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Temps de lecture estimé : 18 mn
16/10/23
Présentation:  Une histoire de vacances qui se déroule dans les années 80.
Résumé:  Les journées s’écoulent, idylliques... Voici quelques anecdotes.
Critères:  fh fffh jeunes vacances voir caresses fellation cunnilingu init
Auteur : Patrik            Envoi mini-message

Série : Une histoire de porte

Chapitre 04 / 05
J’ai bien fait – Duo et plus

J’ai bien fait — Duo et plus





Une histoire de vacances qui se déroule dans les années 80. Bonne lecture : )




Résumé



Je sais que je n’aurais pas dû, mais voilà, je l’ai quand même fait. En vacances avec la famille, j’aurais dû toquer à la porte de la chambre que ma cousine Clara et ses deux copines (Blandine et Donia) occupent. Au lieu de ça, j’ai ouvert précipitamment la porte en criant à moitié :



Puis je suis resté, bouche bée, les bras ballants, la bouche grande ouverte et les yeux bien ronds.


Visiblement ma chère cousine et ses deux copines avaient trouvé une occupation en attendant que la petite pluie cesse. Elles sont toutes les trois nues de la tête au pied, si on excepte un collier pour la copine blonde, et leurs corps sont, comment dire, enchevêtrés sur le matelas inférieur du lit superposé.

Je vous épargne le reste puisque tout a déjà été relaté dans le premier épisode. Mais pour résumer le résumé, sachez que :



Je ne regrette absolument pas d’avoir ouvert cette porte, car ça m’a ouvert bien de nouvelles possibilités. Clara et moi nous avons planifié de nous répartir alternativement la compagnie des deux filles extérieures à notre famille.


Je me suis occupé de Blandine et de Donia, en m’adaptant à chacune. Comme ces deux filles sont assez opposées, mes vacances se sont transformées en une leçon de vie concernant la gent féminine, et ceci n’a pas de prix ! Sans oublier le fait que nous avons été plus loin que les gentils bisous…


Ah oui, j’oubliai : moi, c’est Alex.




Ah les beaux jours !



Les journées s’écoulent, idylliques. J’ai déjà décrit comment se sont déroulées mes deux premières journées en privé. Il n’y a pas grand-chose à ajouter, si ce n’est que les lieux changeaient parfois, et que petit à petit, nous allions un peu plus loin dans nos relations.


Grosso-modo, avec Blandine, c’est : gros bisous, jeux de gros nibards et autres amusements parfois pervers en tout genre. Souvent, je me fais déborder par cette blonde très joueuse qui ne déteste pas dire des gros mots.


Et avec Donia, c’est : petits bisous, savouration de mignons lolos fluides, et turpitudes fessières. Souvent, c’est moi qui mène la danse, du moins, la brune me le laisse croire.


Et de temps à autre, c’est tout le monde en même temps (le club ABCD), mais ça arrive moins souvent. Ce qui m’arrange, car jouer sous les yeux de ma cousine me gêne un tantinet. Et puis, même si nous n’étions qu’à trois, Blandine, Donia et moi, je craindrais trop de favoriser l’une plutôt que l’autre, même sans le faire exprès. Et puis, je préfère bien m’occuper d’une seule que mal de plusieurs. De plus, c’est plus facile pour l’organisation.


Parfois, c’était « repos », pas vraiment de cochonnerie…


Néanmoins, même s’il n’y a pas de changement vraiment majeur lors de nos journées en couple, voici venir quelques anecdotes concernant la brune et la blonde. Six précisément, comme les faces d’un dé à jouer…




Donia 1/3



Pour changer un peu, commençons par Donia.


J’ai souvent adopté l’ordre Blandine puis Donia pour des raisons alphabétiques, et aussi parce que c’est avec la blonde que j’ai commencé mes journées privées, ma cousine ayant décrété que Donia n’était pas encore assez « rodée » …


Je reconnais que j’ai été très gâté avec Donia en ce qui concerne les fellations. Elle m’en faisait toujours au moins une par jour. Il est vrai que c’était exécutable en peu de temps, j’étais parfois tellement excité que c’était plié en moins de trente secondes ! En revanche, pour un cuni, c’est moins évident d’arriver à le faire vite.



Je n’ai toujours pas connu l’expérience du coït, mais je me demande franchement si c’est aussi bon que d’être dans une bouche chaude et humide avec une langue experte qui vous câline ! À moins que je sois très mal renseigné, je ne crois pas savoir qu’un vagin possède une langue ou quelque chose qui y ressemble !


Mais je crois avoir quand même une petite idée…


Je sais très bien que j’abuse parfois de la situation, sous prétexte que nous sommes inexpérimentés. Avec Blandine, c’est facile, mais avec Donia, j’éprouve une sourde satisfaction à l’entraîner avec moi. Je crois que ça doit être ça, la vraie perversité, ou un truc du genre…


Une fois de plus, je me vautre impudiquement sur les belles fesses dodues de Donia. C’est un plaisir dont je ne me lasse pas. Il existe la branlette espagnole. Dans le cas présent, je parlerai de branlette grecque, d’après ce que j’ai pu comprendre de certaines mœurs antiques.



Je me positionne autrement. Écartant ses deux belles fesses joufflues, je viens poser le bout de ma verge contre la cuvette ourlée. Je me frotte un peu. L’effet est tellement puissant que j’éjacule aussitôt !



Restant ferme, je continue à diriger ma lance dans ce qui me semble être le bon axe, me laissant aller complétement. Puis je m’effondre à côté de Donia, vidé et étonné de n’avoir pas su résister ! Donia me confirme :



Je sais que Donia se renseigne de plus en plus auprès de ses copines. Elle commence à avoir une petite idée des hommes, même si ce n’est pas issu de sa propre expérience. De plus, elle m’a sous la main pour vérifier ou expérimenter certaines choses.


Soudain, elle s’exclame :



Inquiet, je me redresse :



Malheureusement, elle est vite partie se laver dans la mer, me privant d’un éventuel spectacle un peu spécial. Elle s’est même accroupie dans l’eau ! J’ai préféré ne rien lui demander… Néanmoins, par la suite, elle a accepté par deux fois que je recommence. La première « autre fois », j’ai mal visé. La seconde fois fut plus réussie. Ayant réussi à inonder un certain couloir obscur, aidée par la lubrification de la cuvette, j’ai osé pousser un peu mon avantage. Je suis juste resté au bord, mon gland à moitié enfoui, mais quelle sensation d’enfer !


Elle m’a juste un peu grondé, mais elle a reconnu que je ne lui avais pas fait mal, et qu’elle aussi avait ressenti des choses très étranges. Mais nous n’avons pas été plus loin dans cette direction, la fin des vacances était trop proche… Mais avec quelques jours de plus…




Blandine 1/3



Maintenant, c’est au tour de Blandine.


Nous nous baladions dans une station balnéaire voisine, afin d’éviter de rencontrer nos parents, ou des personnes les connaissant. Alors que nous déambulions main dans la main, Blandine m’a balancé sans crier gare :



Elle hausse les épaules :



Visiblement émoustillée, elle glousse :



Je donne ma vision des choses :



Ça, c’est du Blandine tout craché ! Je rectifie :



Elle devient songeuse :



Serrant un peu plus fort ma main, elle se met à rosir de plaisir, ce qui m’étonne un peu.




Donia 2/3



Après avoir batifolé avec elle sur une plage déserte sur laquelle j’ai une fois de plus honteusement abusé de son apetissant corps de jouvencelle, nous sommes revenus en ville. J’ai garé le scooter dans une petite rue perpendiculaire à la seule et unique avenue, celle qui possède tous les restaurants, les magasins et les boutiques, et qui va droit vers la plage.


Main dans la main, tout en léchant une glace à l’italienne, nous déambulons dans les rues de la petite station balnéaire. Donia dit à voix basse :



Nous nous approchons de la plage, Donia raconte :



Elle se met à rire doucement :



Curieux de nature, j’aborde un sujet délicat :



Glace en main, Donia rougit :



Baissant la voix, elle rougit encore plus :



Je lui fais remarquer :



Me penchant sur elle, j’embrasse son front :



J’embrasse ses lèvres maculées de crème glacée. Bien que nous soyons en public, elle répond à mon baiser. Il fait beau, il fait chaud sans que ce soit la fournaise, je suis bien avec Donia !


Ah oui, j’oubliai : il a fallu racheter deux autres glaces…




Blandine 2/3



Après un splendide soixante-neuf exécuté dans les règles de l’art (nous commençons à avoir un peu d’expérience en la matière), avachie sur les serviettes assez froissées, Blandine soupire :



Je pose ma main sur son ventre :



Toujours allongée sur le dos, elle se redresse sur les coudes :



Elle secoue vivement la tête :



Mon côté logique « A implique B » reprend le dessus :



Blandine se met à rire :



Je m’agenouille à côté d’elle, puis je capture à pleines mains ses deux beaux gros seins :



Elle joue les offusquées, un rôle qui lui va très bien :



Quelques secondes plus tard, je suis en train d’appliquer le programme que j’ai spontanément imaginé pour répondre à sa demande de gros mots. Je reconnais que c’est émoustillant, comme elle l’a dit. Nous sommes tombés d’accord : ok, pour utiliser de temps en temps ce genre de vocable, mais trop de piment détruit le goût des aliments.




Donia 3/3



Je ne cacherai pas que le popotin de Donia fait partie de mes fantasmes vivants. Et ma brune préférée le sait très bien. Comme je sais équilibrer mes attentions, évitant de trop me focaliser sur ses deux rondeurs du bas, Donia ferme les yeux. Elle sait que je suis loin de détester d’autres parties de son anatomie, comme, par exemple, ses menus seins.


Aujourd’hui, je tente d’explorer avec elle une nouvelle pratique. Elle s’étonne de ma demande :



Elle me demande d’un air circonspect :



Ah oui, en effet. Je trouve une solution :



Elle est dubitative, mais ça ne l’empêche pas de me demander :



Elle se met en place. Peu après, je vois ses belles fesses s’abaisser vers moi. J’y une vue imprenable sur sa fente déjà écartée et aussi sur une petite entrée sombre et interdite. Ce qui fait dresser illico ma verge. Donia se moque gentiment :



Peu après, sa vulve se pose sur ma bouche, tandis que mon nez se cale contre son périnée, pas loin de sa rondelle ourlée. Je songe fugacement au fait d’avoir le nez de Pinocchio et de m’enfoncer dans ce puits sombre.


Je commence aussitôt à la lécher. Elle n’ose pas carrément s’asseoir, ce qui n’est pas un mal, car ainsi, j’ai plus de latitudes, tout en ayant sur mon visage ses deux belles masses charnues, ce qui embellit mon érection !



Je me déchaîne afin de procurer un beau cuni à mon innocente brunette. Il faut avouer que je suis dans une position parfaite ! Visiblement, ça plaît beaucoup à Donia, car elle gémit doucement, puis de plus en plus fort. Il y a eu du progrès accompli en quelques jours, elle se laisse beaucoup plus aller vocalement. J’aime entendre une fille gémir puis jouir. Ça me… comment dire… ça booste mon orgueil. Oui, soyons francs, c’est bien le cas.


Est-ce la position, les senteurs ou autres, mais de curieuses idées traversent fugacement mon cerveau, ou du moins ce qu’il en reste. Je chasse ces pensées biscornues, que Donia qualifierait sans doute de très dégoûtantes.



Donia jouit plus vite que d’habitude. Sans doute le changement que je lui ai proposé. Pour ma part, je continue mes coups de langue vicieuse, tandis qu’elle inonde ma bouche de sa cyprine, une vraie fontaine. Je me délecte de ce dessert qu’elle m’offre. Puis je sens qu’elle veut échapper à ma bouche. Je la retiens, mais ma langue part lécher quelques instants son entrée des artistes, tandis que Donia continue de jouir.


Peu après, tandis que je la contemple, ma brunette est allongée sur le côté, en train de récupérer. Soudain, je l’entends me dire :



Très gênée, elle ne répond pas. Je préfère ne pas insister. Elle se fait vite pardonner de son mutisme en m’offrant une belle fellation, comme elle en a l’art à présent, malgré parfois des petites maladresses attendrissantes !


En tout cas, j’ai eu la curieuse impression que nous étions proches d’une frontière inconnue. Et qu’il faut un certain passeport pour aller voir de l’autre côté. On ne traverse pas la jungle de la même façon qu’on traverse un parc…


Plus tard, deux jours avant la fin des vacances, Donia m’avouera en catimini que des idées étranges et hyper dégoûtantes lui étaient venue à l’esprit. Elle n’a jamais osé préciser, mais je crois que j’ai une petite idée. Je l’ai rassurée en lui disant que nous ne sommes pas responsables de notre libido, qu’elle agit comme le fond d’un étang vaseux qui envoie des bulles vers la surface, notre conscience (j’avais lu ça quelque part), une sorte de générateur de trucs bizarres.


Elle a été rassurée. Du moins, je le pense.




Blandine 3/3



Pour changer un peu, nous visitons l’arrière-pays. Nous avons déniché un petit coin tranquille pour déjeuner. Nous sommes restés habillés, c’est plus prudent. Mais pour compenser, ma blonde préférée a volontairement retiré sa petite culotte pour manger. Je le sais puisque celle-ci est dans le sac. Et de temps en temps, elle écarte volontairement les jambes pour que je ne l’oublie pas !


Eh oui, c’est du Blandine tout craché ! Et j’avoue que ce n’est absolument pas déplaisant, même si j’ai un peu peur que cette absence de culotte se sache… On récolte des ennuis pour moins que ça !


Tandis que nous mangeons, Blandine me confie :



Blandine se met à rire :



Je m’étonne franchement :



Je m’étonne encore plus en entendant la dernière phrase :



Elle devient songeuse :



Remuant du torse et faisant osciller ses belles masses sous le tissu de sa robe légère, tout en écartant les jambes pour offrir à ma vue sa mignonne fente, elle m’aguiche sciemment :



Je reviens sur ce qu’elle vient de dire, il y a quelques instants :



J’essuie ma bouche, j’ai fini mon sandwich :



C’est elle qui m’embrasse, et quand Blandine commence un baiser, ce n’est pas pour que ça ne dure que cinq secondes !




Une deux trois quatre



Il y a les journées privées, il y a aussi les journées communes, mais moins nombreuses…


Juste maintenant, nous avons fait une séance à quatre, la dernière de notre séjour, assez proche de la première, celle de la porte. Cette séance à quatre n’était pas la deuxième, nous en avions fait d’autres auparavant, j’ai déjà évoqué le fait. La grosse différence est maintenant que nous savions quoi faire et comment le faire, avec une certaine assurance acquise lors des précédents jours. Une expérience de vie finalement très rare dans l’existence d’une personne, sauf peut-être dans les romans et certains films…


Je pourrais décrire cette dernière soirée de notre club ABCD, mais je garde ces images pour moi. Tout ce que je peux avouer est qu’avoir deux filles qui s’occupent de moi en même temps, et de façon délibérée, ça n’a pas de prix. Sans parler de voir des filles se « papatouiller » entre elles, c’est… c’est tellement beau ! Le plus extra fut quand les trois copines ont formé sous mes yeux un cercle sur le lit du bas ! C’était… c’était totalement génial ! Et si je dois brûler en enfer, ça en vaut la peine, d’autant que je suis athée.


Oh oui, j’ai bien fait d’ouvrir cette porte !