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Temps de lecture estimé : 21 mn
18/10/23
Présentation:  Une histoire de vacances qui se déroule dans les années 80.
Résumé:  Puis est venue la fin des vacances, l’heure de nous séparer. Ces presque trois semaines ont filé comme un éclair !
Critères:  fh jeunes vacances voir caresses fellation cunnilingu init
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message

Série : Une histoire de porte

Chapitre 05 / 05
J’avais bien fait


Une histoire de vacances qui se déroule dans les années 80.

Bonne lecture : )





Résumé des épisodes précédents :

Cf texte




Résumé



Je sais que je n’aurais pas dû, mais voilà, je l’ai quand même fait. En vacances avec la famille, j’aurais dû toquer à la porte de la chambre que ma cousine Clara et ses deux copines (Blandine et Donia) occupent. Au lieu de ça, j’ai ouvert précipitamment la porte en criant à moitié :



Puis je suis resté, bouche bée, les bras ballants, la bouche grande ouverte et les yeux bien ronds.


Visiblement, ma chère cousine et ses deux copines avaient trouvé une occupation en attendant que la petite pluie cesse. Elles sont toutes les trois nues de la tête au pied, si on excepte un collier pour la copine blonde, et leurs corps sont, comment dire, enchevêtrés sur le matelas inférieur du lit superposé.


Je vous épargne le reste puisque tout a déjà été relaté dans le premier épisode. Mais pour résumer le résumé, sachez que :



Je ne regrette absolument pas d’avoir ouvert cette porte, car ça m’a ouvert bien de nouvelles possibilités. Clara et moi nous avons planifié de nous répartir alternativement la compagnie des deux filles extérieures à notre famille.


Je me suis occupé de Blandine et de Donia, en m’adaptant à chacune. Comme ces deux filles sont assez opposées, mes vacances se sont transformées en une leçon de vie concernant la gent féminine, et ceci n’a pas de prix ! Sans oublier le fait que nous avons été plus loin que les gentils bisous…


Ah oui, j’oubliais : moi, c’est Alex.




Fin de l’été



Puis est venue la fin des vacances, l’heure de nous séparer. Ces presque trois semaines ont filé comme un éclair !


Le jour J, je me suis isolé avec Blandine pour lui faire un gros bisou comme elle les aime, mais en restant habillés tous les deux. Ce fut un baiser torride, très torride, j’en frémis en y repensant !


Peu après, j’ai fait la même chose avec Donia. Ce ne fut pas torride comme avec Blandine, mais sensuel, très sensuel. Là aussi, j’en frémis toujours en y repensant.


Puis elles sont parties, j’ai ressenti comme une déchirure en moi. Ça fait mal, très mal.




Rentrée



J’ai caché ma peine comme j’ai pu. Quelques jours plus tard, j’ai retrouvé ma chambre, mes habitudes, mes amis, mes copains, mes connaissances, mais ce n’était plus ça, une page avait été tournée. Les filles que je côtoie me semblent fades. Je me sens comme détaché de moi, comme si j’observais une scène dans laquelle je suis.


J’ai bien essayé d’avoir des nouvelles, mais avec cent kilomètres d’écart et un téléphone familial que les parents surveillent comme du lait sur le feu, pour cause de communications onéreuses, c’est difficile.


Fin septembre, alors qu’elle est actuellement chez moi avec ses parents, ma cousine m’apostrophe tandis que nous sommes seuls :



C’est flatteur ! J’aurais tellement aimé que ces vacances durent beaucoup plus longtemps ! Avoir deux copines en même temps sans les crises de jalousie, c’est peu commun et très appréciable. Hélas, tout ceci est du passé…



J’aimerais bien, oh oui que j’aimerais bien, mais je fais remarquer :



Néanmoins, c’est par cette méthode que j’ai pu revoir par cinq fois Blandine et deux fois Donia (moins libre de ses mouvements). Mais ça ne s’est pas limité à ce faible nombre ; encore heureux !


Je veux rester en contact, mais malheureusement, je ne peux téléphoner ni à l’une ni à l’autre, ça paraîtrait suspect, sans parler du fait que le téléphone trône souvent dans les salons et que c’est donc difficile de s’épancher. Quant à écrire une lettre envoyée par la poste, il ne faut pas y compter, non plus. Résultat, c’est ma cousine qui sert de postière. Parfois, les lettres que je reçois sont brûlantes, et ce n’est pas forcément Donia qui est la plus réservée !


Puis, tout doucement, l’échange épistolaire s’est espacé.


Loin des yeux, loin du cœur, dit un proverbe. Le cœur, je ne sais pas. Comme le dit très élégamment mon ami Lionel, le cul surtout. En tout cas, la déchirure est toujours là, même si elle fait moins mal. Je me suis habitué, je crois.




Le père de Donia



Quelques mois plus tard, j’ai pu revoir Donia dans des circonstances assez particulières qui méritent d’être relatées. Il a fallu que Clara tombe malade et que je sois chez elle pour quelques jours durant les vacances de printemps. Une certaine conjonction des astres…


Alors que je discute dans la rue avec la copine de ma cousine, un bonhomme assez petit à grosse moustache, mais plutôt costaud m’apostrophe :



Je comprends tout de suite qu’il s’agit du père de Donia. Malgré sa présence massive et agressive, je reste serein :



Calmement, je sors mon portefeuille de ma poche intérieure, puis je montre une photo :



Il se penche sur le cliché :



Une chose de réglée. Je range la photo tout en expliquant :



Me regardant d’un air mauvais, il grimace :



Je rétorque sèchement, ce qui surprend le père de Donia :



Je hausse le ton, restant très froid :



Il est assez surpris, je continue sur le même ton :



À moitié amusé, il se radoucit :



Je ne réponds pas à cette affirmation, je continue autrement :



Je désigne un banc :



Sortant de sa stupeur, Donia intervient :



Donia s’adresse à son père :



Elle répond la stricte vérité, sans toutefois mentionner les vacances :



Par la suite, j’ai pu revoir Donia avec sa bénédiction restreinte. Curieusement, il m’aimait bien. Peut-être parce que je lui avais tenu tête calmement et froidement. Je comprenais mieux les soucis et les angoisses de sa fille concernant son honneur. S’il avait su pour nous deux, je crois qu’il m’aurait réduit en bouillie !


À condition de me mettre la main dessus, car je cours vite !




Sept ans de non-réflexion



Sept ans se sont écoulés depuis cette fameuse ouverture de porte, j’ai vécu diverses aventures féminines, mais rien de comparable à ce fameux été.


De son côté, il y a trois ans, se débrouillant bien en anglais, Clara est partie dans le sud-ouest de la Suède, de l’autre côté du Danemark, où elle peut vivre sans contraintes sa grande passion pour les filles et les femmes. Tant mieux pour elle. Mais elle n’a toujours pas avoué son penchant saphique à ses parents. Je suis le seul de la famille à savoir. Elle correspond encore avec ses copines.


Il me reste à faire le point au bout de sept ans, ce que je vais faire.


Blandine, Clara et Donia habitent la même grande ville universitaire. Devinez où je me suis arrangé pour faire mes études ? J’aurais pu tourner la page, me trouver d’autres copines, mais pour diverses raisons, je ne l’ai pas fait.


Parlons franchement : avec Blandine et Donia, j’ai eu la chance de tomber sur des filles plutôt permissives, et très ouvertes pour certains jeux. Ce qui est loin d’être forcément le cas des demoiselles que je souhaitais courtiser. Devoir patienter des mois avant de pouvoir zieuter ce qu’elles cachent dans leur soutien-gorge, non merci. Il faut dire qu’avec la blonde et la brune de mes vacances de rêve, j’ai toute de suite eu le détail de leur anatomie.


Quand on goûte à la cuisine trois étoiles, on a ensuite du mal avec les gargotes. Ça me rappelle la fois où la famille et moi sommes allés en Turquie en mode « all inclusive ». À la fin du séjour, ma mère a dit à mon père :



C’est durant ce séjour que j’ai surpris mes parents en pleine « activité ». Ils n’en ont rien su, mais j’ai compris que mon penchant pour certaines pratiques était visiblement héréditaire !


Parlons crûment : avec Blandine, j’ai droit à ce que je peux appeler de façon affectueuse « une belle petite salope ». Nulle trace de dégradation dans mes propos. Ma chère blonde est sans complexe et souvent expérimentale, ce dont je ne me plains nullement. Avec Donia, c’est un peu différent, mais le résultat final n’est guère plan-plan, c’est clair. Disons que j’arrive aux mêmes sommets, mais par des chemins différents.




Sept ans



Détaillons un peu : durant ces sept ans, j’ai revu bien des fois mes deux petites copines de façon aléatoire (les vicissitudes de la vie), avec des « trous » de plusieurs mois. Mais jamais je ne suis retombé sur Blandine ou une Donia. Et honnêtement, devoir attendre cent sept ans pour dépasser le stade du simple bisou, je ne suis pas d’accord. J’ai été habitué à plus rapide et plus ludique…


Sans parler de celles qui exigeaient que je m’engage pour la vie, sans avoir eu droit à un commencement d’essai.


Diamétralement opposée à ces filles que je viens de citer, et absolument pas complexée, Blandine a couché diverses fois avec moi alors qu’elle avait un homme dans sa vie, et pas forcément le même lors de ses divers écarts :



Durant certaines périodes de ma vie, j’étais devenu en quelque sorte son amant plus ou moins attitré, celui qui compense autrement. J’avoue que ce rôle me plaisait bien, ça me permettait d’avoir du sexe sans la contrepartie d’une femme envahissante. Mais ça n’a pas été régulier. De son côté, elle assumait et elle assume toujours son côté bi, ce qui a d’ailleurs entraîné une rupture avec un de ses petits amis.


Quant à Donia, elle avait un peu plus de liberté qu’avant, ce qui nous a permis de nous revoir sans (trop d’) entraves. Souvent, nos rencontres étaient purement amicales, je lui servais de confident. Néanmoins, nous couchions aussi ensemble de temps à autre.


Comme déjà mentionné, je suis assez bien vu par son père, bien qu’il ne comprenne toujours pas comment un garçon et une fille peuvent se contenter de dialoguer sur tout et sur rien, sans avoir une idée cochonne derrière la tête.


À ce propos, je me suis offert le luxe de le confronter un jour à ses contradictions :



Il est resté figé quelques instants, les yeux grands ouverts ! Donia m’a souvent parlé de cet épisode par la suite. Oui, globalement avec la brune, c’est plus apaisé par rapport à la blonde qui se laissait joyeusement aller avec moi.


Mais parfois, Donia prenait les devants :



Ne jamais laisser une femme sur une insatisfaction !


Moi aussi, ça me manquait, ça me manquait beaucoup, sans parler d’une certaine innocence et de la quasi-absence de contrainte de l’époque. Donia m’a appris qu’elle avait eu quelques aventures à la fois masculines et surtout féminines (pour éviter certains soucis, dixit), mais sans plus, rien de bien sérieux. Et toujours l’ombre du père qui plane autour d’elle…


Entretemps, son géniteur lui avait trouvé des prétendants, mais elle a toujours réussi à louvoyer. Une fois, j’ai dû mettre mon grain de sel, je suis allé trouver son paternel pour lui expliquer que le nouvel homme qu’il avait choisi pour sa fille n’était pas génialement recommandable. Assez surpris par ma démarche, il m’a quand même écouté, puis il s’est renseigné :



Il a accepté mon explication. Oui, j’aime bien Donia, et parfois, souvent, un peu plus que bien. Comme avec Blandine. Mais autrement. Toujours cet « autrement » qui sépare ces deux filles…


Voici venir quatre épisodes. J’aurais pu en citer quarante sans souci, voire deux fois, trois fois plus, et en poussant le curseur, peut-être quatre cents en brodant. Mais limitons-nous à ces quatre-là, parce qu’ils me reviennent clairement en mémoire, maintenant.




Un peu de tout – 1/4



Un jour, dans un café, en plein centre-ville, Donia et moi. Mis en confiance, elle se dévoile, sans fard, en utilisant parfois des brides du vocabulaire de Blandine avec qui elle n’a pas coupé les ponts :



Donia contemple sa tasse :



Puis conscient de l’ambiguïté de ce que je viens de dire, j’ajoute :



Après un furtif sourire, elle continue sur sa lancée :



Elle me regarde droit dans les yeux ;



Que voulez-vous répondre à ça ? Nous avons changé de sujet : ses études. Puis dans le parc où nous nous sommes ensuite baladés, je l’ai embrassée plusieurs fois. J’en avais trop envie, et elle aussi.




Un peu de tout – 2/4



Un autre jour, un midi, dans la cafétéria d’un petit centre commercial, avec Blandine qui est rêveuse devant son assiette de paella :



La réponse tombe, spontanée :



Je fais la grimace :



Puis nous avons parlé de son nouveau « zizi-panpan » (comme elle dit), un dentiste. À prime vue, il ne souhaite pas faire des galipettes dans son cabinet. Je crois que s’il ne change pas rapidement d’avis, Blandine va changer de partenaire…


Et je pense qu’elle ne sera pas la seule…




Un peu de tout – 3/4



Alors que nous sommes allongés dans le même lit, le mien dans mon petit studio, Donia est allongée sur le ventre, me présentant une partie dodue de son anatomie que j’adore et dans laquelle elle me laisse me perdre. J’aime aussi m’abreuver à sa source toute lisse (la tradition a du bon) qu’elle a abondante et fort goûteuse.


Soudain, elle glousse et soupire en même temps, ce qui me surprend. Devant mon air intrigué, elle développe :



Tandis que je la caresse voluptueusement, elle raconte :



Sans cesser de la caresser, je lève momentanément les yeux au plafond :



Elle se met à rire :



Elle continue de rire. Il vaut mieux en rire que d’en pleurer, mais je comprends pourquoi Donia préfère (soi-disant) ne pas bouger de sa petite chambre d’étudiante, en prétextant des révisions et des examens ! Parfois, elle vient se réfugier chez moi, dans ma chambre d’étudiant, mais quand elle le fait, elle oublie sciemment de le dire à sa famille.


Malheureusement, ces moments d’intimité entre elle et moi sont assez rares, hélas… Raison de plus pour profiter à fond quand c’est possible.




Un peu de tout – 3/4 suite



Mais le plus étonnant reste à venir.


Alors que nous venons de faire à nouveau un très gros câlin bien sensuel après qu’elle m’ait relaté cette récente anecdote, blottie contre moi, Donia me dit :



À moitié amusé, je réponds :



Collée contre moi, elle commence son explication :



Elle me regarde de ses grands yeux sombres :



Elle respire un grand coup et me lance :



Entendant cette proposition venant du père de Donia, j’écarquille les yeux :



Donia se mord un peu les lèvres, puis elle continue :



Je serre Donia un peu plus contre moi :



Un peu plus tard, alors que nous nous séparons, après un bisou pour nous dire au revoir, très timidement, elle murmure :



Elle fait signe que c’est « oui » de la tête. Le truc qui m’enquiquine le plus si je me mets hypothétiquement en ménage avec Donia sera mon éventuel beau-père. Je l’imagine très bien débarquer à l’improviste chez nous, vouloir nous imposer des tas de trucs, et se mêler de tout. Sinon, Donia sans son père est une possibilité qui ne me déplairait pas, mais plus tard, car j’hésite toujours entre la blonde et la brune, sachant qu’actuellement, j’ai le beurre et l’argent du beurre, et que je me sens un peu jeune pour me mettre en couple.


Un peu déboussolé, je réponds :



Elle se met sur la pointe des pieds, puis elle m’embrasse une dernière fois avant de s’en aller.




Un peu de tout – 4/4



Blandine et moi sommes dans le même jacuzzi, celui que je viens d’acheter (en solde) et que j’ai installé dans mon nouveau chez moi, une petite maison en location qui possède une véranda. Il y a six mois, bénéficiant d’une grosse opportunité, juste après mes études et mon diplôme, j’ai été embauché dans une entreprise hi-tech.


Bien sûr, nous sommes tous les deux nus. Assise dans l’eau, ses lourds lolos tressaillant sous l’effet des remous, Blandine s’exclame :



Profiteur, je propose :



Me rapprochant d’elle, j’affiche un grand sourire :



Amusée, elle me jette de l’eau dans la figure :



Elle se met à rire, mais pas longtemps, puisque j’ai déjà capturé ses lèvres, ainsi que ses seins.


Quand nous sortons du jacuzzi, tandis qu’elle se sèche impudiquement, elle dit :



Je plaisante :



J’hésite sur l’interprétation à donner sur ce que je viens d’entendre. Après Donia, Blandine semble vouloir me faire passer un message. Alors que je me demande comment réagir, ayant découvert ma chaîne Hi-fi toute neuve, ma blonde maîtresse est en train de chercher parmi mes disques et CD quelque chose à écouter.




Une nouvelle vie



Pendant que je relatais ces quatre petits épisodes, bien d’autres sont revenus dans ma mémoire. Mais je préfère me limiter à ceux-ci, même si d’autres souvenirs ont été plus torrides, plus étranges ou plus marquants dans leur genre. En revanche, durant tout ce temps, je n’ai jamais eu le plaisir de lutiner la blonde et la brune en même temps. Certains diront « dommage », je n’en suis pas si certain, je m’en suis déjà expliqué.


Sept ans se sont écoulés. C’est long, sept ans quand on est jeune, c’est interminable ! Presque l’éternité ! Je ne sais plus qui a dit que l’éternité, c’était long, surtout vers la fin. Un Américain, je crois…


Puis le temps s’écoule, inexorablement. Les jours, les semaines, les mois…


Pourquoi durant tant de temps, j’en suis toujours revenu à ces deux filles devenues des jeunes femmes ?


Combien de fois j’ai rêvé de découper ces deux femmes en puzzles pour en fabriquer une seule qui soit ma femme idéale, un morceau de l’une, un morceau d’autre, et ainsi de suite ! Combien de fois j’ai rêvé d’être bigame ! Ou d’épouser l’une, et d’avoir l’autre en maîtresse ! Ou l’inverse…


Il paraît qu’on revient toujours à ses premières amours, dit le proverbe. On dit aussi que les premières fois marquent, mais je ne pensais pas que c’était à ce point : même pas vingt jours pour sept ans, même pas 0,8 %, j’ai calculé ce ratio, ce pourcentage bien des fois…


0,8 %… 0,78 pour être plus précis…


Puis un jour, je me suis marié. Eh oui !


Un an après la cérémonie, ma femme adorée et moi attendons notre premier enfant pour début mars. Un jour, l’évidence m’est tombée dessus comme la foudre : c’est elle qu’il me fallait, qu’il me faut, rien qu’elle, pour toute ma vie. Comme déjà expliqué longuement, nous avons simplement vivoté chacun de notre côté, nos chemins se croisant souvent, s’entremêlant, avant de revenir aux origines.


Qui est la mère de mon enfant, de notre enfant ? Je vous laisse deviner.


Oui, j’ai bien fait d’ouvrir cette fameuse porte !