n° 22082 | Fiche technique | 12430 caractères | 12430Temps de lecture estimé : 9 mn | 29/10/23 |
Résumé: Du fait de sa séparation de Magali, Albert embauche un homme de maison Indien et l’héberge ainsi que son épouse. Une cohabitation qui va provoquer des conséquences imprévues. | ||||
Critères: couple grosseins amour soubrette reconcil voir exhib noculotte fmast hmast fellation anulingus préservati pénétratio fsodo coprolalie | ||||
Auteur : Jacquou Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Une fausse séparation Chapitre 02 / 03 | Épisode suivant |
Résumé de l'épisode précédent :
Une femme mûre décide de se séparer de son mari, mais seulement en habitant à l'étage au-dessus de leur appartement, ce qui va entraîner une vie de couple particulière.
Malgré la volonté de Magali de prendre ses distances avec son mari Albert, ils n’ont pas totalement renoncé au sexe. Il a réveillé les sens de son épouse en lui montrant une vidéo porno qu’il était en train de regarder. Mais elle est retournée « chez elle ».
Plusieurs jours s’écoulèrent après leurs ébats nocturnes totalement impromptus. Albert espérait chaque soir la visite de Magali, mais quand elle venait, ce n’était que pour des questions pratiques, en général récupérer tel ou tel matériel de cuisine ou autre, dont elle n’avait pas le double, et le lui rendait ensuite. Il la trouvait de plus en plus belle. Elle était souvent maquillée, elle se coiffait moins souvent en chignon et il remarqua qu’elle se dispensait souvent de soutien-gorge, option facilitée par des seins menus. Elle montrait ses jambes fines et nerveuses par des mini shorts ou des robes courtes. Comment l’interpréter ? Voyait-elle un autre homme dans ses activités de loisirs ? En tout cas, elle n’avait pas « rendu les armes », comme il avait pu le constater, pour son bonheur, hélas, éphémère.
Un jour, alors qu’il lisait son journal, elle déboula en jean et tee-shirt (nue dessous) pour récupérer un robot de cuisine. Elle découvrit un jeune homme à peau mate et cheveux de jais qui passait l’aspirateur. Elle interpella Albert :
Ce nom fit tilt dans la tête de Magali. Sanjai, le fameux baiseur qui régalait Caroline et sans doute d’autres de leur petit groupe. Elle l’observa pendant qu’il lui souriait. Il paraissait gracile, souple, relâché, très charmant, rien à voir avec une bête de sexe. Elle lui rendit son sourire et il stoppa son aspirateur. Il parlait un français hésitant. Il était en France depuis un an avec sa jeune femme Indira. Il était donc marié ? Cette information surprit Magali. Que pensait sa jeune femme de ses activités extra ménagères ? Elle ne lui posa évidemment pas la question, mais se promit d’interroger Caroline à la prochaine occasion. Albert lui apprit que le jeune couple étant très mal logé, il avait offert la chambre d’amis. Indira rejoignait son mari le soir après sa journée de travail, étant employée comme femme de chambre dans un hôtel. Magali nota, sans commentaire. Albert était chez lui, c’était son affaire…
Deux soirs plus tard, Magali reçut un coup de fil de son mari alors qu’elle regardait une émission de télévision en chemise de nuit et robe de chambre.
Magali se résigna et descendit à l’étage en dessous. Albert était encore nu sous son peignoir, ce qui l’interpella, mais il était debout.
La porte était entrouverte. Sur le lit, Sanjai se trouvait avec sa jeune épouse aux longs cheveux de jais, vêtue d’une jolie tunique colorée, assise, cuisses ouvertes, découvrant un sexe charnu à son image de jeune femme replète contrastant avec la minceur de son mari. Celui-ci doigtait sa fente et ne tarda pas à y plonger le museau pour une séance de cunni vorace qui fit se pâmer Indira.
Magali amorça un mouvement de recul.
Magali, forcée de regarder le jeune couple, finit par manifester une certaine curiosité en repensant aux propos de Caroline sur le talent érotique de Sanjai. De fait, son cunni était royal. Sa langue agile faisait se tordre Indira à laquelle Magali se surprit de s’identifier. Puis le couple passa à la fellation. Le pénis de Sanjai n’avait rien d’impressionnant. Pas du tout une matraque à l’africaine. Mais la pipe gloutonne d’Indira lui procura une longueur et une raideur prometteuses.
Indira passa sa tunique par-dessus sa tête et révéla un corps pulpeux, voluptueux, enveloppé, mais sans excès avec deux seins opulents marqués par deux larges aréoles brunes. Sanjai se coiffa d’un préservatif, signe que le couple entendait éviter toute fécondation. Et il pénétra Indira.
Le coït qui suivit fut long, intense, varié, enthousiaste. La baise de Sanjai relevait à la fois de l’ondulation serpentine et de la mitraillette. Il suffisait de regarder et d’écouter son épouse pour comprendre qu’elle vivait un moment d’intense jouissance. Elle lui caressait les fesses pendant qu’il la fouillait et cette vision fit frissonner Magali, qui adorait cette pratique amoureuse marquant sa totale adhésion.
Quand Sanjai sodomisa Indira avec une facilité qui surprit les deux voyeurs, peut-être parce qu’elle avait pris la précaution de placer un oreiller sous son ventre, le claquement des peaux qui en résulta fut aussi sonore que des coups de fouet. Avec le brame d’Indira, la chambre d’amis était envahie d’un tel boucan que le jeune couple ne pouvait pas ignorer son retentissement dans l’appartement d’Albert. Magali comprit alors que son mari était complice, complaisant, peut-être même instigateur de ces ébats pour l’émouvoir. Et de fait, elle ruisselait, la main sur son sexe. Le petit cul de l’Indien, virevoltant, la fascinait. Ce cul d’homme nerveux en mouvement était pour elle la quintessence de l’érotisme pour une femme aimant faire l’amour.
Quand Indira se mit à chevaucher Sanjai avec une énergie qui fit trembler ses seins, grincer le lit et gémir son jeune mari, Magali chercha le pénis d’Albert et le trouva tendu comme un sceptre. Si Sanjai était bel et bien un artiste de l’amour, son épouse n’avait rien à lui envier. Tout comme Magali avait été fascinée par le fessier de l’Indien, Albert bandait en lorgnant les deux plantureux hémisphères d’Indira qui frémissaient au rythme de ses roulements de hanches. Tandis que Sanjai était assis au bord du lit, elle s’empalait sur lui, les pieds au sol, virevoltant de sa croupe charnue, et son regard croisa alors celui des deux voyeurs. Elle leur sourit brièvement avant de se concentrer à nouveau sur son plaisir, feulant et gémissant, mais sans prononcer un mot comme son mari. Cela faisait une bonne demi-heure qu’ils baisaient et ils paraissaient inépuisables. L’endurance de Sanjai n’était sans doute pas pour rien dans sa réputation, comme ils l’apprirent plus tard, mais n’anticipons pas.
Il la trouva fondante sous sa bite. Ce fut une cavalcade effrénée, mais d’une intensité érotique égale à celle qu’ils avaient connue en regardant la vidéo porno. Contrairement aux jeunes Indiens, ils étaient volubiles, s’encourageant mutuellement à coups de « allez, vas-y, encore, baise, baise ». Pendant que l’un se régalait du spectacle de la chair capiteuse de son épouse en mouvement perpétuel, l’image même de la femme qui baise et heureuse de baiser, celle-ci relevait la tête pour observer la jonction de leurs sexes comme pour vérifier l’efficience de cette bite qui la régalait. Elle avait toujours aimé ça, regarder la bite d’Albert en action, cela faisait partie de son plaisir. Elle avait même autrefois utilisé un miroir en l’orientant pour mieux voir. Elle en aurait eu un sous la main qu’elle l’aurait utilisé.
Son brame de jouissance ne fut pas loin d’égaler celui d’Indira. Elle agita frénétiquement ses hanches et il dut se retirer en se comprimant le pénis pour ne pas gicler. Il voulait prolonger un peu leur union de peur de ne pas la retrouver de sitôt. Et aussi un peu pour retrouver de l’énergie à l’égale de sa tempétueuse épouse qui, elle, ne semblait pas fatiguée. Elle le regarda, un peu inquiète !
Magali pouffa et dit :
Elle vint s’empaler sur lui et fit aller et venir sa croupe lentement en lui caressant les couilles une main derrière son dos. Il regardait ses seins pointus, son nombril en mouvement sur son petit ventre à peine rond, son visage rayonnant, la langue entre les lèvres. Brièvement, elle se mit pour allonger sa bite et leurs peaux claquèrent.
Elle rit, consciente de son pouvoir, et se détacha.
Il voulait la prendre classiquement de face, en missionnaire, bras tendus, les yeux dans les yeux, pour guetter son orgasme et libérer le sien, ses talons dans ses reins. Il avait bien récupéré et il cogna dur. Elle prit appui sur ses pieds pour accompagner ses coups de boutoir, poussa de sonores exclamations, gargouilla des mots incompréhensibles, le regard écarquillé, et quand elle cria « viens, viens baise, baise », il lâcha tout.
Ils restèrent un moment, fichés et collés l’un dans l’autre, un peu assommés, avant de se détacher et de s’allonger. De la porte, Sanjai et Indira les avaient observés et leur adressèrent un grand sourire… Une complicité inattendue venait de naître.
Elle se releva, un peu flageolante, prit sa robe de chambre et sa chemise de nuit, gagna les toilettes et adressa un petit geste à Albert qu’il prit comme un signe amoureux. Et il regarda son popotin ferme et bombé s’éloigner avec une légère ondulation de chair satisfaite. Elle l’avait encore épaté par son enthousiasme érotique, comme à ses plus beaux jours. Elle pouvait bien revenir « chez elle ». Il l’avait encore fait jouir. Toutefois, il se demanda ce qui se cachait derrière cette ardeur au plumard et ces propos crus dans l’extase. Et si au fond, cette séparation partielle n’était pas ce qu’elle avait trouvé pour relancer leur vie sexuelle ? Et si ce n’était pas elle, et non lui, qui tirait les ficelles ? Ce serait bien dans son caractère. Et sur cette hypothèse, il s’endormit.
Quand il se réveilla le lendemain, il éprouva le besoin de l’appeler. Mais la réception fut presque froide, comme si rien ne s’était passé la veille. Il en fut décontenancé. Il appela Cathy, sa sœur, qui avait défendu sa position comme l’ensemble de la famille. Cette pétulante quinquagénaire aux cheveux frisés et aux formes pleines menait une vie de couple assez débridée. Albert était l’un des rares de la famille à ne pas en être choqué et aimait entendre ses frasques, presque toujours dans un cadre conjugal avec un mari, Olivier, à la hauteur de ses désirs. Elle parlait facilement cru et elle lui dit :
Il déclina, mais lui parler lui avait fait du bien. Il irait la voir un de ces jours, elle et son mari.
Il se décida quelques jours plus tard. Cathy avait invité une amie, Maud, une quadra divorcée aux cheveux aussi fins que son physique élancé. Il la trouva charmante, mais visiblement perturbée par son divorce récent. Cathy voulait faire d’une pierre deux coups : lui trouver un exutoire en même temps que permettre à son frère de satisfaire ses pulsions. Lors d’un aparté discret, elle glissa à l’oreille d’Albert : « elle fait très bien l’amour ». Il en conclut qu’elle avait participé à un trio avec Cathy et son mari. Envisageaient-ils ce soir un plan à quatre ? L’idée de baiser Maud ne lui déplaisait pas, a priori, mais devant sa sœur et son beau-frère, il avait un peu de mal. Il prétexta un mal de crâne pour s’éclipser à la fin du repas. Ce n’était pas encore cette fois qu’il tromperait Magali.
À suivre…