n° 22078 | Fiche technique | 23347 caractères | 23347Temps de lecture estimé : 17 mn | 27/10/23 |
Résumé: Après un premier passage à l’acte, une épouse décide de pousser plus avant l’expérience d’une relation extraconjugale et propose un trio à leur ami et à son mari. | ||||
Critères: anniversai cadeau fellation fhh extracon double | ||||
Auteur : Monkypython Envoi mini-message |
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Résumé des épisodes précédents :
Cap ou pas cap ?
Un mari défie son épouse de passer du fantasme à la réalité et de faire une fellation à leur meilleur ami.
Madame vient de prouver magistralement qu'elle en était capable.
Difficile de quantifier le temps mort qui suivit, mais je ne m’étais pas encore remis de ce que je venais de vivre, que Maya se levait du fauteuil et fit tranquillement les pas qui nous séparaient, avec une indicible expression de satisfaction. Elle passa ses bras autour de mon cou et me gratifia d’un baiser passionné.
Ses lèvres, sa bouche, sa langue, avaient le goût du sexe et de la semence de notre ami, et elle me le fit partager. Tout en frottant son bas-ventre contre mon propre sexe en érection, elle chuchota à mon oreille, pour que Patrick n’entende pas ses messes-basses mais assez distinctement pour que je sois persuadé que notre ami entendit toute notre conversation :
Maya se détacha de moi et alla tout contre notre ami. Elle se saisit de sa main et la posa sur son pubis, sous sa robe en disant :
Maya n’attendit pas le guide, elle tira Patrick par la main tout en me faisant signe de suivre le mouvement et nous entraîna dans la chambre. Là, elle s’allongea sur le lit et, appuyé sur ses coudes, robe ouverte, nous pria de nous déshabiller, ce qui fut l’affaire de quelques minutes. Le maître de maison fut invité à s’occuper d’elle en premier. Elle avait à peine fini de parler qu’une bouche remontait le long de ses jambes, puis ses cuisses, pour atteindre enfin le saint des saints : Patrick s’empressa de donner du plaisir à cette femme qui s’offrait, il mit tout son cœur à lui dévorer le minou, usant de ses lèvres, sa langue, ses doigts, le bougre ne manquait pas d’enthousiasme.
Bien qu’elle y trouvât du plaisir, Maya savait qu’elle ne jouirait pas de cette façon, elle était juste au paroxysme de l’excitation et du désir. Certes, elle aimait qu’on lui astique le bourgeon, mais elle ne se conformait pas avec les attentions envers le gardien du temple, ce que son désir exigeait, c’est qu’on investisse sa chapelle sacrée. Malgré l’évidence de son impérieux besoin, elle m’interrogea du regard. Il était encore temps, sur un signe de ma part, elle arrêtait tout, elle resterait sur sa faim de sexe et laisserait Patrick sur sa faim d’elle.
Tout arrêter ? Après tout ce qui venait de survenir, après qu’elle eut sucé notre ami jusqu’à en avaler la semence, après qu’il eut dévoré son fruit défendu et dégusté son jus, comment tout arrêter, c’était absurde, rien ne serait plus comme avant, alors pourquoi tout arrêter, maintenant, c’était ridicule, nous avions dépassé tous les trois le point de non-retour et je savais que Maya me ferait cocu avec notre ami, aujourd’hui ou un autre jour, alors autant le faire sans cachoterie ni tromperie. Sans le veto de son mari, l’épouse empoigna les cheveux du brouteur de minou pour relever sa tête. Son ordre claqua avec force :
Notre ami obtempéra sur le champ et rampa sur son corps pour la couvrir de tout son long. Tandis qu’il ajustait sa queue à l’entrée de sa chatte, Maya ne me quitta pas des yeux une seule seconde, elle voulait partager la responsabilité de l’acte, me signifier que j’étais aussi coupable qu’elle de ce qui allait venir.
Il y eu alors une sorte de temps mort, un temps où rien ne bougeait, un temps pour la stupeur des trois protagonistes d’en être arrivés là, un temps accordé à l’indécision, à la possibilité de tout arrêter, mais aussi un temps plus électrique qu’un orage d’été. Aucun miroir ne me renvoyait l’expression que j’offrais aux autres protagonistes au moment précis où mon meilleur ami s’apprêtait à s’accoupler avec ma femme, je m’imaginais tout rouge, la bouche ouverte car j’avais du mal à respirer normalement, la surprise et l’incrédulité me paralysaient, la jalousie et la honte de consentir à mon cocufiage m’envahissaient, mais aussi une impérieuse excitation me gagnait et se manifestait par une érection douloureuse ; je percevais parfaitement les émotions qui les animaient, le visage de Patrick exprimait le triomphe, celui de Maya le défi et surtout le désir sexuel.
Rivés dans les miens, les yeux de ma chérie me permirent de percevoir l’instant précis où son amant la pénétra, s’enfonçant en elle jusqu’à la garde d’une seule poussée tant il était attendu et désiré. Tandis que les amants imbriqués savouraient sans bouger cet instant si particulier où ils venaient de faire bibliquement connaissance, ma chérie me fixa de longues minutes, son regard toujours rivé au mien. Puis l’amant entreprit de travailler son ventre et elle lui accorda toute son attention.
Si la fellation administrée à Patrick m’avait sidéré, ce que je vivais me paraissait tellement incroyable que j’avais l’impression de vivre un rêve érotique. L’enchaînement des faits et gestes de Maya dépassait tous les fantasmes que j’avais pu avoir, et le plus déstabilisant pour moi était la facilité avec laquelle elle en était arrivée là, à se faire prendre devant moi sur le lit de notre ami. Elle s’était exhibée, l’avait sucé, l’avait prié de la baiser, le tout devant un mari tellement dépassé par les évènements que l’amant devait voir en lui un parfait adepte du candaulisme. Et surtout, elle l’avait appelé « mon chéri », et ces deux mots m’avaient noué les tripes.
Patrick eut tôt fait de découvrir comment faire vibrer sa partenaire. Totalement réceptive à ses assauts, Maya était expressive, elle gémissait de plaisir, et l’amant comprit qu’il était sur la voie royale quand elle noua ses jambes dans son dos et saisit sa tête pour lui dévorer la bouche. C’était leur premier baiser, et il était passionné.
Je connaissais le corps de mon épouse par cœur, ainsi que tous les signes annonciateurs de son plaisir, elle se cabrait, vibrait, répondait aux assauts et lançait ses reins au-devant de son mâle, son visage changeait. Et quel visage, indéfinissable visage d’une femme dans le plaisir, connaître ce visage, c’est la connaître de la façon la plus intime et merveilleuse qui soit. Maya se livrait sans retenue, Patrick ne la baisait pas, il la possédait. Elle avait le plaisir bruyant, et l’orgasme fut retentissant, un orgasme des grands jours, tandis que son amant se raidit en remplissant son ventre de semence.
C’était fait, Maya venait de se faire prendre de la plus belle des façons, elle s’était donnée sous mes yeux et avec ma bénédiction, Patrick l’avait possédée et moi je me sentais impuissant et spolié, j’étais officiellement et irrémédiablement cocu, fou de jalousie, et ivre de désir ; moi aussi je voulais cette femelle si chaude. Mon épouse et son amant venaient de faire l’amour et ce rapport fusionnel m’avait bouleversé, mon univers en était changé à jamais, désormais ma femme était aussi celle de Patrick. Après un nouveau baiser d’amants comblés, leurs lèvres et leur corps se séparèrent, la place était toute chaude. Maya s’était relevé sur ses coudes et moi, agenouillé entre ses cuisses, je contemplais sa fente béante d’où s’échappait du sperme qui descendait entre ses fesses et inondait les draps. Maya était atrocement impudique en cet instant, elle exhibait sa féminité souillée par un autre et se jouait de mon érection. Je n’y pouvais rien, je bandais comme un âne en rut, j’étais cocu et je n’avais jamais bandé aussi fort, c’en était douloureux. Maya s’assit et se saisit de ma barre d’acier ainsi que de mes bourses. Ce contact me tétanisa, elle massa mes bourses en me prenant en bouche, et rien ne put stopper le torrent de sperme que je déversai dans sa gorge ; elle déglutit pour avaler mais de ma vie je n’avais éjaculé une telle quantité ; le surplus coula sur son menton, puis sur ses seins, puis un peu partout sur elle. Sous le coup de la surprise, inondée de foutre, Maya éclata de rire, elle n’avait pas dit un mot, elle riait aux éclats, un rire qu’elle communiqua à son amant qui s’était approché, puis à moi.
Le fou rire passé, Maya, qui n’avait lâché ni mes bourses ni ma queue, vit que je n’avais pas débandé, cette première délivrance n’avait pas suffi à calmer mon excitation. Les femmes ont vraiment un sixième sens pour ces choses, elle savait que ce je voulais, je voulais la baiser, non pas lui faire l’amour, mais la baiser comme la salope qu’elle était ce soir.
Agenouillée sur le lit, Maya se colla à son amant pour l’embrasser. Dans un long baiser, elle lui fit goûter mon sperme comme elle m’avait fait goûter le sien un peu plus tôt. Aussitôt, Patrick se remit à bander, pour la plus grande joie de Maya qui commença à le sucer tout en me branlant doucement. Sans paroles superflues, elle me fit mettre sur le dos, me chevaucha et vint s’empaler sur mon sexe raide. La femelle voulait être la maîtresse du jeu, moi je n’en avais cure, ce que je voulais, c’était la baiser. La chatte était souillée d’une semence étrangère qui coulait sur mes couilles, la chapelle sacrée si ouverte et lubrifiée que j’avais l’impression de flotter tandis que ma cavalière léchait le gland de son amant.
Maya entama une conversation qui me laissa abasourdi :
Visiblement, Patrick se montra plus pragmatique et opportuniste que moi et entreprit d’exaucer la demande. La position n’était pas évidente, je dus écarter les jambes, Maya se cambra à l’extrême, pour qu’enfin le petit trou fut bien positionné. Il puisa dans la chatte le lubrifiant nécessaire, introduisit un doigt, le fit aller et venir, en enfila un deuxième, puis un troisième pour assouplir l’étroit conduit. Quand il jugea le passage suffisamment préparé, il positionna le gland sur l’anus et poussa pour s’avancer un peu. Maya était crispée, elle fit savoir qu’elle était étroite de cet orifice et qu’il fallait la prendre en douceur. Tandis qu’elle parlait, Patrick s’enfonçait, il parvint à s’introduire de tout son long sans qu’elle ne lui dise de stopper, et ne bougea plus pour laisser le temps à l’orifice de s’adapter à lui.
Maya soupira :
Tandis que Patrick investissait le côté pile, je sentais le vagin se rétrécir sous la pression, c’était une sensation bizarre, au travers des deux conduits, je ressentais la deuxième queue tout contre la mienne, c’était troublant et incroyablement excitant.
Une fois l’anus investi, Maya s’empala jusqu’à la garde sur ma queue, et nous commençâmes à bouger. Ce n’était pas évident, pour elle comme pour moi, c’était une grande première, et je doute que notre partenaire de trio ait eu d’autre expérience. Aussi nous fallut-il un certain temps pour coordonner nos mouvements, actionner nos bites et faire palpiter les chairs de la femme sandwich. Nous finîmes par comprendre que c’était à Patrick de donner la mesure, et chacun put enfin savourer son plaisir.
L’amant sodomisait en cadence et s’occupait des grosses fesses dodues qu’il écartelait, malaxait et fessait à grands tapes sonores, le mari poussait son pubis contre celui de sa femme pour coulisser sans être expulsé d’un vagin inondé et compressé. Heureusement, l’érection était indéfectible et l’excitation monumentale, il pétrissait les seins offerts et s’emparait de la bouche dès qu’il pouvait. Quant à la femme-sandwich, elle n’en revenait pas de se trouver ainsi écartelée, remplie par ses deux orifices, avec deux queues qui allaient et venaient en elle simultanément. Ainsi besognée, les fesses malaxées et claquées, les nichons pétris, les pointes agacées, la bouche sans cesse embrassée, c’en était trop, elle sentit la tempête déferler de ses entrailles.
Moi qui étais dessous, aux premières loges, j’assistais à la métamorphose de ma chérie, ses nichons durs comme du marbre pointaient comme jamais, les tétons semblaient électrisés, sa chatte ruisselait de plus en plus, et son visage se transfigurait sous notre travail de sape. Son masque de plaisir était pour moi cette fois, Maya se mordait les lèvres, ses yeux étaient révulsés dans le vide, et puis elle éclata. D’abord des obscénités de moins en moins intelligibles, puis des gémissements, de plus en plus forts, puis un cri, elle se tordit comme électrocutée, se tordit encore et encore, cria et cria encore, jamais je n’avais assisté à pareil orgasme, ce fut un véritable tsunami.
Évidemment, la tempête nous emporta aussi, Patrick se répandit dans son cul et tandis que je ressentais les contractions de sa verge, je lâchai tout, une véritable libération, toute l’excitation de la soirée remplit le vagin qui n’en finissait plus de se contracter, encore et encore.
Parler d’orgasme invraisemblable serait un euphémisme, nous étions tous les trois inertes, sans force, sans vie, l’expression petite mort prenait tout son sens.
Combien de temps suis-je resté hors du temps, je ne saurais le dire, je sortis de mon coma tandis que Patrick se dégageait le premier, sans doute à cause de sa position inconfortable. Maya pesait sur moi, inerte, secouée de petites convulsions. Une fois l’amant hors de son fourreau, je fis basculer la bête à deux dos sur le côté et pus me dégager à mon tour, elle resta prostrée assez longtemps pour nous inquiéter.
Mais non, elle allait bien, elle ouvrit les yeux, et les referma.
Puis elle se leva précipitamment pour courir jusqu’aux toilettes où elle épancha, supposé-je, les fluides poisseux s’échappant de ses deux orifices.
Patrick et moi restions en tête-à-tête, et il me remercia :
Je n’eus pas le temps de trouver une réponse, Maya fut de retour de suite et s’assit sur le bord du lit comme pour reprendre un peu ses esprits.
Après les libations et les excès en tout genre de la soirée, Patrick nous convainquit aisément de rester pour la nuit, il y avait bien assez de place pour nous trois sur l’immense lit. Aussi demeuré-je allongé tandis que Maya se défaisait de la robe qu’elle avait gardée tout au long de nos ébats avant de s’allonger à mes côtés. Notre ami prit place, la laissant entre lui et moi, et je ne tardai pas à m’assoupir sous les effets conjugués des abus d’alcool et de sexe.
Difficile d’estimer combien de temps s’était écoulé quand je fus tiré des bras de Morphée par les secousses du matelas. Comme dans un rêve érotique, j’ouvris les yeux dans la semi-pénombre pour distinguer enfin la bête à deux dos qui s’agitait à côté de moi. Patrick avait décidé d’abuser des charmes de ma tendre épouse, et visiblement, Madame ne s’en offusquait nullement. Quand le ballet de leurs langues s’arrêtait, la coquine laissait échapper des gémissements et des encouragements qui ne laissaient aucun doute quant à son entier consentement. Je surpris quelques bribes des propos qu’ils s’échangeaient au creux de l’oreille :
Les cuisses relevées, les jambes jointes dans le dos de son amant, ma chérie dévorait la bouche de celui qui s’activait sur elle en missionnaire, et qui finit par la conduire à un orgasme de premier ordre.
Puis le silence revint jusqu’au matin. Il faisait jour, Maya et Patrick étaient déjà dans la cuisine quand je me suis levé pour aller prendre une douche. Peu après, je les retrouvai assis à la table autour d’un café et de quelques viennoiseries qu’ils m’invitèrent à partager. Ma chérie portait une chemisette qu’avait dû lui prêter Patrick, chemisette sous laquelle les tétons visiblement libres décrivaient de gracieuses arabesques. Le vêtement laissait les cuisses nues au ras des fesses, il est vrai que Maya n’avait plus rien à cacher à notre ami.
Après ce petit-déjeuner rapide, chacun alla se rhabiller. Quatre bises, un simple au revoir, un peu de marche et nous voilà chez nous.
Notre chez nous n’avait pas changé depuis cette soirée de folie, mais je ne tardais pas à me rendre compte que nous n’étions plus les mêmes. De surprise en surprise, j’allais découvrir de quoi était capable la femme qui partageait ma vie depuis tant d’années.