Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 22368Fiche technique16476 caractères16476
2741
Temps de lecture estimé : 11 mn
05/04/24
Résumé:  Récemment affligée de la perte de son mari, Julie est prise en charge par Véronique, sa médecin, qui va faire appel à Constantin pour lui redonner le goût de vivre.
Critères:  fh 2couples grossexe groscul handicap voir fellation cunnilingu 69 pénétratio fsodo échange humour
Auteur : Jacquou            Envoi mini-message

Série : La nanoérotologie

Chapitre 02 / 02
Une liaison improbable

Résumé des épisodes précédents :

Constantin est un homme mûr dont le nanisme n’exclut pas des prouesses sexuelles, comme ont pu le vérifier une belle quinquagénaire et sa nièce.




‌‌Lors d’une de leurs entrevues, Laurence, médecin ORL, reçut de la part de Véronique, sa collègue généraliste et amie, une demande particulière.



Laurence prit note de la sollicitation de son amie, non sans surprise. Que son nain préféré puisse être une sorte de thérapeute sexuel pour veuve éplorée ne lui était jamais venu à l’esprit. Mais il était suffisamment vaillant et disponible pour relever le défi, et pas que le défi. Restait tout de même à convaincre la dame en question.



Et c’est ainsi qu’un rendez-vous fut arrangé au domicile de Laurence, Véronique se chargeant de conduire la dénommée Julie.


La toubib et sa patiente firent une entrée remarquée dans l’appartement de Laurence. Constantin flasha aussitôt sur cette quadra au visage rond, au léger décolleté révélant la naissance d’un profond sillon mammaire et surtout un arrière-train bombé qu’un pantacourt moulait comme une seconde peau. « Un cul pareil se doit d’être honoré », se dit-il.

De son côté, Julie marqua sa surprise devant ce petit homme à la taille d’enfant, mais si mûr, si homme par les traits et probablement, se dit-elle, le reste de son corps, ce qui la troubla. Son empathie naturelle pour tout ce qui relevait de la marginalité l’attira aussitôt vers Constantin et elle engagea la conversation avec lui. Véronique et Laurence en furent ravies. La veuve se décoinçait à vue d’œil.


Bien entendu, le nanisme constitua une bonne partie des conversations, Véronique mettant son grain de sel en abordant la question sexuelle, en médecin bien sûr. Constantin saisit la perche tendue en assurant l’assistance non seulement de ses capacités intactes, mais aussi de ses succès, regard tourné vers Laurence qui fit mine de ne pas saisir l’allusion. Mais Julie avait bien compris. Ce nain était un baiseur et avait sans nul doute l’organe en rapport. Alors naquit dans son tréfonds une sécrétion d’hormones femelles comme elle n’en avait pas ressenties depuis des lustres. Elle réprima de justesse pendant l’échange un mouvement de bassin qui aurait pu être vu comme un besoin de pénétration et elle en fut toute rouge au point de balbutier. Laurence qui avait compris entraîna la conversation sur des sujets moins sensibles et la rencontre se poursuivit autour d’un thé jusqu’au terme de l’après-midi sans gêne visible. Mais au moment de se quitter, Constantin glissa dans les mains de Julie son numéro de téléphone.



*******



Revenue dans son quotidien de veuve éplorée, de surcroît mère de deux jeunes adolescents également marqués par la perte de leur père, Julie tenta de chasser de son esprit l’image de ce nain si viril et en même temps si différent de son entourage masculin. Mais le soir venu, dans son lit solitaire, lui revenait en mémoire la bouche gourmande de Laurence lorsqu’elle parlait avec celui qui devait sans nul doute être son amant de circonstance. Cette quinquagénaire élégante jouissait en baisant avec ce nabot, c’était l’évidence. Comment faisait-il l’amour ? Qu’est-ce qu’il avait de plus que le commun des mâles ? Cette question la hantait et elle finissait par se masturber dans son lit en imaginant les ébats de l’ORL avec son serviteur. Alors lui venait en mémoire qu’elle n’avait pas été baisée depuis des lustres et elle en avait mal au ventre. Elle aurait été prête alors à céder au premier venu pour remplir cette sensation de grand vide intime, pour retrouver le goût du gland dans sa bouche et la sensation délectable d’une langue agile sur son cunni. Mais le souvenir de son défunt mari revenait en force pour la pousser à la procrastination. Sa frustration la rendait de mauvaise humeur et son entourage professionnel comme familial commençait à s’en émouvoir.


Une fois de plus, Véronique vint à son secours. Elle l’invita à un dîner avec son compagnon, lui promettant une surprise. Ce n’était pas la première fois que son médecin sortait du strict contexte médical avec elle et elle connaissait déjà Cédric, son amant de dix ans plus jeune qu’elle, athlétique et tatoué, pas vraiment le type qu’on s’attendait à fréquenter intimement une femme médecin. Mais celle-ci n’avait pas caché à Julie qu’elle était folle de son corps et qu’elle était devenue grâce à lui une « usine à orgasmes » à un âge où la ménopause en censée calmer les ardeurs.

Une surprise attendait la veuve, venue en mini jupe et débardeur. Avec le duo des hôtes se trouvait Constantin en personne, rigolard, toujours aussi nain. Elle ressentit illico une onde de chaleur dans son ventre qui la fit bafouiller tant elle était troublée. Vêtu d’un tee-shirt qui mettait en valeur ses bras puissants, quoique courts, il était toujours aussi surprenant par le décalage entre sa masculinité affirmée et sa taille enfantine.


Il apparut clairement à Julie que ce dîner était un prétexte pour la libérer de ses blocages sexuels. Plus le repas avançait et plus la tension envahissait la pièce, Véronique et Cédric se bécotant face à elle et Constantin. La toubib avait son chemisier à boutons ouvert jusqu’au milieu de ses seins lourds et Cédric les empaumait sans pudeur devant les deux invités tout en glissant sa langue dans la bouche de sa maîtresse. C’est alors que Julie sentit la main du nain sur sa cuisse découverte par sa mini-jupe. La bouche de plus en plus sèche malgré le rosé qu’elle buvait à grosses goulées, elle déplaça une première fois la main de son voisin, mais il revint à la charge et monta de plus en plus haut. Elle n’avait plus vraiment envie de résister. Le spectacle précoïtal du couple invitant évacuait progressivement sa gêne et la mettait en transe, Cédric suçant désormais les larges aréoles de Véronique qui gloussait de plaisir. Quand Constantin finit par atteindre le slip de Julie, il constata qu’il était trempé. Il prit alors une initiative qui stupéfia et ravit en même temps la veuve : il se glissa sous la table et posa son museau entre les cuisses ouvertes, broutant l’étoffe du slip avant de tirer sur l’élastique pour l’en débarrasser, sa propriétaire ayant, par réflexe, décollé les fesses de la chaise pour l’aider.


Julie s’abandonna dans un état second à cette langue agile qui réveillait de vieilles réminiscences érotiques tout en observant l’évolution du couple de face, Véronique étant désormais en pleine fellation, agitant à moitié au-dessus de la table sa tête aux filets grisonnants sur le giron de son amant aux anges…

Quand elle se releva, bouche humide et œil brillant, elle découvrit que Julie avait la tête jetée en arrière et se caressait les seins à travers son débardeur, devinant la présence sous la table du nain en plein cunni.



Le nain sortit du dessous de la table, prit Julie par la main et emboîta les pas de ses hôtes pour entrer dans la pièce attribuée. Les portes se faisant face restèrent ouvertes. Ils regardèrent quelques minutes Véronique et Cédric se mettre nus, s’allonger sur le lit, se caresser, se peloter, s’embrasser, se branler mutuellement, et ils les entendirent prononcer quelques mots crus, préludes à un accouplement torride. Ils entreprirent un 69, elle dessus, lui disparaissant entre ses cuisses.



Julie évoluait dans un état second, la tête et le bas-ventre en feu. Elle ne pensait plus du tout à son mari, encore moins à ses enfants et pas davantage à cette transgression de faire l’amour de manière aussi visible, en dehors de toute intimité. Elle ne pensait qu’à son corps et à son besoin de le satisfaire. Même le nanisme de Constantin lui apparaissait secondaire. Fût-il de petite taille, c’était d’abord un homme. Et la preuve lui fut fournie quand il se déculotta devant elle. Surgit un pénis comme elle n’en avait jamais imaginé. Droit, tendu, d’une raideur et d’une longueur telles qu’elle aurait pu y poser un porte-manteau. Elle étouffa son exclamation en mettant sa main devant sa bouche, de peur de choquer Constantin, mais celui-ci s’en offusqua d’autant moins qu’il était habitué à ce genre de réaction féminine.



Elle s’exécuta et il découvrit un corps pulpeux aux seins un peu tombants occupant une bonne partie de son torse, un pubis épais de brune, des cuisses larges et, quand elle se retourna, un fessier dodu et bombé à raie longue ou apparaissait fugitivement un anus ambré qu’il se promit de visiter.

Elle suça d’abord maladroitement, empruntée par le volume du gland qui lui gonflait les joues et par un manque de pratique récente. Puis ses maxillaires se détendirent et elle s’efforça d’imiter un coït au point de frôler l’étouffement. Leurs regards se croisaient, comme si elle cherchait à vérifier le bonheur qu’elle lui procurait tandis qu’il lui caressait les cheveux qu’elle avait rassemblés en chignon. De la chambre voisine sortaient des cris d’extase et en stoppant sa succion, Julie aperçut de l’autre côté du couloir le visage déformé par le plaisir de Véronique, prise en levrette par son amant en travers du lit.


Constantin se posa lui-même son préservatif et la veuve sut, cette fois définitivement, que leur relation allait prendre un tour irréversible. Elle allait commettre pour la première fois depuis des mois un rapport sexuel très concret avec un homme à la taille inversement proportionnelle à son pénis. Mais elle était dans un tel état d’excitation que ce coït qu’elle n’aurait jamais imaginé dans sa vie antérieure lui parut nécessaire, incontournable et obligatoire.

Il la prit en missionnaire, bras tendus, yeux dans les siens, le gland posé automatiquement sur la vulve, mais en précaution, habitué qu’il était à ne pas infliger une pénétration immédiatement massive. C’est elle, par une pression de ses talons sur ses fesses, qui l’encouragea à s’engager davantage. Quand ce fut le cas, Julie poussa un « oh ouiiii » si strident qu’il couvrit les jappements de Véronique dans la pièce voisine. Constantin creusa, fora, fouilla avec méthode, sans hâte, mais résolument, enregistrant au fur et à mesure l’adhésion extasiée de la veuve qu’elle traduisait en roulements de hanches, en coups de fesses, en pression des pieds, en frottement des cuisses, en balancements des seins et en encouragements, à persévérer.



Tout petit qu’il était, Constantin n’en avait pas moins une expérience des femmes et il était toujours surpris de découvrir à quel point les moins suspectes de cochonneries pouvaient, sous l’effet de sa queue, devenir carrément bestiales. Cette Julie était donc du nombre. Elle se lâchait totalement, bataillait sur le plumard, parlait cru et l’implorait de durer. C’est elle qui commandait l’affaire, réclama de le chevaucher puis de se faire prendre par-derrière, face à l’autre chambre où, par la porte ouverte, tout en se faisant pilonner, elle pouvait voir Véronique cavaler sur la bite de Cédric en se pétrissant les seins. La toubib, la voyant, l’interpella tout en roulant des hanches :



Julie n’était plus à une transgression près.



Allongées côte à côte en travers du lit, les deux femmes se tenaient la main en subissant les assauts des deux mâles survoltés par la situation. Lorsque Cédric proposa au nain d’inverser les rôles, elles gloussèrent à l’unisson et reçurent, jambes repliées, mains griffeuses, bouches ouvertes sur des cris de joie, les coups de bite virulents d’un grand sec et d’un petit mec surmotivé par ces deux femelles si chaudes. Elles acceptèrent sans barguigner de se faire sodomiser ce qui, dans le cas de Julie, constituait quasiment une première, une brève tentative de son ex ayant vite tourné court. Mais Cédric était habile et elle connut la première jouissance anale de sa vie tandis que Véronique encaissait la matraque du nain, le visage enfoui dans les draps pour étouffer son brame. Ils éjaculèrent quasi en même temps et elles se ruèrent aux toilettes pour soulager leur rectum surmené avant de se rejoindre sous la douche en riant de ce scénario imprévisible où Julie s’était découverte libertine sous l’influence de son médecin traitant…



*****



Une fois revenue aux réalités du quotidien, la veuve considéra que cette chaude soirée ne devait pas se répéter, ses principes moraux reprenant le dessus. Pour autant, elle se refusa à faire de sa relation sexuelle avec Constantin une simple histoire de cul. Il devint son amant régulier, car elle goûtait fort ses prouesses sexuelles, qui la ramenaient au temps où, jeune fille, elle avait découvert les joies du sexe avec celui qui devait devenir son mari. Elle avait toujours « aimé ça » et elle était au fond heureuse d’en avoir fini avec le deuil du plumard.


Mais cette nouvelle liaison relevait d’une autre approche. Adhérente ou sympathisante de plusieurs associations humanitaires, écologiques et sociales, elle trouvait dans sa relation intime avec Constantin la traduction concrète de ses idées généreuses. Dans son entourage associatif, on savait qu’elle baisait avec un nain et cela lui conférait un certain prestige, à tout le moins une certaine considération, car tout le monde ne montrait pas autant de zèle. Elle s’insurgeait dès qu’on lui parlait de « son nain », le mot étant proscrit et remplacé par « homme de petite taille ». Mais il se trouvait toujours un malin pour lui répondre : « de petite taille de jambes et de bras peut-être, mais ailleurs ? »

Elle rosissait, bien consciente que l’organe mâle de son amant n’était pas pour rien dans la durabilité de sa liaison, mais seule Véronique, qui l’avait aussi expérimenté, avait droit aux commentaires sur la queue infatigable de « l’homme de petite taille ».

On ne fera cependant pas croire aux lecteurs et aux lectrices que le plan à quatre qui avait libéré Julie de ses blocages n’eut plus jamais cours. La veuve devait bien ça à son médecin, et il ne lui déplaisait pas non plus de retrouver l’expert en sodomie qu’était Cédric. Mais tout cela relève désormais du secret d’alcôve.