n° 22049 | Fiche technique | 29474 caractères | 29474 5141 Temps de lecture estimé : 21 mn |
12/10/23 |
Résumé: L’année se termine et chacun va devoir choisir ce qu’il fera de sa vie. | ||||
Critères: fh hplusag jeunes frousses copains grosseins amour jalousie dispute fellation cunnilingu anulingus fdanus fsodo hdanus hgode -rencontre | ||||
Auteur : Bussy Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Apprentissages Chapitre 03 / 03 | FIN de la série |
Résumé des épisodes précédents :
L’éducation sexuelle des trois jeunes étudiants a tourné court et s’est soldée par une crise explosive
La furie ne tarissait pas d’insultes. Je reculai d’un pas. Elle franchit ma porte.
Une dernière attaque retentit :
C’en était trop et à mon tour je levai la voix.
Me radoucissant, j’enchaînai sans lui laisser le temps de reprendre sa logorrhée.
Je m’écartai de l’entrée et l’invitai à entrer. Son visage s’apaisa. Elle devait s’attendre à ce que je lui réponde sur le même ton, voire que je me montre violent. Son attitude était autant liée à son a priori sur moi qu’à la peur qu’elle avait à m’affronter.
Je tournai la tête et suivis son regard. Il était bloqué sur le jouet de Mathilde, resté au sol.
J’éclatai de rire. L’absurdité de la situation l’avait emporté sur mes questions vis-à-vis de cette femme, dont je commençais à soupçonner l’identité. Ma seule question était de savoir du ou de laquelle de mes trois acolytes elle était la mère.
Mon rire la déstabilisa.
Je ramassai la bite de plastique et la posai négligemment sur la console de l’entrée. Sans attendre la réponse de mon invitée, je filai à la cuisine pour lui laisser le temps de se calmer.
Lorsque je regagnai le salon, la vilaine ride qui barrait son front avait disparu. J’aurais parié que ma visiteuse avait rajeuni de dix ans, mais je me gardai bien de lui en faire le commentaire.
Je m’assis et l’invitai à faire de même.
Je marchais sur des œufs. J’ignorais ce qu’elle avait découvert de nos après-midis, mais comprenais qu’elle pouvait s’en inquiéter.
Ma remarque lui arracha un léger sourire, mais elle resta crispée. Assise sur le bord du fauteuil, elle n’avait pas touché à sa tasse.
Je décidai de révéler une nouvelle partie de la vérité.
Un silence ponctua ma demande. Je le pris pour un accord tacite.
La mère angoissée se laissa aller à un soupir de soulagement. Elle se pencha et prit sa tasse de café qu’elle but d’une traite.
Je raccompagnai la mère de famille. Je ne sais pas lequel de nous deux était le plus soulagé de la tournure de la conversation. J’avais réussi à la rassurer sans lui mentir, mais en omettant quelques détails. La vérité était qu’elle avait raison. Cette histoire avait de quoi perturber du monde et j’en portais l’entière responsabilité. Je devais rétablir la situation.
C’est en début de soirée que l’idée me vint. J’envoyai un SMS à Céline et Damien pour les inviter à passer le lendemain soir à la maison pour discuter. Je ne leur dis pas que nous serions tous les trois. Je n’avais plus qu’à espérer qu’aucun de deux ne tourne les talons en voyant l’autre.
Je préparai la soirée avec soin. Bières, petits gâteaux, pizzas, et surtout téléchargement de mon arme secrète. Merci Internet.
Au moins ne semblait-elle pas fâchée contre moi. C’est davantage la curiosité qui transparaissait.
La sonnerie retentit.
Damien nous rejoignit. Les deux se lancèrent un regard méfiant. Aucun ne voulut parler le premier, de peur de déclencher les hostilités. La scène de la veille était encore bien présente.
Nous nous installâmes dans le salon. Céline prit le fauteuil et je partageais le canapé avec Damien. Je lançai le film tandis qu’aucun des deux n’avaient prononcé une parole.
Il était encore à cran. J’imaginais dans quel état il devait être la veille en rentrant chez lui.
« Les tricheurs », un film de Marcel Carné présenta le générique…
Deux heures plus tard, l’atmosphère était lourde. Après une dernière provocation de Bob, incarné par Jacques Charrier, la jeune Mic – Pascale Petit- avait précipité sa Jaguar contre un platane.
Damien restait sur la défensive.
Au moins étaient-ils sur la même longueur d’onde.
Les deux baissèrent le regard pour éviter de croiser celui d’un des autres.
Nul ne broncha.
Damien baissa la tête, encore plus bas. Piteux, il n’osait pas bouger ni répondre. Un sourire se dessina sur le visage de Céline.
À son tour, Céline se recroquevilla sur son siège.
Je me levai et me dirigeai vers la porte d’entrée. Je donnai un tour de clé et la mis dans ma poche.
Je passai par la salle de bains me brosser les dents. Quand j’en sortis, aucun des deux n’avait bougé ni ouvert la bouche. Je les laissai mariner.
Un petit cri aigu me réveilla. Je jetai un œil à mon téléphone. Deux heures vingt. Je prêtai l’oreille. De petits gémissements traversaient la cloison qui séparait ma chambre de l’autre. Je me surpris à écouter le couple avec satisfaction. Bien loin des démonstrations excessives de nos séances, je ne décelais que douceur et complicité. Je rendormis, bercé par la subtilité de la musique de chambre.
Au matin, nous partageâmes un café dans un silence complice. Les sourires béats en disaient plus que de longs discours. Après un au revoir ému, je laissais les deux tourtereaux s’envoler et profiter de l’été qui démarrait.
Sur cette dernière boutade, je refermai la porte sur le mignon petit couple.
Il ne me restait plus qu’une promesse à tenir pour boucler cette parenthèse dans ma vie. J’envoyai un message à Mathilde pour lui proposer à son tour de passer me voir un soir prochain.
Elle sonna à ma porte le jeudi suivant.
Je fus soulagé de voir qu’à son tour elle avait retrouvé le sourire. Elle m’expliqua que Céline l’avait tenue au courant des derniers rebondissements. Elle roucoulait avec son amoureux depuis deux jours. Mathilde paraissait sincèrement heureuse pour eux.
Nous passâmes quelques minutes à nous excuser l’un et l’autre de notre responsabilité dans la dérive de la relation. Je sentais bien qu’il restait quelque chose qui taraudait l’esprit de la belle rousse. Il lui fallut vingt bonnes minutes pour se lancer.
La surprise me frappa. Je m’étais attendu à tout sauf à ça.
J’écoutais la jeune femme me décrire son quotidien, entre les moqueries de sa jeunesse, les regards salaces qui suivirent en grandissant et les commentaires désobligeants de certaines filles. Une chose me frappa. Pas une fois, elle ne se plaignit de son rapport à son propre corps.
Je la sentais abattue. La confiance restait fragile.
Mathilde quitta le fauteuil qui avait accueilli nombres d’ébats et se jeta dans mes bras en me remerciant et s’excusant à nouveau pour tout le mal qu’elle pensait nous avoir fait.
Je l’interrompis.
Sur ce, elle s’écarta légèrement de moi et glissa sa main entre nous jusqu’à la poser sur ma braguette.
Je la repoussai gentiment.
Elle se fendit d’un grand sourire et déboutonna son chemisier. Tout à notre conversation, je n’avais pas réalisé à quel point le tissu était tendu et ne demandait qu’à s’écarter, retenu par de malheureux boutons mis au supplice.
J’ouvris les bras et l’accueillis. Elle me retira mon tee-shirt. Je me laissai faire. Elle se colla contre mon torse. Je glissai la main sous sa chemise et dégrafais son soutien-gorge. Mes mains se posèrent sur ses épaules. Le tissu glissa jusqu’au sol. Je la repris dans mes bras, savourant le contact de nos peaux brûlantes.
Après quelques minutes interminables, je la pris par la main et la conduisis jusqu’à ma chambre. Je fermai la porte derrière nous. Cela faisait combien de temps que je n’avais pas couché avec une femme sans être dans un rôle de performance ?
Mathilde repartit au petit matin, après m’avoir embrassé une dernière fois et m’avoir certifié qu’elle reviendrait me voir à son retour d’Allemagne.
L’histoire aurait pu s’arrêter là. Nos trois jeunes avaient repris leur vie. J’aurais pu leur causer bien des tourments, mais par chance, ils avaient trouvé les ressources pour ne pas sombrer. De mon côté, j’étais prêt à passer à autre chose.
Ce fut Damien qui reprit contact avec moi quelques jours plus tard.
Lorsque la porte du petit pavillon de lotissement s’ouvrit, je ne reconnus pas la femme qui m’accueillit. Sa chevelure blonde coupée court n’avait pas grand-chose avec la tignasse mal peignée de la furie qui avait sonné chez moi. Avec son large sourire, elle me faisait penser à Cameron Diaz, époque « Mary à tout prix ». Les rides sévères de la colère avaient cédé la place à de fines marques délicates. Je marquai un temps d’arrêt avant de lui tendre le bouquet que j’avais apporté. Elle rougit et m’invita à entrer.
Dans son séjour, Céline et Damien s’arrachèrent du canapé où ils étaient collés et vinrent à ma rencontre pour me claquer des bises sonores.
Céline laissa échapper un gloussement et baissa les yeux pour éviter d’éclater de rire et de nous trahir vis-à-vis de la mère de Damien.
Nous ne vîmes pas le temps passer. Les jeunes s’éclipsèrent après le café, nous laissant, Estelle et moi, nous raconter nos vies. Nos jeunesses, nos mariages et divorces n’intéressaient pas les étudiants qui avaient mieux à faire par une belle journée comme celle de ce mois de juillet que nous écouter.
Je n’avais pas prévu de passer la journée sur place et dû couper court au moment. Ma fille arrivait par le train pour passer quelques jours chez moi et je devais être rentré pour l’accueillir. Je promis à Estelle de l’inviter à mon tour. Je lui glissai que j’avais davantage apprécié cette seconde rencontre que la première et que j’aurais plaisir à la revoir. Elle se confondit en excuse pour l’esclandre et accepta par avance mon invitation.
Un mois s’écoula avant que je puisse mettre en application ma promesse.
Les vacances des uns et des autres avaient eu raison de nos emplois du temps et le mois d’août touchait à sa fin lorsqu’elle franchit pour la seconde fois la porte de mon appartement. Durant l’été, j’avais eu quelques nouvelles de mon trio de dépravés comme je m’étais mis à les appeler affectueusement. Mathilde prenait ses marques dans une colocation féminine tandis que Céline et Damien avaient bourlingué au travers de l’Ardèche au gré des campings qui disposaient de places libres.
***
Estelle me tendit un bouquet très similaire à celui que je lui avais apporté lors de ma venue.
Elle entra et me fit une bise délicate. Au lieu du vague contact de joue, assorti d’un claquement de bouche qui fait office de bise mondaine, je sentis ses lèvres se poser sur ma peau. Son parfum monta à mes narines. J’étais bien.
Nous reprîmes notre discussion là où nous l’avions laissée.
Je me levai pour débarrasser le plat et aller chercher le gâteau qui attendait dans le réfrigérateur. Je posai le plat à côté de l’évier et me retournai. Je n’avais pas entendu qu’elle m’avait suivi. Je la heurtai et, surprise, elle lâcha les assiettes qu’elle avait amenées. Elles se fracassèrent par terre.
Dans un mouvement conjoint, nous nous accroupîmes et nos fronts se heurtèrent. Nos regards se croisèrent. Un « désolé » synchronisé échappa à nos lèvres tandis que nous nous redressions. Nos regards plongèrent dans celui de l’autre. J’entrouvris la bouche. Elle rougit et s’avança. Nos lèvres se joignirent. Je glissai ma main dans ses cheveux. Elle plaqua les siennes dans mon dos.
Sans cesser de m’embrasser, sa main se crispa sur mon tee-shirt et le tira. Je levai les bras pour la laisser me le retirer. Elle le jeta dans le couloir et fit un pas en arrière. Je posai mes mains sur ses hanches et me collai à nouveau à elle. Je glissai sur ses fesses puis sur la cuisse. Je remontai vers son entrejambe dont la chaleur irradiait au travers de son pantalon. Je défis le bouton et descendis la fermeture éclair. Mon autre main glissa sous l’étoffe. Sous mes doigts, je sentis la dentelle que j’écartai avec délicatesse pour caresser une fesse ferme et bombée.
Estelle se trémoussa pour dégager ses jambes puis leva les pieds. Elle recula à nouveau d’un pas, abandonnant son pantalon à quelques centimètres de mon tee-shirt.
Ma chambre était à quelques mètres. Nous laissâmes nos vêtements un par un sur la route.
J’admirais son corps nu. Je me surpris à le comparer à celui des deux jeunes amantes que je connaissais par cœur. Elle n’aurait pas résisté à une quelconque analyse objective. La poitrine légèrement tombante. Les hanches un peu trop marquées, le ventre qui trahissait les grossesses. Je balayai aussitôt ces comparaisons ridicules. Ses seins appelaient à être empaumés. Leur légère inflexion leur conférait un naturel bien plus excitant que la perfection de ceux des jeunettes. Ses hanches. Je n’avais envie que de caresser et embrasser ses hanches et fesses. Quant à son ventre, il était un beau miroir du mien. Ceux d’un homme et d’une femme complémentaire.
Estelle recula une dernière fois. Son mollet heurta contre le lit et elle bascula en arrière. Je la regardai dans les yeux et m’agenouillai devant elle. Je posai les mains sur ses genoux et les écartai. Je m’inclinai et posai mes lèvres sur sa toison. Seconde après seconde, centimètre après centimètre, je descendis jusqu’à ce que ma bouche se pose sur son sexe brûlant. Ma langue taquina le clitoris qui dardait au sommet de l’écrin. Je rythmai mes caresses aux soupirs de ma belle. Je plongeai finalement ma langue aussi loin que je pus.
Estelle crispa ses mains sur mes tempes et m’attira sur le lit.
Je ne la dissuadai pas.
Je m’allongeai au milieu du lit afin de lui permettre de s’installer confortablement. Elle s’empara de mon sexe déjà en pleine érection et le regarda longuement.
Sans me laisser le temps de répondre, elle me tira la langue et me regarda d’un air mutin. Elle se pencha et posa la pointe de sa langue à la base de ma verge. Puis, avançant la tête, elle colla l’entièreté de sa langue le long de la hampe. Lentement, elle remonta, me léchant jusqu’à atteindre le frein. Elle me fit une bise sur le bout du gland puis redescendit et réitéra. Elle enchaîna quatre ou cinq cycles. Après une dernière bise, elle ne se retira pas. Elle ouvrit les lèvres et me fit coulisser entre ces dernières.
Sans montrer de signe de gêne, elle descendit jusqu’au bout. Dans une dernière progression, elle sortit sa langue que je sentis se poser sur mes testicules. D’un coup, elle se retira et reprit sa respiration.
Je lâchai un profond soupir tandis qu’elle reprenait sa fellation de façon plus modérée, s’appliquant davantage à stimuler mon sexe qu’à me démontrer ses capacités de gorge profonde.
Elle s’interrompit et remonta s’allonger à mes côtés.
Je l’embrassai et roulai pour me retrouver couché sur elle.
Elle écarta les cuisses et glissa sa main entre nous pour me guider. Je m’enfonçai en elle pour notre plus grand plaisir mutuel.
Nous fîmes l’amour tantôt avec fougue, tantôt lentement pour profiter du moment le plus longtemps possible. Je perdis la notion du temps jusqu’à ce qu’Estelle se dégage et se retourne. Elle posa les épaules sur le matelas et les mains de part et d’autre. Tendant ses fesses vers le haut, elle appelait à une pénétration plus bestiale.
Je m’agenouillai derrière elle, pointai mon gland vers sa fente et poussai d’une traite. J’entamai d’amples va-et-vient, admirant ses splendides fesses qui tressautaient quand je me plaquai contre elles. Les genoux écartés, elle était d’une impudeur folle. Quittant se hanches, je posai mes deux mains sur le bas de son dos et caressai ses fesses de mes pouces. L’un d’eux glissa jusqu’à son anus qu’elle m’exposait.
Elle ne réagit pas.
Trempé par l’ensemble de nos sécrétions, il céda facilement à ma pression et j’enfonçais une phalange, puis deux. J’accompagnai mes coups de reins qui avaient ralenti par de légers mouvements internes de mon doigt. Sa respiration trahissait l’excitation qui montait. Je voulus joindre mon second pouce, mais ma manœuvre l’avait asséchée et je sentis que je devrais forcer.
Je reculai et stoppai mes pénétrations. Mes mains écartèrent ses fesses et je posai la langue sur son anus. Un « Mmmmmh » de satisfaction franchit ses lèvres. Je poursuivis mon humidification.
Je me gardai bien de lui expliquer qu’il avait servi tant à moi qu’à Damien lorsque nos ébats avec Céline et Mathilde se finissaient en sodomies.
Elle avança la main et ouvrit la petite porte en bois du chevet. Elle tâtonna et me tendit le flacon qu’elle avait attrapé.
Je fis couler une noisette entre ses fesses et une seconde sur mon index et mon majeur réunis. De mes doigts, je la massais longuement et la pénétrais bientôt sans mal. Je lubrifiai ensuite mon sexe et le posai sur son anus entrouvert. Je me penchai et laissai faire la gravité. Elle s’ouvrit progressivement tandis que mon sexe s’enfonçait en elle. Je relâchai la pression afin de la laisser reprendre ses esprits et repris ma pénétration. Au bout de quelques aller et retour, je m’arrêtai, profondément fiché entre ses fesses. Je repris mes caresses de ses dernières dont la douceur contrastait avec la puissance de notre accouplement.
Nous étions tous deux trop excités depuis bien trop longtemps pour faire durer davantage le moment. Elle glissa une main sous elle et se caressa pour déclencher son orgasme. Elle se cambra et se mit à trembler de plaisir incontrôlé. Il ne m’en fallut pas plus pour la rejoindre. Dans une dernière crispation, je donnai un violent coup de reins et me laissai aller à mon tour.
Que ça avait été bon ! Depuis quand n’avais-je pas ressenti un tel plaisir ?
Épuisés, nous fermâmes les yeux.
***
Une sensation humide me tira de ma torpeur. Je ne saurai dire combien de temps je m’étais assoupi. À nouveau pleinement conscient de mes sensations, je savourai la langue d’Estelle qui jouait avec mes testicules.
Comme plutôt dans la nuit, elle se coucha entre mes jambes pour jouer de la bouche. Elle glissa ses mains sous mes genoux et tira vers le haut. Je compris le message et levai les jambes pour lui faciliter l’accès à mes bourses avec lesquelles elle s’amusait.
Elle posa les mains sur mes cuisses et appuya, jusqu’à ce que mes genoux touchent ma poitrine. Elle descendit et comme je l’avais fait, elle darda sa langue vers mon anus. J’adorais cette sensation. Un instant fugace, je me remémorai la première expérience de ce type avec Céline, mais mon esprit revint aussitôt à Estelle. C’était divin.
À son tour, elle fit glisser un doigt puis s’interrompit.
Sans attendre ma réponse, elle se redressa et se dirigea vers la table de nuit.
Elle en sortit le jouet que Mathilde avait abandonné chez moi et que j’avais rangé là, faute de meilleure idée.
Elle enfila le harnais et se trouva bientôt affublée d’un sexe artificiel qui me parut soudain bien plus gros qu’il n’était.
Sur cette dernière question rhétorique, elle ramassa le tube de lubrifiant.
L’avenir se montrait aussi incertain que prometteur…