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Temps de lecture estimé : 16 mn
28/03/24
Présentation:  Ce texte est la suite de mon premier récit, "la rencontre".
Résumé:  L’été étant terminé, le narrateur vient s’installer chez Céline et découvre les joies de la cohabitation.
Critères:  fh hsoumis fdomine soubrette hdanus -dominatio
Auteur : mathou810  (J’aime les récits où les femmes ont le dessus)            Envoi mini-message

Série : Céline et moi

Chapitre 02 / 04
Apprentissage de la cohabitation

C’est la rentrée ! J’arrive à Paris où j’entame une licence. Je quitte pour la première fois le confort tranquille de ma petite ville bretonne, ainsi que ma famille. Pour couronner le tout, je vais habiter chez Céline, une amie de ma tante que j’ai rencontrée cet été et qui m’a initié à des plaisirs qui ont hanté toutes mes nuits depuis. Aujourd’hui, j’emménage chez elle avec un trac énorme, mais aussi beaucoup d’excitation tant je fantasme sur nos retrouvailles. Je me suis tellement masturbé ces jours-ci que mon sexe me brûle. Je rentre les différents digicodes, traverse une petite cour, et monte un escalier exigu pour atteindre le quatrième et dernier étage. J’ai les jambes en coton et une sourde angoisse me tiraille la poitrine. Je sonne et j’entends aussitôt sa voix rieuse :



J’attends fébrilement qu’elle m’ouvre la porte.



Elle commence par me montrer un élégant salon qui donne sur une salle à manger, éclairée par une fenêtre donnant sur la cour, et une cuisine américaine.

La salle de bain est spacieuse avec une douche à l’italienne.



Et elle me précède dans l’escalier en fer qui monte en colimaçon jusqu’à ma chambre, munie d’un grand lit, d’un bureau et d’une armoire, tout ce qu’il me faut.



Et elle disparaît. Je suis à la fois très heureux et un peu déçu, car même si elle a été très chaleureuse, elle m’a semblé inaccessible. L’été est déjà loin.

Céline est cadre dans un grand groupe et elle est donc très occupée. Elle part tôt, rentre souvent assez tard et mange très rarement chez elle. Ma rentrée étant très prenante, on se croise à peine durant le premier mois, ce qui est un peu frustrant, surtout que son odeur dans la maison, et particulièrement dans la salle de bain, a tendance à titiller mon imagination. Pour tenter de communiquer malgré tout, et aussi pour la remercier de m’héberger, je m’efforce de comprendre comment elle fonctionne et essaye de lui faire oublier ma présence au mieux tout en effectuant quelques tâches pour lui faciliter la vie. Je vais chercher le pain et lui prépare le petit-déjeuner, je passe l’aspirateur, nettoie les vitres et prends soin des plantes. Les semaines passent sans plus de contact, jusqu’au jour où je trouve son linge posé en vrac dans la salle de bain. M’enverrait-elle un message ? Je fais tourner une machine, puis le sèche-linge. Je plie soigneusement, ses chemises, ses pantalons, mais aussi sa lingerie, ce qui me rappelle le fameux jour où j’ai découvert son gode. J’hésite à ranger le tout dans sa chambre, mais ça me semble beaucoup trop intrusif, aussi je laisse mon ouvrage sur le sèche-linge. Le lendemain, quand je rentre après une longue journée de cours, j’ai la surprise de découvrir un écran dans ma chambre, accroché au mur, face au lit. Une télécommande est posée sur la table de nuit avec un post-it :


Pour te remercier de toutes ces attentions.


Je ne regarde jamais la télévision et j’utilise plutôt mon portable ou mon téléphone, mais par curiosité j’allume l’écran. Ce qui apparaît alors n’est pas une chaîne de télé, mais un plan fixe qui montre un lit vide. J’attends un peu, mais rien ne se passe. L’écran semble juste branché à une caméra. Serait-ce sa chambre ? Elle ne semble pas être chez elle, aussi je décide de l’attendre en bouquinant. Au bout de deux bonnes heures, je finis par entendre la porte d’entrée s’ouvrir, puis ses pas dans le salon. Après un certain temps, un rai de lumière illumine l’écran et la voilà qui apparaît dans le champ. Elle s’assied sur le lit pour retirer ses bottines en cuir. Elle se masse machinalement les pieds, puis s’allonge sur le lit pour faire glisser son pantalon en repliant ses jambes sur elle. Le geste est très naturel. Elle ignore complètement la présence de la caméra. Je la regarde, médusé, en train d’ouvrir sa chemise puis d’enlever son soutien-gorge. Elle se brosse maintenant les dents en se regardant dans le miroir, qui semble être sous la caméra. Elle est face à moi, en culotte, et je trouve sa silhouette extrêmement sensuelle. Les souvenirs d’elle chevauchant ma bouche me reviennent directement en mémoire et je me retrouve assez vite en caleçon moi aussi. Je bande fort, mais je ne pense même pas à me toucher tellement je suis subjugué par le spectacle. Elle finit par se coucher et se met à lire sur son téléphone, probablement le journal. Quand je vois sa main se glisser sous la couette, La mienne s’empare de mon sexe que je fais lentement coulisser. Je me couche sur le lit et tente de me calquer à son tempo. La couverture semble la gêner et elle finit par la replier sur le côté. Je vois maintenant une de ses jambes, sa main qui est plongée dans sa culotte alors que l’autre semble faire défiler un texte sur son téléphone. C’est au tour de sa culotte de l’encombrer et elle relève le bassin pour la faire glisser sur ses cuisses. Ses doigts jouent avec ses lèvres, plongeant parfois dans sa chatte puis revenant tourner autour de son clitoris. Ses jambes se sont écartées et j’imite sa position. Quand elle enfonce un doigt dans son sexe, je l’enfonce dans mon cul, pour me rapprocher de ses sensations. J’accélère mes caresses en même temps qu’elle. Elle pose son téléphone et empoigne maintenant ses petits seins qui semblent durcir entre ses doigts. Je caresse doucement mon gland en le mouillant parfois avec les sécrétions issues de mes fesses. Je suis tellement excité et en phase avec son plaisir, que je mouille littéralement de l’anus. Je vois maintenant trois de ses doigts s’agiter franchement sur son sexe. De temps à autre, elle resserre ses cuisses pour emprisonner sa main. J’imite sa posture et gémis de même quand je vois sa bouche s’entrouvrir. Je suis au bord de l’orgasme, tout comme elle apparemment, vu la façon qu’elle a de se pincer les tétons, ce que je fais aussi. Lorsque je la sens arriver, je me masturbe sans me retenir, levant le bassin pour accueillir l’onde qui nous submerge. J’explose en me retenant pour ne pas crier. Mon orgasme est si intense que du sperme gicle jusqu’à ma gorge. Je perds complètement pied et je mets un moment avant de retrouver mes sens. Lorsque je regarde l’écran, elle est de nouveau sous la couette et s’est tournée sur le côté. Je m’endors en la regardant s’assoupir.


Autant dire qu’à partir de cette nuit, j’ai redoublé d’efforts dans la maison. La vaisselle est toujours faite, la salle de bain nettoyée et récurée. De son côté, elle me laisse parfois la planche à repasser et me permet donc maintenant de prendre soin des vêtements qu’elle met au boulot. Les semaines passent rapidement et j’ai encore droit à quelques soirées de masturbation synchronisée dont je pense ne jamais me lasser. Je connais maintenant mieux son rythme ainsi que ses goûts. Je sais les jours où elle va apprécier un verre de vin, les soirs où elle ne rentre pas. Je m’insère de mieux en mieux dans sa vie. Un jour alors que je vais ranger son petit-déjeuner, j’aperçois un mot écrit de sa main :


Ce soir, je rentre plus tôt, je dînerai à la maison. Pourrais-tu par hasard me faire un petit dîner ?

Je mangerais bien italien ;-)


La cuisine n’est pas vraiment mon fort, aussi j’opte pour la simplicité : des pâtes avec une sauce à base d’ail, d’huile d’olive ainsi qu’un bon coulis de tomates, le tout agrémenté de parmesan. Pour le dessert, c’est plus facile, car je connais une excellente recette de tiramisu. Je suis tellement excité que j’ai séché les cours de l’après-midi pour avoir le temps de faire les courses et de tout préparer. Je connais maintenant ses heures, aussi je me suis arrangé pour que tout soit prêt quand elle arrive.



Elle entre dans la pièce alors que je finis de mettre la table.



Pendant que je pose mon plat, elle me parle de sa journée comme si de rien n’était. On mange en discutant de mes cours, de mon adaptation à ma nouvelle vie. Elle semble de très bonne humeur et le vin italien que j’ai ramené semble lui convenir. J’apporte fièrement mon dessert préféré, mais lorsque je le pose sur la table elle s’exclame :



Me voilà à quatre pattes sous la table pour récupérer la serviette qui est tombée exactement entre ses pieds. Elle porte une robe assez courte et je suis nez à nez avec ses jambes. Je ne peux m’empêcher de les admirer et j’aimerais avoir le courage de les embrasser. Il faut dire qu’elle ne fait rien pour m’aider, ses jambes étant légèrement écartées et son bassin avancé sur la chaise. En courbant un peu la tête, je pourrais voir sa culotte. C’est alors que je me rends compte qu’elle n’en porte pas. Je reste silencieux, sans oser bouger, et je sens que le moment devient plus qu’embarrassant. Heureusement, elle vient débloquer la situation d’un ton sans équivoque.



Très lentement, je me hisse entre ses cuisses et l’odeur de son sexe me prend de plein fouet. Mes joues s’enflamment d’excitation et je viens humer son parfum alors que j’écarte puis presse ses lèvres comme je l’ai vu faire plusieurs fois.



Je salive sur mes doigts que je positionne à l’entrée de sa chatte. Je les glisse doucement en elle pour récupérer son suc. Son goût m’enivre plus sûrement que le vin et je viens la laper avec gratitude. Ma langue s’étale autour de son clitoris que je fais saillir en écartant, puis en pressant dans ma main le haut de son sexe. Mes lèvres se joignent aux siennes et je la suce en m’appliquant à respecter la cadence qu’elle imprime à son bassin. Parfois, je lèche à toute vitesse avec la pointe de la langue alors que d’autres fois je la plonge profondément dans sa chatte que j’embrasse à pleine bouche. Céline me corrige en pressant ma tête, ou au contraire, en m’écartant en me tirant par les cheveux. Pendant ce temps, je peux l’entendre s’appliquer à déguster le mascarpone. Je me fonds en elle, trop heureux de la sentir dégouliner dans ma bouche.



Elle m’encourage de temps en temps de quelques phrases précises, mais la plupart du temps on entend uniquement le bruit de ma bouche qui la dévore, la cuillère, qui tinte sur son assiette, et le son de sa bouche savourant le tiramisu. Elle repousse soudain la table s’écartant avec sa chaise tout en maintenant ma tête entre ses jambes, ce qui m’oblige à la suivre à quatre pattes. Elle me presse à deux mains en jouissant fort alors que mes lèvres sont vissées à son sexe. Son orgasme vibre à travers moi. Je jouis par procuration. Le temps n’existe plus. Ses tremblements sont une récompense. Elle finit par se détendre et je sens alors qu’il est temps de la laisser tranquille. Je me mets à débarrasser la table et faire la vaisselle pendant qu’elle prend une douche. Elle y est toujours quand je rejoins ma chambre un peu plus tard. Notre relation vient de franchir une nouvelle étape.


Effectivement, au bout de quelques jours, je trouve deux paquets, bien emballés, sur mon bureau. J’ouvre le plus gros, et je tombe sur un vêtement en lin gris sombre avec de longues manches et qui semble s’enfiler comme une robe de coiffeur, sauf qu’ici, la robe est une sorte de jupe qui m’arrive à mi-cuisses et qui ne se referme, par-derrière, que sur la nuque et le bas du dos. Vraisemblablement, il ne faut rien porter dessous et je me mets donc nu avant de l’enfiler. Lorsque je me regarde de face, on dirait que je porte un tablier, sauf que celui-ci recouvre mon sexe de quelques centimètres seulement. Je me sens très exposé. Lorsque je me regarde de dos, mes fesses et une grande partie de mon dos sont entièrement découverts. La découpe biseautée révélant mon dos est extrêmement sexy. Je me sens vulnérable et très sensuel à la fois, l’étoffe assurant une certaine décence tout en mettant à disposition mon sexe ainsi que mes fesses. La vision est agréable, quoiqu’assez troublante, mais pas du tout dégradante. L’autre colis est à peine plus gros qu’un étui à stylo. Lorsque j’ouvre la boîte élégante, je comprends immédiatement qu’il s’agit en fait d’un plug anal. Plutôt fin, noir, en silicone, il possède un embout qui semble avoir été fait sur mesure puisqu’il est constitué d’un portant auquel est cousu un morceau d’étoffe rectangulaire, en lin également. Il y a un cordon de chargement qui suggère que l’objet est vibrant. Curieux, je décide de me l’enfoncer. Je le suce pour bien l’humidifier et le contact avec ma bouche est assez agréable. Je m’allonge ensuite sur le dos et replie les jambes afin de pouvoir le recevoir au mieux. Il entre en moi sans effort et je dois bien reconnaître que même si je dois lutter un peu pour ne pas l’expulser, le contact avec ma prostate diffuse un vrai bien-être. Je me relève afin de me regarder dans le miroir et je constate que cette fois ma tenue est complète. La bande d’étoffe rectangulaire vient habiller mes fesses et me donne une certaine élégance. M’imaginer ainsi exposé à Céline – en plus que de sentir le plug en moi – provoque un début d’érection qui me fait découvrir toute la subtilité de la tenue. Mon sexe en se redressant à moitié est au bord de l’exposition, mais reste couvert par la jupette qui se tend à la manière d’un tutu. Une franche érection le ferait jaillir, provoquant un embarras évident. La honte pourrait sûrement m’aider à contenir mon émoi. Je commence à comprendre ce que Céline attend de moi : elle me souhaite désirable, excité, mais aussi que mon désir soit sous contrôle et ne vienne pas s’imposer à elle. Je sens que je vais devoir apprendre à me retenir tout en étant disponible et l’idée me plaît beaucoup. Ayant envie d’essayer les vibrations, je me rends compte que je ne trouve pas d’interrupteur sur le plug et je me dis que je verrai ça plus tard. Au bout d’un moment, je me déshabille et range mes cadeaux. Déstabilisé par ces nouvelles sensations, je décide de me coucher quand je trouve une lettre pliée en deux sur la table de nuit.


Mon très cher aidant,

J’ai bien observé ces dernières semaines que tu fais des efforts pour m’être agréable, et ceci sans t’imposer.

J’aime beaucoup cet état d’esprit, aussi j’aimerais aller un peu plus loin.

J’ai fait concevoir par une amie styliste une tenue qui t’est dédiée.

Je désire que de temps à autre, au gré de mon plaisir et de nos disponibilités, tu me consacres un peu de temps dans cette tenue.

Je t’indiquerai la veille, quand je te souhaite à ma disposition pour te permettre de t’organiser, et cela n’aura bien sûr pas d’interférence sur tes obligations scolaires.

Par contre, je souhaite que tu me donnes la priorité : une annulation de ta part me décevrait énormément.

Si ma proposition t’intéresse, je souhaite que tu m’accueilles en tenue à partir de dix-neuf heures, demain.

Si tu souhaites en rester là, tu n’as qu’à ignorer ce message et nous n’en reparlerons plus.

Je te laisse réfléchir à tout ça.

Bien à toi,

Céline.


Cette lettre est une révélation. Depuis que j’ai rencontré Céline, j’essaye de me trouver un rôle, mais sans savoir ce qu’elle souhaite. Ce soir, je devine qu’elle veut que je persévère à comprendre comment la satisfaire sans qu’elle ait besoin de me l’expliquer. C’est exactement l’endroit où je veux être. J’ai hâte d’être à demain, mais avant de m’endormir, j’allume l’écran qui donne sur sa chambre et attends patiemment qu’elle rentre se coucher. Mon attente n’est pas vaine, car elle sort le gode double qui m’a fait tellement d’effet pour m’offrir une magnifique masturbation que j’accompagne avec le plug. Je m’endors ensuite d’un sommeil sans rêves, comblé.


Le lendemain, j’ai beaucoup de mal à me concentrer en cours et je pense en permanence à la soirée qui m’attend. Je rentre le plus tôt possible pour avoir le temps d’être impeccable. Je suis lavé, l’appartement est nettoyé de fond en comble et j’ai mis du mimosa sur la table basse du salon, fleur qu’elle apprécie. Je suis nu dans ma tenue de service et le plug irradie en moi lorsque je me déplace. Je suis dans un état d’excitation permanente, mais mon anxiété me rend présentable. Je l’attends debout dans l’entrée. Sa clé s’active soudainement dans la serrure. J’entends ses pas qui se rapprochent, puis s’arrêtent. Elle m’observe un long moment en silence et je n’ose pas la regarder dans les yeux.



Mes joues ont viré au vermillon et je tourne lentement sur moi-même. Je me sens beaucoup plus nu que ce que je ne suis. Je devine sa gourmandise et son regard brillant de désir me remplit de fierté. Je me cambre inconsciemment lorsque je lui dévoile mon dos. Elle s’approche de moi et glisse sa main sous le mince bout de tissus qui masque mes fesses à son regard. Elle me palpe puis me flatte l’entrecuisse. Je me sens durcir à son contact. Je pense à autre chose pour que mon sexe ne jaillisse pas hors de ma tenue et vienne tout gâcher. Elle empoigne mes couilles et me saisit par la queue comme lors de notre premier soir, tout en caressant mon dos du bout des ongles à m’en donner la chair de poule.



Elle me tire par le sexe pour m’emmener jusqu’au canapé. Elle s’assied tout en me faisant tournoyer pour que je sois dos à elle :



Je me penche en lui offrant mes fesses et je ne pense qu’à une chose : ne pas perdre le plug. J’enlève délicatement chaque botte que je vais ranger dans la penderie.



Je sens soudainement celui-ci vibrer tout doucement. La sensation est très forte. Une vague de bien-être et de plaisir subtil m’inonde et je suis affreusement gêné de sentir ce plaisir devant elle.



Les vibrations augmentent en intensité et je ne peux empêcher un soupir de surprise et de plaisir. J’essaye de rester digne, mais j’ai vraiment envie de gémir. Les vibrations s’arrêtent brutalement, me laissant sur ma faim.



Je fais un pas dans sa direction, mais aucune vibration ne vient et je comprends tout de suite qu’elle attend autre chose. Je me dirige alors vers la salle à manger et la douce chaleur résonne à nouveau faiblement. Je continue vers la cuisine et je vibre un peu plus fort. J’ai compris : elle souhaite boire. Je me dirige vers l’armoire à verres et je suis obligé de m’arrêter tant la sensation est forte. Hmmm, que veut-elle boire ? Du vin ? Lorsque je tends mon bras vers les verres à vin, l’intensité diminue. Vodka ! Je me saisis d’un verre à shot en étouffant un petit cri, mais lorsque je reviens vers elle les vibrations s’arrêtent de nouveau. Elle veut qu’on boive tous les deux. La récompense est immédiate et quand je pose les deux verres sur la table, je me sens en chaleur. Seule ma gêne m’empêche d’avoir une érection complète. Je veux maintenant aller chercher la bouteille de Vodka, mais une nouvelle fois la vibration délicieuse s’arrête d’un coup. Je me mets à réfléchir à toute vitesse. Ce système de récompense est redoutablement efficace. Elle veut que je lui serve quelque chose qui ne se trouve pas de la cuisine. A-t-elle une autre réserve quelque part ? Je me fige soudain face à l’intensité de son regard. J’ai compris ce qu’elle désire, mais je suis trop embarrassé pour entreprendre quoi que ce soit.



Cette pointe de déception dans sa voix me décide finalement. En regardant ses jambes qu’elle a décroisées ostensiblement, je glisse ma main sous ma jupe et commence à me masturber pendant que le plug se réveille entre mes fesses. Mon sexe finit par jaillir alors que les vibrations ramollissent mes jambes. J’accélère maintenant pour obtenir plus de puissance, ce qu’elle m’accorde pour mon plus grand plaisir. Je me branle maintenant frénétiquement, car elle ne souhaite pas vraiment attendre. Je suis dans un tel état que je ne mets pas longtemps à venir dans l’un des verres. Je suis obligé d’interrompre mon orgasme pour éviter d’en mettre partout et je me laisse couler en contenant au mieux mes spasmes. Je viens nettoyer les dernières gouttes avec mes doigts. Je répartis ensuite équitablement ma modeste production dans les deux verres. Mais lorsque je vais le lui tendre, je sens immédiatement qu’il manque quelque chose. La vodka ! Je me précipite à la cuisine pour ramener la bouteille glacée et je remplis nos verres encore chauds de ma semence.



Nous vidons nos verres d’un trait…