les pas. Le haut de son visage disparaissait sous une capuche l’aveuglant. On aurait dit un bonnet de bain trop grand.
L’homme torse nu vêtu de la culotte bouffante ne lui répondit pas. Sophia s’approcha de la machine, observa les boutons et appuya sur « Off ». L’appareil s’arrêta, faisant soupirer d’aise le soumis. L’homme tourna la tête à droite et à gauche, cherchant quelque chose que ses yeux ne pouvaient pas voir.
Sophia entendit soudain la cloche du déjeuner sonner. Le bruit résonnait sur les mâts, s’infiltrant à travers le bois jusqu’à la cale.
Sophia se dépêcha de monter.
L’Asiatique menue frappa des mains avant d’aller chercher sa récompense. Elle revint, les joues rosies par le plaisir. Sophia ne pigeait pas.