n° 22353 | Fiche technique | 15429 caractères | 15429Temps de lecture estimé : 11 mn | 26/03/24 |
Résumé: Laurence et sa nièce Clémence font la connaissance sur une plage naturiste d’un personnage qui les intrigue et les attire pour une raison particulière : c’est un nain. | ||||
Critères: ffh fplusag grossexe taille plage voir nudisme facial fellation préservati pénétratio fsodo | ||||
Auteur : Jacquou Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : La nanoérotologie Chapitre 01 / 02 | Épisode suivant |
Un des plaisirs de Constantin, l’été venu, était de déambuler nu, sur la plage naturiste proche de son domicile et d’observer du coin de l’œil les réactions des baigneurs et des baigneuses. Plaisir à la fois narcissique et masochiste. Car Constantin était affublé d’un mal peu courant et néanmoins connu : le nanisme. Mesurant à peine un mètre trente, son petit corps n’en était pas moins celui d’un adulte de trente-cinq ans avec beaucoup de poils et une tête d’homme fait, aux forts maxillaires et à l’implantation capillaire abondante.
Mais c’est surtout l’organe mâle battant contre ses fortes cuisses qui suscitait l’attention des plagistes et même l’émoi du côté féminin, quel que soit l’âge. Célibataire par la force des choses, car les femmes naines étaient rares dans son environnement, si tant est qu’il ait voulu en épouser une, Constantin savait d’expérience qu’il effrayait et attirait à la fois les femmes dites normales, nombre d’entre elles étant animées par le fantasme de faire l’amour avec un type dans son genre. Il pouvait le dire sans forfanterie : il baisait bien davantage que des hommes seuls de son âge. Des jeunesses de vingt ans, avides de découvertes, ou des femmes mûres désireuses de « ne pas mourir idiotes », sans oublier des épouses lassées du devoir conjugal, avaient goûté avec jubilation la longueur et la raideur de sa queue gainée d’un préservatif XXL.
Si bien que Constantin passait dans la gent féminine pour un serial baiseur, avec l’avantage pour les hommes d’être peu concurrentiel. Nombre de maris avaient d’ailleurs assisté, par curiosité un peu malsaine, aux ébats de leur moitié avec ce « nabot », histoire de savoir comment il s’y prenait pour les faire autant jouir.
Car Constantin, c’était sa fierté, se révélait une machine à produire de l’orgasme féminin. En se promenant sur la plage, il savait qu’il ne tarderait pas à être abordé, d’une manière ou d’une autre, par une fille nue, ou une dame accompagnée également à poil, qui s’informerait de sa vie de nain par bienveillance affichée. La question serait juste de savoir si l’interlocutrice voudrait baiser tout de suite dans les dunes ou un peu plus tard après un rendez-vous dans la station balnéaire.
En déambulant sur le sable, il percevait parfaitement les sourires ironiques, voire les propos désobligeants, des baigneurs allongés rôtissant au soleil. Il y était habitué depuis son plus jeune âge, mais il souriait intérieurement en pensant aux avantages qu’il pouvait en tirer dans divers domaines.
Sa petite taille était-elle une infirmité ? Il ne la voyait pas ainsi. Il chercha des yeux la femme mûre avec laquelle il avait noué quelques jours plus tôt une relation torride. Elle l’avait rejoint dans les vagues qui menaçaient de lui faire boire la tasse et un échange aquatique s’était noué. Elle était menue, à peine plus grande que lui, avec de petits seins et un corps bien proportionné, encore ferme, intégralement bronzé signe de sa permanence en ces lieux, ses cheveux grisonnants attachés en chignon. Elle était divorcée, podologue de métier, et vivait seule. Elle l’avait invité à venir le rejoindre sur le sable avec sa serviette et ils avaient longuement parlé avant de quitter la plage ensemble. Elle l’avait invité à dîner dans sa résidence estivale et à l’issue du dîner, ils avaient évidemment baisé. Il avait découvert une grandiose salope qui s’éclatait au plumard et avait célébré sa queue en des termes d’une incroyable crudité, contrastant avec sa distinction apparente. Elle avait poussé le vice jusqu’à lui mettre un doigt dans le trou du cul pour lui masser la prostate, dans le but évident de le rendre encore plus dur. Il l’avait récompensée en retenant le plus longtemps possible son sperme et ce fut elle qui avait demandé grâce après une série d’orgasmes ravageurs.
Mais Magali, c’était son prénom, n’était pas présente sur la plage ce jour-là. Peut-être ne désirait-elle plus le voir.
Tout en continuant à déambuler, il vit qu’un parasol s’était échappé de son socle et voltigeait en direction de la mer. Il l’attrapa au vol et vit accourir vers lui une femme blonde qui cherchait à récupérer son bien. Elle le remercia chaleureusement, engagea un bref échange sur le vent, le sable et le soleil ardent nécessitant protection, et finalement invita Constantin à venir la rejoindre, elle et sa nièce, s’il n’y voyait pas d’inconvénient bien sûr.
Il était habitué à ce genre de sollicitations, comme si les gens « normaux » se montraient avides d’en savoir plus sur sa vie de nain. Mais la dame, la cinquantaine bien faite, seins larges, croupe joufflue et cheveux coupés au carré, tranchait avec ces filles tatouées et « piercées » qui fréquentaient en nombre la plage naturiste. Il prit sa serviette et rejoignit celle qui se fit appeler Laurence, en train de bronzer avec sa nièce Clémence, la trentaine athlétique, hanches larges, fortes cuisses, seins en pomme, chevelure châtain ramenée en chignon. Visiblement ravie de découvrir ce petit homme si sexué.
Elles se présentèrent abondamment. Laurence était médecin ORL, Clémence kinésithérapeute, l’une divorcée, l’autre en instance de l’imiter, et c’est pour cette raison que la tante avait incité sa nièce à la rejoindre quelques jours dans sa résidence secondaire histoire de se changer les idées. Clémence avait été victime de l’infidélité de son mari et Constantin se demanda comment on pouvait tromper ce morceau de roi au corps manifestement fait pour l’amour. Mais il ne posa pas la question, se contentant d’écouter les doléances des deux femmes puis, à leur demande, d’exposer comme d’habitude sa vie de solitaire n’excluant pas une existence professionnelle de comptable dans une entreprise de la station balnéaire voisine. Et c’est tout naturellement qu’à l’heure où le soleil déclinait, elles l’invitèrent à venir partager leur dîner. Pour l’heure, rien n’indiquait de leur part une attirance sexuelle particulière envers Constantin.
Les deux femmes étaient manifestement heureuses d’avoir à leur table un sujet aussi différent que Constantin, qui eut droit à un coussin sur la chaise pour se retrouver à hauteur de son assiette. Celui-ci se confiait d’autant plus facilement qu’il avait affaire à deux professionnelles de santé, ce qui le mettait en confiance. Inévitablement, sa vie sexuelle arriva dans la discussion et il étonna ses interlocutrices en racontant ses succès. Mais elles se gardèrent d’avouer qu’elles avaient eu l’une et l’autre, à un moment donné, le fantasme du nain. Et encore moins que son appareil génital les avait fait saliver dès le début de leur rencontre, bien qu’elles aient caché leur intérêt derrière leurs lunettes de soleil. Elles se contentèrent de dire qu’elles étaient agacées par les « gros lourds » qui avaient tenté de les draguer à la plage ou dans la boîte de nuit où elles s’étaient rendues « juste pour danser ».
Constantin n’était pas dupe. Deux aussi jolies femmes ne resteraient pas longtemps sans avoir envie de relations sexuelles, d’autant qu’elles étaient libres comme l’air. Leur tenue très légère, un simple déshabillé sous lequel elles étaient nues, n’engageait guère à une discussion philosophique prolongée. Et il savait pertinemment que si son mode de vie, son nanisme et ses inconvénients avaient alimenté leur conversation, c’est sa queue qui les intéressait l’une et l’autre au premier chef. Aussi, un peu lassé de tourner autour du pot, à la fin du repas, il leur lança :
D’abord estomaquées, Laurence et Clémence éclatèrent de rire.
Elle prit Constantin par la main et le conduisit dans une des deux chambres où trônait un grand lit. En un clin d’œil, elle fut nue, rejointe aussitôt par Clémence, laquelle entreprit de dévêtir le nain. Celui-ci ne fut évidemment pas étonné par leur nudité, qu’il avait pu admirer à la plage. En revanche, il fut une nouvelle fois épaté par le contraste de leur comportement, comme il l’avait souvent constaté chez les sensuelles. Qui imaginerait que ces deux femmes bien installées dans la société, plutôt bourgeoises et même aisées, se transformeraient aussi facilement et rapidement en femelles avides de sexe ? Le sien, en l’occurrence, sans être le moins du monde affectées par son nanisme… et sans doute même au contraire, ce qui ajoutait au mystère. Constantin ne fut pas long à comprendre que cette tante et cette nièce n’en étaient pas à leur coup d’essai d’un partage de partenaire. Aucune inhibition ne les animait et elles semblaient même s’exciter mutuellement de cette intimité sexuelle et transgressive.
Clémence poussa une exclamation de ravissement lorsqu’elle découvrit l’érection horizontale, terminée par un gland gros comme une pêche de vigne. Une vraie bite de bande dessinée érotique, comme elle avait pu en voir à l’époque où son ex collectionnait ce genre de publication.
Constantin était bien sûr flatté de cette appréciation venant d’une femme que n’importe quel mâle normalement constitué voudrait posséder. Mais c’est l’autre, Laurence, la quinquagénaire, qui l’attendait sur le lit, nue, cuisses ouvertes, sa nièce la jugeant prioritaire, se contentant d’un petit coup de langue sur le méat avant de poser le préservatif, non sans difficulté vu le volume du gland.
Tranquille, sûr de lui, Constantin s’avança dans le compas de la tante, qui aspirait à une pénétration immédiate, sans préliminaire. Il constata du doigt son humidité prometteuse et s’enfonça lentement pour qu’elle prenne bien la mesure de son engin. Une flopée d’interjections suivit dans la jolie bouche bourgeoise quand il commença à limer. Il sentit deux mains crochues posées sur ses fesses tandis que, bras tendus, yeux dans les siens, il fouillait ce ventre chaud.
Assise sur le lit tout à côté du duo, Clémence ne perdait pas une miette de cet accouplement hors normes. Ce petit homme velu, aux jambes courtes et musclées, au petit cul mouvant, qui lui rendait au moins cinquante centimètres debout, se révélait un baiseur exceptionnel à en juger par les exclamations, les gargouillis, les yeux exorbités de la quinquagénaire. Clémence avança son visage au plus près de la jonction des deux sexes pour observer l’activité du pénis magique, qui entrait et sortait totalement à cadence rapide, creusant à la manière d’une foreuse l’antre trempé dans un clapotis évocateur. Fouettée par l’orgasme, Laurence se cabra, pieds sur le matelas, le corps en arc de cercle, avant de s’aplatir, rincée, mais apaisée.
Constantin se retira, toujours gaillard, fier de son pouvoir.
Mais Constantin bandait toujours. Après concertation, elles décidèrent de le faire jouir en commun en le branlant et le suçant alternativement, préservatif retiré. Le nain grognait de satisfaction en croisant le regard des deux femmes qui s’activaient pour son plaisir. Quand Laurence, tout en l’embouchant, pressa ses lourdes couilles tandis que Clémence lui caressait les fesses, il explosa en gémissant. Un flot de sperme envahit la bouche de la quinquagénaire qui en avala la moitié et cracha le reste en toussant, les seins maculés de paillettes. Jamais elle n’avait dégorgé un poireau pareil ! Les deux femmes en rirent et le nain les rejoignit dans leur hilarité. Et tout le monde se retrouva dans la salle de bain. Clémence fit un shampoing à Constantin avec d’autant plus de facilité que sa tête se trouvait à peine à hauteur de sa poitrine.
Il n’était pas question, pour les deux femmes, de réduire le petit homme à un coup d’un soir. Elles mirent un point d’honneur à l’accueillir à côté d’elles sur la plage, quand il les rejoignait en fin d’après-midi après son travail. Elles s’affichèrent avec lui avec un peu d’orgueil, suscitant quelques regards désapprobateurs, mais parfois aussi envieux chez certaines femmes, parfaitement conscientes du sous-entendu érotique de ce compagnonnage. Et de fait, le reste du séjour vacancier de la tante et de la nièce fut marqué par le prolongement des relations sexuelles du premier soir. Infatigable, doté de ressources séminales hors norme, le nain continuait d’honorer les deux femelles, lesquelles variaient les plaisirs et les positions. L’un des temps forts intervint quand il fut question de passer à la sodomie. Elles se concertèrent longuement pour passer à l’acte dans les meilleures conditions, tenant compte du volume pénien. Elles se préparèrent avec force crème et préparation avec gode. Laurence se lança la première et la douleur initiale se mua rapidement en un orgasme anal qui rassura la nièce. Ce fut un peu plus laborieux pour elle, n’ayant pas une pratique aussi importante que sa tante, mais l’envahissement de son rectum par cette matraque lui mit la tête dans l’oreiller pour étouffer des cris qui n’étaient plus de douleur.
Le reste des ébats se déroula un peu partout dans la villa, le trio explorant les possibilités de la cuisine, de la salle de bains et du salon en tenant compte de la différence de tailles. C’est ainsi, par exemple, que le nain fut sommé de s’asseoir sur une chaise, la bite en l’air, Laurence et Clémence le chevauchant alternativement pieds au sol, de face ou de dos, roulant de la croupe sur l’axe de chair.
À la fin de leur congé, les deux femmes se dirent qu’elles devaient faire quelque chose pour leur amant estival. Laurence avait une place à prendre dans son secrétariat médical, la titulaire prenant sa retraite. Pourquoi pas Constantin, déjà formé à la bureautique et à l’informatique ? Ne serait-ce pas une bonne publicité d’employer ce qu’elle n’osait appeler un handicapé, vu ses prouesses sexuelles ? Il en fut ainsi et Constantin accepta de déménager pour rejoindre la ville de sa bienfaitrice. Et il va sans dire que les compétences du promu ne s’arrêtèrent pas à l’accueil, à l’agenda et au standard téléphonique. Après une journée de consultation, la doctoresse ORL avait parfois besoin d’un peu de détente…