n° 22310 | Fiche technique | 25203 caractères | 25203 4458 Temps de lecture estimé : 18 mn |
10/03/24 |
Résumé: Mes envies de sexe après la frustration du matin et le fait que Mélanie doive attendre la fin de l’après-midi pour que sa sœur vienne la chercher nous procurent un moment de sexe intense à trois. | ||||
Critères: ffh couplus grosseins poilu(e)s douche fmast cunnilingu pénétratio fdanus échange -totalsexe | ||||
Auteur : maelys Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Offertes par nos compagnons Chapitre 03 / 03 | FIN de la série |
Résumé des épisodes précédents :
Mon chéri organise mon partage avec un libertin, les yeux bandés. L’inconnu n’est pas le libertin qu’il prétendait être Nous nous en apercevons lorsque son épouse se rend chez nous pour la pareille. Cette dernière s’est vengée d’une bien belle façon.
Une fois Mélanie sortie de la douche, Marc lui succède.
Elle me rejoint dans la cuisine. Compte tenu des circonstances, je l’invite à partager notre repas, ce qu’elle accepte.
Elle passe ensuite un appel téléphonique à sa sœur chez laquelle elle souhaite dormir au moins ce soir. Notre maison est la sienne dans l’attente que sa sœur vienne la chercher en fin d’après-midi, puisqu’elle est sans véhicule.
Nous devisons tandis que je nous prépare ce repas improvisé.
Elle est très touchée par l’authenticité de notre couple, situation qu’il semblait avoir connue lors de sa rencontre avec son futur mari.
Elle regrette le tournant de la cinquantaine. Les enfants sont partis vivre leur vie loin du cocon familial. Son mari a changé, ne semblant plus se satisfaire d’elle. Le rythme de leurs relations sexuelles s’est accru. Loin le temps où ils baisaient chaque jour. Ce fut une fois par semaine, puis une fois par mois, puis plus du tout. Il est vrai qu’elle est moins svelte, moins attirante sans doute, mais ce qui a changé c’est surtout le temps que peut désormais passer son mari sur le Net, en prétendant travailler sur des dossiers professionnels. Elle n’est pas dupe et son mari a peu à peu choisi le sexe virtuel avec des femmes plus jeunes, plus désirables que des relations réelles avec une véritable femme.
Marc nous rejoint vêtu d’un short et d’un t-shirt puis nous passons à table. Mélanie est curieuse de notre histoire, de la mienne en particulier. J’évoque mes années étudiantes qui m’ont donné ce goût immodéré pour le sexe, ma vie en couple avec un homme devenu jaloux puis ma rencontre avec Marc avec lequel je suis totalement en phase, distinguant tous les deux le sexe et l’amour ou l’attachement.
Le fait d’évoquer tous ces épisodes de ma vie et les souvenirs qui vont avec contribuent à fortement m’exciter, toute frustrée que je suis de ma matinée à observer en me restreignant dans mon plaisir, la présence inopportune du mari m’ayant obligé à me contenir.
Mes seins durcissent sous mon chemisier et mes tétons pointent visiblement n’ayant pas remis mon soutien-gorge. Je me sens mouiller sous ma petite jupe. Marc me connaît bien et perçoit tous ces signes physiques.
Il n’est pas étonné de m’entendre dire à Mélanie :
« J’ai vraiment envie que l’on s’occupe de moi. J’ai été quelque peu délaissée ce matin. Tu peux regarder la télé ou faire ce que tu souhaites, mais si tu en as envie, tu peux venir nous mater, la porte de notre chambre est ouverte !
C’est moi qui prends mon compagnon par la main et qui l’entraîne dans la chambre.
Je suis en manque depuis ce matin et impatiente de faire l’objet de l’attention de Marc. Je le tire vers le lit et nous nous allongeons côte à côte.
Mélanie s’assied sur une chaise à côté du lit.
Je suis affamée et je déboutonne le short de Marc et glisse ma main pour tâter le terrain. Je ne suis pas déçue par la virilité du membre qui me donne tant de plaisir. Il n’est pas en reste et déboutonne quelques boutons de mon chemisier pour palper mes seins aux tétons déjà tout tendus. Je jette un œil sur Mélanie qui a glissé la main sous la robe et qui se caresse la moule par-dessus son slip de dentelle. Je mouille beaucoup et rapidement. Le fait que l’on m’observe y contribue. J’adore cela, qu’il s’agisse d’un homme ou d’une femme. Sentir le regard sur mes atouts fait toujours grimper en flèche mon excitation.
Je suis depuis toujours exhibitionniste. D’aussi loin que je me souvienne depuis que le sexe a de l’intérêt pour moi, je me sens pleine d’envie quand je m’aperçois que l’on jette un œil sur mes cuisses, que l’on tente de découvrir ce que l’on peut voir sous ma jupe ou quand on cherche à deviner l’anatomie de mes seins ou mes fesses sous mes vêtements. Le moment que je préfère lors d’une première fois avec un amant, c’est celui où il découvre ce qui se cache entre mes cuisses quand je les écarte. J’aime ce regard brillant de convoitise au moment de prendre connaissance de cet ultime objet du désir masculin, celui où ce regard traduit le régal de savoir que le mâle qui sommeille ou pas va accéder avec ses doigts, sa bouche et son membre à ma vulve. Ce plaisir visible procuré par ce geste d’abandon ou plutôt d’offrande, je prends du plaisir à ressentir celui de l’autre.
J’ai donc envie que Mélanie voie mes seins, même s’ils sont moins impressionnants que les siens et que mon homme me dit les trouver fabuleux.
Je retire rapidement mon chemisier pour laisser libre cours aux caresses de Marc et montrer à Mélanie ma poitrine durcie par le désir d’être investie.
Mon compagnon investit tout de suite ma poitrine et suce comme une gourmandise mes tétons gonflés. Il passe sa main dans ma culotte et me doigte. J’écarte les cuisses et sa bouche remplace ses doigts après avoir retiré avidement ma petite culotte. Je branle sa longue queue avant de l’emboucher.
Mélanie quitte sa culotte et nous laisse voir sa jolie toison avant de se toucher
Il est temps de me mettre à l’aise pour donner une belle fellation à Marc, allongé sur le lit et jambes écartées. Il a envie que je m’occupe de lui. Je lui lèche les testicules et passe ma langue sur sa verge dressée. Mélanie n’en perd pas une miette et je lui fais un petit signe de la main afin qu’elle nous rejoigne.
Elle retire sa robe, ne gardant pour tout habit son soutien-gorge. Elle se place à côté du lit et sa langue vient se joindre à la mienne pour parcourir la verge de Marc qui apprécie à en juger par les tressaillements de sa verge.
Nos langues se touchent parfois notamment quand elles se croisent. J’apprécie ces contacts et Mélanie s’en amuse, voire les provoque.
Nos langues se mêlent sur le gland de Marc
Mélanie semble affamée et embouche le sexe de Marc et je me concentre sur ses testicules que je lèche, placée entre ses cuisses. Je la laisse ensuite empoigner sa verge et pomper Marc, me touchant en les regardant faire. Marc se retient d’éjaculer avec beaucoup de mal à en juger par ses mimiques.
Penchée au-dessus de sa queue, ses seins sont prisonniers de son soutien-gorge.
Les gros seins sont le péché mignon de Marc. Il dégrafe le dernier rempart à la nudité complète de Mélanie et lui caresse le dos.
Il met fin à la fellation de Mélanie et se redresse. Sans un mot, il l’embrasse, l’entoure de ses bras et l’allonge sur le dos. Tout en se penchant sur elle, il lui pétrit les seins en prolongeant son baiser. La toison blonde de Mélanie m’attire et j’ai envie d’aller l’explorer. Laissant les deux amants câliner, je me place entre les jambes de la belle et lui caresse le pubis. Je ne sais si elle est prête à accepter qu’une femme s’occupe de son plaisir.
Je suis plutôt hétérosexuelle dans mes goûts, mais j’aime néanmoins me faire lutiner par une femme ou lui donner du plaisir.
Mélanie écarte les cuisses. J’ai ma réponse. J’embrasse l’intérieur de ses cuisses en parcourant de mon index ses grandes lèvres sur toute leur longueur, laissant s’ouvrir sa douce fleur, déjà luisante. Je m’inspire de ce que j’aime pour lui donner du plaisir. Des caresses des grandes lèvres que je tire légèrement entre pouces et index. J’évite son clitoris, prends de sa mouille et saisis chacune de ses petites lèvres tandis que Marc se régale de ses seins dont il saisit parfois les tétons. Je sens que le moment est venu d’introduire mes doigts dans son vagin rendu béant par l’ouverture de ses cuisses qu’elle a accentuée. Je la fouille patiemment, attentive à ses réactions pour déterminer les zones les plus propices à son plaisir (messieurs, il n’y a pas de cartographie exacte dans le domaine et les variations méritent d’être étudiées).
Mélanie aime être doigtée profondément sur sa partie postérieure. Elle doit apprécier la sodomie, même si je ne suis pas certaine qu’elle y ait déjà goûté. Son vestibule est très sensible, même si c’est assez une généralité.
Je la doigte donc et je sens son plaisir monter à sa respiration et à ses yeux qu’elle a fermés. C’est le moment que je choisis pour titiller son clitoris sur la longueur de son capuchon que je stimule d’un doigt, voyant apparaître et disparaître son bouton rose et je la fais exploser de plaisir quand je le maintiens décalotté et que je lui adresse de petits coups de langue dessus. Sa mouille a un goût plus prononcé que la mienne (Marc est intarissable sur le goût des chattes. Parfois, il me fait rire, employant quasiment des termes d’œnologues)
Nous lui laissons le temps de se remettre, Marc se contentant de l’embrasser.
J’ai très envie que Marc me prenne, mais la vision de cette femme dans la maturité, étourdie par l’intensité de son orgasme, splendide avec des formes épanouies, ses seins voluptueux, ses hanches larges et sa toison blonde le distraient de mon évidente envie. La sienne est manifeste. Il a envie de pénétration. Il jette son dévolu sur la belle, se saisit de ses jambes qu’il place sur ses épaules, relevant ainsi son bassin pour la prendre par-devant.
Je regarde avec délice la verge de mon compagnon se présenter devant la touffe blonde de Mélanie. Son gland se fraye un passage au travers des poils et investit son vestibule. D’un mouvement de bassin, il la pénètre profondément et arrache un petit cri à la belle. Il sort sa verge et la pénètre totalement plusieurs fois. Je m’allonge à côté de Mélanie. J’écarte les cuisses en grand et Marc qui a bien compris mon besoin me doigte en pénétrant toujours Mélanie.
Les pénétrations profondes de Marc font leur office et la belle est de nouveau anéantie par un nouvel orgasme.
Ma chatte dégouline d’envie et je demande à mon compagnon de s’allonger sur le dos. Je me place au-dessus de lui et je m’assois sur son sexe en me plaçant dos à lui. Mélanie regarde, presque assoupie.
Je fais glisser mon bassin d’avant en arrière et je sens la verge de mon amoureux frotter les parois de ma grotte. C’est tellement bon de se sentir remplie. Je ferme les yeux tellement je suis bien. Je suis presque surprise lorsque je sens une main toucher mon pubis. Mélanie glisse sa main sur mon petit bouton tandis que je bouge toujours sur Marc.
J’aime beaucoup les trios. Il y a la possibilité de se laisser aller à ses envies en pensant à donner du plaisir à chacun de ses deux partenaires, de regarder le plaisir des autres. C’est l’imagination qui est au pouvoir et on n’est jamais dans la monotonie.
Là, c’est moi qui suis au centre des intentions des deux autres. Une verge dans le vagin et un doigt féminin expert sur mon clitoris. Je me caresse les seins et je sens mon plaisir venir.
Mélanie me quitte provisoirement pour aller embrasser Marc. Elle est intéressée par mes fesses et me caresse la croupe. Elle se fait plus curieuse et passe ses doigts entre mes fesses.
J’accélère le rythme des mouvements de mon bassin et le contact d’un doigt sur mon anus finit de déclencher un orgasme que j’attendais depuis ce matin.
Je me retire de Marc et m’allonge à ses côtés. Nous sommes toutes les deux allongées de part et d’autre d’un Marc toujours en pleine érection.
Mélanie n’est toujours pas rassasiée. Elle formule clairement le souhait d’être prise en se plaçant à quatre pattes sur le lit, de dos face à mon compagnon.
Bien cambrée, sa chatte luisante et son vagin partiellement ouvert sont un véritable appel à la pénétration. Son cul rebondi, mais bien ferme, fait autant d’effet à Marc qu’à moi-même. Mon homme se place à genoux derrière elle.
Marc adore la sodomie. Nous parlons souvent de ce que nous aimons en matière de sexe, sans fausse pudeur et parce que parfois nous découvrons avec nos partenaires respectifs des nuances de pratiques qui nous donnent des idées et des envies. Il se retient assez bien pour ne pas éjaculer trop tôt, peut-être trop bien (dixit) et il éprouve parfois des difficultés à parvenir au plaisir quand les galipettes durent trop longtemps. Avec moi, avec d’autres, dans ce cas, il aime se « finir » en pénétration anale. Il faut dire que mon vagin est assez large et il aime l’étroitesse de mon anus pour ressentir sa verge bien serrée et éjaculer.
Comme c’est un gentleman et qu’il sait que la sodomie n’est pas une pratique universelle, voire qu’elle peut être ressentie comme un tabou, il demande toujours à une nouvelle partenaire si elle est d’accord à ce sujet toujours avec tact :
(D’un ton plus détendu, voire humoristique) C’est ce qu’il me reste de ma lointaine virginité.
On va commencer par faire en sorte de te détendre. Je vais juste te caresser… Je te demanderais juste d’écarter un peu plus les cuisses.
Marc caresse le bas du dos de Mélanie, puis les globes de ses fesses pour bientôt s’insinuer entre elles, dans sa raie fessière.
À en juger par les gouttes de cyprine qui perlent sur les poils de sa toison, il n’y a pas de doutes. Mon compagnon passe ses mains entre ses fesses replètes et je vois apparaître sa rose.
Mon amoureux caresse la chatte détrempée de la belle d’une main qui se retrouve enduite de cyprine. Il prend la direction de l’anus de Mélanie. Il caresse ses petits replis.
Mon compagnon continue sa caresse. Il applique son pouce en appuyant de plus en plus. Mélanie est alanguie sur son coussin, les fesses offertes, les jambes totalement relâchées.
Je me touche en observant la coupe de Mélanie, alanguie sur le coussin sur lequel une tache de mouille se dessine. Ça me stimule de voir ces cuisses totalement écartées, cette vulve détrempée, toute gorgée, et surtout cette cyprine qui s’écoule de son vagin béant, ce bouton dardé qui se décalotte tout seul et sa touffe blonde détrempée, preuves de sa totale décontraction.
C’est tellement excitant de voir une femme totalement détendue, qui laisse un accès total aux parties les plus intimes de son corps et goûtant aux caresses que lui prodigue un homme !
C’est avec un gémissement, presque un petit cri, mélange de surprise feinte et de contentement que Mélanie accueille dans son cul l’index de mon compagnon. Il l’insinue doucement jusqu’à ne plus pouvoir aller plus loin et le tourne.
Il sent une résistance au moment d’introduire un deuxième doigt et prend le parti de la doigter du majeur seulement.
Marc fait couler du lubrifiant sur l’anus de Mélanie et en enduit son majeur avant d’entreprendre de la doigter, d’abord très lentement et de plus en plus vite, jusqu’à la faire jouir. Voir de près les contractions de son périnée m’amène au bord de l’orgasme, mais je diffère, car j’ai envie de son membre dans mon cul. Je m’installe donc à côté de Mélanie, dans une position identique et sans qu’il soit besoin de dire quoi que ce soit, mon compagnon doigte brièvement mon cul avant de s’y enfoncer de toute sa longueur et de toute sa puissance. Pour une fois, il ne parviendra pas longtemps à résister (il me confiera que la vue de deux croupes offertes avait eu raison de son contrôle habituel) et lâche sa semence dans mon cul, avant que j’aie eu le temps de jouir. Ce n’est décidément pas ma journée.
Mélanie a repris ses esprits et comme toute femme (même les meilleurs d’entre vous, Messieurs, vous avez souvent un train de retard sur nous) place son visage sur ma chatte, et stimule avec expertise toutes ses parties :
J’écarte bien les cuisses pour lui permettre de bien me lécher. C’est un délice que de sentir sa langue sur mes grandes lèvres et mes nymphes. Bientôt, elle dévore littéralement ma vulve de sa bouche.
Oh oui, continue, bouffe-moi la chatte. C’est divin. Maintenant, suce mon clito.
Je ressens cette délicieuse sensation de succion. Je n’aime pas ça tout de suite, mais quand ma vulve a été bien léchée, cela me fait jouir rapidement et j’emploie souvent un stimulateur clitoridien qui aspire mon bouton pour me terminer.
Elle me tète à la fois avec douceur et insistance, comme seules, nous, les femmes, savons le faire, ressentant nous-mêmes ce que produisent les caresses des autres et je suis secouée de spasmes tant c’est bon.
De fait, nous sommes tous les trois rassasiés de sexe, dans une torpeur que procurent les orgasmes que nous avons ressentis. Nous quittons tout nus notre chambre et allons nous installer dans le canapé, en prenons la précaution d’y déposer un drap de bain de manière à éviter que les fluides de notre torride heure et demie de plaisir le salissent. Ceux qui ont déjà testé savent bien combien il est difficile de se débarrasser d’une tache de sperme ou de cyprine.
Je prépare un thé pour toutes les deux, Mélanie ayant le même goût pour cette boisson et Marc se fait un café.
Mélanie est détendue, un sourire aux lèvres qui m’incite à lui parler franchement.
Elle est enchantée de ces moments de sexe, tant elle était sevrée de toute activité sexuelle depuis plus d’un an.
Si ce n’est le fait que nous soyons nus, nous discutons à bâtons rompus sur tous les sujets.
Nos propos portent bientôt, entre deux gorgées de boisson chaude, sur des sujets intimes. Mélanie souhaite savoir comment ce fut pour moi lors de ma première sodomie, si c’était l’habitude qui me faisait accepter sans broncher une verge de la taille de celle de Marc. Elle fut très intéressée par ma réponse, sincère sur le fait que l’anus se dilate assez bien, moins, il est vrai qu’un vagin et sur le principe que c’était moins la taille du membre que la lubrification et la détente qui importait. Elle me fait part de la découverte du plaisir de pouvoir caresser une autre femme, sa surprise d’aimer lécher une chatte.
La sœur de Mélanie devant la récupérer dans un peu moins d’une heure, il est bientôt question de penser à la douche. En gentleman, Marc nous propose d’aller nous doucher avant lui.
Je suis alors abasourdie par l’initiative de Mélanie, à laquelle je ne m’attendais pas du tout :
Je suis certaine que notre Mélanie savait ce qu’elle faisait. Sans doute l’envie d’une petite gourmandise avant de nous quitter.
Nous entrons dans la douche ensemble et je fais couler l’eau qui arrive rapidement à température. Nous commençons à nous savonner chacune. Marc, qui récupère toujours très vite (outre le fait d’être un compagnon attentif et agréable, c’est vraiment l’amant idéal). Il nous regarde et Mélanie en particulier, ses gros seins notamment, comme s’il cherchait à profiter de la vue une dernière fois, sa croupe, certes charnue, mais bien ferme, et sa toison blonde. C’est Mélanie, la coquine qui me propose de me savonner le dos, ce qu’elle commence à faire avant d’empaumer mes seins dont les tétons se dressent immédiatement, pleins de mousse. Je me laisse faire d’abord, goûtant d’abord la douceur de la caresse et je lui rends la pareille. Ses gros seins sont durcis et ses tétons proéminents deviennent très durs eux aussi. Marc, qui nous observe avec attention, ne reste pas insensible au spectacle et bande comme un âne. Mélanie avec une fausse ingénuité sans ambiguïté s’adresse à lui :
« Ce pauvre garçon est dans un état dans lequel on ne peut le laisser. Qu’en penses-tu, Maelys ?
L’usage de langage précieux nous fait rire tous les trois. Sans se faire plus prier, Marc place une main sur nos deux chattes. Il nous doigte toutes les deux en même temps. Je sens son doigt s’insinuer dans mon vagin avec douceur. Mélanie saisit sa verge et je lui savonne les couilles, le rapprochement nécessaire de nos corps nous contraint à plaquer nos seins durcis contre lui.
Avec ce traitement et malgré sa maîtrise, il ne faut pas longtemps à mon compagnon pour succomber au plaisir de doigter nos chattes et de sentir nos corps si proches. Il éjacule sur les mains de Mélanie. Mes mains plaquées sur ses testicules, je sens les contractions de son périnée.
De fait, mon chéri semble exténué, se rince et sort de la douche. Nos mains remplacent les siennes. Puis c’est le pommeau de douche que je règle comme je le fais habituellement pour me donner du plaisir qui remplace mes doigts. Je stimule d’abord sa vulve en entier avant de concentrer le jet sur son vagin comme je le fais pour moi. Je suis tout excitée de voir cette femme mûre toute à son plaisir réagir à un plaisir d’adolescente découvrant le plaisir que peut procurer son corps. Je sais comment je vais pouvoir la terminer.
Elle s’exécute tandis que je modifie le réglage du pommeau pour concentrer le jet au centre et en augmenter la pression.
Je passe ma main entre ses cuisses et lui titille le clitoris tandis que je dirige le jet sur son vagin tout ouvert. Mélanie respire de plus en plus vite et ne se retient pas pour gémir. Elle est totalement désinhibée. Plus rien à voir avec la Mélanie inquiète et stressée qui nous fut livrée par son goujat de mari.
Avec ce traitement, il ne faut pas longtemps pour qu’elle pousse un râle et que je sente les contractions de son orgasme.
Le temps presse maintenant, et c’est presque en s’excusant qu’elle m’abandonne, sort de la douche et se saisit du drap de bain que j’ai sorti pour elle.
Je la suis de peu et vais me vêtir sagement d’un pantalon et d’un pull en coton. J’ai de gros besoins sexuels et je ne suis pas tout à fait rassasiée, mais je sais que mon amour saura me satisfaire plus tard.
Une sonnerie. Sa sœur, sans doute. Elle nous embrasse et sort de chez nous. Discrètement, nous la regardons monter dans la voiture de sa sœur, une femme un peu plus âgée et plus ronde. La voiture quitte la place de stationnement et c’est fini.
Nous nous retrouvons tous les deux presque abasourdis par l’intensité de cette aventure impromptue que nous avons vécue.
J’avais envie de vivre un fantasme, celui d’être temporairement un objet de désir dont pourrait profiter un inconnu. Je sais que cela peut choquer, mais il est plus facile d’édulcorer des situations classiques en restant dans le cadre de ce qu’il est communément admis comme étant dans la norme que de raconter fidèlement ce que l’on a vécu au risque de révéler sincèrement ce qui relève d’un fantasme que l’on a envie de réaliser.
Effectivement, cela peut être risqué, surtout si l’on n’est pas accompagné comme moi par un amant complice. Je ne le regrette pas et cela nous a permis de rencontrer une femme avec laquelle nous avons partagé un moment bien agréable, tel que nous les aimons, avec pour seul désir que celui de donner du plaisir à l’autre, aux autres.
Je reste néanmoins sur ma faim concernant mon fantasme, car je regrette a posteriori de m’être offerte à ce mari qui n’assume pas ses envies et surtout qui est malhonnête vis-à-vis de son épouse. Je sais pouvoir compter sur mon compagnon pour assouvir cette envie avec un amant inconnu dont il se sera assuré de la sincérité.