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Temps de lecture estimé : 11 mn
24/03/24
corrigé 28/03/24
Résumé:  L’été est propice aux rencontres. Le narrateur fait la rencontre d’une femme à qui il aime rendre service. Celle-ci va le révéler à lui-même.
Critères:  fh fplusag hsoumis fdomine -initiat -dominatio
Auteur : mathou810  (J’aime les récits où les femmes ont le dessus)            Envoi mini-message

Série : Céline et moi

Chapitre 01 / 04
La rencontre

J’ai rencontré Céline l’été de mes vingt-deux ans. Après deux longues années de prépa, je suis venu me détendre dans la grande maison familiale de ma grand-mère, où nous nous retrouvons avec mes nombreux cousins pour profiter de la mer. Céline est une amie trentenaire de ma tante Hélène. J’ai tout de suite été captivé par son regard impénétrable, ses cheveux courts et bruns, et ce sourire en coin vaguement distrait qui lui donne l’impression d’avoir percé certains mystères qui m’échappent. C’est donc tout naturellement que je me suis rendu le plus serviable possible, allant chercher un livre oublié, rapportant un café, bref, en manifestant de petites attentions qui me permettent d’avoir droit à un regard ou un sourire. Tout a commencé le jour où, installée dans un transat, elle m’interpelle :



Trop content d’avoir son attention, je me précipite à la cuisine, lui sers un grand verre d’eau fraîche que je lui apporte. Elle me remercie puis boit le verre d’un trait en me regardant. La voir se désaltérer est extrêmement sensuel.



Et moi qui fixe la goutte qui coule négligemment le long de sa bouche, avant de m’empresser, légèrement confus, de retourner à la cuisine.


À partir de ce moment, elle n’a plus hésité à me demander des petites choses à faire pour mon plus grand plaisir.

Un jour, alors que le vent s’est levé, elle me demande d’aller chercher un pull dans sa chambre.



Je rentre dans sa chambre, où je peux sentir une légère trace de son parfum, et j’ouvre la valise posée à côté du lit. Le pull est bien là, mais quand je le soulève, j’aperçois sa lingerie, et ne peux m’empêcher de prendre en main ses dessous, pour en saisir la texture. Je l’imagine en train de les enfiler et me mets à durcir violemment. Soudainement honteux, je veux tout remettre en place, lorsque je remarque une excroissance sous les bas et les chaussettes. En les soulevant délicatement, j’ai le choc de découvrir un gode double en latex violet. Je suis tellement surpris que je remets tout en place et rapporte le pull à Céline. Elle a dû lire mon embarras, car elle me remercie avec un sourire entendu, et je me dis qu’elle sait exactement ce que j’ai vu. Je l’ai soigneusement évitée le reste de la journée, mais je n’arrête pas de penser au contenu de sa valise, et j’en suis extrêmement excité. Le soir, dans mon lit j’imagine Céline en sous-vêtements, qui se déshabille pour enfiler le gode et je commence une lente masturbation. Soudain, j’entends la porte s’ouvrir. La chambre est dans l’obscurité et sa voix interrompt un silence coupable :



Comment lui expliquer que je suis nu et en érection ?



En me couvrant avec ma couette, je m’approche d’elle, heureux que l’obscurité cache la rougeur de mes joues et cette maudite érection qui ne veut pas me quitter malgré ma honte.



Alors que je me dresse sur la pointe des pieds pour récupérer le roman qu’elle m’indique, tout en essayant de garder la couette sur mes épaules, je sens tout à coup sa main s’emparer de mon sexe et le tenir fermement.



Je deviens rouge pivoine et n’ose la regarder, lâchant la couette, pour comble de mon humiliation. Je suis nu, debout face à elle, qui me tient par la queue comme on tient un chien en laisse, tout en me fixant. Je devine son sourire narquois, mais qui ne semble pourtant pas me juger. Elle n’attend pas ma réponse, qui ne serait d’ailleurs probablement jamais venue :



Et ma voix est presque un murmure.



Elle me lâche tout simplement et s’en va comme si de rien n’était. Inutile de dire que je me suis masturbé frénétiquement jusqu’à exploser en longues saccades sur mon ventre. Mon esprit est en ébullition, à la fois terrifié et excité comme jamais à l’idée de ce qui va se passer le lendemain. Je finis pourtant par m’endormir.


Je me réveille à l’aube, soucieux de préparer le meilleur petit-déjeuner possible. Je presse quelques oranges, prépare des biscottes avec la confiture qui lui plaît, ainsi que du thé et son indispensable nuage de lait. À neuf heures exactement, je frappe à la porte avec mon plateau, et le moins qu’on puisse dire, c’est que je n’en mène pas large.



Elle est étendue sur le lit, nue dans un peignoir éponge blanc.



Je dépose le plateau sur la table de nuit et je reste planté debout sans rien dire. Je regarde ses jambes nues, ainsi que sa gorge. Son grand sourire est captivant. Je fais mine de m’en aller quand elle me dit :



Elle commence son petit-déjeuner par les biscottes qu’elle trempe dans son thé. Elle fait comme si je n’étais pas là et je regarde s’entrouvrir le peignoir alors qu’elle remue pour se servir. Ses jambes se décroisent parfois et je vois presque son sexe. Je n’ai qu’une très faible expérience sexuelle et regarder cette femme dans toute sa sensualité et cette semi-nudité me fait un effet fou. Je bande dans mon pyjama tout en espérant qu’elle ne s’en aperçoive pas. J’essaye de me faire oublier au mieux.



Je deviens instantanément écarlate, et baisse les yeux.



J’ai très bien entendu, mais mon cerveau est complètement paralysé : j’ai envie de faire ce qu’elle me demande, mais ça me paraît complètement inconvenant et jamais je n’ai été ainsi exposé.



Comme un automate, j’enlève maladroitement mon haut de pyjama. Mes joues sont en feu. Lorsque vient le moment d’enlever le bas, je fais glisser lentement mon pantalon qui finit par tomber le long de mes jambes. Son regard brillant me rend fier et honteux à la fois, mais je suis rassuré par le fait qu’elle ne se moque pas. Elle boit lentement son jus d’orange en me regardant négligemment. Son peignoir s’est légèrement entrouvert et je peux admirer la naissance de ses seins fermes. Je suis dans un état second.



Je vais jusqu’à sa valise, l’ouverture de la fermeture éclair vient briser un silence qui me semble très lourd. Je déplace à nouveau ses sous-vêtements pour en extraire le gode dont le contact est très doux. Il est constitué de deux extrémités évoquant des pénis, l’un étant plus petit et plus large, l’autre étant plus long et plus fin. Un bouton incrusté dans le latex permet probablement de le faire vibrer. Je suis nu, devant une femme en peignoir avec un gode double entre les mains et mon sexe se met à palpiter… dur à en être douloureux. Je n’ose pas la regarder et elle rompt une nouvelle fois le silence.



Elle écarte les jambes et j’ai maintenant une vue imprenable sur sa chatte, enveloppée d’une fine toison brune.



Elle introduit deux doigts dans sa bouche, salive dessus puis badigeonne les lèvres de son sexe qu’elle écarte lentement.



Je vais mettre mes doigts à la bouche, mais elle m’interrompt aussitôt.



Elle parle de façon tellement naturelle qu’il ne me vient même pas l’idée de contester. Je me mets à sucer le plus petit membre qui remplit quand même bien ma bouche, sans pouvoir quitter des yeux Céline qui se caresse doucement, allant maintenant chercher dans son sexe le lubrifiant qu’elle étale sur ses lèvres. Je suce le gode en rythme avec ses doigts, salivant au mieux sur toute la surface.



Le peignoir desserré libère un sein dont le téton pointe aussi sûrement que moi. J’approche le gode de son sexe qu’elle écarte d’une main.



Mortifié à l’idée de lui faire mal, je positionne le gode le plus délicatement possible et regarde son sexe l’absorber alors que je l’enfonce lentement en elle, en tenant l’autre extrémité d’une main ferme, jusqu’à ce qu’il semble aspiré en elle.



J’ai devant moi une femme dotée d’un pénis, qui me semble énorme, ainsi que d’une magnifique érection. Cette vision me fait énormément d’effet.



Je m’agenouille sur le lit, et sans aucune hésitation, me mets à sucer le sexe en latex en y mettant la plus grande passion de façon à lui donner le maximum de satisfaction. Je lèche le long de la hampe, salive sur le bout que j’embouche tout en effectuant de longs va-et-vient. Elle m’encourage en silence en plaquant sa main dans mes cheveux et en ondulant de façon à me baiser la bouche. Sentir son désir m’excite énormément. Soudain, elle actionne le bouton et l’ensemble se met à vibrer. Surpris, j’essaye de me dégager, mais elle me maintient en position avec ses mains jusqu’à ce que je m’habitue à cette nouvelle sensation. Elle appuie une nouvelle fois sur le bouton et seule sa partie continue de vibrer, me permettant de la sucer avec encore plus de vigueur. Le bruit des vibrations se mêle au son de ma succion. Je pense continuer ainsi jusqu’à l’emmener à son plaisir, mais elle finit par éteindre l’appareil et repousser ma tête de son sexe.



Elle enlève le gode, se lève et me tire par le sexe pour m’emmener jusqu’à la douche qui est dans la chambre. Une fois arrivée, elle me lâche puis demande :



Toujours en pleine érection, je lui enlève le peignoir et elle entre sous la douche. Je la regarde sans rien dire alors qu’elle rince le gode tandis que l’eau chaude coule sur son corps. Elle finit par me le tendre afin que je le sèche et le range, ce que je fais.



Je pense à une invitation à l’accompagner, mais elle se saisit juste de mon sexe et m’arrête à l’entrée de la douche en m’empoignant les couilles.



Elle se met à me masturber très efficacement, en malaxant mes couilles, puis en insérant son index dans mon anus.



Ses paroles ainsi que son doigt en plus de sa masturbation énergique me font venir rapidement sans que je ne puisse rien y faire. Je ne peux empêcher un cri sonore alors qu’elle récupère mon orgasme dans sa main.



Elle étale mon sperme sur ses seins qu’elle malaxe lentement en me regardant. Je suis vidé, honteux, mais je me sens pourtant fou de gratitude et ressens une sorte de fierté d’avoir été ainsi l’instrument de son plaisir. Je reste debout sans bouger jusqu’à ce qu’elle finisse de se laver sans faire attention à moi, et quand elle sort, c’est tout naturellement que je lui remets son peignoir.



Ne comprenant pas tout à fait sa demande, je m’adosse au coin le plus proche du lit.



Je me retrouve assis par terre, les jambes écartées et la tête posée sur la couette, lorsqu’elle m’enjambe et s’installe sur ma bouche. Elle prend ma nuque dans ses mains et se met à onduler sur moi.



J’ouvre grand la bouche et laisse ma langue bien à plat pour qu’elle puisse venir y frotter son clitoris que je lape puis suce avec avidité. L’odeur de sa chatte me rend animal. J’abandonne ma bouche à son plaisir et la laisse imprimer le rythme qui lui convient. Elle s’active sur moi de plus en plus énergiquement et je me sens heureux de partager son désir que je bois littéralement. J’oublie tout, pour devenir l’instrument de son orgasme, que j’espère accompagner au mieux. Elle finit par jouir dans ma bouche en poussant des grognements rauques et en pressant davantage mon visage en elle. Je gémis de plaisir, car son orgasme est aussi le mien. Je suis en transe.


Elle finit par se dégager et entreprend de se sécher les cheveux.



Sans un mot et sans oser la regarder, je me rhabille puis quitte la chambre. Curieusement, le reste de la journée se déroule de façon tout à fait normale et je retrouve mes cousins pour aller à la plage. Je croise Céline quelques fois, mais elle me regarde exactement comme si rien ne s’était passé, à tel point que je finis par avoir l’impression d’avoir rêvé cette incroyable matinée. Pendant le dîner, pourtant, elle s’adresse à ma mère :



Le clin d’œil qu’elle me fait ensuite est parfaitement innocent aux yeux de tous, mais je sais à ce moment que ma vie va changer…