n° 22036 | Fiche technique | 21344 caractères | 21344Temps de lecture estimé : 15 mn | 05/10/23 |
Résumé: Sophia se donne à fond. Elle veut réussir sa mission ! | ||||
Critères: fh ff grp vacances fsoumise hsoumis hdomine caresses fellation cunnilingu fgode pénétratio sm attache -dominatio | ||||
Auteur : Myhrisse Envoi mini-message |
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Résumé des épisodes précédents :
Sophia a tenté de réunir le sperme de tous les hommes à bord, mais il manquait celui du dixième soumis. Alors que la cloche du déjeuner sonne, elle lui tombe enfin dessus.
Toilettes, Eau et Service en crièrent de joie. Bouc émissaire se montra neutre face à cette nouvelle qui lui importait assez peu. Cordes était déjà partie.
La demi-capuche noire recouvrait ses oreilles. La remarque se tenait.
Toilettes hocha la tête.
Toilettes empila plusieurs restes dans une assiette et attrapa deux fourchettes propres. Sophia prit la tête de l’expédition vers les profondeurs du bateau.
Le tapis roulant avait été relancé. Par un officier, sans aucun doute, se douta Sophia qui le coupa.
Toilettes proposa un morceau devant la bouche du soumis qui ouvrit et mâcha avec un plaisir évident.
Eau en fut mortifiée. Elle courut chercher de l’eau et revint en grimaçant de douleur avec son seau plein. Les trois soumis et soumises se regardèrent. Super, et maintenant, comment donner l’eau au soumis ? Le seau était lié par des chaînes trop courtes pour atteindre l’homme sur le tapis roulant.
Toilettes se désigna lui-même de la main avant de courir vers l’escalier. Il était des trois le plus libre de ses mouvements.
Sophia s’approcha du soumis et souleva délicatement la capuche sur son oreille droite. Sans surprise, il portait des écouteurs.
Eau s’éloigna, la mine basse.
Sophia observa l’assiette encore à moitié pleine. Toilettes était parti chercher un verre avant même d’avoir fini. Sophia plaça l’assiette en hauteur, attrapa la fourchette et se chargea de nourrir le marcheur, grimaçant sous l’effort. Le carcan lui devenait insupportable. Sa présence l’émoustillait et en même temps, elle le détestait.
Il restait de la nourriture, mais Sophia estima que le reste serait pour elle. Elle observa la présence d’une couchette un peu plus loin. Elle l’examina pour découvrir des entraves clairement destinées à des chevilles et des poignets. Le marcheur dormait attaché.
Du bruit dans l’escalier attira Sophia. Elle s’apprêtait à engueuler Toilettes, mais se figea : c’était Danny. Voilà pourquoi elle ne le trouvait pas : il se cachait à fond de cale.
Sophia frissonna. Merde. Rien n’allait. Danny ouvrit une outre présente à sa ceinture, plaça une paille et la mit dans la bouche du marcheur. Tandis que le soumis buvait en grimaçant, Danny avisa que le tapis roulant était arrêté alors il le relança. Le marcheur gémit, mais ne prononça pas un mot.
Sophia en eut des sueurs froides. Le pauvre homme morflait, à n’en pas douter.
Sophia avait passé la journée ses pensées tournées vers le soumis à fond de cale et elle ne le regrettait pas. Il fallait prendre soin de lui. Son plaisir à elle viendrait dans un second temps. Danny remonta les marches. Sophia coupa la machine.
Sophia s’approcha du soumis et se contorsionna pour poser une main sur le ventre de l’homme avant de descendre vers le bas, mais en s’arrêtant à la limite de la culotte bouffante.
Sophia positionna un sein sur la main droite de l’homme. Il caressa.
Sophia s’agenouilla et grimpa sur le tapis roulant éteint. Elle descendit la culotte bouffante avec les dents. Un sexe de très belle taille complètement dressé et au bout brillant apparut. Sophia le mit en bouche. Le marcheur râla de contentement.
Sept secondes. Voilà tout le temps qu’il mit avant de cracher sa semence. Dire qu’il était en manque était un faible mot. Sophia avait reçu le précieux liquide, mais à quoi bon ? L’après-midi était bien entamé et elle n’avait goûté que deux hommes sur les neuf à bord. C’était mort. Elle n’y arriverait jamais aujourd’hui. Elle était épuisée.
Elle remonta sur le pont, trouva Eau qui lui servit à boire, trouva Scott qui lui offrit de libérer sa vessie. Voyant qu’elle ne comptait pas réclamer une fellation, il la lui demanda lui-même et obtint satisfaction. Sophia se rendit ensuite dans la salle à manger. Aucun verre disponible, mais un broc à bière dans un meuble n’attendait qu’un utilisateur. Sophia s’en empara, le plongea dans le seau entre les jambes d’Eau et porta le tout à fond de cale.
Sophia appuya tendrement sur sa poitrine, entre ses seins.
Sophia tapota ses écouteurs.
Sophia appuya une fois sur la poitrine de son interlocuteur.
Il recevra un dessert sucré, supposa Sophia. Typique d’Olivier, le guide à vouloir tirer le meilleur de chacun.
Elle remonta à la surface pour rejoindre Danny dans le carré des officiers.
Il disposa des coussins à côté de lui. Elle s’assit. Vide-couilles se leva et se plaça derrière Sophia pour lui offrir un massage de première qualité.
Franck ne s’intéressa pas le moins du monde aux actes de son soumis. Visiblement, qu’il agisse de la sorte ne le dérangeait pas. Sophia se laissa bercer entre les mains savantes du soumis qui délassait ses muscles tendus. Danny, fidèle à lui-même, caressait un sein à chaque lancer de dés et visiblement, cela marchait encore. Sophia se perdit dans la délectation du massage.
La cloche du dîner mit malheureusement fin à cette délicieuse parenthèse. Vide-couilles aida Sophia à se lever et ce fut tous ensemble qu’ils se rendirent à la salle à manger. Sophia retrouva sa place sous la table. Elle fut heureuse de s’être reposée avant, car cela devenait vraiment difficile. Les récompenses furent offertes aux cuisinières, à Cordes et à Eau. Ce dernier point surprit beaucoup Sophia. Cordes et Eau se délectèrent de leur dessert sucré – le capitaine avait indiqué qu’il irait donner leur récompense à Commis et Chef lui-même en cuisine –, puis les officiers quittèrent les lieux, accompagnés de Vide-couilles qui ne s’éloignait jamais de Franck.
Toilettes réalisa une assiette garnie et attrapa un pichet et un verre. Eau donna de quoi remplir le pichet et indiqua :
Toilettes acquiesça.
La soubrette acquiesça et chacun vaqua à ses occupations. Le marcheur la remercia chaleureusement pour la nourriture et l’eau. Sophia remonta. Elle était épuisée, tant physiquement que mentalement. Elle se rendit au carré des officiers et s’endormit.
Le lendemain, Sophia reçut le sperme de Franck par un baiser. Elle obtint aisément celui de Scott puis de Bouc émissaire. Elle descendit à fond de cale où elle trouva, sans surprise, Danny en train de torturer le pauvre marcheur. Il accepta volontiers qu’elle le suce pendant qu’il tourmentait le soumis. Il gicla rapidement. Apparemment, se faire sucer tout en refusant l’orgasme à l’homme dont il tenait la bite entre les doigts l’excitait terriblement.
Sophia offrit ensuite au marcheur sa libération. Il fut aussi rapide que la veille. Il se confondit une nouvelle fois en excuses. Sophia n’en avait cure. Au contraire : plus cela allait vite et mieux c’était. Le capitaine éjacula sur ses seins et elle lécha une goutte sur le pont. Comme promis, elle prévint Service de la saleté puis rejoignit Vide-couilles. Il fut ravi de pouvoir lécher le sperme chaud du capitaine et regarda en souriant Sophia lécher la preuve de son plaisir dans sa main. Sophia prévint de nouveau Service puis rejoignit Toilettes qui accepta très volontiers son offre.
Elle retrouva Ryan au déjeuner. Cordes, Eau et Toilettes furent récompensés. Sophia se fit nourrir par Toilettes puis elle descendit nourrir le marcheur. Au retour en cuisine, Sophia sentit que la soubrette était tendue. Cependant, obnubilée par son objectif, elle décida de ne pas lancer une conversation avec elle. Elle se contenta de la suivre et heureusement, Ryan ne fut pas long à sauter sur la soubrette pour la baiser. Cette dernière accepta encore l’offre de plaisir de Sophia et elle jouit bruyamment.
Sophia se releva, fière comme jamais. Elle avait enfin réussi. Elle avait goûté au sperme des neuf hommes du navire. Elle se dirigea vers Scott. L’officier s’amusait avec Cordes. Il fit une pause avec l’Asiatique qui en soupira d’aise.
Sophia détailla volontiers chaque étape. Scott valida d’un hochement de tête. Il retira la lanière autour du ventre de Sophia et le gode sortit. Elle aimait le sentir en elle, mais en être enfin libérée était un véritable soulagement. Un peu, ça allait, mais là, ça avait été très dur.
Elle le trouva dans les cuisines, en train de mettre et d’enlever un tube de glace du sexe de Chef. Il riait de ses gémissements. Il arrêta dès qu’il vit Sophia.
Commis découpait des légumes. Elle fit mine de ne pas s’intéresser à la scène en cours, mais Sophia la vit jeter des regards de côté.
Sophia s’allongea en bougonnant. Il lui fit mettre les pieds sur la table, les cuisses écartées, lui offrant ainsi impudiquement son sexe glabre.
Il plongea sur son abricot. Sa langue titilla son clitoris tandis que ses doigts remuèrent délicatement dans son vagin. Sophia ne put retenir un cri de plaisir. Bouc émissaire cessa de la toucher.
Sophia releva la tête pour fixer Bouc émissaire. Il poursuivit :
Sans lui laisser le temps de répondre, il repartit à l’assaut des zones sensibles de Sophia. Il n’était pas qu’un peu doué. En même temps, Sophia était une bombe à retardement. Elle ne rêvait que d’une chose : jouir. Tout son corps était parcouru de chair de poule. Son entrejambe lui hurlait son envie. Son clitoris ultrasensible se dressait, aussi dur que du bois.
Sophia voulait bien le croire. Un maître en poker ne se laisserait pas avoir par un bluff. La soumise se retint. Elle comptait bien jouir demain, après-demain et le dernier jour du séjour. Elle tenait à profiter à fond de sa présence en ces lieux.
Il passait d’une proie à une autre avec une facilité déconcertante. Sophia, chancelante, se remit debout. Haletante, elle rejoignit le pont supérieur. Elle vit Vide-couilles, accoudé à la rambarde. Elle le rejoignit. Dès qu’elle fut sur lui, elle lui demanda :
Il regarda entre ses jambes, constata l’absence de toute barrière et hocha la tête en souriant. Il fut tendre, doux, délicat et attentif. Sophia jouit pas moins de trois fois. Il dut la laisser, car Franck le réclamait.
Sophia regarda Vide-couilles disparaître. Elle se sentait lasse. Et soudain, son esprit se cabra. Une sueur froide descendit le long de sa colonne vertébrale. Elle se mit à trembler, à la fois de chaud et de froid. Une irrésistible envie de pleurer la saisit. Elle connaissait bien la sensation pour l’avoir souvent vécu. Sauf que d’habitude, elle avait un dominant pour prendre soin d’elle.
Elle repoussa les larmes et avec difficulté, monta un étage et entra dans la cabine de capitaine, qu’elle trouva, comme d’habitude, les pieds sur le bureau, à lire.
Il bondit sur ses pieds.
Il s’élança vers elle et la ramena vers lui. Il l’assit sur son lit avant de la recouvrir de sa couverture chaude. Il retira le carcan et elle se pelotonna contre lui en laissant les larmes couler.
Sophia hocha la tête. Elle le regarda préparer la boisson chaude dans laquelle il plaça une cuillère de miel. Elle s’assit contre lui, son épaule reposant sur son torse. Elle avala une petite gorgée du liquide chaud tandis qu’il replaçait la couverture sur ses épaules.
Sophia rit.
Le claquement de ses dents rendait sa diction difficile.
Sophia hocha la tête. Elle se sentait en sécurité ici. Tout était mis en œuvre pour s’assurer que chacun était satisfait.
Sophia en convint.
La barre de fer retrouva sa place.
Sophia hocha la tête. Il sourit, lui déposa un baiser sur le front puis murmura :
Sophia inspira puis hocha la tête.