n° 22112 | Fiche technique | 16413 caractères | 16413 2817 Temps de lecture estimé : 12 mn |
13/11/23 |
Résumé: L’expérience de séparation ayant semblé redonner de la vitalité à son mari, Magali anticipe son infidélité éventuelle pour le prendre par surprise alors qu’il est en train de cuisiner. | ||||
Critères: fh 2couples couleurs couple couplus soubrette reconcil voir noculotte intermast fellation cunnilingu anulingus pénétratio double sandwich fsodo échange partouze confession | ||||
Auteur : Jacquou Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Une fausse séparation Chapitre 03 / 03 | FIN de la série |
Résumé des épisodes précédents :
Magali a décidé de se séparer de son mari Albert, mais en montant juste d’un étage. Mais l’abstinence sexuelle n’est pas son fort. Avec la complicité d’un couple indien, il l’a fait craquer.
Le jeune couple indien était devenu la coqueluche de ce petit groupe de couples mûrs. Il habitait toujours chez Albert, mais celui-ci s’aperçut qu’il ne faisait presque plus l’amour chez lui. Il ne tarda pas à comprendre pourquoi. Rentrant souvent tard, Sanjai et Indira étaient passés par différents domiciles où ils ne se contentaient pas de faire des ménages, la jeune femme ayant quitté son emploi hôtelier pour épauler son mari dans son activité domestique. C’est ce que lui apprit Magali qui le tenait elle-même de Véronique. L’élégante sexagénaire aux cheveux argentés lui avoua une « partie à quatre » avec son mari Jean-Marc et le couple indien durant laquelle elle avait joui « à en perdre presque conscience ».
Celle-ci éluda, se gardant de lui avouer ses ébats repris et tumultueux avec Albert et surtout son voyeurisme vis-à-vis du couple indien. Véronique poursuivit :
Néanmoins, cette réflexion l’avait alertée. Albert lui avait montré sa vitalité intacte. Lui aussi semblait rajeunir. Il s’était mis au Tai-chi et s’en allait parfois courir. Il lui semblait qu’il avait minci. Il était tout à fait capable d’honorer la belle Indienne comme il l’avait honorée, elle, Magali, pour son grand plaisir, mais elle voyait mal Albert batifoler avec Sanjai en même temps que son épouse dans un trio bisexuel comme le couple de Caroline. Il était résolument hétéro. Le plan à quatre germa alors dans son esprit. Dans leur jeunesse, Magali et Albert s’y étaient toujours refusés. Ils semblaient les seuls de leur groupe à dédaigner cette « partie carrée » avec les deux Indiens puisque, selon Véronique, Amandine et Corinne avaient entraîné leur conjoint dans ce mélange interracial, à la satisfaction de tous. Caroline avait donc fait école. Pas étonnant que les deux employés domestiques finissent leur journée, lessivés, et s’endorment vite dans la chambre d’amis…
La meilleure façon de dissuader Albert de s’encanailler était sans doute de renouer avec le sexe en sa compagnie d’une manière plus régulière. Mais sans lui donner l’impression qu’il avait gagné la partie et qu’elle le mette dans l’idée qu’elle avait rendu les armes. Il fallait que ce soit elle qui prenne l’initiative. Mais pas pour l’amour à la papa. Elle se creusait la tête pour trouver le petit truc qui les exciterait tous les deux, à parts égales, et non par quelque artifice venant de lui comme une vidéo ou l’observation d’un couple en train de baiser.
C’est alors que sa fille Margot lui rendit visite, pour une fois sans ses enfants. Cette petite brune aussi dynamique que sa mère, avec une bonne bouille, plus mère de famille que sa maîtresse, semblait tout excitée. Elle était venue se confesser auprès de sa mère dont elle était restée très proche.
Margot marqua un temps d’hésitation et lâcha ?
Margot raconta qu’elle avait été invitée avec Kléber chez Caroline et son mari, en présence du couple indien qui faisait le service. Une baby-sitter gardait les enfants et le jeune couple s’attendait à une soirée agréable chez deux quinquagénaires qu’ils connaissaient de longue date. Caroline, ses cheveux prématurément gris noués en catogan, portait son habituelle robe très décolletée, sans soutien-gorge, ce qui n’étonna pas les visiteurs. Sanjai et Indira évoluaient autour de la table pour le service, vêtus à l’indienne.
Les esprits s’étaient échauffés pendant la soirée, car Caroline adorait parler de sexe en se caressant les seins, la main dans son décolleté profond. Elle n’avait pas fait mystère des ébats du couple avec les deux jeunes Indiens. Margot avait écouté bouche bée. Elle avait regardé Sanjai évoluer. Elle le trouvait séduisant, excitant avec sa souplesse, ses cheveux ondulés, son sourire éclatant, troublant, avec son œil de braise qui la déshabillait du regard, d’autant que Caroline ne tarissait pas sur ses performances sexuelles. Margot s’aperçut que Kléber n’était pas non plus indifférent à Indira, ses longs cheveux de jais, sa démarche ondulante, ses seins fièrement dressés. Caroline le remarqua :
Ils nièrent mollement. Ils avaient compris l’allusion, sans pour autant sauter sur l’occasion, comme Margot l’assura à sa mère avec véhémence. Mais quand Caroline se leva en s’étirant, libérant sa crinière grisonnante de son catogan, faisant saillir ses seins lourds, son visage à peau mate affichant un air gourmand, puis prit son mari par la main pour l’entraîner dans la chambre, elle lança à la cantonade :
Margot raconta à sa mère qu’elle avait voulu partir. Elle avait regardé Kléber, interdite, décontenancée, mais ce fut lui qui la décida :
Margot protesta, mais Kléber était déjà parti rejoindre les deux couples. Alors, elle se leva comme une automate pour rejoindre la chambre où Caroline et son mari avaient déjà commencé à se déshabiller mutuellement. Sanjai et Indira les avaient précédés. Ils étaient nus et s’embrassaient sur le vaste lit du couple invitant. Indira branlait Sanjai dont l’érection était spectaculaire. Alors, Margot avait craqué. Elle s’était laissé envahir par la puissante atmosphère érotique qui avait régné sur la soirée. Elle s’était tortillée pour enlever sa petite culotte sous sa robe tandis que Kléber libérait son pénis tendu. Il l’avait déshabillée, poussée sur le lit et lui avait fait un cunni passionné qui l’avait fait bouillir.
Magali intervint alors :
Plus tard, Magali se remémora cette conversation avec sa fille. Elle lui avait donné des détails de ses ébats à six en racontant son excitation d’être prise par ce « magnifique amant » qu’était Sanjai pendant que son mari possédait Indira et Caroline avec une vitalité sidérante. Elle n’en finissait plus de raconter à sa mère ce qui s’était passé sur ce lit XXL.
Magali aurait pu lui répondre « bonjour j’arrive », mais elle s’en dispensa. Elle écoutait Margot plus exaltée que choquée par son comportement et celui de son mari. Elle l’avait redécouvert et ils n’arrêtaient plus de faire l’amour ensemble depuis cette soirée. Comme si elle les avait libérés de leurs tabous.
Magali en avait mouillé sa culotte. Sa fille qu’elle croyait modèle était encore plus « sexe » qu’elle. Sacrée révélation qu’elle avait hâte de partager avec Albert.
*****
Elle alla le retrouver dans son appartement alors qu’il se préparait à manger. Elle était en mini short et débardeur et Albert la trouva plus sexy que jamais. Pendant qu’il cuisinait, elle s’assit à table. Il lui raconta qu’il suivait désormais des cours de cuisine et qu’il s’était lancé dans une potée de légumes bio « pour garder la ligne ». Elle le regardait, le regard absent, mais son imaginaire érotique fonctionnait déjà à plein tube. En regardant son petit cul dans son jogging, elle se remémora quelques fantaisies érotiques quelque vingt ans plus tôt. En mini-jupe, mais sans slip, assise à une terrasse de café, elle lui faisait une « Sharon Stone » dans Basic instinct, posant sa cheville droite sur sa cuisse gauche et inversement, lui offrant une vue imprenable sur son minou, pas forcément invisible à la table en arrière-plan. Il en était tellement excité qu’il n’attendait pas de rentrer au bercail et la baisait dans une rue tranquille, sièges de la voiture baissés, au risque de se faire surprendre. Le bon temps…
Elle raconta la visite de Margot. Albert s’était arrêté de touiller son faitout et l’écoutait avec attention. Le passage où Magali raconta que leur fille s’était fait prendre par deux hommes à la fois, lui fit décrocher la mâchoire.
Albert retourna à son ouvrage culinaire, muet. Alors, Magali se leva et vint se coller contre lui, glissant sa main dans le jogging. Il ne portait pas de slip dessous et elle en fut ravie, longeant la raie des fesses puis empaumant les couilles bien lourdes et remontant jusqu’au pénis. Il durcissait sous sa main adroite. Il adorait qu’elle lui prouve son appétit de sexe.
Il avait arrêté de touiller sa potée et éteint le feu. Il sentait les seins de Magali durcir contre son dos. C’était maintenant à lui d’agir. Il se retourna et découvrit son corps nu. Elle avait dégagé ses cheveux de son chignon. Elle lui dit :
Elle se hissa sur le plan de travail au ras de l’évier et ouvrit son petit compas. Il n’eut qu’à se baisser pour coller sa bouche sur sa vulve. Son initiative le comblait. Il retrouvait la femelle dans Magali : sans tabou, inventive, disponible. Elle roucoulait sous sa langue malgré l’inconfort du plan de travail, ou peut-être à cause de lui parce qu’il lui montrait qu’elle baisait. Lorsqu’elle se cabra, en proie à son premier orgasme, il la souleva sans effort et la disposa sur la table de la cuisine. Il prit une chaise et s’attabla comme s’il devait manger. Et il « mangea » la vulve béante de Magali qui l’observait en lui tenant la tête, en poussant des petits gémissements jusqu’à un nouvel orgasme qui la fit se raidir sur la table. Puis elle lui dit :
Il regarda son épouse, offerte comme jamais, et lui dit :
Il s’exécuta lentement, la faisant un peu mijoter, et quand elle vit son pénis tendu, elle l’encercla d’abord de ses pieds et le branlotta. Elle était assise au bord de la table, son sexe à hauteur de son pénis. Il la pénétra, les mains posées sur la table et les yeux dans les siens. Facilement tant elle était mûre. Elle pensait à ses deux filles qui démontraient à quel point elles tenaient d’elle : son goût pour le sexe, la pénétration par l’organe mâle et tout ce qu’il y a autour. Elle avait eu la chance d’épouser un homme viril. Elle l’avait un peu oublié et les circonstances, qu’elles avaient provoquées, l’avaient aidée.
Ce fut un coït ardent, passionné, clapotant, bruyant. Après l’avoir copieusement besognée et fait jouir une nouvelle fois, il s’allongea à même le sol et elle vint s’empaler sur lui, de face puis de dos. Elle savait qu’il aimait regarder son cul en mouvement, lui doigter l’anus en même temps et elle aimait ça aussi. Elle savait aussi que cette position lui permettait de durer un peu plus longtemps que quand elle était sous lui et elle en profita en se mettant sur ses pieds pour allonger la pénétration. Après un autre orgasme, elle s’immobilisa et revint vers lui, assise par terre, rigolarde :
Et de le prendre en bouche pour ranimer sa flamme pendant qu’il la doigtait, fouillant sa chatte gluante. Il lui dit :
Ils rirent tous les deux. Elle se leva et lui dit :
Il la suivit, toujours admiratif de son petit corps plein, bien proportionné, bien conservé. Il aimait particulièrement son cul, et quand elle s’allongea à plat ventre sur le lit, il lui écarta les fesses et lui lécha longuement l’anus.
Alors elle fit comme elle l’avait vu faire par Indira. Elle saisit un oreiller, le plaça sous son ventre et laissa Albert jouer avec son pénis entre sa vulve et son anus dans un léger frottement avant de s’enfoncer petit à petit. La chair de poule envahit le bas du dos de Magali. C’était une sensation qu’elle avait oubliée. Mais sentir Albert fiché en elle, son ventre contre ses fesses, l’électrisa. Elle remua les hanches pour manifester son adhésion et Albert put la fouiller totalement, résolument, en faisant claquer leurs peaux. Elle empoigna le drap, mordit dedans, étouffant ses cris, mais elle venait en même temps à sa rencontre. Il l’enculait, voilà la réalité. Et il fallut qu’elle monte s’installer à l’étage au-dessus pour en arriver là. Il l’embrassa dans le cou tout en continuant de percuter et elle souffla :
Il n’attendait que ça et il lâcha tout avant de basculer, rincé, sur le côté. Elle se précipita vers les toilettes pour soulager son fondement et revint vers lui, mutine :
Elle rit, l’embrassa et lui dit :
Il faillit lui dire que c’était elle qui était venue le trouver avec une idée derrière la tête. Mais il s’abstint. Après tout, ces nouvelles dispositions n’étaient pas si mauvaises. Ils n’avaient pas autant baisé depuis longtemps. Baisé, oui, c’était bien ça. Elle s’apprêtait à partir quand on sonna à la porte, avec insistance. Qui ça pouvait bien être ?
Albert alla ouvrir. C’était Gilberte, sa mère, 85 ans aux fraises.
Elle découvrit Magali, en retrait :
Et Magali se sauva sans demander son reste. Et sans l’ouvre-boîte. Il ne restait plus à Albert qu’à proposer à sa mère d’essayer sa potée de légumes bio.