n° 22053 | Fiche technique | 22866 caractères | 22866Temps de lecture estimé : 16 mn | 14/10/23 |
Présentation: Une histoire de vacances qui se déroule dans les années 80. | ||||
Résumé: Comme il ne pleuvait plus, nous sommes allés tous les quatre (le club A-B-C-D) à la plage, mais quelque chose avait indéniablement changé dans notre petit groupe. | ||||
Critères: fh jeunes vacances voir caresses fellation cunnilingu init | ||||
Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Une histoire de porte Chapitre 02 / 05 | Épisode suivant |
Une histoire de vacances qui se déroule dans les années 80.
Bonne lecture : )
Je sais que je n’aurais pas dû, mais voilà, je l’ai quand même fait. En vacances avec la famille, j’aurais dû toquer à la porte de la chambre que ma cousine Clara et ses deux copines (Blandine et Donia) occupent. Au lieu de ça, j’ai ouvert précipitamment la porte en criant à moitié :
Puis je suis resté, bouche bée, les bras ballants, la bouche grande ouverte et les yeux bien ronds.
Visiblement, ma chère cousine et ses deux copines avaient trouvé une occupation en attendant que la petite pluie cesse. Elles sont toutes les trois nues de la tête au pied, si on excepte un collier pour la copine blonde, et leurs corps sont, comment dire, enchevêtrés sur le matelas inférieur du lit superposé.
Je vous épargne le reste puisque tout a déjà été relaté dans un précédent texte. Mais pour résumer le résumé, sachez que :
Je ne regrette absolument pas d’avoir ouvert cette porte, car ça m’a ouvert bien de nouvelles possibilités. Clara et moi, nous avons planifié de nous répartir alternativement la compagnie des deux filles extérieures à notre famille.
Ah oui, j’oubliais : moi, c’est Alex.
Comme il ne pleuvait plus, nous sommes allés tous les quatre (le club A-B-C-D) à la plage, mais quelque chose avait indéniablement changé dans notre petit groupe. Blandine se permet des allusions vicieuses dans le but évident que faire dresser mon chapiteau, c’est son nouveau loisir. Parfois, elle fait carrément dans le cru, pour choquer. Donia est nettement moins allusive et directe, mais je comprends assez vite qu’elle souhaite me faire parfois passer des messages, sans toutefois trop oser se mouiller.
Bref, la blonde est trop directe, et la brune l’est nettement moins. Ce qui fait une bonne moyenne.
Plusieurs fois, nous avons été dans l’eau tous les quatre. Ce qui m’a beaucoup amusé est de les voir en maillot de bain, alors que quelques minutes auparavant, elles étaient complètement nues. D’ailleurs, je préfère nettement qu’une fille soit sans vêtement qu’avec du tissu sur elle. Quoique… cacher un peu les endroits stratégiques donne envie de les dévoiler.
Mais moi, j’ai une folle envie de pouvoir lutiner à nouveau la blonde et la brune !
Tandis que nous sommes tous les quatre assis sur le sable, à l’abri des oreilles indiscrètes, Clara joue sa petite chef, en exposant sa vision des choses :
Blandine réplique :
La brune baisse les yeux :
Pour éviter un enlisement, je prends la parole :
Ma cousine ricane :
Puis nous sommes gentiment rentrés chez nous. Sur le chemin, par trois fois, Blandine s’est offert le luxe de poser sa main sur mon short, par devant, à l’endroit le plus stratégique de mon anatomie. Décidément, quand elle se déchaîne, elle y va de bon cœur !
Le soir, allongé dans mon lit, les pensées se bousculent : en un après-midi, je viens de récupérer deux petites amies, enfin, deux filles avec qui jouer, chacune ayant son charme bien à elle. Et en plus, on a déjà réussi à faire plein de choses dont il ne faut pas se vanter auprès des parents !
Si on me demandait de choisir entre ces deux copines, je serais bien embêté, car chacune possède ses avantages et ses qualités. Non, pas de défaut réel.
Blandine est pulpeuse, et je suis loin de détester la chair fraîche, et surtout les melons qui dandinent sous son menton. Elle est assez directe, elle sait prendre des initiatives. Dans l’absolu, je ne détesterai pas qu’elle me saute carrément dessus. Si nous faisions l’amour, quelque chose me dit que ce serait assez torride, avec de la sueur partout, sans oublier les autres fluides. J’ai cru en avoir un bref aperçu en me collant à elle, peau contre peau et en l’embrassant. J’ai bien failli perdre mon self-control !
Donia est plutôt dans le style Orangina, la bouteille. Ses lolos sont mignons et son séant très accueillant, du moins, à prime vue. Elle est plus réservée, elle donne l’impression d’être assez facilement manipulable, mais elle sait parfois ce qu’elle veut, sans toutefois savoir le dire. Elle, je l’ai embrassée dans le cou, en me collant contre son dos, pour ne pas dire ses fesses. Là aussi, je ne peux pas dire que mon self-control a été serein.
Avec qui je voudrais avoir ma première fois ? Bonne question !
Je me demande si Blandine a franchi ou pas le pas avec un garçon. Son comportement me laisse croire qu’elle n’est pas une oie blanche, mais parfois je suis détrompé par une réflexion qu’elle vient de faire. Quelque chose me dit qu’elle a dû le faire, mais que ça n’a pas été le nirvana.
Pour Donia, il est évident qu’elle ne l’a pas fait avec un garçon ni avec un homme. Tout au plus, elle a découvert les plaisirs saphiques avec ma cousine. Il est vrai que s’amuser entre filles est nettement moins dangereux, surtout d’un point de vue nataliste ! Se retrouver enceinte pour quelques minutes de plaisir, c’est cher payé. On me répondra qu’il existe des moyens contraceptifs, mais aucun n’est fiable à cent pour cent, sauf l’abstinence (et encore, il y a eu un précédent célèbre, il y a deux mille ans).
Pour résoudre ce dilemme, pourquoi ne pas avoir sa première fois avec deux filles en même temps ? Ce serait une bonne solution, mais serais-je à la hauteur ? Et est-ce que ces demoiselles l’accepteraient ?
Une autre solution serait que j’ai ma première fois avec une troisième fille. Je n’inclus pas ma cousine dans cette solution. Mais pragmatiquement, un bon bout de chemin a déjà été fait avec Blandine et Donia, alors qu’avec une nouvelle partenaire, il faudrait recommencer à zéro, à moins de tomber sur une nymphomane. Le soleil, la plage, les vacances aident à la libération de mœurs, mais il ne faut pas exagérer !
Bah, je suis sous doute en train de me torturer les méninges pour rien. Vivons le moment présent de ces vacances qui ne font que commencer.
Aujourd’hui est le jour de Blandine. La blonde copine de ma cousine semble avoir la nette intention de profiter de sa journée, c’est lisible dans ses yeux.
Deux jours après l’épisode de la porte, nous partons faire un petit pique-nique à quatre. La veille, nous avions demandé la permission aux adultes. En réalité, chaque couple ira de son côté pour ne pas gêner l’autre. Nous sommes partis sur les deux scooters du garage, un bon moyen pour se déplacer dans le coin.
Tandis que je conduis, Blandine se colle posément contre mon dos, je sens distinctement la masse de ses seins, ce qui ne m’aide pas à rester zen. Dès que nous sortons de l’agglomération, ses mains changent de place et descendent. Je l’entends alors me dire :
En effet, elle a carrément mis ses mains dans mon entrejambe. Je prie pour que nous n’ayons pas d’accident, sinon je risque d’être châtré, ce qui serait une grande perte, surtout pour moi ! En tout cas, j’ai tout de suite une idée de la journée !
Je me dirige vers une petite plage où je sais que nous ne serons pas dérangés. C’est assez à l’écart de la station touristique, on ne peut y accéder que par des petits sentiers parfois non balisés, mais je connais assez bien le coin.
Manque de bol, le premier endroit que je visais est occupé. Je me rabats donc sur l’autre lieu qui est fort proche. Bonne pioche, l’endroit est actuellement désert. Nous nous installons dans un recoin entre les arbres, une sorte de clairière ouverte, à quelques enjambées de la mer. Je dispose au sol deux grandes serviettes, puis je place le sac à cheval sur le sommet des deux tissus pour empêcher que le vent joue les voleurs.
Je me mets en maillot de bain. Blandine enlève sa robe légère pour dévoiler un bikini noir qui ne cache pas grand-chose de son anatomie. Une grande bouffée chaude m’assaille.
Sans perdre de temps, Blandine propose :
Au moins, c’est direct. Blandine et moi, nous nous sommes plusieurs fois embrassés, mais pas de la sensuelle et érotique façon de la fameuse scène de la porte, car à chaque fois, le temps nous manquait, ou bien, il y avait du monde pas loin. Amusé, je réponds :
À ma grande surprise, elle ôte son maillot en moins de cinq secondes. Il est vrai que je l’ai déjà vue toute nue. Je fais de même. Une fille peu complexée, c’est très pratique !
Comme cette fameuse première fois, je me plante devant Blandine en écartant les bras. Cette fois-ci, elle n’hésite pas du tout, elle vient se plaquer contre moi. Me contrôlant du mieux que je peux, je la serre contre moi, mes mains directement sur ses fesses, elle ne proteste pas, elle ne résiste pas, mettant sa tête sur mon épaule. Décidément, une fille nue contre soi, c’est génial ! Sans parler de ses deux beaux nibards (désolé pour l’expression) écrasés contre mon torse, et son ventre rond contre ma verge.
Dieu que c’est bon ! Peu après, elle murmure :
Nous restons ainsi de longues secondes, puis elle lève la tête. Aussitôt, je pose mes lèvres sur les siennes pour y déposer un baiser qui ne sera pas chaste. Elle aussi semble enfiévrée. À nouveau, quelque chose s’emballe en moi. Nous nous embrassons follement, elle frotte son corps contre le mieux, ses belles et bonnes masses contre mon torse et son ventre sur ma verge. Nos langues se cherchant, se trouvant, se nouant. Blandine m’excite un maximum !
Notre baiser dure… dure… dure…
Puis essoufflés par cette interminable embrassade, nous éloignons nos lèvres. Les yeux brillants, Blandine souffle :
Elle s’écarte un peu pour vérifier :
Je l’embrasse à nouveau, baladant mes mains partout sur elle. Très vite, elle fait de même. Peu après, nous nous retrouvons allongés sur les deux grandes serviettes, toujours en train de nous embrasser, roulant l’un sur l’autre.
Quelques minutes plus tard, nous reprenons notre souffle. Blandine s’amuse :
Nous passons notre matinée à nous faire des mamours, entrecoupés de quelques baignades pour nous rafraîchir. Curieusement, nous n’avons rien fait dans l’eau, c’était notre instant de pause pour récupérer. J’ai pu ainsi déguster ses beaux lolos et leurs tétons, bisouter ses fesses et son pubis, mais elle n’a pas souhaité que je lui fasse un cunni. Plus tard, a-t-elle répondu. En revanche, mon sexe s’est égaré par deux fois dans sa bouche…
Peu après la dernière fellation, Blandine me dit en se léchant impudiquement les lèvres :
Je répondrais bien qu’elle a pourtant déjà quelque chose dans l’estomac, mais je m’abstiens, ce ne serait pas élégant. Je me fends d’un banal :
Nous commençons par les sandwiches. Mais tandis qu’elle mange en toute innocence, d’étranges idées saugrenues me viennent à l’esprit…
Déjeuner avec une fille nue sous les yeux est un plaisir que j’espère renouveler souvent ! Je pourrais manger n’importe quoi, je m’en moquerais, tellement j’apprécie la vision qui me fait face. Quelques miettes sont tombées sur ses seins, elle les chasse de la main, ce qui fait vibrer ses gros lolos fort appétissants.
Consciente que je la dévore des yeux, elle m’adresse un sourire ambigu :
Il ne faut pas me le dire deux fois !
Agenouillée devant moi qui suis debout, Blandine presse ses deux beaux lolos autour de ma tige. Faire une branlette espagnole, c’est divin quand la fille est bien pourvue. Je frotte avec délectation ma verge entre ses deux masses toutes douces. C’est encore meilleur qu’avec Maryse, sans doute parce que Blandine est mieux fournie et plus délurée.
Il ne me faut pas longtemps pour craquer. J’inonde sans retenue cette belle poitrine de mon sperme. Blandine en récupère même sur le menton :
Elle essuie son menton du revers de sa main :
Quelques instants plus tard, ma bouche est collée contre la fente de Blandine. J’ai sous les yeux son pubis décoré de quelques poils blonds, avec en arrière-plan deux beaux monts blancs. Vue ainsi, ma partenaire de jeu fait vraiment femme. C’est une sensation étrange, mais jouissive. Dans l’absolu, je ne détesterai pas qu’une adulte m’initie, je songe en particulier à la mère d’un de mes amis, et aussi à une autre.
Se tortillant, Blandine gémit sous ma langue, ses doigts dans mes cheveux.
Je suis fier de moi. J’aime entendre une fille gémir puis jouir, surtout quand j’en suis à l’origine. Et comme j’ai Blandine sous la main ou plutôt sous la langue, j’ai décidé de mettre les bouches doubles ou triples !
Sa jouissance est très sonore. Encore heureux que nous soyons seuls sur cette plage écartée du reste de la station balnéaire. Mes lèvres pleines de cyprine, je continue de la laper tandis qu’elle se trémousse, qu’elle hulule. Alors qu’elle tente de chasser ma tête, je résiste, je continue de plus belle. Nous luttons, elle se défend férocement, mais je sais que je serais le plus fort dans cette lutte.
Soudain, je l’entends à nouveau crier son plaisir. Je crois qu’elle a réussi à enchaîner deux jouissances en peu de temps. Elle s’agite, elle tremble, elle tangue, j’ai la nette impression que c’est encore plus puissant que celle d’avant, et qu’elle est ravagée de la tête aux pieds. Je suis impressionné !
Cette fois-ci, je la laisse se reposer. Je m’agenouille à côté d’elle. Peu après, Blandine murmure :
Puis je l’embrasse fiévreusement, barbouillant ses lèvres de sa propre cyprine. Elle répond sans entrave à mon baiser vorace. Quand nos bouches se détachent, elle murmure à nouveau :
Et sans attendre sa réponse, ma bouche vient se coller contre son sexe, l’explorant à nouveau. Je commence à connaître sa géographie, ce qui me facilite la tâche. Il ne faut pas bien longtemps à ma petite amie du moment pour se laisser à nouveau complètement aller. Et ceci, pour ma plus grande joie, et bien sûr la sienne.
Quelques instants plus tard, elle ouvre les yeux :
Ce que je fais. J’avance vers le rivage pour contempler la mer. Si on m’avait dit, il y a une semaine, que j’aurais fait des folies toute une journée avec une fille, je n’y aurais pas cru. Et le pire, pardon, le plus beau, c’est que la journée n’est pas finie !
Je ne vais pas faire le détail des diverses turpitudes que nous avons pu faire ensuite. J’ai néanmoins le sentiment d’avoir fait beaucoup plus en une seule journée avec Blandine que la plupart de mes copains en un an avec leur(s) petite(s) amie(s). Peut-être suis-je présomptueux…
Avant de partir, nous nous offrons un splendide soixante-neuf, face à la mer qui scintille un peu. Quel délice de savourer sa cyprine tandis qu’elle déguste mon sperme ! Le tout dans mille tremblements et petits cris de jouissance !
Après un petit repos bien mérité, nous en profitons pour nous baigner une dernière fois, afin d’effacer les éventuelles traces suspectes. Agenouillés dans l’eau, nous échangeons à nouveau un long baiser vorace.
Dans nos lèvres se décollent, Blandine me regarde droit dans les yeux :
Nous revenons vers la plage. Accrochée à mon bras, Blandine me demande :
Il y a des paroles qui font vraiment plaisir à entendre :
Il est vrai que Blandine ne fait pas son âge avec ses formes pleines et avenantes. Je comprends qu’elle puisse leurrer un homme mature. Quoique certains aiment la chair très fraîche…
Elle se met à rire, je l’accompagne. Peu après, je lui demande :
Elle me regarde d’un air étrange :
Je m’en sors par une pirouette :
Nous nous asseyons, je demande à ma voisine :
Elle ne s’offusque pas, elle réfléchit un peu avant de répondre :
Elle semble vouloir me dire quelque chose d’autre. Je la regarde, elle se lance :
Elle se met à rire, puis elle reprend :
Puis elle m’embrasse. Je réponds aussitôt à son baiser. Blandine vient de m’offrir un cours que je vais soigneusement conserver en mémoire. Je manque d’expérience, et ce genre d’info m’est très profitable.
L’heure venue, nous rangeons nos affaires, puis nous repartons en sens inverse, Blandine toujours collée contre mon dos, ses mains où elles ne devraient pas être. Alors que nous sommes presque arrivés au point de rencontre pour revenir à quatre à la maison, Blandine me confie :
Je joue franc-jeu :
Clara et Donia sont déjà sur place. Les deux couples expliquent succinctement leur journée. Tout le monde est visiblement très content, puis nous mettons au point ce que nous étions censés faire tous les quatre, afin d’offrir une même version aux adultes, s’ils nous questionnent.
Nous regagnons tous les quatre la villa. Fin des réjouissances pour cette journée.
Oui, j’ai bien fait d’ouvrir cette fameuse porte !