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Temps de lecture estimé : 23 mn
13/10/23
Présentation:  Une histoire de vacances qui se déroule dans les années 80.
Résumé:  Je sais que je n’aurais pas dû, mais voilà, je l’ai quand même fait. En vacances avec la famille, j’aurais dû toquer à la porte de la chambre que ma cousine Clara et ses deux copines (Blandine et Donia) occupent.
Critères:  fh ff fffh jeunes vacances voir caresses fellation cunnilingu init
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message

Série : Une histoire de porte

Chapitre 01 / 05
Je n’aurais pas dû


Une histoire de vacances qui se déroule dans les années 80.

Bonne lecture : )





Je n’aurais pas dû



Je sais que je n’aurais pas dû, mais voilà, je l’ai quand même fait. En vacances avec la famille, j’aurais dû toquer à la porte de la chambre que ma cousine Clara et ses deux copines (Blandine et Donia) occupent. Au lieu de ça, j’ai ouvert précipitamment la porte en criant :



Puis je suis resté, bouche bée, les bras ballants, la bouche grande ouverte et les yeux bien ronds.


Visiblement, ma chère cousine et ses deux copines avaient trouvé une occupation en attendant que la petite pluie cesse. Elles sont toutes les trois nues de la tête aux pieds, si on excepte un collier pour la copine blonde, et leurs corps sont, comment dire, enchevêtrés sur le matelas inférieur du lit superposé.


Bien que je ne sois pas un adulte confirmé, je sais quand même que des femmes peuvent se donner du plaisir entre elles, j’ai même contemplé des photos sur le sujet, mais entre le voir sur papier ou sur cassette vidéo en douce, et le voir en vrai, il y a une grosse nuance !



Ça, c’est ma charmante cousine qui vient d’ouvrir la bouche. Celle-ci était occupée ailleurs, dans l’entrejambe de la copine brune. Même si on est atteint de prosopagnosie (je sais, c’est un mot difficile à prononcer et retenir), cette maladie qui fait qu’on a du mal à reconnaître les visages, il est très facile de distinguer ces trois filles : une brune (Donia), une blonde (Blandine) et une auburn (Clara). Sans parler du fait qu’elles n’ont pas la même taille, la plus petite étant la brune et la plus grande étant ma cousine. Oui, dans le même sens.


À moitié ailleurs, j’ai refermé la porte derrière moi. Je suis actuellement dans la chambre en compagnie de trois demoiselles peu vêtues, ce qui est un euphémisme. Je réalise alors que j’aurais dû ressortir de la pièce avant de fermer cette fameuse porte. Mais en pareille circonstance, le cerveau ne fonctionne pas toujours au mieux de ses possibilités.


Mis à part ma cousine qui conserve sa présence d’esprit, ses deux copines sont figées, tétanisées. Sans chercher à se couvrir, ce qui me confirme dans le fait qu’elle est décidément bien foutue, ce que je savais déjà un peu, l’ayant souvent vue en maillot de bain, Clara me houspille, agenouillée sur le matelas :



Un programme peu réjouissant. Je la rassure :



Un bras sur ses seins qu’elle a plutôt lourds, Blandine (la blonde pour info ; pour retenir, pensez aux deux premières lettres de Blandine et de blonde) sort de sa torpeur et glousse :



Ne cherchant pas à se couvrir ou à cacher ses endroits stratégiques, Clara renchérit vicieusement :



Blandine commence elle aussi à avoir moins de pudeur, contrairement à Donia qui a plaqué un oreiller contre elle. Pour ma part, je ne sais toujours pas quoi faire, mais je n’oublie pas de profiter du spectacle gratuit que ces trois filles m’offrent.




Flash-back



Petit retour en arrière sur Clara et moi, Alex.


Pour retenir, C comme Clara et cousine. Comme je suis le seul garçon de l’histoire, pas besoin de truc mnémotechnique. Ah oui, petit retour en arrière, disais-je.


Nos mères sont sœurs et sont restées en contact malgré une centaine de kilomètres entre elles. Elles s’invitent souvent, elles partent fréquemment en vacances ensemble. C’est le cas cette année, où nos deux familles partagent la même villa.


Clara et moi avons le même âge, nous sommes nés la même année, le même mois, elle le dix et moi le quinze. Mais fière de ses cinq jours d’avance, ma cousine a la fâcheuse manie d’agir en chef. Et moi, je n’aime pas trop qu’on me dicte ce que j’ai à faire. Nous sommes parfois comme chien et chat, mais dans l’ensemble, nous cohabitons bien, malgré diverses chamailleries.


Cette année, arrivée trois jours avant moi, Clara est venue avec deux copines :



Quand je suis arrivé à mon tour, je me suis assez bien entendu avec les deux copines, même si Blandine possède une langue acérée. Quant à Donia, il faut la questionner pour avoir droit à une parole de sa part.


J’ai compris que ma cousine sera occupée durant les presque trois semaines que je vais la côtoyer, mais j’espère qu’on pourra quand même aller à la plage ensemble, car se baigner seul, ce n’est pas rigolo. Au pire, je prendrais l’un des deux scooters que j’ai vus dans le garage pour aller me balader.


Revenons à cette fichue porte ouverte…




Exhibition



Agenouillée sur le matelas du bas, Blandine reprend la main en assénant :



J’ouvre de grands yeux :



Pivotant la tête vers sa voisine, Clara regarde avec étonnement sa blonde copine. Celle-ci se défend vivement :



Je préfère ne pas intervenir dans cette conversation. Montrer mon fier engin à trois filles en même temps, ce n’est pas donné à tout le monde et c’est flatteur d’autant que je suis dans de bonnes dispositions, mais ça me gêne quand même un peu malgré tout.


Blandine se souvient à nouveau de moi :



Ah oui, c’est vrai que je bande toujours ! La situation m’excite à fond, et pas que la situation. Blandine possède des courbes avenantes. Donia aussi, avec des mignons seins et un popotin plus ample. Je préfère ne pas décrire ma cousine, le sujet est trop tendancieux.



J’abaisse mon short, dévoilant aussitôt une verge en pleine forme et décalottée. Sans complexe, Blandine m’observe posément. Et mine de rien, Donia regarde aussi dans ma direction. Maintenant, face à moi, trois filles contemplent ma chose, leurs yeux au même niveau que mon pubis.


Assises les unes à côté des autres, elles commencent à discuter entre elles :



Une petite voix demande :



Je m’exécute, plutôt fier de moi. J’essaye néanmoins de ne pas le montrer. Ma verge décrit actuellement une belle courbe vers le plafond. Mon engin n’est pas ridicule face à ces demoiselles un peu trop curieuses…


Dévoilant complètement ses seins (ce qui entretient ma bandaison), Blandine résume la situation :



Puis les trois filles continuent de contempler mon engin comme pour le mémoriser. Une fois de plus, Blandine prend l’initiative :



Obéissant, je fais un pas vers le lit. J’entends alors :



Les deux filles se tournent vers Donia :



Baissant les yeux, Donia répond :



À nouveau, Blandine s’adresse à moi :



Je ne pensais pas qu’elle allait me prendre au mot. Je m’approche du lit superposé, exhibant mon engin à quelques centimètres de leurs visages.



À ma grande surprise, Blandine saisit ma tige dans sa main. Sous le regard interloqué des autres personnes présentes dans la chambre, elle s’explique aussitôt :



Elle me tripatouille, elle me branle même un petit peu, avant d’aller soupeser mes testicules de son autre main. Puis elle me libère :



Faisant la moue, Clara répond :



Je m’en doutais un peu. J’avais cru constater ce penchant chez ma cousine. Mais parfois, on se fait des fausses idées. Donia ne dit rien, mais regarde copieusement. Sans s’être pourtant concertées, Blandine et Clara s’adressent à leur brune copine qui reste muette :



Clara prend carrément la main de Donia et la pose sur ma verge toujours bien raide. La brune rougit fortement, mais ne retire pas sa main. Maladroitement, elle enserre ma colonne de chair et joue avec durant quelques secondes.


Égayée, Blandine lui fait constater :



Clara intervient :



Entendant ces propos, je proteste :



Un petit silence s’installe. Blandine semble consulter Clara du regard. Ma cousine me demande :



Je n’ai pas été bien loin avec elles, je l’avoue. Ça se limitait souvent à des bisous et des caresses. Le plus loin que j’ai été, c’est quand Maryse m’a offert une branlette espagnole et que j’ai pu éjaculer entre ses deux monts blancs. Quant à ce qu’il y a en dessous de la ceinture, j’ai toujours dû faire ceinture…


Plissant des yeux, Clara insiste :



La brune devient écarlate. Ma cousine se met à rire :



Blandine ajoute son grain de sel :



Je cligne des yeux : ai-je bien entendu et ai-je compris ?




Les joies subtiles des lits superposés



Bien que je sois étonné par ce qui m’arrive, je ne vais certainement pas fuir cette chambre. Après avoir été dûment chapitrée par ses deux amies, Donia escalade la petite échelle pour aller s’installer sur la couchette supérieure. Fébrile, elle s’installe, faisant pendre au-dehors ses jambes, tandis que je me tiens debout face à elle. Décidément, la pauvre se fait facilement manipuler par ses copines…


Stressée, elle demande à ses copines :



Avec aplomb, Clara répond :



Elle proteste mollement :



Ainsi Donia possède un petit faible pour moi ? Intéressant à savoir. Je la rassure :



Ma cousine intervient, apportant de l’eau à mon moulin :



Je lui adresse un beau sourire (genre Kaa, le python dans la Livre de la Jungle) :



Je joue les garçons expérimentés, mais comme Donia, c’est ma première fois. Tout ce que je sais, je l’ai lu ci et là, et une fois vu sur une cassette vidéo consacrée au sujet. Ma mémoire étant assez bonne, il ne me reste plus qu’à reproduire sans me tromper. J’espère être guidé par les réactions de Donia et mon instinct.


Ravi de l’aubaine, je commence à déposer quelques furtifs bisous sur l’abricot lisse qui m’est offert. Donia réagit positivement, je suis sur la bonne voie. L’odeur qui se dégage de sa fente est aphrodisiaque, elle m’attire, elle me conditionne.


Naturellement, je glisse ma langue dans la fente odorante, cueillant un peu de cyprine, preuve indéniable que Donia est déjà bien excitée. J’apprécie beaucoup le goût suave que j’ai à présent en bouche. Décidément, c’est nettement plus simple que je ne l’aurais cru. Le mot « clitoris » clignote soudain dans ma tête. J’obéis à cette injonction.



Vu les gémissements et les vibrations de Donia, j’ai assurément trouvé le Saint Graal ! À demi assise sur la couchette supérieure du lit superposé, Donia me laisse savourer entre ses cuisses son mignon abricot tout suave et trempé. C’est la première fois que ma vie que je peux m’offrir une telle dégustation, et quelque chose me dit que je m’en souviendrai jusqu’à mon dernier souffle.


Inutile de préciser que je bande à mort !


Devenue plus téméraire, Blandine s’installe sur la couchette inférieure, ce qui fait que sa tête est à la bonne hauteur stratégique. Je comprends tout ceci quand mon sexe est englouti par une bouche avide et en voyant Clara en train de regarder le spectacle.


Si je ne me trompe pas dans les chiffres, il s’agit d’une sorte de soixante-neuf, mais ouvert. Décidément, pour une première fois, ça commence très bien !


Dieu que c’est bon de se faire sucer de la sorte ! Je ne sais pas si Blandine est experte ou pas, mais c’est franchement divin ! Si Donia ressent ce genre de chose pendant que je la lèche, je comprends mieux pourquoi elle se laisse faire ainsi, malgré une évidente timidité !


Mais le souci est que je sens que je ne vais pas résister bien longtemps, je n’ai pas encore l’expérience de bien savoir me contrôler. Il paraît que certains hommes restent durs durant des heures, sans éjaculer. Je me demande comment ils font ! Je suppose que ça doit être comme le marathon, c’est une question d’entraînement.


J’ôte momentanément mes lèvres maculées de cyprine du sexe de Donia :



Pour toute réponse, sans lâcher ma verge qui est si bien dans sa bouche chaude et chevronnée, Blandine plaque sa main sur ma fesse, comme pour m’empêcher de me retirer. Je constate au passage que son autre main est nichée entre ses cuisses. Si c’est ça qu’elle souhaite, pas de souci pour moi. D’ailleurs, ça m’arrange !


Alors je replonge entre les cuisses, à la fois décidé à faire jouir la propriétaire de ce bel abricot et aussi à inonder cette bouche qui me fait tant de bien ! Je résiste au mieux, je n’ouvrirai les vannes que quand Donia aura joui, il y va de mon honneur de jeune mâle !


Je martèle dans ma tête :



Alors que je pensais perdre ce combat, Donia se laisse glisser sur la grande pente de la jouissance, plaquant spontanément ma tête contre sa vulve. Alors, j’ouvre grandes les écluses. Éjaculer dans une bouche, c’est nettement mieux que dans un mouchoir ou dans le vide !



Enveloppé par les gémissements de Donia, j’ai l’impression que mon cerveau se vide pour venir alimenter mon sexe ! Peu importe, je me laisse complètement aller, inondant cette bouche suave qui me procure tant de plaisir. J’éprouve au plus profond de mon être un étrange plaisir complémentaire à savoir que Blandine est en train de boire tout ce que j’expulse en elle…



Inversement




Tandis que je suis avachi sur le matelas du bas et que Donia se repose au-dessus de ma tête, debout devant moi, au milieu de la chambre, les deux autres copines discutent.


Curieuse de nature, pointant du doigt les lèvres luisantes de la blonde, Clara demande à Blandine :



Les yeux de la blonde brillent :



Alors que je viens de m’asseoir, j’ai la surprise de voir à l’envers la tête de Donia, qui me demande timidement :



Blandine se met à ricaner :



Froissée, Donia se redresse sur le matelas supérieur :



Puis, provocatrice et réprimant une grosse envie de rire, la blonde se tourne vers moi :



En même temps, elle jette un coup d’œil sous mon ventre :



Mon sexe à nouveau en forme, je me relève pour faire face à la blonde en collier :



Aidée par Clara qui en profile pour la peloter, Donia descend lentement la courte échelle. Durant ce temps, la blonde me regarde droit dans les yeux :



Pour toute réponse, Blandine grimpe sur la petite échelle, ce qui me permet de contempler son popotin, prenant à présent la place de la brune. Puis elle s’installe confortablement en mettant des coussins derrière elle. Enfin, elle écarte voluptueusement les cuisses, m’offrant une autoroute vers un fruit pêchu doté effectivement de quelques poils sur le haut de la fente, fruit que je vais bientôt déguster avec application et ferveur.



Elle fronce des sourcils :



Je pose mes mains sur le dessus de ses cuisses :



J’entame alors le deuxième cunni de ma vie, ainsi que la deuxième sucette.



Calineries




Pour résumer la situation, Blandine a joui comme une petite folle et j’ai bien cru qu’elle allait arracher ma tête, tellement elle l’avait empoignée entre ses mains ! Plus bas, Donia a montré d’indéniables dispositions pour la fellation. Avec application, elle a tout avalé sans rechigner. Mais elle ne s’est pas masturbée, contrairement à Blandine dans le même rôle.


Durant ce temps, un peu en retrait, ma cousine a joué les spectatrices, ou plutôt les voyeuses. Je trouve qu’elle aurait pu participer en s’occupant de Donia. Tiens, on dirait que je pense comme un vieux routard du sexe !


Grâce à un bon alignement des astres, comme le dit souvent ma mère, je suis en train de vivre quelque chose d’extraordinaire, aidé par l’émulation qui existe entre la brune et la blonde. Je pense que Donia est poussée par le « je ne veux pas passer pour une idiote, je veux faire comme les autres », mais à sa façon.


Justement, en parlant d’elle, les yeux dans le vague, la brune confie ses impressions à la blonde :



De mon côté, je me sens que je vais bientôt être à nouveau d’attaque pour continuer les réjouissances. Je découvre avec plaisir qu’en situation réelle je ne suis pas un fusil à un seul coup. Mon orgueil fait un gros bond en avant. Mais il vaut mieux éviter de trop jouer au petit coq. Je pense que le moment est venu de m’offrir un petit caprice.


Qui ne risque rien n’a rien. Je demande prioritairement à Blandine, qui est la plus proche de moi :



Étonnée, elle répète ce que je viens de dire :



Restant assez calme alors que mon désir accroît en moi, je précise :



Clara intervient :



J’ai confirmation que ma cousine n’est pas une débutante en la matière, je suis presque certain que c’est elle qui a débauché ses deux copines. Son penchant lesbien est peut-être lié à ses expériences aussi bien avec les filles qu’avec les garçons. Puis elle a choisi son camp. Sachant qu’elle a le même âge que moi, elle m’a largement devancé !


Blandine réfléchit quelques secondes, puis elle lâche d’un air faussement badin :



Curieusement, elle rougit :



Blandine semblant momentanément perturbée, Clara intervient à nouveau :



Concernée à son tour, Donia s’exclame :



Donia se met à rougir, ce qui ne l’empêche pas de poursuivre :



Elle devient encore plus écarlate. Amusée, Clara me lance :



Toujours aussi impudique, ma cousine met ses mains sur les hanches :



Clara se penche un peu vers moi :



Elle se met à rire :



Très pragmatiquement, je suis en train de vivre l’un des moments les plus marquants de ma vie. Peut-être que c’est la première et la dernière fois que j’aurais une telle opportunité. Alors, je reconnais que je tire un peu sur la corde, en veillant toutefois à ne pas abuser ni à la casser.



Enlacements




Dire, c’est bien ; faire ; c’est mieux.


Je me plante devant Blandine en écartant les bras. Regardant ses copines, elle hésite un peu. Puis elle se décide. Sans la brusquer, je la serre contre moi, elle résiste un peu, puis elle se laisse aller, mettant sa tête sur mon épaule. Moi, je suis aux anges, sa peau contre la mienne, ses deux seins écrasés contre mon torse et son ventre contre ma verge. Dieu que c’est bon ! Elle doit penser un peu la même chose puisque je l’entends murmurer :



Mes mains sur ses lombes, je la serre un peu plus encore, elle lève spontanément la tête, c’est le moment que j’attendais. Je pose mes lèvres sur les siennes pour y déposer un doux baiser, sans abuser. Elle frissonne légèrement. Un peu troublé, desserrant mon étreinte, je relève la tête, décollant nos lèvres.


Elle murmure à nouveau :



Message reçu cinq sur cinq. Je demande :



Ah les femmes ! Je crois que je ne fais que commencer à effleurer le sujet. Encore heureux que je sois plus… comment dire… « posé » que la plupart de mes copains qui auraient peut-être brûlé les étapes ou fait des impairs. Qui veut aller loin ménage sa monture, dit le proverbe.


L’homme propose, la femme dispose : ça aussi, j’ai bien compris.


Je la serre à nouveau contre moi, lui faisant bien sentir mon bâton bien raide, je pose mes lèvres sur les siennes pour y déposer un baiser plus exigeant. Quelque chose s’emballe en moi. Mes mains glissent vers ses fesses que je capture avidement. J’ai une furieuse envie de la soulever pour venir l’empaler sur ma colonne de chair afin d’exploser en elle !


Je freine des quatre fers, tout en continuant de l’embrasser follement, nos langues se cherchant, se trouvant, se nouant. Cette blondinette replète m’excite un max ! Notre baiser dure…


Puis d’un commun accord, essoufflés, nous éloignons nos lèvres. Blandine souffle :



Nous nous mettons à rire, puis nos corps se séparent. Je me sens épuisé, mais autrement que tout à l’heure. Sans doute le fait d’avoir dû me freiner. C’est bien la première fois que je ressens un truc pareil, je commence à mieux comprendre certaines choses qui me semblaient obscures. Décidément, aujourd’hui est un grand jour dans tous les sens du terme.


Je constate que j’ai toujours la gaule, comme on dit. Je m’étonne de ma résistance dans ce domaine nouveau pour moi. Baissant le menton, Blandine s’exclame :



Elle se radoucit, affichant un sourire un brin pervers et triomphant :



D’un pas décidé, Donia s’approche de moi, puis elle capture mon bras sous le nez de sa copine :



Le ton est impératif, Donia s’affirme nettement. Elle veut sa part, c’est évident. Elle aussi apprécie la tournure des événements et les découvertes que nous faisons ensemble. Après un rapide coup d’œil dans la chambre, sous le regard étonné des trois filles, je pose deux gros coussins sur le sol, puis je demande à ma future partenaire :



Je m’essuie à l’aide d’un mouchoir, car moi aussi j’ai une tache luisante sur le ventre. Durant ce temps, Donia se met en place, je me plaque délicatement contre son dos, je constate que j’ai bien calculé mon coup. Prenant bien soin de coincer la longueur de sa tige entre ses fesses, mon bout vient cogner dans le creux de ses lombes. Je glisse mes mains sur son ventre tout rond et frissonnant.



Rassuré, je remonte lentement vers sa poitrine pour venir capturer ses deux mignons seins. Donia est moins fournie que Blandine, mais son popotin compense. L’idéal serait peut-être un mélange entre ces deux femmes. J’aime la retenue de Donia, mais aussi l’esprit frondeur et fonceur de Blandine.


Je caresse délicatement sa menue poitrine, jouant parfois avec les tétons érigés. La brune respire de façon plus hachée. Insensiblement, je sens qu’elle ondule contre ma tige posée contre la raie de ses fesses, une initiative que je suis loin de détester !


Alors, j’accompagne son mouvement en me frottant contre elle, tandis que ma bouche se fraye un chemin vers son cou. Puis mes lèvres la dévorent purement et simplement, elle frémit, elle gémit, elle tangue, nos corps emboîtés l’un dans l’autre. Une fois de plus, quelque chose s’emballe en moi. J’ai la furieuse envie de planter mon pal en elle, entre ses fesses, peu importe l’endroit !


Sans cesser de la peloter et de l’embrasser, je tente d’apaiser le volcan qui érupte en moi. Différemment de Blandine, Donia m’excite aussi un maximum ! Aurais-je déjà découvert les deux extrêmes de ma femme idéale ?


Je suis jeune, j’ai largement le temps de découvrir d’autres espaces, d’autres lieux. Il y a tant de femmes et tant de possibilités, mais quelque chose en moi me dit que j’ai finalement peut-être trouvé du premier coup, l’épouse et la maîtresse. Cette pensée m’étonne ! Serais-je encore plus mature que prévu ? Non, peut-être que c’est mon esprit qui s’emballe. Ou je ne sais quoi d’autre…


À nouveau essoufflé par cette flambée de volupté, je libère ma proie, laissant glisser mes mains des seins vers le ventre. Donia reste néanmoins alanguie dans mes bras, son dos toujours plaqué contre mon torse, sans parler de ce qu’il y a plus bas.


Poussant un gros soupir, Donia se sépare de moi. Elle avance d’un pas, ajustant ses cheveux. Puis elle se dirige vers le miroir de l’armoire pour s’y mirer et parfaire sa coiffure. Sans doute veut-elle voir à quoi elle ressemble en pareille situation ?


Cruelle, Blandine s’exclame :



Alarmée, Clara intervient fermement :



Puis elle se tourne vers moi :



Impériale, Clara se tourne vers les deux filles assez surprises par ce qu’elles viennent d’entendre :



Une fois de plus, Blandine résume la situation :



Clara explose de rire, tandis que Donia sourit en rougissant. Puis Clara se fige :



Pour ma part, je suis très heureux qu’il ait plu aujourd’hui et d’avoir ouvert cette porte un peu trop rapidement, lors de ce deuxième jour de mon arrivée ici. Je suppose que le reste des vacances permettra d’explorer bien des choses.


Car apprendre sur le tas (si je puis me permettre l’expression) est nettement plus pédagogique et efficace que tous les cours d’éducation sexuelle, les vidéos X ou les magazines sur papier glacé !