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n° 22228Fiche technique25146 caractères25146
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Temps de lecture estimé : 19 mn
11/01/24
Résumé:  Emma est désormais en couple avec Ben. Elle est convaincue qu’il possède un potentiel énorme et elle va prendre quelques initiatives pour le lancer dans une nouvelle voie.
Critères:  fh ffh jeunes grossexe hépilé fépilée exhib nudisme vidéox -videox
Auteur : lapinlapine            Envoi mini-message

Série : Immersion en mode hippie

Chapitre 02 / 02
Immersion en mode hippie 2

Résumé de l’épisode précédent :

Emma est arrivée dans cette famille qui vit à la façon hippie. Rapidement, elle s’est adaptée et prend même beaucoup de plaisir.




Nous sommes le lundi 25 juillet 2016. Je me réveille doucement, je m’étire. Le temps est passé à une vitesse ! Il ne me reste plus que cinq jours avant que je reparte chez moi à Nice. À côté de moi, Ben dort encore. Il est sur le dos, il ne me regarde pas puisque sa tête est tournée face à la fenêtre. Il a encore fait chaud cette nuit. « Satanée canicule qui persiste depuis plus d’un mois maintenant », me dis-je.


J’emmerge peu à peu de ma belle nuit et je repasse dans ma tête le film de mon immersion dans cette famille adepte de la mouvance hippie. Des images se matérialisent comme des flashs et je me souviens qu’au début, lors de mon arrivée dans cette maison, je me considérais plutôt comme une fille sage et assez pudique. Désormais, je souris à l’idée que depuis trois semaines, je ne porte plus aucun vêtement. Bon, évidemment, je suis allé accompagner à plusieurs reprises Nathalie, la mère de famille, au super marché, et il a bien fallu s’habiller, mais symboliquement, car j’ai osé rester sans sous-vêtements sous ma tenue.


Maintenant que j’y pense, pour rien au monde je ne voudrais remettre des vêtements. En tout cas ici, car chez moi, à Nice, ce sera plus compliqué étant donné que je vis encore chez mes parents. Ils ne comprendraient pas. Je compte bien profiter de ces derniers jours qui me restent ici. Tout à mes pensées, j’ai posé ma main droite sur mon sein gauche, juste comme ça, pour sentir sa chaleur, apprécier la douceur de la peau de mon mamelon, la dureté de mon téton que je m’amuse à tordre sous mes doigts. Mon sein est souple et son volume est un peu plus gros que ma main. Je le soupèse, il pèse un certain poids, je trouve ! Puis je le malaxe gentiment en le palpant tout en me regardant dans le miroir devant moi.


À côté de moi, Ben respire dans un rythme régulier et je vois sa bite molle toute recourbée sagement posée dans l’intérieur de sa cuisse droite. Ça y est, je commence à avoir des idées coquines qui me viennent. En prenant mes précautions afin de ne pas le réveiller, je me tourne sur le côté en restant allongée afin de lui faire face. Je ne vois pas mieux, alors je me redresse lentement en appui sur un coude afin d’avoir une meilleure vision. Je suis tombée amoureuse de ce sexe depuis le premier jour. Ben est mignon et super gentil, mais c’est surtout pour le sexe que je suis avec lui. Sa verge est épaisse et assez allongée malgré son état de repos. J’aperçois ses couilles que j’ai vidées par nos ébats de la veille, car elles pendent lourdement dessous.


Il se réveille peu à peu, tourne sa tête vers moi et il me sourit.



Je hoche la tête, puis je décide de changer de position. Je pose ma tête sur le haut de sa cuisse et je me retrouve en travers du lit, mes pieds se retrouvant au-dehors. Gentiment, nous restons ainsi à évoquer ce que nous pourrions faire aujourd’hui. Ben me caresse les cheveux, c’est très agréable et ça me donne la chair de poule.


Ben aime ces moments de douceur avec moi. Dire qu’il y a trois semaines, il était encore puceau et là, il couche avec moi. Dans la nouvelle position où je me suis mise, il peut désormais poser sa main droite sur mon sein gauche. Il l’a posée juste comme ça, bien sagement. Mes nichons, il les adore. Mes cheveux lui chatouillent le gland qui reste décalotté quasiment en permanence du fait de la taille de son pénis. Ces chatouilles, ça le fait réagir, je le sens bien. Je prends rapidement conscience que si sa bite continue à se tendre elle finira par venir en contact contre ma tête. Cette pensée accentue mon excitation, car je mouille déjà pas mal. Après quelques secondes, la bite a parcouru le chemin restant, car je la sens qu’elle est désormais en appui contre ma tête. Je pivote alors sur le côté, faisant face à l’énorme queue tendue.



Sans attendre sa réponse, je n’ai qu’à avancer mon visage un petit peu pour rentrer en contact avec le gland contre ma bouche. Je lui fais quelques bisous tendres puis je lui donne des coups de langue sur le méat d’où une goutte de sécrétion pré-éjaculatoire perle. Je prends maintenant à pleine main son énorme queue par sa moitié et alterne les phases de succions et de tapotages du gland sur ma langue, ça, j’adore !



Ce matin, je veux simplement m’occuper de lui, je prendrais mon plaisir juste en me doigtant et c’est ce que je fais. Mes cuisses sont écartées et j’ai trois doigts dans la chatte. Pendant ce temps, la main de Ben me titille mes tétons durcis alors j’accentue mes va-et-vient qui deviennent de plus en plus rapides sur sa queue aussi dure que du bambou. À force de l’astiquer avec une grande vigueur, et je connais son extrême endurance, Ben émet enfin un râle. Sa semence jaillit et se projette sur mon visage par saccades. J’adore le goût de son jus et alors que je le suce avec gourmandise, je me fais jouir au même moment.



Ben reste un moment à reprendre ses esprits. Vider trente centilitres de sperme, ça fatigue un peu et ça vous ramollit les couilles.


Je suis dans la salle de bain et je viens de me prendre une douche rapide. Alors que je suis assise sur le rebord de la baignoire, les cuisses écartées à me passer mon rasoir BIC sur mon pubis, Ben tapote à la porte restée grande ouverte. Il n’y a plus aucune gêne entre nous depuis longtemps.



Je le vois qui se tord dans tous les sens avec son machin qui pendouille mollement alors j’ai pitié de lui.



Je crois que c’est la première fois que je vois un mec pisser en vrai. Son tuyau est pratique, car étant bien long, il peut parfaitement viser le milieu des WC. Je suis impressionnée par le débit que ce truc est capable de produire.


En fin de matinée, je suis restée sur un transat, les jambes positionnées de part et d’autre avec mon ordinateur portable posé devant moi. Comme d’habitude, ma caméra me filme et je fais mes petites interventions afin d’animer ma vidéo. « Voyons un peu les commentaires de mes chers abonnés sur la dernière vidéo. Bon, en gros, vous aimez toujours. Certains me traitent de pute, je suis habituée et, vous savez, ce n’est pas très gentil de dire ça ! Ce n’est pas bien élevé ! », dis-je en regardant la caméra.


Puis je consulte mes mails et là je me fige lorsque je vois l’émetteur du message. Je clique dessus et je lis rapidement.



Ben arrive d’un pas rapide avec la queue molle qui balance lourdement.



Forcément, il n’y a pas de place sur le transat alors il reste debout à côté de moi et il doit se pencher en avant. Il plisse les yeux pour tenter de lire.



Ben n’est pas très convaincu qu’il puisse devenir un acteur de cinéma célèbre, il me l’avoue, mais après tout, c’est bien moi l’experte ! Je connais mon affaire ! Lui, il fera ce qu’on lui dit de faire alors…


Je suis toute guillerette et je cours annoncer la nouvelle à Olivier et Nathalie lorsqu’ils reviennent de courses. Je sautille sur place comme les guerriers Massaï et rapidement, je sens que mes nichons sont en train de rebondir. Je sautille tellement qu’ils claquent en se heurtant.



Le ton que j’emploie à ce moment-là est définitif. Lorsque je monte à l’étage en suivant Ben, j’entends Nathalie soupirer lorsqu’elle voit que je dandine mes fesses de façon un peu exagérée.

En fin de soirée, une fois la table débarrassée, je suis encore stressée et inquiète au sujet de Ben.



Dans le lit que nous partageons depuis le quatrième jour de mon arrivée, alternant le sien ou le mien, je ne cesse de passer mes doigts partout sur le sexe de Ben. Je veux m’assurer qu’il est parfaitement lisse et j’ai été clair avec lui.



Le lendemain matin, nous sommes fins prés. J’ai enfilé une robe légère sans mettre de soutien-gorge, car de toute façon je n’en porte plus, et un string en dentelle blanc. Ben, lui, a été habillé entièrement par Nathalie et moi. Bermuda bleu foncé, chemisette blanche parfaitement repassée. Avant de monter dans la voiture de Nathalie qu’elle nous a prêtée, je m’adresse à ma caméra.


Bien, nous voilà prêts pour partir à Paris. Nous sommes attendus dans les studios du site « Jacquie et Michel » où Ben va faire un essai. Croisons les doigts pour que cela se passe bien !


Nous avons trouvé l’adresse, nous nous sommes garés et nous voici dans le hall du petit immeuble qui était indiqué dans le mail. Nous sommes au milieu de Paris, dans un immeuble Haussmannien. Nous montons jusqu’au troisième étage par l’ascenseur, puis porte de gauche, je sonne.



L’homme qui nous a ouvert semble avoir une bonne quarantaine d’années. Il nous invite à entrer dans le salon dans lequel se trouve une table avec quatre chaises, une télévision murale et un grand canapé en cuir noir. Je reconnais ce décor que j’ai déjà vu dans certains films fait par eux. Nous nous installons et l’homme nous explique ce qui va se passer.



Nous écoutons en acquiesçant.



Certes, le scénario n’est pas écrit par Spielberg, mais nous écoutons avec attention les explications. Je me demande alors où je serais à ce moment-là.



Malgré mon refus, il poursuit.



Je réfléchis, et après tout, montrer mon cul dans une caméra, c’est pourtant bien ce que je fais depuis plus de trois semaines, alors… je hoche la tête.



Afin de suivre l’action, je rejoins les deux assistants cachés dans la cuisine qui dispose de la vitre sans teint. Ben fait mine de regarder la télé qui diffuse un match enregistré. Il tient une bière dans la main.


« DRING DRING ! »


Il se lève dans la même tenue qu’il porte depuis son arrivée et ouvre la porte. Sonia est une très jolie brunette aux cheveux courts, elle porte une tenue de factrice, en l’occurrence un pantalon noir et un polo avec le symbole de la poste sur le haut de la poitrine. Je la trouve jolie et j’estime qu’elle doit avoir dans les vingt-cinq ou vingt-six ans.



Ben l’invite à s’installer sur une chaise tandis qu’il prend le stylo. Il signe rapidement le papier et lui propose un verre d’eau fraîche.



Sur l’écran retour que je vois dans la cuisine, la caméra s’approche et elle fixe le regard de Sonia qui ensuite se pose devant la braguette bombée du bermuda de Ben. Sonia se mordille la lèvre. Ben réalise un geste adéquat et asperge le polo de Sonia. La caméra filme les seins libres sous le polo, parfaitement moulés par le polo trempé.



Sonia fait mine de bougonner et de lui reprocher qu’elle va être en retard sur le reste de sa tournée.



La caméra filme de près ses gros nichons ronds dont les pointes sont visibles.


Elle joue une grimace et elle retire son polo. La caméra filme en gros plan les deux seins bien ronds et fermes, tels deux beaux melons bien mûrs. Les aréoles sont de couleur marron, et les tétons pointus comme deux tétines. Je ne suis pas certaine qu’ils soient naturels, mais ils sont jolis.



Sonia pose ses deux mains dessus et les soupèse elle-même.



Ben invite Sonia à s’installer dans le canapé. Là, tout à côté d’elle, il plonge sa tête dans le sillon de ses seins généreux. Il caresse son corps puis alors qu’elle se relève, il lui déboutonne le pantalon qu’elle porte. Elle se retrouve en string ficelle. Elle se penche en avant afin de poser le pantalon sur une chaise en accentuant son geste. La caméra filme sa croupe en gros plan qui dévoile l’intérieur du cul magnifique. Le string a été volontairement décalé sur le côté, ce qui dévoile une grande lèvre. « La salope ! » me dis-je à moi-même.


Sonia se retourne et déshabille Ben avec des gestes sensuels. Lorsqu’il se retrouve en shorty en lycra, Sonia ne peut camoufler sa surprise qui est réelle.



Le cameraman écarquille les yeux dans son objectif, ainsi que toute l’équipe qui reste bouche bée devant le spectacle. Tous attendent le moment où Sonia baissera le shorty. Ils espèrent seulement qu’elle ne se prendra pas un coup malencontreux dans le visage quand il la libérera, car je vois bien que Ben bande comme un âne là-dessous.


La queue se détend d’un coup et se redresse droit en l’air. Elle est énorme et pesante. Les boules dessous sont aussi rondes que deux belles mandarines juteuses.


Sonia se met à genou devant lui et le suce avec une gourmandise qu’elle ne simule pas. Au même moment, je fais mon apparition et je rentre dans la pièce par la porte principale.



Ben me sourit et me tend sa main.



Je termine ma petite comédie improvisée et je m’exécute. Je me déshabille. Me voilà entièrement nue devant la caméra de Jacquie et Michel. Si mes parents tombent un jour sur ce qui va suivre, je suis morte.


À genou à côté de Sonia, nous le suçons ensemble. Moi gobant les boules dures, elle s’occupant de la queue. Ben repousse Sonia qui s’affale sur le dos dans le canapé en cuir noir. Il plonge sa tête entre les cuisses et lèche sa chatte totalement rasée. Il se débrouille bien mieux maintenant que je lui ai appris. Je me suis mise à genou au-dessus de la tête de Sonia pour qu’elle me lèche ma chatte. Je me malaxe les seins en même temps et c’est une vraie partie à trois qui se joue là.


Ben vient de s’introduire dans le vagin de Sonia qui a hurlé de douleur et de plaisir. Il la besogne avec vigueur, ses gros nichons dansent en rythme.



J’encourage la factrice qui désormais tire sur mes tétons.



Ben et elle, s’embrassent à pleine bouche, la vue depuis la caméra doit être sensuelle et je suis un peu jalouse.


Sonia change de position et se met à quatre pattes. De ce fait, c’est moi qui me retrouve allongée avec ma chatte juste au-dessous du visage de Sonia. Cette dernière me doigte puis me lèche en regardant la caméra. Elle a saisi mes deux seins et les palpes généreusement. Déjà, ma peau rougie peu à peu tellement mon corps est sollicité et martyrisé.


Ben chevauche Sonia avec violence. Cette dernière ne peut réprimer des râles de plaisir et de surprise.



On entend le cul de Sonia claquer bruyamment contre lui et ses seins n’ont sans doute jamais été autant secoués de la sorte. Il n’arrête pas le rythme bien au contraire, il accélère et je sais ce qu’elle peut ressentir à cet instant et je lui souhaite beaucoup de courage pour ce qui risque de suivre. Elle va mourir à force d’avoir été trop baisée.


Derrière sa caméra, l’homme bande comme jamais et se trifouille la braguette, tandis que derrière la vitre sans teint, les deux ingénieurs du son et de l’image se branlent avec frénésie.


Arrive la scène finale au plus grand soulagement de Sonia qui a joui déjà deux fois. Nous sommes désormais assises l’une à côté de l’autre sur le canapé en cuir et attendons de façon imminente la délivrance de Ben. Il se branle devant le visage de Sonia qui attend la livraison de foutre la bouche ouverte et la langue tendue. Elle ne va pas être déçue. Ben gémit et gicle de longs jets de foutre chaud sur le visage de Sonia. Il vise sa langue, se décale sur le côté et fait de même avec moi qui lui souris de plaisir. Il revient terminer son travail sur le visage de Sonia qui est méconnaissable. Son visage est imbibé de sperme.


Toute l’équipe reprend son souffle dans la pièce ainsi que dans celle de derrière. Une odeur pestilentielle de sexe et de transpiration demeure. Il ne faudra pas moins de quatre jours les fenêtres grandes ouvertes pour que l’odeur parte.


Lorsque tout le monde se rhabille, l’homme fait le point.



Ben me regarde. C’est comme s’il ne pouvait rien décider sans moi. Évidemment, je hoche la tête avec un large sourire.



Lorsque nous sommes de retour à la maison, la première chose que nous faisons est de nous déshabiller. Enfin à poil, quel sentiment de liberté !



Ben est monté dans la salle de bain afin de prendre une bonne douche salvatrice pendant que Nathalie et moi sommes installées dans le méli-mélo de coussins sur la terrasse, totalement nues bien évidemment. Nathalie remarque comme j’ai gardé les stigmates de notre partie de sexe.



Je me laisse faire, car cette caresse est très agréable.



Je sèche une larme qui coule sur ma joue. Cette famille me touche vraiment et l’idée que je vais devoir les quitter très bientôt me fend le cœur.


Ça y est, c’est mon dernier jour. Ceux qui viennent de passer ont été l’occasion pour moi de prendre une décision qui ne m’a pas plu du tout. Afin de me protéger et aussi de me projeter, je me suis détachée de plus en plus de Ben en prétextant que je ne me sentais pas très bien. De mon point de vue, cela ne constitue pas un mensonge, car mon cœur se brise à chaque minute qui passe ici et j’avoue que ma libido en prend un sérieux coup. Je ne veux pas souffrir davantage et c’est ma façon à moi de lui faire comprendre que nous n’avons pas d’avenir ensemble. Ma vie va reprendre son cours à Nice, et du fait de la distance qui nous sépare, je n’arrive pas à concevoir une relation à distance.


Malgré tout, je suis restée la même que durant ce mois qui vient de passer. Je prends encore aujourd’hui plaisir à rester à poil auprès d’eux, mais je m’éclipse dans ma chambre dès que je sens que quelque chose peut déraper. Ben comprend mon attitude aujourd’hui et cela est très difficile pour lui et je sens son cœur vraiment meurtri. Je déteste faire du mal aux personnes que j’aime et c’est le danger de ce genre d’immersion longue durée. Je saurais m’en souvenir.


Juste avant de descendre rejoindre ma petite famille d’adoption qui m’attend en bas, je prends l’enveloppe dans une main et ma caméra dans l’autre qui filme toujours depuis le début de matinée. Je prends une grande inspiration, la même que lorsque j’ai dû pour la première fois me présenter nue devant eux, et je descends l’escalier.


En bas, tous les trois m’attendent alignés devant la porte d’entrée. Ils sont tous habillés pour l’occasion, comme pour boucler la boucle. Nathalie a enfilé le même paréo que pour mon premier jour et Ben, son petit shorty. Cela me fait remonter tant de bons souvenirs. Nathalie est la première à me tendre ses bras et elle m’enlace fermement. Elle me susurre dans l’oreille.



Puis elle me fait un bisou sur la joue que je n’oublierais pas.


Vient le tour de Ben. Là, c’est plus difficile, car il pleure à chaudes larmes. Le voir ainsi me touche vraiment et je sens que j’ai moi aussi une accumulation de larmes sur le point de tomber sur mes joues. Je le prends dans mes bras.



Je me détache et me rapproche d’Olivier qui m’attend afin de prendre sa voiture. C’est alors que je tends l’enveloppe à Ben.



Et je m’en vais.


Ben est resté figé sur place sans pouvoir bouger durant de nombreuses minutes. Après avoir séché ses larmes, il regarde la mystérieuse enveloppe et décide de l’ouvrir. Nathalie, curieuse, se trouve à côté de lui.


Mail de Jacquie et Michel imprimé ce matin :


Mon cher Ben COCK,


Nous aimerions t’engager comme acteur dans un projet de série de petits films pornographiques que nous programmons sur les deux prochaines années. Nous sommes convaincus que tu as un réel talent, car ton essai de l’autre jour a vraiment été plus que concluant. Nous envisageons de te donner une rémunération attractive basée sur un fixe de …… € + un pourcentage sur les ventes et vues de tes réalisations. Crois-moi, c’est la première fois que nous proposons un tel contrat à un acteur.


En espérant que tu acceptes notre proposition, nous t’attendons la semaine prochaine dans nos studios que tu connais désormais.


Signé : J et M