n° 22225 | Fiche technique | 54811 caractères | 54811Temps de lecture estimé : 40 mn | 10/01/24 |
Résumé: Poursuivant des études dans la cinématographie, Emma a eu l’idée de partir s’immerger dans des familles afin de connaître leurs façons de vivre. Elle filme ses immersions à l’aide de sa petite caméra. | ||||
Critères: f fh jeunes grossexe hépilé fépilée vacances amour nudisme vidéox intermast facial jouet confession -initiatiq -voyeur -exhib | ||||
Auteur : lapinlapine Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Immersion en mode hippie Chapitre 01 / 02 | Épisode suivant |
Je m’appelle Emma, j’ai vingt-et-un ans et je suis étudiante à l’école supérieure de réalisation audiovisuelle dans la ville de Nice. Depuis l’âge de dix-sept ans, et dans le cadre de mes études tournées dans la cinématographie, j’ai eu l’idée de partir m’immerger chaque année durant plusieurs semaines dans des familles d’accueil ayant des modes de vie totalement différents. D’une famille d’agriculteurs dans le Cantal, à l’immersion chez des gitans, j’avais été accueillie l’année dernière chez des châtelains dans la vallée de la Loire. J’ai rapidement profité des nouvelles technologies et de l’explosion des réseaux sociaux, et de ce fait, j’ai utilisé rapidement ce courant médiatique pour mettre en scène mes expéditions grâce à des vidéos que je publie quotidiennement sur l’un des sites les plus en vogue du moment. Aujourd’hui, je suis fière d’avoir plus de mille abonnés sur mon compte YouTube.
Samedi 2 juillet 2016 en tout début de matinée. Je m’assois dans le train qui doit m’emmener à Paris. J’ai posé le petit trépied surmonté de ma mini caméra sur la tablette située devant moi. Je suis dans un compartiment de première classe, installée dans un siège solo, car je préfère être tranquille quand je prends le TGV.
Dans le petit écran qui me projette le retour caméra, je vois mon visage en gros plan et on aperçoit la fenêtre dans laquelle le paysage défile à une vitesse prodigieuse. Je dézoome un peu et apparaît alors le haut de mon débardeur à fines bretelles. Je ne porte plus de soutien-gorge depuis quelques mois maintenant, car j’apprécie faire du no bra, je fais donc en sorte de ne pas trop descendre l’objectif plus bas.
Mon trépied est désormais bien positionné, j’appuie sur le bouton « ON », c’est le moment de m’adresser à mes vidéo-spectateurs qui sont de plus en plus nombreux.
Coucou à tous ! Je suis Emma et je vous invite à vivre ma prochaine immersion qui va se dérouler sur tout le mois de juillet dans une famille, disons, un peu particulière. Je ne vais pas tourner autour du pot, vous me connaissez bien maintenant, je suis attendue dans une famille adepte à la mouvance hippie, et ce, durant tout le mois de juillet. Cette immersion ne sera pas pour tous publics, car les gens qui m’accueillent vivent la plupart du temps à poil, je profite d’ailleurs de cette précision-là pour répondre à toutes celles et tous ceux qui voulaient que je me mette dans des défis plus insolites, là vous devriez être servis !
Tout en continuant à me filmer, un contrôleur vient à ce moment précis pour me demander mon billet que je lui présente.
Désolée, ce sont les aléas du direct. Bref, reprenons. Récemment, j’ai vu une émission tout à fait par hasard qui parlait de la mouvance hippie qui a commencé dans les années soixante. Je me suis donc intéressée à ce mode de vie, et pour le coup, je me suis lancé le défi de trouver une famille qui vivrait ainsi et qui aurait la gentillesse de m’initier. Sur l’un des forums internet qui évoquent ce style de vie, je suis entrée en contact avec Nathalie avec qui j’ai pas mal échangé et je sais parfaitement ce qui m’attend. De ce fait, je suis navrée de vous informer que je ne pourrais pas diffuser ce qui va suivre sur ma chaîne YouTube traditionnelle. Je vous invite donc à vous rendre sur le lien que je vous affiche ici et qui sera payant, car accessible uniquement à un public averti.
Je stoppe là mon enregistrement et reste songeuse à regarder le paysage du nord de Marseille qui défile. Mes pensées sont tournées sur les derniers échanges que j’ai eus avec Nathalie. « Quelle idée, j’ai eue de me mettre dans cette aventure ! », je me dis à moi-même. Lorsque je m’imagine devoir déambuler totalement à poil chez ces gens-là, cela me provoque un stress énorme. La nudité et le sexe, j’aime ça, mais chez moi, dans mon intimité propre. Être à poil et les voir eux, ces inconnus, cela m’angoisse. Pourtant, je dois avouer aussi que cette idée de devoir vivre en toute nudité dans cette famille m’excite beaucoup. Durant deux semaines, je me suis projetée, imaginée, mise en scène avec ma caméra en me demandant ce que j’oserais montrer ou non. Après tout, je ne suis pas une trouillarde et j’aime relever de nouveaux défis. Me balader à poil chez des gens, après tout, ce n’est pas la mer à boire.
J’arrive dans vingt minutes à la gare de Rambouillet dans les Yvelines. Dans le wagon relativement vide, je me rappelle les explications faites par cette Nathalie au sujet de son fils Ben qui a dix-sept ans. Benoit a apparemment subi pas mal de moqueries liées à une anomalie anatomique à sa naissance. Il se sent complexé et encore assez traumatisé par ce qu’il a vécu au collège. Nathalie m’a tout raconté et j’ai eu beaucoup d’empathie pour lui. J’ai affirmé à Nathalie que je saurais être rassurante avec lui et que je m’adapterais du mieux que je pourrais. Prendre soin des autres, c’est une vocation qui est ancrée en moi. J’avais vraiment apprécié discuter comme ça, sans tabou avec elle, et je me suis confiée aussi un peu, donnant donnant.
Je rallume ma caméra lorsque le train s’arrête enfin. Je me lève, prends ma valise à roulettes et me filme en même temps en orientant l’objectif sur mon visage.
Me voilà arrivée à Rambouillet. Sortons sur le parking pour voir si Olivier, le mari et le père de Ben, est là. Ah, on dirait que c’est lui là-bas.
Dans la voiture et sur le trajet, Olivier ne cesse de me parler. Il me raconte un peu la région et me cite quelques anecdotes historiques qui se sont passées dans le coin. C’est un bel homme d’une quarantaine d’années, les cheveux courts légèrement grisonnants sur les côtés et d’allure athlétique. S’il avait été plus jeune, je me serais bien laissée séduire.
J’apprends qu’il travaille dans une grosse boîte à côté de Paris.
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Au même moment, dans sa chambre, Ben est stressé depuis le début de la matinée et, à vrai dire, cela a même commencé la veille. L’arrivée de cette Emma est imminente et il est angoissé. Il a les mains moites, ne cesse de tourner en rond dans sa chambre qu’il a parfaitement rangée pour l’occasion. Ce n’est pas la première fois qu’une fille viendrait passer un séjour chez lui puisque ses cousines venaient assez régulièrement chaque année, mais elles ne restaient guère plus de quelques jours, là, cette visite est vraiment différente. C’est la première fois qu’une étrangère viendra chez lui et elle restera bien plus que quelques jours. Cette fille, ce n’est pas n’importe quelle étrangère ! Emma, il la connaît maintenant assez bien depuis que sa mère l’a informé de sa venue chez eux. Il a visionné chacune de ses vidéos et le charme qu’elle a dégagé ainsi que son humour ne l’a pas laissé insensible, bien au contraire. Sa venue le fait paniquer, car les filles, lui, ça le paralyse. Il se regarde une dernière fois dans son miroir, juge sa tenue peu convenable pour cette première rencontre, mais il a encore une fois suivi les conseils de sa mère.
- — Ben ! Ils arrivent ! lui hurle sa mère depuis le bas de l’escalier.
- — J’arrive ! dit-il en prenant une grande inspiration pour s’encourager.
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Nous voilà enfin arrivés. Je n’ai pas cessé de filmer et je montre ma première réaction à ma caméra lorsque je découvre la jolie maison isolée et située en lisière d’une grande forêt. La propriété est bâtie au milieu d’un très grand terrain que le haut portail massif camoufle parfaitement. Avant de franchir la porte d’entrée, je fais un tour sur moi-même afin de montrer rapidement la devanture de la belle maison et le terrain parfaitement entretenu qui l’entoure. Cela devrait faire un joli rendu dans la vidéo.
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Ben, pendant ce temps-là, est à côté de sa mère, tous deux postés là, dans le salon. Il l’interroge pour une énième fois.
- — Tu es sûre que me présenter uniquement dans ce shorty ne va pas l’effrayer ?
- — Mais non, voyons, et je lui ai confié ce que tu sais. Ne t’inquiète pas, ça va bien se passer.
- — Oui, mais quand même ! Ah, ils arrivent !
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J’entre dans la maison. Le petit comité d’accueil composé de Nathalie et de Ben m’attend dans le grand salon-salle-à-manger. Olivier m’a devancé et il retire ses chaussures. La première chose qui me frappe, c’est la tenue de Ben qui est vraiment… spéciale. Il porte juste une espèce de shorty taille basse qui moule parfaitement sa bite que je trouve assez grosse. Drôle de tenue pour recevoir une invitée, mais bon, moi je filme toujours, après tout, tant pis pour lui ! Nathalie, elle, porte un paréo et je suis certaine qu’elle est à poil dessous.
Elle s’approche et me prend dans ses bras.
Avoir cette femme dans mes bras, je ne sais pas trop quoi faire. Je suis un peu gênée, mais je joue le jeu, alors je la serre tout contre moi comme je l’aurais fait avec une très bonne amie. J’avoue qu’à ce moment-là, mes yeux se sont posés sur le shorty de Ben, et la vue de son machin dans le shorty m’a un peu émoustillée, car ça fait plus d’un an que je n’ai pas vu de bite en vrai. Bon, je ne la vois pas directement, mais c’est tout comme.
Nathalie dessert son étreinte et se recule. Elle se dirige vers Olivier et lui fait un bisou sur la bouche.
Sans même attendre de réponse, elle fait les présentations, puis s’adresse à Ben qui semble penaud. Il me fait rire.
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Ben est dans les nuages, très haut quelque part dans le ciel. Il est surpris de voir comme cette jolie blonde maîtrise bien l’art de filmer. Son regard se pose sur la silhouette fine avantagée par de très jolies formes. Il est ravi de constater qu’en vrai, elle est encore plus jolie que dans ses vidéos. Il remarque rapidement qu’elle ne porte pas de soutien-gorge sous son débardeur et il admire la forme de ses seins ressemblant à deux grosses poires. Mais Ben est très intimidé subitement, car Emma, évidemment, a vu sa tenue…
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Je vois que son regard se pose sur ma poitrine et là, il reprend ses esprits.
Il a su réagir vite le petit malin. Il me fait sourire.
Durant la visite, je constate que cette famille a tout de même pas mal de moyens, car chaque meuble et chaque objet décoratifs a parfaitement sa place. À côté du vaste salon-salle-à-manger, je filme la cuisine qui est séparée, puis la chambre de ses parents qui dispose de sa propre salle de bain.
Je comprends son allusion à leur nudité. Je déglutis difficilement.
La grande terrasse est partiellement abritée par une belle structure en bois massif. Franchement, c’est super classe, car je découvre le très grand terrain parfaitement entretenu, digne des plus beaux parcours de golf. Mais ce qui m’émerveille le plus est la grande piscine enterrée de douze mètres de long et agrémentée par un jet en cascade du plus bel effet. Je la filme dans plusieurs angles et je suis certaine que la vision de tout ceci dans ma vidéo plaira au plus grand nombre. Forcément, à chaque fois que je suis Ben dans la maison et au-dehors, je ne peux m’empêcher de mater son cul moulé dans son petit shorty taille basse.
La partie la plus intéressante pour moi vient ensuite, car nous montons l’escalier qui dessert nos deux chambres et notre salle de bain commune. En haut de celui-ci, sur ma gauche, Ben me présente sa chambre qui est aussi bien rangée et décorée que dans les plus beaux magazines spécialisés.
La visite se poursuit au bout du long couloir où se trouve notre salle de bain. Elle est assez vaste et je jubile en voyant qu’elle est équipée d’une baignoire balnéo et les wc se trouvent au pied de celle-ci.
Décidément, je le trouve à croquer, ce Ben. En plus d’être très charmant et très avenant avec moi, il est beau gosse, et la cerise sur le gâteau, c’est ce qu’il y a dans son shorty. J’ai des images obscènes qui me traversent l’esprit, car je me mets à l’imaginer en train de bander dedans. Je ne sais pas ce qui me prend de penser à ça, sans doute le fait que je ressens que l’atmosphère dans cette maison sent le libertinage. D’un geste brusque, je chasse cette pensée.
Ma chambre se trouve juste en face de celle de Ben. Je suis contente de constater qu’effectivement elle est aussi immense que la sienne et surtout, je vois que j’ai moi aussi une grande armoire. Celle-ci est située au pied de mon grand lit deux places et surtout, elle dispose elle aussi d’un grand miroir. Et mes pensées qui me reviennent ! Là, je me vois en train de me masturber avec mon godemichet que je n’ai pas oublié. Je m’imagine très bien me donner du plaisir avec mes cuisses écartées devant ce grand miroir. Cette image de moi reflétée de la sorte me donne une attitude de perverse impudique. Entre nous, j’adore me voir ainsi, et cela, évidemment, je ne le filmerais pas.
Puis il s’en va.
Je me retrouve seule dans ma chambre ensuite. J’ai posé ma caméra sur une de mes tables de chevet et je filme le rangement de mes affaires. Évidemment, je fais en sorte que personne ne remarque que je cache sous mes sous-vêtements mon jouet en plastique qui peut aussi vibrer. Quand on n’a pas de mec, il faut bien se débrouiller avec les moyens du bord. Moi, je prends mon pied avec mon gode, et alors !
Je me dis que je pourrais aller en acheter un dans un magasin avec Nathalie dans l’après-midi, car honnêtement, avec la chaleur estivale qui règne sur la France depuis plus de dix jours, je n’ai qu’une envie, c’est d’aller me baigner.
Je ne me suis pas changée et je descends dans le salon en vue de retrouver tout le monde. En ce samedi matin, Olivier s’affaire à préparer le barbecue, et stupeur, il est totalement à poil. Il me voit et me sourit le plus naturellement du monde. Je lui retourne son sourire et ne peux m’empêcher de reluquer son sexe qui pendouille. Il est totalement rasé et je trouve cet homme vraiment attirant. Sur ma gauche, Nathalie est installée sur l’un des transats, nue également. J’hésite et tenant ma caméra dans ma main, j’avoue être restée figée sur place.
Après tout, je serais aussi bien assise, alors je tire un transat et je m’installe à un mètre d’elle. Là, je vois au loin Ben qui s’affaire à couper des petites branches, totalement nu, lui aussi, à la lisière de la forêt, il ne peut pas nous entendre.
Je suis attentive et je l’écoute tout en continuant à la filmer. Je pense que je n’ai pas pu la cadrer comme j’aurais voulu et on pourra sans doute voir son corps nu dans sa totalité. Cette femme est vraiment très jolie. Ses petits seins sont bien ronds et semblent assez fermes. Ses aréoles sont rose foncé et les tétons sont ressortis. Sa chatte est totalement épilée de près. Au loin, Ben s’affaire toujours à chercher des branches de bois. Écoutant les explications faites sur lui par Nathalie, je le regarde cette fois d’une autre façon. J’ai un sentiment fort de compassion qui me vient pour lui.
De nouveau, j’ai parfaitement l’image de Ben qui se branle, ce machin qu’il se trimbale doit dégorger de façon impressionnante. Et puis j’ai l’image de ses grosses couilles qui pendent mollement. Décidément, il est temps que j’aille rafraîchir ma libido. J’ai toujours eu ce genre d’excitation après mes règles, mais là, avec tout ce que je vois et ce que j’entends, mon excitation est bien plus vive.
Après ces révélations, je suis là, sur ce transat à transpirer comme une malade depuis une bonne vingtaine de minutes. Je prends alors une décision que je ne me serais jamais cru capable de prendre.
Me voilà dans ma chambre. J’ai décidé de continuer à tout filmer sans restriction aucune, car il faut bien justifier le fait d’avoir annoncé de la nudité dans ce Vlog.
Le grand moment est arrivé, les amis ! Je vais me mettre à poil et je vais descendre rejoindre ma nouvelle petite famille !
Je pose mon trépied sur la même table de chevet que tout à l’heure et laisse tourner la caméra. Ainsi, on me verra surtout de dos et sans doute un peu de face dans le reflet du miroir. Ça commence à m’exciter tout ça finalement. Montrer mon cul, ce sera la première fois.
Me voilà à poil. Je reste quelques secondes à me regarder dans le miroir de l’armoire. Je me trouve plutôt jolie ces derniers temps. Certes, mes seins ne sont pas parfaits, car pas aussi ronds et fermes que je le voudrais, mais ils sont malgré tout assez généreux, comme deux grosses poires bien mûres. Ils remuent pas mal quand je bouge et j’aime jouer avec. Mes aréoles sont de tailles moyennes de couleur chocolat au lait et mes tétons sont légèrement ressortis. Ça, c’est signe que je suis un peu tendue et aussi un peu excitée, je l’avoue. Mon regard descend sur mon ventre plat puis sur ma chatte que je prends soin de faire épiler régulièrement en allant chez l’esthéticienne. Elle est aussi lisse et douce qu’une peau de bébé, et surtout, le fait de ne plus avoir de poils la rend vraiment très sensible.
Je descends l’escalier et je sens mes nichons se secouer librement. Je sais ce qu’ils procurent sur la gent masculine lorsqu’ils remuent de la sorte. Je ne veux pas jouer les provocatrices, alors je ralentis mes mouvements.
Me voilà dehors totalement à poil, à la vue de tous. Tout le monde s’affaire à sa tâche. Nathalie prépare la table, Olivier sert l’apéritif et Ben est concentré sur la cuisson de la côte de bœuf. De profil, je vois que ses couilles sont aussi rondes que des mandarines, et surtout très fermes. Je me rappelle que selon les dires de Nathalie, cela est signe qu’il ne s’est pas branlé depuis une journée… Mais bon sang, quelle paire de couilles il a ! Je remarque immédiatement qu’il est en fait le seul à être poilu au niveau du sexe. En les comparant, lui et son père, il est évident qu’un sexe épilé est bien plus joli, chez les femmes, mais aussi chez les hommes.
Je commente à la caméra :
Finalement, c’est vraiment très agréable de rester à poil ! Les regarder ne me gêne pas, en fait, bon, à part Ben qui a des couilles énormes, on s’y fait !
Ce qui me met à l’aise, c’est justement le fait qu’ils ne me regardent pas plus que de raison. Je vois leurs regards se poser ici ou là, mais pas de façon gênante. Du coup, ça m’encourage à poursuivre. Tout ça, je le filme toujours bien entendu.
Durant le repas, je prends beaucoup la parole. Je raconte ma vie, mon parcours et mes différentes anecdotes d’immersions. Je suis si à l’aise et détendue que j’en oublie presque que je suis à poil et eux aussi. Certes, je remarque les regards de Ben sur moi, mais cela ne me gêne pas, bien au contraire. Je ne sais pas ce qui me prend, mais de temps en temps, je bombe ma poitrine davantage afin qu’elle soit plus visible. J’ai des envies d’exhibition qui me viennent.
Après manger, je n’ai qu’une envie en tête : aller dans la piscine. C’est ma première fois à poil et j’adore sentir la fraîcheur de l’eau parcourir mon corps nu. À force de regarder le corps de Ben, je commence à bien le connaître et bien l’appréhender. Nous profitons ensuite d’un moment de répit tous les deux pour nous installer sur des transats tout proches l’un de l’autre pour discuter. Son machin est ruisselant d’eau et est replié mollement entre ses cuisses. C’est mignon à voir. Comment peut-il trimbaler un engin pareil toute la journée ?
Il regarde sa bite qu’il saisit dans ses doigts et pose sur le haut de sa cuisse, sans doute pour mieux me la montrer. Moi, je n’en rate pas une miette. Le voir prendre sa bite comme il le fait et la déposer sur le haut de sa cuisse, ça commence à me titiller. Je remarque que son prépuce est à moitié rétracté, libérant ainsi la moitié du gland. Le voir comme ça à l’air libre, ça fait pointer mes tétons.
Sans doute à force de parler de son organe, ça le fait réagir, puisque sa bite commence à s’allonger peu à peu et s’est même mise à tressauter légèrement. Il est si gêné, le pauvre, qu’il voudrait bien la cacher, mais déjà la queue se dresse bien droite. Là, je suis super excitée, car je sens que ma chatte est trempée. Heureusement, je suis encore toute dégoulinante d’eau de piscine sur mon transat, car moi, quand je suis vraiment excitée, je mouille beaucoup.
J’ai bien senti sa gêne et c’est bien normal, surtout pour lui. Alors j’essaie de le rassurer.
Il marque un temps avant de me répondre. Sans doute doit-il trouver les bons mots pour m’expliquer sans me choquer.
Après une bonne demi-heure à discuter, il a fini par débander. J’en étais presque contrariée ! J’ai vraiment senti qu’après cet épisode-là, une complicité était née entre nous deux. On s’était dévoilé de façon très intime et nous n’avions plus grand-chose à nous cacher.
À la fin de la journée, j’apprécie vraiment de rester à poil et je ne veux surtout pas me rhabiller.
La nuit est tombée depuis plus d’une heure, je suis dans ma chambre, installée au-dessus de mon lit, et je viens de terminer le premier montage de ma première vidéo. À l’étage, tout est totalement ouvert. Volets, fenêtres et portes de chambre. Cela permet au relatif courant d’air de pénétrer dans nos chambres. La question de me revêtir ne m’a même pas effleuré l’esprit tellement je me sens à l’aise dans mon corps et en harmonie avec cette famille.
Avant de publier ma vidéo, l’ordinateur portable posé sur mon drap, je me regarde dans le miroir qui me fait face. Je suis assise en tailleur, les cuisses largement écartées, et je revisionne une dernière fois ce que je viens de monter. Me voir à poil ici et là, puis Nathalie et Olivier, et surtout la vue de la bite en érection de Ben dans mon écran me procure une terrible excitation. Je ne peux m’empêcher de poser ma main droite sur ma fente toute trempée et je sens que ça dégouline même pas mal. Ma main gauche est posée sur mon sein droit et je m’amuse à zoomer sur cette queue que je connais désormais par cœur tellement je la regarde.
« Toi, tu es chaude comme une baraque à frite ! », me dis-je en me regardant dans le miroir, tout à fait impudique. En effet, je vois bien ma cyprine qui dégouline entre mes petites lèvres qui restent toujours un peu ressorties.
J’adore me caresser un sein pendant que je me concentre sur mon ordinateur, je le fais souvent chez moi. Me voir ainsi toute excitée dans le miroir me donne une envie folle de sortir mon godemichet et de me faire jouir, mais cette pensée s’arrête net quand j’entends un bruit de musique qui arrive jusqu’à mes oreilles. Je tourne ma tête vers la chambre de Ben, mais son lit que j’aperçois est toujours vide. Dire que j’avais oublié que ma porte était restée grande ouverte alors que je m’apprêtais à me masturber ! « Je deviens folle ou quoi ? »
Je suis certaine que cette musique provient du salon, ma curiosité prend le dessus et je décide de me lever. J’ai la présence d’esprit de rallumer ma caméra que j’avais éteinte, pensant aller me coucher après avoir monté ma vidéo. Je fais face à l’objectif et je m’adresse au petit appareil en chuchotant.
J’ai entendu de la musique en bas. Je vais descendre jeter un coup d’œil. J’hésite à enfiler un truc avant.
Je suis maintenant dans l’escalier et je chuchote à ma caméra de nouveau.
Bon, je suis restée à poil, car je vais juste zieuter un coup. J’espère juste qu’il n’y a pas un groupe d’amis qui est venu s’inviter sans qu’on me le dise !
Plus je descends et plus la musique est forte, mais pas si forte que ça, car il est bien connu que lorsqu’il fait nuit, les bruits semblent être amplifiés. Du coup, j’ose traverser le salon qui est désert. Je m’arrête juste devant le rail de la baie vitrée qui est restée ouverte en grand. Pile devant moi, je vois Nathalie qui danse nue au bord de la piscine dont les spots puissants éclairent l’environnement d’un bleu électrique. Sur ma gauche, avachi dans le méli-mélo de coussins, Olivier, nu, bien entendu, sirote un verre d’alcool et regarde sa femme qui se trémousse. À droite, Ben est à peine visible, car il est quasiment à la frontière entre lumière et pénombre. Il est installé sur un transat et il semble se masturber. Je ne le vois pas très bien de là où je suis. « Où suis-je tombée !? », me dis-je à moi-même.
Bob Marley chante « Jammin » et le rythme donne vraiment envie. J’hésite, mais finalement, je me laisse entraîner par Nathalie qui me tire la main. Là, elle me tend un verre de ponch et elle se sert ensuite. J’ai l’impression qu’elle n’en est pas à son premier verre, car elle est vraiment guillerette.
Cela faisait très longtemps que je ne m’étais pas autant amusée. Avec Nathalie, nous sommes de plus en plus déchaînées au fur et à mesure que les tubes des années quatre-vingt passent. Et ce ponch qui est vraiment super bon, j’en suis maintenant à mon troisième ou quatrième verre, je ne sais plus. Là, nous faisons un concours de secousse de nichons et je crois que je vais gagner haut la main, car Nathalie, ses seins sont bien plus petits que les miens. Je suis euphorique et excitée à la fois. Sur un tube de Shakira, j’ose même me pencher en avant et remuer mon cul de façon totalement impudique. La dernière fois que j’ai fait ça, c’était dans ma chambre, chez moi à Nice et devant le miroir sur pied que j’ai, je savais donc ce que je montrais à ce moment-là, notamment mon petit trou, et dessous ma belle chatte rasée. Je me sens totalement impudique et très aguicheuse. Je suis un peu plus éloignée que Nathalie, car je me trouve le l’autre côté de la piscine. Ça me sauve un peu côté visuel et je doute qu’Olivier ou Ben puissent voir mon intimité. Je me rapproche de Nathalie et je lui demande :
Je sens que j’ai la tête qui divague et je me sens vraiment étourdie. Je m’approche de Ben en continuant à gesticuler dans le rythme d’un nouveau morceau très entraînant. Je ne sais pas ce qui me prend, là, maintenant, mais j’accentue les secousses de ses seins en imitant la publicité des « Cachou Lajaunie ». Devant moi, je m’arrête et je constate qu’il semble s’être fait jouir, car ses couilles sont pendantes et son pénis est encore très allongé. En y regardant d’un peu mieux, malgré que mes yeux me jouent sans doute des tours, j’ai l’impression de voir son sperme étalé sur son ventre.
Il se lève et il me suit, sa main dans la mienne. Nous voilà désormais tous les trois réunis sous le son que Nathalie a relevé de plus belle. Je filme toujours sans interruption.
Je me sens vraiment heureuse et je ne me suis jamais sentie aussi libre dans mon corps que maintenant. On me proposerait de baiser là, avec eux, je le ferais sans hésiter. Dommage que Ben se soit vidé. Ben relève notre défi et il s’amuse lui aussi à secouer sa bite dans tous les sens. Je l’encourage en applaudissant en rythme.
Malgré mon état d’ébriété avancé, je comprends à cet instant les joies de vivre de cette manière. Sans tabou, sans jugement et en totale liberté.
Après deux bonnes heures à danser, je suis totalement épuisée et transpirante. Quand je prends conscience que la musique est éteinte, je vois Olivier qui est toujours avachi dans le méli-mélo de coussins, mais il bande sévèrement. Nathalie s’approche de moi et me dit.
Ben qui passe à côté de nous ajoute.
Je reste ainsi, inerte, à regarder Nathalie qui s’empale sur le sexe en érection d’Olivier, en face de moi. Ils s’embrassent, il la caresse. Les voir faire m’excite vraiment et machinalement, je pose une main sur un de mes seins. Mon esprit me renvoie les images de Nathalie, Ben et moi en train de danser et de secouer tout ce qui pouvait être secoué. Lorsque je revois le sperme de Ben sur son ventre, mon excitation est à son maximum et je me sens mouiller de façon abondante. Mon envie est trop forte, j’ai pris ma décision, et tant pis si je me trahis par ce qui va suivre. Je traverse la terrasse en courant, puis le salon, je monte l’escalier, mes seins se secouent comme jamais. Je suis dans ma chambre, j’ouvre mon armoire et je prends mon godemichet. Avant de refaire le chemin inverse, je m’adresse à ma caméra.
Bon, ce qui va suivre n’est pas pour les âmes sensibles !
J’arrive sur la terrasse, je me prends un sein dans une main et déjà je me tire le téton fortement. Il me fait un peu mal, mais j’adore ça. Je décide de m’installer sur le transat que Ben avait tout à l’heure et sur lequel il s’était branlé. J’espère qu’un peu de sa semence est resté sur la partie où je pose mon cul de chienne en chaleur. À une quinzaine de mètres de moi, je vois que Nathalie est désormais à quatre pattes et elle se fait défoncer le cul par le gourdin d’Olivier. Mon excitation grandit. Je me caresse sans pitié mes nichons que je malaxe fortement tout en tirant mes pointes extrêmement durcies. J’adorerais me les lécher, mais seul le bout de ma langue arrive à les atteindre. Je décide de m’occuper de ma chatte brûlante maintenant. Je suis semi-allongée dans mon transat et j’écarte à fond mes cuisses en relevant même les pieds en l’air. J’ai la chance d’être très souple et je vois très bien ma chatte que j’ouvre avec mes doigts. Je tire sur mes grandes lèvres au maximum que je peux. La sentir ainsi offerte à ma vue m’excite tellement que je vois ma mouille dégouliner le long de mes petites lèvres. Avec deux doigts, j’en prends une et tire dessus. Elle garde ainsi un peu plus de sa longueur et ce surplus de peau pendouille maintenant. Ça me fait une chatte d’actrice porno. Je découvre mon clito. Je tire sur mon petit capuchon et fais apparaître mon tout petit gland. Je laisse couler un filet de bave directement dessus et avec deux autres doigts, je le titille doucement puis plus rapidement. Je sens maintenant qu’il durcit, il me renvoie directement des secousses de plaisir intense et ma cyprine continue de dégouliner de plus belle. Je porte mes doigts qui en sont imbibés à ma bouche et je me délecte de mes fluides. Je sens l’odeur de ma chatte en chaleur qui en demande davantage, alors je prends mon godemichet qui est posé juste à côté du trépied de ma caméra que j’ai posée sur une mini table basse en rotin, juste devant moi.
Pour ceux qui voulaient me voir jouir, vous allez être servis !
Ma caméra est idéalement positionnée pour me voir entière et de face. Me sentir ainsi offerte à la vue de tous me motive encore plus. Il sera encore temps de changer d’avis lorsque je ferais le montage vidéo.
J’allume mon gode en position vibrante et je le pose directement sur mon clito. Mon Dieu, la sensation est immédiate. Je passe le gland en plastique le long de ma fente afin de l’en imprégner et je me l’enfonce au plus profond que je puisse. Je sens qu’il est au fond et ses vibrations me font trembler les jambes que j’ai laissées en l’air. Je le ressors et je le présente désormais devant mon petit trou qui est inondé de mon jus. Je me l’introduis avec difficulté, car mon petit trou ne l’a pas accueilli depuis plus de deux semaines. La sensation est différente, mais j’adore surtout cette impression de m’infliger une pénétration interdite.
Cette fois, j’ai trop envie alors je repositionne le gland sur mon clito. Je sais qu’il ne faudra pas longtemps pour que je me lâche. C’est le mot parfait, car pour la première fois, je ressens comme une envie de pisser, mais je lâche prise. Tant pis si je pisse maintenant, car la sensation de plaisir est sans commune mesure. Soudain, un long jet transparent jaillit de ma chatte et arrose les dalles romaines de la piscine. Je ne comprends pas tout de suite ce que je viens de faire qu’un nouveau jet se projette à son tour. La sensation est sublime alors je recommence encore une fois. Je laisse tomber mon gode sans faire exprès alors je me frotte le clito avec mes doigts de façon très vigoureuse. Ça n’arrête pas de jaillir. MON DIEU ! Je me saoule de ce que je ressens. Je tapote même sur ma chatte en ébullition et je m’introduis trois puis quatre doigts dans la chatte totalement ouverte tout en regardant la caméra.
Je n’arrête pas de gémir, jamais je ne me suis fait jouir de la sorte. J’arrête tout de façon subite, car mon corps vient de me crier « STOP ! ».
Je reste inerte sur mon transat, totalement épuisée et incapable de me lever. Je ne supporte même plus de toucher mon corps qui est en overdose de sensibilité. J’ai juste assez de force pour couper la caméra et je m’affale sur le transat que j’ai pu mettre en position couchée. Je crois que je me suis endormie peu après.
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Le lendemain matin, Ben se réveille doucement. Il repense à la soirée de la veille et il se trouve dans une humeur qu’il a du mal à qualifier. Il se sent comme libéré d’un poids énorme. Jamais il n’aurait pensé se libérer comme il l’a fait en présence d’une étrangère, mais pas n’importe laquelle ! Emma est une nana vraiment extra et elle avait su le comprendre. Allongé nu au-dessus de ses draps, il tourne la tête vers la chambre de sa voisine, mais constate que son lit est vide. Huit heures quarante-cinq est affiché sur le radio réveil qui est posé tout là-bas sur la table de son chevet. « Sans doute s’est-elle levée pour aller pisser », se dit-il lorsqu’il entend quelqu’un monter l’escalier. Il reste ainsi, allongé sur le côté, faisant face à sa porte.
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Je prends soin de monter l’escalier sans faire de bruit, mais une marche grince subitement. « MERDE ! », articulé-je seulement, sans bruit. Je tiens mon gode dans une main et j’arrive en haut de l’escalier. Mon esprit divague encore tellement mon plaisir de la veille était intense. Je me sens poisseuse, je ne sens pas très bon et je ne veux surtout pas que Ben me voie dans cet état de délabrement avancé.
En haut de l’escalier, je tourne la tête sur la gauche et je vois Ben, allongé sur son lit, qui me regarde. Je me sens bête et définitivement trahie, car il voit forcément ce que je tiens dans ma main.
Je vois que son pénis est mou et il est posé sur son matelas tellement il est long. Dessous, ses couilles semblent être lourdes, molles et surtout pesantes, car je me souviens bien qu’il se les ait vidées hier soir. « Mais quel dommage d’avoir autant de poil tout autour ! », me dis-je.
Il se recule un peu de façon à me laisser un peu de place. Je pose une fesse sur le bord de son lit. J’espère que mon odeur de chienne ne l’offusquera pas trop.
Je radoucis mon ton, car je l’ai un peu agressé.
Ben me jette un regard interrogateur, il n’a pas compris.
Là, il me défie du regard.
Dans la salle de bain, je lui demande de rester debout. Je pose ma caméra sur le plan vasque, je l’oriente comme je pense le mieux pour ce qui va suivre, puis je fouille dans les affaires de Ben. Je prends son rasoir électrique doté d’un côté tondeuse, je me mets à genou devant son sexe mou puis je regarde Ben droit dans les yeux avec un sourire malicieux.
Avec la tondeuse, je commence à débroussailler son pubis broussailleux, puis je fais le plus gros autour des couilles qui pendent lourdement, tels deux gros sacs de billes à moitié remplis.
Je lui attrape le pénis avec mes doigts par sa moitié et le bascule tantôt à droite, tantôt à gauche pour avoir un meilleur angle. Il est tout flasque et il se replie sur lui-même comme une baguette de pain bien trop molle. Ben ne bande pas et il se laisse faire. Il faut dire qu’il est ma merci, comme sous le rasoir aiguisé d’un barbier… Un geste et il sera castré, ce serait dommage !
Sans délicatesse aucune, je secoue la bombe et je m’en verse une grosse noix sur le bout de mes doigts. Là, je l’applique sur son pubis puis j’en mets une bonne dose sur ses boules. J’attrape le rasoir à main qui est posé sur le plan vasque et je me concentre, prête à attaquer le rasage.
Je m’applique et je passe délicatement le rasoir triple lames sur tout le pubis, puis sur le pourtour des couilles. Le pénis, jusqu’alors au repos, se redresse peu à peu par secousses.
Mon visage ne se trouve qu’à quelques centimètres de son gros baraquin, et de là, il est vraiment impressionnant. Après l’avoir bien analysé, je ne suis pas certaine qu’il rentrerait dans ma chatte ou alors avec difficulté. Je chasse cette idée saugrenue et je continue à passer le rasoir. Lorsque je passe sur les boules, ce n’est pas facile, car elles me roulent dans les doigts. Maintenant, son machin est au garde-à-vous.
Après une bonne demi-heure, j’ai terminé et je rince mon travail avec le pommeau de douche, puis j’essuie le tout avec une serviette à main, la sensation de peloter son sexe en entier est vraiment amusante. Je me recule et je contemple mon travail.
Avec mon œil aiguisé de professionnelle, je rapproche mon visage à quelques centimètres du gland qui me nargue afin de déceler un éventuel poil rebelle, mais je ne vois rien. Je suis certaine qu’il a cru que j’allais le sucer et cela m’amuse d’autant plus, car là, il est raide dingue.
Je me retrouve seule dans la salle de bain. Je me regarde dans le miroir et je ne me reconnais pas. En l’espace d’une journée, je suis devenue une aguicheuse, une dévergondée et une alcoolique. Je passe mon godemichet sous l’eau et là je constate la rougeur du pourtour de ma fente. « Purée, tu n’y es pas allé de main morte hier soir ! », me dis-je. « Il va falloir que tu te calmes un peu, ma vieille ! »
Mais mon subconscient sait pertinemment qu’au contraire, je meurs d’envie de continuer.
La journée se passe en famille et en toute nudité. Ben m’a montré le bout de leur long terrain sur lequel, dans le champ d’à côté, les chevaux du voisin broutent paisiblement. Quel plaisir de marcher totalement nue dans ce gazon coupé de près et de ressentir l’air me caresser la peau ! Et Ben, avec sa belle queue qui se dandine librement. Je suis vraiment heureuse et, face caméra, j’exprime les vertus de rester nue ainsi.
Sur le retour, alors qu’il me raconte une anecdote sur un cerf qui était venu montrer sa tête un peu plus loin sur sa droite, je me fige. Ben s’arrête lui aussi.
Mais je le regarde lui, pas vers la forêt ni ailleurs.
Je vois bien que Ben ne comprend rien et sans qu’il pût exprimer quelque chose d’autre, je m’agenouille devant sa queue qui pend mollement. Je pose ma caméra sur le côté, heureusement, elle a l’air d’être stable dans l’herbe courte, et je fais glisser le bout de ma langue le long de son frein sous son gland. En même temps, je lui malaxe les boules qui ont gonflé et durci depuis sa dernière branlette de la veille au soir. Je sens que sa bite s’allonge dans ma bouche, je ne peux en mettre que la moitié tellement elle est longue.
Elle a un bon goût par rapport aux quelques queues que j’ai eu l’occasion de goûter dans ma vie. Celle-là est moins âcre et moins amère que les autres. Elle a même un goût agréable qui ressemble à de l’anis. Avec une main, je l’astique rapidement pendant que je tapote le gland contre ma langue. Avec une autre main, je doigte ma chatte qui est toute dégoulinante, et cela, vous l’aviez deviné. Vous commencez à bien me connaître, c’est bien.
Allongée les cuisses écartées, les pieds en l’air, je m’offre totalement à lui. Il se couche sur moi, mais je le repousse.
Il ne se fait pas prier, car une chatte, il n’en a jamais goûté. Je l’aide en écartant moi-même mes grandes lèvres. Il s’applique, ne fait pas tout à fait ce que j’espère, mais se faire bouffer de la sorte par un puceau est vraiment jouissif. « Il va falloir que je lui apprenne à lécher des chattes à ce puceau », me dis-je.
Il m’a léchée, doigtée et caressée. Il est temps pour lui de tremper son bout dans mon pot de confiture. La pénétration est difficile et maladroite, mais après quelques essais, il est dans le mille. Je gémis de douleur, mais aussi de plaisir. Son engin me remplit même mieux que mon godemichet. Ce jeune puceau se débrouille très bien après tout et il est très endurant, car ses coups de boutoirs sont secs et intenses. Je sens qu’il tape au fond à chaque coup. « Cette queue est un cadeau du Ciel », me dis-je, car je ne vais pas tenir bien longtemps.
Cela fait plus de vingt minutes qu’il me besogne et j’ai déjà joui à deux reprises. Ma chatte est en feu. Le voilà qui rechange de position pour la quatrième fois. Je me retrouve de nouveau en levrette… cette position, j’adore, car il peut attraper mes nichons qui ballottent. Ils se secouent dans tous les sens et je gémis de plus belle. « Mais quand va-t-il finir par jouir lui aussi ? »
Cette annonce me déclenche comme un déclic, car je veux être la première à goûter à sa semence. Je me remets à genou devant lui et c’est lui qui se branle désormais. Je le laisse faire et je sens que je vais le regretter, car rapidement, le mastodonte turgescent me gicle des jets de gelée blanchâtre épaisse et visqueuse. Les jets se succèdent par saccades à tel point que mon visage en est totalement recouvert. J’ai fini par refermer ma bouche tellement cela dégouline. Je lèche les babines et je découvre le goût de sa semence légèrement anisé. Décidément, j’aime bien ce goût alors je rouvre la bouche pour en avoir davantage. Pendant ce temps, j’ai continué à me doigter avec trois doigts dans ma chatte qui émet des flocs caractéristiques et des bruits de pets vaginaux. Ça faisait longtemps que ça ne s’était pas produit chez moi. Je suis sur le point de jouir une troisième fois, mais là, je ressens les mêmes sensations intenses que la veille au soir sur mon transat. « Ce serait la honte qu’il me voit en train de gicler, mais d’un autre côté, j’en ai tellement envie ! »
Je me laisse tomber sur le dos dans l’herbe et tout en gardant mes trois doigts en moi, j’écarte les cuisses en quasi grand écart. Ben se retrouve à genou et plonge sa tête entre mes cuisses. C’est à ce moment-là que je retire mes doigts. Le troisième coup de langue est le bon puisque la sensation de pipi arrive et je finis par gicler un jet puissant de cyprine dans un gémissement proche du cri.
Au même moment, une famille de biches qui passe non loin dans la forêt s’arrête net, surprise par un cri strident qui ressemble à celui d’une bête blessée.
Je gis dans l’herbe, les jambes et les bras en croix. Mon corps porte les stigmates de la bataille qui vient de m’anéantir. Après de longues minutes à reprendre mes esprits, Ben, tel un valeureux gentleman, son épée à la main, m’aide à me relever. Le pauvre est lui aussi le visage imbibé de mes sécrétions vaginales.
Lorsqu’Olivier et Nathalie, qui se baignaient gentiment pendant nos ébats, nous voient nous approcher, Nathalie est inquiète à mon sujet, car elle voit que je suis totalement épuisée et que je marche avec les cuisses un peu écartées.
Alors que je me dirige vers la douche extérieure à quelques mètres de là, et me retourne vers Ben.
Sous la douche, nous nous rinçons mutuellement. Lui, il passe ses mains baladeuses tantôt sur mes nichons, tantôt sur mon cul, en prenant bien soin de passer à l’intérieur de ma raie.
Il se met accroupi, prenant bien soin de me rincer la chatte. J’adore quand un mec s’occupe bien de moi. Lorsqu’il se relève, c’est moi qui m’occupe de lui. Après son visage, je descends progressivement et je termine par son canon à foutre qui m’a tant donné de plaisir. Étant donné qu’il est désormais vidé, ses lourdes balloches pendent désespérément.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Il ne faut pas plus de cinq secondes pour que la queue se redresse de nouveau.
Avec Nathalie qui est sortie de la piscine, nous nous installons sur nos transats, Olivier, lui, s’affaire dans la maison. Je choisis de m’asseoir en tailleur, exhibant ma chatoune qui se repose, et je pose ma caméra presque devant moi. Décidément, mes abonnés en auront pour leur argent, car jamais je n’aurais montré ma chatte aussi souvent que dans cette vidéo.
Ben est installé tout à côté de moi, sa poutre restée tendue. Je ne sais pas comment il fait pour repartir aussi vite. Gentiment, j’ai envie de poser ma main droite sur ses boules afin de les caresser et jouer avec. Je continue mon argumentation, mais je constate par l’attitude de Nathalie que cette dernière ne semble pas être convaincue ni même concernée.
À la fin de soirée, comme la veille, je termine le montage de ma vidéo sur mon lit et je constate qu’elle est vraiment très érotique pour le coup. « Y a presque que du cul et de la baise aujourd’hui. », je me demande si cette vidéo d’immersion sera vraiment viable quand, subitement, une lumière me vient dans mon esprit.
Ben, allongé sur son lit, est quasiment sur le point de s’endormir et sursaute. Je le vois.
Pendant plus d’une heure, je cherche, je clique, j’ouvre de nouvelles fenêtres puis je finis par trouver les deux sites internet que je cherchais. Le premier, Jacquie et Michel TV, site érotique français très célèbre, et le deuxième, un magasin de sous-vêtements plutôt orientés gay à Lyon. Sans attendre, et prenant cette initiative pour moi seule, j’envoie un email à chaque site en postant sur chacun d’eux, photos et vidéos des performances de Ben. Pour le magasin de sous-vêtements notamment, j’ai pris soin de faire une capture d’écran lorsque Ben m’avait accueilli lors de mon arrivée dans son shorty taille basse. Shorty que justement ce magasin vend déjà, car j’ai vérifié la marque.
Fière de mon travail, je coupe l’ordinateur et je laisse le destin faire son œuvre. Je finis par m’endormir, le corps encore passablement meurtri.
Fin de la première partie…