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Temps de lecture estimé : 24 mn
18/01/24
Présentation:  Turbulences, éloignements et retrouvailles dans un cadre et un environnement gastronomique.
Résumé:  Turbulences, éloignements et retrouvailles dans un cadre et un environnement gastronomique.
Critères:  dispute restau extracon vengeance
Auteur : Briard      Envoi mini-message

Série : La bonne étoile

Chapitre 01 / 03
La bonne étoile_1

Cette histoire est une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes, des lieux et des phénomènes existants ne peut être que fortuite…


Cette nouvelle est la seconde sur le thème « Vengeance féminine ».


Partie 1





Dorine était une bonne pâte. Depuis l’enfance, elle avait toujours soutenu ou aidé quelqu’un. Aînée d’une famille de sept enfants, elle avait secondé sa mère dans les tâches ménagères et, très tôt, contribué à l’éducation de ses frères et sœurs.


Des garçons, elle n’en avait pas trop connu. Ado, elle était boutonneuse et un peu boulotte. Assez souvent, quand le sujet des flirts était abordé, elle se faisait moquer par ses camarades, et notamment par Déborah qui, elle, collectionnait les petits copains.


A partir de la première, elle suivit un régime sévère et perdit jusqu’à vingt-trois kilos.

Sa silhouette s’affina, ses jambes se fuselèrent et ses joues se creusèrent au point de la rendre plus qu’attirante pour les jeunes garçons de son entourage.


Mais les années de disette amoureuse l’avaient affranchie vis à vis des hommes et elle acquit rapidement la réputation d’être une forteresse imprenable.

Pourtant, son apparence physique s’était considérablement améliorée aux yeux des radars aiguisés des gars du voisinage.

Elle avait désormais une silhouette élancée, soulignée par de beaux et longs cheveux châtain clair, des yeux bleus, à la lentille charron, entourée d’un cercle indigo et de longs cils courbés.


Elle avait gardé de ses années de surpoids une poitrine opulente qui, en dehors de son joli regard, attirait immédiatement les yeux.

Ses yeux et sa poitrine étaient ses atouts, et auraient pu en faire une femme fatale, mais sa conduite, toujours en retrait et sur la réserve quant aux hommes, les faisait se détourner d’elle.

L’un d’entre eux, pourtant timide, presque effacé, faisant tout de même partie de la bande des caïds du lycée, avait osé l’inviter à la surboum de fin d’année de seconde.


Jérémy était un garçon réservé.

Enfant, il était peu développé physiquement au point que ses copains de la bande l’avaient surnommé le porteur d’eau, en rapport au milieu cycliste dans lequel les moins doués se chargeaient de ravitailler en bidons les autres coureurs de l’équipe.

Dorine, il l’aimait bien, parce qu’elle était différente des autres filles de son âge.

Elle n’était pas prétentieuse, pas hautaine et, surtout, elle ne courrait pas les garçons.

Il aimait lui parler le soir alors qu’ils rentraient du lycée.

Voisins, ils avaient grandi ensemble, en se regardant de loin puis, en se rapprochant à l’ébauche de l’adolescence.


Ils avaient une passion commune, la cuisine.

Ils parlaient de recettes, d’ingrédients pendant des heures, ne voyant pas le temps passer.

Depuis la sixième, ils avaient pris l’habitude de s’attendre à la sortie des cours, pour rentrer ensemble et pour échanger sur tous les sujets liés, de près ou de loin, à la gastronomie.


Timide avec les filles, il avait imaginé lui demander de l’accompagner à la surboum, mais n’en avait pas eu le cran.

Sans réel espoir, il avait bravé les railleries des leaders du groupe et avait pris son courage à deux mains pour inviter le glaçon, comme on la surnommait.


Ses parents l’avaient inscrit au club de natation alors qu’il était en cinquième.

Il n’était pas particulièrement doué, mais le médecin de famille les avait convaincus que ce serait bon pour son développement physique.

Cela se confirma car, après trois années à fréquenter le bassin olympique de sa commune, il avait pris des épaules, supprimé son petit bidon, acquis un tour de cuisse remarquable et, surtout, pris quinze bons centimètres et avoisinait ainsi, à quinze ans, le bon mètre quatre-vingt.


Son statut avait d’ailleurs changé auprès de ses camarades.

Il était respecté, plus jamais moqué, voir même, envié par certains.

Au sein du lycée également, le regard des autres avait changé.


Il arrivait que des filles se retournent sur son passage et que les garçons baissent les yeux quand leur regard croisait le sien.

Mais, il avait tellement vécu d’années de mise en retrait et de manque de confiance en lui, qu’il était sans doute le seul à ne pas l’avoir remarqué.


C’est donc tout tremblant et un peu gauche qu’il s’était approché de Dorine.

Elle venait à la surboum pour la première fois et ne s’attendait pas à être invitée par quelqu’un.



Sa franchise et son côté gauche l’attendrirent et elle accepta.

Sitôt dans ses bras, les effluves de son parfum l’envahirent.



Elle huma profondément le cou du garçon.



Ils s’étaient trouvés. Ils passèrent la soirée, collés l’un à l’autre, sans prendre conscience, ni du temps, ni des autres personnes, si bien qu’il était bien plus de minuit quand la proviseure du lycée vint leur signifier qu’ils étaient les derniers participants et qu’il était temps de rentrer.


Il l’avait raccompagnée jusque chez elle. Ils avaient marché tranquillement, tout en continuant de parler cuisine.

Elle se sentait bien avec lui, elle aurait pu rester en sa compagnie toute la nuit tant il lui semblait qu’ils étaient en phase, et partageait la même passion.



Elle s’était arrêtée de marcher et le regardait fixement.



Ils s’étaient remis à marcher et arrivèrent bientôt devant chez elle.



Bien trop timide pour oser l’embrasser, il lui fit la bise et parti tout penaud, regrettant de ne pas avoir eu le courage de la prendre dans ses bras.


De son côté, elle avait apprécié avoir passé du temps avec lui.

Elle avait vite compris qu’il était réservé, mais cela n’avait pas d’importance tant elle s’était sentie bien auprès de lui.

L’année scolaire s’acheva et elle posa sa candidature pour le lycée professionnel Guillaume Tirel à Paris, le lycée hôtelier de La Rochelle et le lycée Hyacinthe Friant de Pligny.


Elle fut admise dans les trois et choisit le Tirel, car il était le plus célèbre et dispensait le bac pro restauration le plus recherché.

De son côté, Jérémy fut admis à la Rochelle.

Ils se promirent de garder le contact car leur amitié avait pris de l’importance et ils n’envisageaient pas de perdre cette complicité qui leur tenait tant à cœur.


Au cours de sa première année à Paris, Dorine retrouva William, dit Willy, le caïd et tombeur du lycée d’où ils venaient et qui était à l’origine du surnom que sa bande de copains lui avaient donné.

William était un très séduisant garçon, grand, brun, au yeux vert absinthe, aux épaules larges forgées par une pratique de la musculation dès son plus jeune âge.

Dans l’établissement précédent qu’ils avaient fréquenté, il avait la réputation de tomber les filles comme des mouches.


Ils ne s’étaient jamais trop parlé, aussi fût-elle surprise quand elle le reconnu et le vit s’avancer vers elle tout sourire.



Dorine s’installa donc chez William et prit rapidement ses marques.

Elle se rendit compte que, finalement, quand il n’était pas avec ses stupides camarades, il pouvait être un garçon charmant et intéressant.

Il faisait sa part du travail à la maison et semblait étudier avec beaucoup de sérieux.

Il lui demandait même régulièrement des nouvelles de Jérémy.


Souvent, le soir, il lui faisait une tisane et lui proposait de se coucher pendant qu’il faisait la vaisselle.

Leur relation prenait une tournure des plus amicales et elle avait changé son regard sur lui.

Un soir d’orage où il était sorti, il la trouva, en rentrant, recroquevillée sur le canapé de la salle à manger et toute tremblante.



Il vint s’assoir près d’elle.



Les éclairs se multipliaient éclairant le salon comme en plein jour.

Les grondements faisaient trembler les murs. Elle se pelotonna contre lui.



Il la prit dans ses bras.



Elle s’accrochait à lui comme à une bouée.

Il lui caressa les cheveux.



Elle leva les yeux vers lui.



Il lui prit le menton entre ses doigts.

Leurs visages s’étaient rapprochés et leurs lèvres se frôlaient.



Il n’eut qu’à avancer légèrement pour que leurs bouches se collent.

Elle ne se refusa pas au baiser, et entrouvrit même sa bouche quand elle sentit la langue de son colocataire s’insérer entre ses lèvres.

Elle se mit à tournoyer autour de la sienne et, ensemble, elles entamèrent un ballet endiablé.

Elle enroula ses bras autour de son cou et se donna à fond dans ce premier baiser.

Elle garda les yeux ouverts jusqu’à ce que leurs visages s’éloignent légèrement.



Il l’embrassa de nouveau et, de nouveau, elle accepta le baiser.

L’orage grondait et, à chaque coup de tonnerre, elle se serrait davantage contre lui.

Il la souleva dans ses bras et la porta dans sa chambre où il la déposa délicatement sur le lit.

Tout en continuant de l’embrasser, il lui retira sa chemise de nuit.

Il se recula et la regarda lui apparaître complétement nue.



Il se déshabilla rapidement et se présenta à elle, le sexe déjà dressé et fier.

Il s’installa entre ses jambes et approcha son pénis de ses grandes lèvres.

Elle le saisit pour le stopper dans sa pénétration.



Il poussa et s’introduisit jusqu’à la barrière de son hymen.

Il la regarda droit dans les yeux et donna un fort coup de hanche, défonçant plus que perçant le fragile opercule.



Il cessa tout mouvement, le temps qu’elle s’habitue à sa présence.

Il était comme dans un écrin et la sentait tout autour de son sexe.



Il commença à aller et venir en elle et elle l’encercla de ses bras.

Elle logea sa tête dans le creux de son cou pour ne plus voir son regard d’homme conquérant et satisfait de tenir sa proie.

Les coups de reins s’accélérèrent et elle commença à ressentir ses premières ondes de plaisir.



Il donna plus d’ampleur à ses mouvements et plus de rythme.

Elle se mit à gémir plus fort et à haleter.



Il augmenta la cadence qui devint trop rapide pour elle.



Mais il ne l’écouta pas et parti au galop, lui donnant de grands coups de butoir.

Elle sentit qu’il ne tiendrait plus très longtemps et essaya de recentrer ses sensations sur cette tige qui allait et venait en elle.

Il ralentit l’allure, tout près du terme de sa chevauchée.

Cette baisse de régime redonna à Dorine toutes les sensations qu’elle avait eue au début du rapport et elle recommença à gémir.



Mais il avait trop présumé de son excitation et il se ficha en elle pour lâcher sa première salve de sperme.

Elle le serra dans ses bras et le laissa profiter de son plaisir.

Elle s’en voulait au fond d’elle, d’avoir cédé aussi facilement, mais surtout, d’avoir donné sa fleur sans vraiment en avoir eu le désir.



Une semaine après avoir passé la nuit dans les bras de William, Dorine reçu un appel de Jérémy.



Il y eut un long silence.

Dorine était mal à l’aise et attendait qu’il parle le premier, mais rien ne venait.

Il lui semblait pourtant l’entendre respirer à l’autre bout du fil.

Ce silence était pesant, trop pesant pour elle.



Ce silence était insupportable pour elle.

Il fallait qu’il lui parle, qu’il lui dise quelque chose.



Il avait raccroché. Elle resta de longues minutes à regarder bêtement son téléphone, comme s’il allait sonner de nouveau.

Mais rien ne vint et cela l’angoissa.

Elle composa frénétiquement le numéro de Jérémy et tomba sur sa boîte vocale.

Elle recommença plusieurs fois et tomba à chaque fois sur la messagerie.

Au bout de dix appels, elle posa son mobile sur la table basse et s’assit sur le canapé.

Elle sentit ses yeux s’embrumer et une première larme couler sur sa joue.

Elle resta là, à pleurer en silence.


C’est recroquevillée sur elle-même que William la trouva en rentrant.



Il s’approcha du divan et posa sa main sur son épaule. Il se pencha pour l’embrasser, mais elle détourna son visage.



Elle senti une chaleur ardente lui monter au visage.



Il se releva.




Cela faisait plusieurs jours que Jérémy n’allait pas bien.

Déborah s’en était rendue compte assez vite car le jeune homme, d’ordinaire souriant et enjoué, avait triste mine et ne parlait que le minimum.

Décidée à percer l’abcès, elle profita d’une pause pour l’approcher.



Il installa ses affaires l’après-midi même et investi l’appartement.

Celui-ci était très coquet.

Les parents de la jeune fille l’avaient acheté à l’époque où l’immobilier sur La Rochelle était encore abordable.

Aujourd’hui, il valait une petite fortune.


Les relations entre les deux étudiants s’améliorèrent considérablement et une certaine complicité naquit entre eux deux.

Jérémy se dit qu’au fond, il avait peut-être jugé un peu prématurément Déborah et qu’elle n’était pas aussi égocentrique qu’il l’avait pensé.

Elle sortait avec son copain William depuis pas mal de temps et leur couple semblait tenir la route.

Elle était donc loin des clichés de garce qu’il s’était figuré.


Elle était pourtant une enfant gâtée.

Des parents patrons.

Le père dirigeant d’un bar-restaurant réputé et la mère, patronne d’une entreprise de négoce du vin, tous les deux installés sur Bordeaux.

Elle avait passé son enfance dans une demeure bourgeoise de Pessac, bien à l’abri du besoin. Née tardivement dans l’histoire du couple de ses parents qui l’avait eue à la quarantaine entamée, elle s’apprêtait à prendre la relève de son père qui, fatigué, n’attendait qu’une chose, c’est qu’elle fût diplômée pour lui confier les rênes de l’établissement.


Superbe jeune fille, blonde comme les blés, tenant sa mine et son teint clair de sa mère, suédoise d’origine, elle avait un regard qui vous hypnotisait dès le premier coup d’œil avec des yeux noisette cerclés d’un trait d’or fin du plus bel effet.

Deux légères fossettes entouraient une bouche mince, aux lèvres fines et ourlées et un menton en olive accentuait des joues creusées et un visage au plus beau minois qui soit.

Elle avait une poitrine avenante et de longues et minces jambes surmontées d’un fessier joliment arrondi.

Elle était une beauté fatale et, pour le malheur de la plupart des garçons, le savait.

Elle avait un don inné pour capter l’attention en secouant légèrement la tête et en balançant sa chevelure, la faisant tournoyer et passer devant ses yeux.

Elle savait ce qu’elle voulait : réussir.

Réussir à tout prix.

Le fonds de commerce de son père était pour elle le point de départ de son ascension vers les sommets.

Elle ne voulait pas la gloire, non, elle voulait devenir quelqu’un.

Quelqu’un de respecté, voire de craint.


Sa relation avec William lui convenait parfaitement.

Il était brut de décoffrage, un peu rustre et assez peu cultivé, mais cela faisait son affaire.

Elle aimait la force, la puissance, la rugosité chez un homme.

Avec Willy, elle était servie.

Elle aimait que son compagnon soit séduisant, même irrésistible, que les femmes le lui envient. Elle adorait, par-dessus tout, avoir le sentiment qu’elle tenait les rênes et être le centre des regards et des convoitises.

Au lycée, elle était la reine et elle comptait bien le devenir à La Rochelle.


Après avoir fait les courses, elle appela William en Face Time.



Tout à coup une Dorine enroulée dans une serviette de bain apparut dans le champ de vision de Déborah.

Visiblement, elle sortait de la salle de bain et venait d’entrer dans la chambre de William.



Elle mit fin à la visio et referma son PC.

Elle se leva d’un bond et fila jusqu’à la chambre de Jérémy.

Elle entra telle une furie.



Il leva des yeux tristes vers elle et haussa lentement les épaules.



Elle s’assit près de lui et passa son bras autour de ses épaules.



Elle se leva et lui prit la main.

Ils s’installèrent dans le coin repas du salon.

Elle déballa les plats qu’elle avait acheté avant de rentrer en les lui énumérant.



Elle remit en température les deux plats principaux et les installa sur un réchauffe plat. Pendant ce temps, il déboucha une des quatre bouteilles de vin qu’elle avait ramenées. Un Moulin à vent, Château des Jacques, grand cru de beaujolais.

Il servit deux verres après avoir dressé la table.

Elle vint s’installer en face de lui, prit son verre et le leva.



Il choqua son verre contre le sien.



Ils mangèrent de bon appétit et burent assez rapidement la première bouteille avec le salmis.

Quand elle servit la tête de veau, il déboucha un Puligny-Montrachet Les Charmes, Domaine Chavy Blanc qu’il servit avec délicatesse.



Ils trinquèrent et avalèrent leur assiette avec gourmandise tout en dégustant le nectar bourguignon.


Quand Deb se leva pour aller chercher le fromage, elle marcha d’une allure pas tout à fait sure.

Il ouvrit un pommard Domaine Billard-Gonnet et le servit dans les deux verres.



Elle ouvrit le Curé Nantais et en coupa deux moitiés.

Elle l’observa pendant qu’il mangeait son fromage.



Elle se leva et vint vers lui.



Il se leva et releva le vêtement.



Elle avait le regard brillant et ne détachait pas ses yeux de la sangle abdominale du jeune homme.

Elle avança une main.



Elle n’attendit pas la réponse et posa sa main sur la peau.

Elle fit des cercles pour bien sentir la fermeté musculaire des abdos.



Elle semblait fascinée par sa musculature et attirée comme un aimant.

Elle remonta ses mains et les plaça sur sa nuque.



Elle se serra contre lui et sentit immédiatement son désir contre son pubis.

Elle donna un léger coup de ventre.



Elle se haussa sur la pointe des pieds et déposa un léger baiser sur ses lèvres.



Elle frotta son nez contre le sien tout en inclinant son visage ce qui fit se frotter leurs lèvres.



Elle ouvrit la bouche et promena sa langue sur ses lèvres puis poussa pour les séparer.

Sa langue vint à la rencontre de la sienne et ils s’embrassèrent furieusement.

Elle se colla contre lui et enroula ses jambes autour de ses hanches.



Il la porta jusqu’à son lit et la coucha sous lui. Tout en l’embrassant, il retira son tee-shirt puis, dans la foulée, son pantalon et son slip.

Elle glissa une main entre eux et saisit son sexe dressé.



Elle se glissa sous lui et le prit dans sa bouche, l’aspirant jusqu’au fond de sa gorge.



Elle imposa un rythme lent pour mieux le faire aller profondément.

Il grimaça et se concentra pour ne pas se laisser aller à la caresse tout en appréciant le savoir-faire de la jeune fille.

Il la saisit par les aisselles et la remonta à son niveau.

Il se pencha et goba un sein, s’amusant à en agacer la pointe avec la langue.

Il caressa l’autre et se mit à pincer le bout entre deux doigts.

Elle empauma sa verge et la branla frénétiquement.

Elle écarta les cuisses et le guida jusqu’à sa vulve.



Il s’enfonça avec délice en elle et resta planté au fond de son puits d’amour.



Il entama ses aller-retours avec force et profondeur la faisant immédiatement gémir.

Elle émettait un petit cri à chaque fois qu’il s’enfonçait en elle.



Elle le saisit aux hanches et accompagna ses coups de boutoirs comme pour mieux l’enfoncer en elle.

Il donnait de puissants coups de bassin et ahanait bruyamment.

Elle l’encouragea en donnant de la voix.



Il accéléra et elle se mit à crier de façon continue.



Il plaça ses mains sous ses fesses et donna les derniers coups presque avec rage.

Elle éclata en jouissant dans une longue plainte.



Il s’affaissa de tout son poids sur elle, suant à grosses gouttes, repu.

Elle lui caressa le front.