Résumé des épisodes précédents :
Cap ou pas cap fut le défi idiot du mari.
Cap, prouva l’épouse, et elle s’offrit à leur ami sous les yeux de son mari éberlué
La matinée dominicale fila vite, attelés que nous étions à nos tâches domestiques, chacun de notre côté. Après le repas, nous décidâmes d’une sieste réparatrice, mais une fois au lit, ce fut autre chose que le sommeil qui s’empara de nous, et je fus vite invité à besogner Madame, ce que je fis sans me faire prier et avec l’ardeur de mes vingt ans. La chérie ne tarda pas à manifester son extrême contentement par des cris du plus bel effet sur notre libido, plus elle gueulait son plaisir, plus je labourais son con avec force, ce qui nous conduisit en un rien de temps à un orgasme mémorable.
Après l’indispensable temps de récupération, je m’étonnai de cet enthousiasme :
- — Après la soirée d’hier, je ne pensais pas que tu aurais tant envie de sexe.
- — Il faut croire que si, mon petit mari. Mais je vois que la soirée t’a bien réussi à toi aussi, tu es drôlement en forme.
- — Cette soirée est de loin la nuit la plus chaude de toute ma vie. Mais j’en ai moins profité que toi.
- — Oh ! À peine.
- — Bien sûr que non, beaucoup moins. Visiblement, la séance à trois ne t’a pas suffi, Patrick t’a encore sautée dans la nuit.
- — Je croyais que tu dormais.
- — Vous m’avez réveillé, surtout toi, l’épouse dévouée qui se fait prendre à côté de son mari endormi.
- — Tu as tout vu ?
- — Vu et entendu, je pouvais difficilement faire autrement, je te rappelle que j’étais couché sur le même lit à quelques centimètres.
- — Désolée de t’avoir réveillé.
- — Tu n’es pas discrète quand tu jouis, et visiblement Patrick fait ça très bien.
- — J’étais surtout excitée comme jamais.
- — Je t’ai entendue le complimenter sur ses performances.
- — Pardon ?
- — Tu lui as dit mot pour mot : « Salaud, tu me baises trop bien » !
- — C’est vrai, c’est un salaud qui m’a très bien baisée, et je n’y peux rien si ça m’a plu. Mais n’oublie pas que j’ai couché avec Patrick avec ta bénédiction.
- — Ma bénédiction ? Pas vraiment, j’ai seulement parié que tu ne serais pas capable de faire une pipe à Patrick, mais c’était un délire sur l’oreiller. Le passage à l’acte, la pipe et la partie de jambes en l’air, c’est toi qui les as voulues.
- — C’est vrai, mais c’est de ta faute, tu m’y as poussée.
- — Je reconnais que je suis un imbécile de t’avoir provoquée avec ce jeu idiot du cap ou pas cap, j’assume avoir ma part de culpabilité, mais je n’ai pas eu à te forcer, tu t’es comportée comme une véritable salope.
- — Oui, cette nuit, je me suis découvert un côté salope que je ne me connaissais pas, alors j’avoue, oui, j’en suis une. Et tant qu’on en est aux confidences, ce matin ton copain a sauté ta salope de femme dans la cuisine pendant que tu étais dans la douche.
- — Et pourquoi ça ne m’étonne pas ? Après ça, que comptes-tu faire vis-à-vis de ton amant ?
- — Je n’ai pas pensé à l’avenir de ma relation avec Patrick, mais je ne peux pas faire comme s’il ne s’était rien passé.
- — Pourquoi l’as-tu laissé te sauter ce matin ?
- — Ça s’est fait tout seul.
- — Raconte, ce sera instructif.
- — Quand je suis entrée dans la cuisine, je sortais de la douche avec une serviette enroulée autour de moi, il m’a proposé de me prêter un t-shirt pour prendre le petit-déjeuner, et je l’ai passé devant lui, après ce qu’on avait fait cette nuit, je n’avais plus rien à lui cacher. Il est venu, m’a enlacée et embrassée. J’ai essayé de me dégager, mais il m’a retenue en disant qu’il avait encore envie de moi. Je lui ai dit que je n’avais pas envie, alors il m’a suppliée de le sucer. Il a baissé son short et pris ma main pour la poser sur sa bite, il bandait déjà et j’ai commencé à le branler, alors il m’a dit que je lui avais fait la meilleure pipe de toute sa vie et qu’il avait mal tellement il avait envie que je recommence. J’ai fini par céder, il s’est assis et j’ai fait ce qu’il voulait. Ce cochon m’a caressé les cheveux, les oreilles, le visage, les nichons, tout en m’encourageant et en me disant que j’étais la meilleure suceuse de bites qu’il connaissait. Je me suis rendu compte qu’il avait son portable à la main seulement quand il m’a demandé de le regarder pendant qu’il filmait, ça m’a trop excitée et je lui ai demandé s’il aimait ma technique. Il a dit que j’étais une sacrée pompeuse de bites et m’a demandé si j’aimais avaler. J’ai répondu que j’aimais bien, mais que je préférais qu’il me remplisse la chatte plutôt que la bouche. Ce salaud m’a prise debout contre la table, le pire, c’est que j’ai encore joui comme une folle.
- — Et tu lui as permis de te filmer en mode salope ?
- — Il m’a dit que c’était pour lui, pour avoir un souvenir.
- — J’espère qu’il tiendra parole, je n’ai pas envie que tous nos amis voient comment tu me trompes dès que j’ai le dos tourné.
- — Je n’aimerais pas passer pour une salope vis-à-vis de tous nos amis.
- — Tu as brillamment prouvé que tu en étais une.
- — Tout ce que j’ai fait avec Patrick ce matin, je l’avais déjà fait devant toi.
- — Tu comptes en faire ton amant ?
- — Je n’ai pas réfléchi s’il y aura une suite ou non, c’est trop embrouillé dans ma tête, je suis juste contente d’avoir vécu cette expérience.
- — Sacré souvenir, non ?
- — Je ne l’oublierai jamais.
- — Moi non plus, à partir d’aujourd’hui, je suis officiellement un mari cocu.
- — Ce n’est pas faux, tu es un mari cocu, mais pas un mari trompé puisque tu sais tout.
C’est ainsi que nous tournâmes la page la plus torride de notre histoire de couple. Je n’entendis plus parler de cette histoire, hormis lors de nos batailles sur l’oreiller, nous nous plaisions à revivre ces moments de folie, et ça nous excitait comme des fous. Du coup, Maya et moi étions très satisfaits d’avoir de tels souvenirs, elle et moi les revivions avec passion pour notre plus grand plaisir.
Plusieurs semaines plus tard lors d’un apéritif improvisé, Denis, un autre de nos amis me demanda s’il pouvait me parler seul à seul, à l’abri d’oreilles indiscrètes. Intrigué, je me demandais bien ce qu’il pouvait avoir à me raconter de si confidentiel, je l’accompagnai dans sa voiture le temps qu’il fume une cigarette. Notre ami était gêné et essaya de ménager ma susceptibilité et mon ego, mais devant mon impatience, finit par se confier :
- — Ce que j’ai à te dire est très délicat, je ne voudrais pas que tu te fâches avec moi pour te l’avoir raconté.
- — Bon Denis, tu m’en as trop dit ou pas assez. Rassure-toi, je ne t’en voudrais pas même si tu es porteur de mauvaises nouvelles, vas-y, lâche le morceau.
- — C’est à propos de ta femme.
- — Ma femme ?
- — Attends, je ne suis pas là pour vous juger ni elle ni toi.
- — Nous juger de quoi ?
- — Je sais que vous avez fait un trio avec Patrick, il se vante de s’être tapé Maya avec ton consentement.
- — Quel goujat !
- — Il est en train de vous faire une sacrée renommée à toi et à ta femme, elle comme salope et toi comme cocu.
- — Goujat et salaud !
- — C’est aussi mon avis, quand on partage le lit d’un couple, la moindre des choses, c’est de ne pas s’en vanter.
- — Et qui est au courant ?
- — Plusieurs de tes amis, il raconte que Maya est le meilleur coup de la ville.
- — Je n’aurais jamais cru ça de lui.
- — Ta femme non plus, car elle l’a laissé filmer ses exploits.
- — Tu as vu des images ?
- — Oui, il les montre volontiers.
- — Et on reconnaît Maya ?
- — Bien sûr et très bien, il a fait des gros plans, surtout pendant qu’elle suce.
- — Je savais que ça nous retomberait dessus.
- — Et ce n’est pas tout, il y a autre chose que tu dois savoir. Il a fait parler Maya et elle raconte que ce n’est pas la première fois qu’elle te trompe.
- — Pardon ?
- — Elle l’aurait fait avec deux mecs, un copain espagnol avec lequel elle a passé une nuit, et un de vos voisins avec lequel elle a eu une liaison.
- — Et elle a raconté tout ça à Patrick ?
- — Oui, et il a tout filmé, la pipe, la baise, et les confidences.
- — Lui, c’est un salaud, mais ma femme est vraiment une conne.
- — Il y a autre chose que tu dois savoir.
- — Vas-y, au point où j’en suis.
- — Il semble que le gros fantasme de Maya, c’est de faire des trios, il m’a proposé d’en faire un avec eux.
- — C’est le pompon.
- — Rassure-toi, je ne l’ai pas fait.
- — Tu crois qu’il a proposé la même à d’autres mecs ?
- — Je ne peux pas t’en dire plus, il m’a demandé d’y penser avant qu’elle ne couche avec d’autres candidats plus motivés que moi.
- — Maya l’aurait fait avec d’autres ?
- — C’est bien possible, mais je ne saurais le confirmer.
- — Qu’est-ce que je dois faire, moi, lui casser la gueule ?
- — Ne sois pas idiot, ça ne changerait rien et ça se retournerait contre toi. Les histoires de cul, ça s’oublie, il faut juste attendre un peu.
- — Merci de m’avoir prévenu, en général, le cocu est le dernier à le savoir.
- — Tu ne m’en veux pas ?
- — Bien au contraire, Denis, je te remercie, c’est une belle preuve d’amitié et de confiance.
J’avais la barre au ventre en rentrant à la maison, j’étais abasourdi de ce que j’avais appris. Ces révélations me faisaient craindre le pire quant à notre couple, mais j’étais déterminé à le sauver. Aussi décidai-je de prendre le taureau par les cornes avant que les miennes ne deviennent mon principal signe distinctif. Un soir, après avoir bu un verre entre copains, je réussis à isoler Patrick du groupe et à le pousser dans le renfoncement d’une porte cochère. Je suis plus petit que lui, mais beaucoup plus massif et je sais me montrer agressif, je le pris par le col de sa veste en parlant le plus froidement possible :
- — Dis-moi, tu racontes que ma femme est une sacrée salope.
- — Je n’ai jamais dit ça.
- — Et pourtant, ce n’est pas ce qu’on m’a rapporté. Tu racontes à tous ceux qui veulent l’entendre comment tu l’as baisée devant moi et à quel point elle aime la bite. Il paraît même que je suis cocu depuis toujours.
- — Je ne l’ai pas raconté à tout le monde.
- — En plus, tu leur montres des images de ma femme en train de te sucer et de se faire sauter. Écoute-moi bien, tu l’as baisée, tant mieux pour toi, je ne t’en veux pas pour ça, mais si quelqu’un d’autre me raconte qu’il a vu ma femme te sucer, je te casse la tête, tu m’as bien compris ?
- — D’accord, je te le promets, je ne montrerai plus le film à qui que ce soit.
- — Si, à moi, tu me dois bien ça, tu vas m’envoyer ce que tu as filmé sur mon portable, j’estime avoir un droit de regard, non ?
- — D’accord, je t’envoie le film tout de suite.
- — Le mieux, c’est que tu l’effaces après.
- — Je te promets, je vais le faire.
- — C’est le seul film que tu as fait avec elle ?
- — Oui, je te promets.
- — C’est sûr ? Parce que si je tombe sur des images que tu m’as cachées, je t’envoie à l’hôpital, et tu sais que ce ne sont pas des paroles en l’air.
- — C’est bon, j’avoue, il y a eu aussi trois vidéos de trios.
- — Putain, en plus tu la partages. Envoie-moi ces trois films aussi. J’espère que tu ne les as pas mis en ligne pour que tout le monde les voie ?
- — Si, je les ai publiés sur un site de cul.
- — Tu n’as pas perdu de temps. J’espère que personne ne les a vues.
- — En fait, il y a eu des milliers de vues.
- — Des commentaires aussi ?
- — Oui, beaucoup.
- — Et ma femme apparaît à visage découvert ?
- — Pas vraiment, elle a un bandeau sur les yeux.
- — Je suppose que tu ne t’es pas donné la peine de flouter son visage ?
- — Non, puisqu’elle a un bandeau.
- — Je parie que quelqu’un de notre entourage pourrait facilement la reconnaître.
- — Je ne sais pas.
- — En fait, tu t’en fous, et je suis même certain que ça te ferait plaisir.
- — Ne dis pas ça.
- — Maintenant, tu vas supprimer ces films au plus vite avant d’aggraver la situation.
- — Je te promets de les retirer. Par contre, je ne pourrais te les envoyer que dans plusieurs jours, ils sont stockés en fichiers cachés dans un disque dur du boulot.
- — J’espère que personne ne va tomber dessus à ton bureau. Envoie-moi le premier aujourd’hui et les autres plus tard.
- — Promis, je vais le faire.
- — Tu es vraiment un sale type, je n’aurais jamais cru ça de toi.
J’abandonnai Patrick à ses promesses, et je reçus un premier message tandis que je rentrai à la maison. Le film durait une dizaine de minutes environ, et effectivement, les images étaient nettes et explicites, le son clair et parfaitement audible, on y voyait nettement Maya pomper la queue de son amant en fixant l’objectif avec un regard lubrique. Un peu plus loin, elle le presse de la sauter avant que son mari, moi, en l’occurrence, ne sorte de la douche, et mon cocufieur qui l’empale et la pilonne en ironisant que le cocu peut se pointer puisqu’il est consentant. Le clou du spectacle, un orgasme féminin à faire pâlir de jalousie les meilleures productions pornographiques. Et le pompon, il la filme tandis qu’elle s’essuie la chatte avec des mouchoirs en papier, tout en livrant ses secrets les plus intimes ; à son corps défendant, elle confie à l’objectif qu’elle ne me fait pas pousser des cornes à tout bout de champ comme le raille son amant de le faire, loin de là, c’est une femme sérieuse qui ne m’a trompé qu’à deux occasions, une fois en Espagne au début de notre mariage, et une autre avec un voisin qu’elle a fréquenté pendant quelques mois. Je n’en revenais pas, ni des images ni des confidences, tout ce qu’on m’avait raconté était vrai, ma femme est une vraie salope. Sournoisement, Patrick a continué de filmer jusqu’à ce que le cocu entre dans la cuisine et embrasse son épouse sur une bouche qui venait de sucer une bite. Je ne me suis douté de rien, ni de ce qui venait de se passer, ni de la fourberie de mon ami : la bouche de ma chérie avait la saveur du café qu’elle avait prestement avalé avant mon irruption.
Je rentrai dans l’appartement avec la conviction que la meilleure manière d’aborder le sujet était d’en parler directement à Maya que je trouvai en ligne avec sa sœur. C’est ce que je fis dès qu’elle raccrocha :
- — Je crains bien que notre nuit de folie à trois avec Patrick ne nous ait rattrapés.
- — Pourquoi ? Qui serait au courant ?
- — Je ne sais pas exactement qui sait et qui ne sait pas, mais celui qui m’en a parlé était parfaitement informé.
- — Mais comment c’est possible ?
- — Nous étions trois, et comme ce n’est ni toi ni moi, c’est forcément le troisième qui a vendu la mèche.
- — Et qu’a-t-il été raconter ?
- — Apparemment, il raconte tout, la soirée, la nuit et la matinée. Et avec force détails.
- — Le salaud ! Je n’aurais jamais cru qu’il puisse se comporter comme un goujat. Tu es certain de ce que tu as entendu ?
- — Mon informateur connaît tout de nous, tes talents, tes positions favorites, la meilleure manière de te baiser, ton aptitude à jouir comme une folle ; il sait aussi que je t’ai encouragée à sucer Patrick et à coucher avec lui. Et ce n’est pas tout, il a vu la sextape que tu l’as laissé faire.
- — Quel salaud, il m’avait juré que c’était juste pour avoir un souvenir de moi et qu’il ne montrerait les images à personne.
- — Visiblement, il a oublié sa promesse et tu es devenue une vedette parmi nos amis.
- — J’ai trop honte !
- — Ce n’est pas tout.
- — Quoi encore ?
- — Il semblerait que tu te sois laissé aller à des confidences.
- — Des confidences ? Quelles confidences ?
- — On te voit et on t’entend confesser combien de fois tu m’as fait cocu.
- — … Quoi ?
- — Oui, tu as bien entendu.
- — Je suis désolée, je ne me rappelais plus d’avoir raconté ça.
- — Et moi, tu crois que je ne suis pas désolé ? En plus de voir comment tu t’es comportée seule à seul avec Patrick, j’apprends que tu me trompes depuis le début de notre mariage. Et le pire, c’est qu’au lieu de me l’avouer à moi, ton mari, ton cocu, tu vas raconter ça devant l’objectif du salaud qui vient de te baiser.
- — Pardonne-moi mon amour, je suis une imbécile.
- — C’est le moins qu’on puisse dire. Maintenant, tu vas m’en dire plus, tu as dit que tu m’as trompé en Espagne, et aussi avec un voisin, je veux savoir.
- — S’il te plaît, ne nous faisons pas plus de mal.
- — Au contraire, maintenant, c’est de ne pas savoir qui me fait du mal.
- — Tu y tiens vraiment ?
- — Absolument, et ne me cache rien, je ne te le pardonnerais pas.
- — Bon, je vais tout te dire, mais promets-moi de ne pas m’interrompre, tu pourras me crier dessus après.
- — Je le promets, je ne t’interromprai pas.
Maya commença à me raconter, sa voix était mal assurée au début, mais parfaitement claire. Elle donna son premier coup de canif à ses vœux de fidélité quelques mois après notre mariage, après une petite fête avec ses amies restées en Espagne. Repas bien arrosé, libations dans un pub, et fin de soirée chez une de ses amies avec le mari et un copain du mari. Tout le monde avait beaucoup bu et l’ambiance était délurée. Son amie Anna mit une musique lascive et deux couples se formèrent pour danser, Anna et son mari Luis, Maya et un dénommé José. Anna oublia toute pudeur et après un échange de baisers torrides, s’agenouilla aux pieds de son mari pour le sucer devant l’autre couple. L’exhibition ne tarda pas à exciter les spectateurs, et José commença à caresser et à embrasser Maya qui le laissa faire. Puis Anna se dénuda complètement et entraîna tout le monde dans la chambre du couple. Maya et José s’assirent sur le bord du lit tandis qu’elle s’allongeait et demanda à Luis de la prendre, ce qu’il fit sous les yeux des deux autres. José ne voulut pas tenir la chandelle et entreprit Maya qui se laissa encore faire, et ils furent bientôt nus tous les quatre, et ce qui devait arriver arriva, Maya se fit sauter par José. Anna ne voulait pas en rester là et après un premier rapport, dit à Maya qu’elles allaient échanger leur partenaire. Sans attendre d’accord, elle poussa son mari sur son amie et tira José à elle. Luis ne vit qu’une chose, il allait se taper la copine de sa femme et oublia que son meilleur ami allait faire de même avec sa légitime, c’est ce qui se produisit, il fit l’amour à Maya à plusieurs reprises, tandis qu’Anna finissait la nuit à jouir entre les bras de José. Maya rentra chez ses parents au petit matin et revint chez nous quelques jours plus tard. L’histoire s’arrêta là, Maya croisait parfois son amie, aux dernières nouvelles, elle était toujours avec Luis et ils avaient une petite fille. Anna n’était fidèle qu’à sa devise, le mari reste, les amants passent.
J’avoue que j’ai eu du mal à tenir ma promesse de ne pas l’interrompre, elle se présentait comme une victime manipulée par son amie, alors qu’elle m’avait trompé avec deux types sans se faire prier, je la laissai néanmoins enchaîner sur sa deuxième histoire.
Plusieurs années après, un jeune couple vint habiter l’appartement au-dessus du nôtre. Ils étaient plus jeunes que nous de quelques années, charmants tous les deux et nous avons vite sympathisé avec ces locataires. Ils avaient une petite fille de trois ans, un petit amour qu’ils nous confièrent deux ou trois fois. De temps en temps, nous buvions un verre chez les uns ou chez les autres, le plus souvent chez nous, car ils étaient tête en l’air et désordonnés. Un jour, pendant que j’étais au travail, Éric, le mari, sonna chez nous, Maya le fit entrer, il était effondré, il s’était violemment disputé avec sa femme qui voulait retourner chez ses parents. Maya le serra dans ses bras pour le réconforter, et Éric la remercia par des petits bisous, qui finirent sur les lèvres pour devenir un vrai baiser torride. Ma chérie déclare avoir encore du mal à comprendre comment, mais ils finirent sur le canapé où Éric la prit avec fougue. Quand il monta chez lui, mon épouse n’en revenait pas d’avoir cédé si facilement à notre voisin et d’avoir pris tant de plaisir, mais se promit d’en rester là et de ne plus recommencer cette folie. Quand la sonnette retentit le lendemain, Éric l’embrassa dès qu’elle ouvrit la porte et Maya le conduisit directement sur le lit conjugal où il lui fit l’amour pendant deux heures. Ma petite femme avait vite oublié ses résolutions de la veille et me trompa avec le voisin tous les après-midi sur notre couche. La liaison dura plusieurs semaines, jusqu’à ce que l’épouse trompée vienne à la maison. Elle comprenait que son mari ait envie d’une aussi jolie femme, elle leur pardonnait à la condition que la relation s’arrête sur le champ. Maya promit de ne plus coucher avec Éric, et Clotilde la remercia de lui permettre de sauver son couple et sa petite famille.
Quand je pense à Clotilde, jeune maman de vingt-cinq ans, petite, brune, pétillante et un rien fofolle, avec une poitrine qui attirait mes yeux comme un aimant quand elle s’affichait avec un décolleté généreux, quel imbécile je fais, maintenant je comprends pourquoi elle m’avait allumé à plusieurs reprises, elle voulait simplement rendre la monnaie de leur pièce à nos conjoints ; et dire que j’étais passé à côté de ce bonbon.
Maya jura qu’elle n’avait pas eu d’autres aventures et qu’elle ne m’avait plus trompé jusqu’à notre nuit de folie avec Patrick. Elle me supplia de la croire et de lui pardonner ses erreurs de jeunesse.
Je m’efforçai de parler le plus calmement possible :
- — Tu veux que je te pardonne de m’avoir trompé depuis toujours alors que tu continues à le faire, tu ne manques pas de toupet.
- — Je te promets de ne plus voir Patrick, je te jure que je tiendrai ma promesse.
- — Je me doute bien que tu couches avec lui depuis la fameuse soirée. Je veux savoir, tu le vois tous les jours ?
- — Tu veux vraiment savoir ?
- — Bien sûr que je veux savoir. Alors ?
- — Je le vois plusieurs fois par semaine.
- — Et ça se passe où ? Chez lui ? Chez nous ? À l’hôtel ?
- — Ça dépend, le plus souvent il vient chez nous, parfois je vais chez lui, et on l’a fait plusieurs fois à l’hôtel.
- — Chez nous, il te baise dans notre lit, c’est ça ? Et chez lui, comment tu y vas ?
- — Puisque tu insistes pour savoir, oui, il me prend dans notre lit. Et je vais chez lui à pied ou en bus.
- — Tu t’habilles en pute pour aller te faire sauter ?
- — Non, je ne m’habille pas en pute.
- — Et à l’hôtel ?
- — C’est pareil, j’y vais à pied. Il m’attend dans la chambre, on discute un moment, après je me mets nue et il me bande les yeux.
- — Pourquoi les yeux bandés ?
- — Patrick me partage sans que je sache avec qui et ça me rend folle.
- — Je n’en reviens pas que tu acceptes de coucher avec n’importe qui. Et ça ne te fait rien de ne pas savoir avec qui tu baises ?
- — Si, justement, c’est ça qui m’excite, ne pas savoir.
- — J’avoue que moi, ça ne m’excite pas du tout de penser que je fréquente des types qui t’ont peut-être sautée, sans être certains s’ils l’ont fait ou pas.
- — J’ai été avec d’autres, mais je ne sais pas trop ce que j’ai fait ni avec qui.
- — Ne raconte pas d’histoires, tu ne sais peut-être pas avec qui tu as couché, mais tu sais très bien ce que tu as fait. Je suis même sûr et certain que tu as eu droit à des doubles pénétrations, tu le dis toi-même : deux bites en même temps, c’est trop bon pour s’en priver !
- — On l’a fait trois fois.
- — Et tu ne sais pas avec qui ?
- — Non, et je n’ai jamais cherché à savoir.
- — Je ne comprends pas comment tu as pu te plier aux quatre volontés de ton amant.
- — J’ai été prise dans un tourbillon de plaisir sexuel, j’ai perdu le contrôle et il en a profité.
- — Et à moi, tu y as pensé en jouissant au bout d’une queue anonyme ?
- — Je suis désolée, non, je n’ai jamais réfléchi aux conséquences.
- — Pour ta gouverne, il a tout filmé et il ne s’est pas gêné pour mettre les images en ligne, tu es une vedette porno à l’heure qu’il est.
- — C’est affreux, j’ai trop honte.
- — Moi aussi j’ai honte, pour toi et pour moi.
Ces dernières révélations me bouleversaient. Franchement, si j’avais du mal à porter mes cornes, j’avais encore plus de mal à assumer un statut de cocu auprès de nos amis. L’idée que certaines de nos connaissances se paluchaient en regardant les sextapes de Maya me tordait les tripes.
Qui savait, qui ne savait pas, qui avait vu ma femme en pleine action avec Patrick ou d’autres ? Qui avait couché avec elle ?