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n° 22359Fiche technique17647 caractères17647
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Temps de lecture estimé : 13 mn
30/03/24
Présentation:  Depuis quelques années, nous aimons pratiquer divers petits scénarios. Outre celui du masseur assez récurent, elle endosse le rôle d’une sexologue. Devenant Madame, elle prend une attitude plus directive, et use d’un vocabulaire plus cru.
Résumé:  Ma femme se transforme provisoirement en professionnelle experte du sexe et se libère un peu plus.
Critères:  fh couple amour lingerie fsodo -totalsexe -couple
Auteur : Aramis2531      Envoi mini-message
Rendez-vous avec Madame

Un samedi du printemps 2023, mais il fait encore frais pour la saison. Avant de sortir dans notre jardin en ce début d’après-midi pour une tonte et une taille, je lance un bon feu de cheminée qui va réchauffer notre maison et en particulier notre nid d’amour à l’étage, car en me levant ce matin je me suis senti d’humeur coquine. J’anticipe comme souvent…


Je m’affaire et entre deux tâches je rédige un SMS sollicitant un rendez-vous en fin d’après-midi. J’espionne par la fenêtre ma femme consulter son portable qui vient de biper. Un petit sourire illumine son visage. Elle tapote une brève réponse positive accompagnée d’un cœur encourageant. Cet après-midi, elle a donc envie d’un gros câlin coquin. Nous sommes en phase.


Je termine mon labeur extérieur, très motivé, monte ensuite dans la salle d’eau me laver et me changer en omettant un slip, mais prenant ma pilule pour mettre toutes les chances de mon côté. Puis je redescends, ma femme est dans le salon en train de lire sur le canapé. Je me dirige vers le bureau faire semblant de m’occuper… dans quinze minutes, le jeu va commencer.

Alors que je farfouille pour m’occuper dans les documents posés sur le bureau, je l’aperçois monter : elle va se préparer. Je me sens fébrile, émoustillé. La dernière fois, en plein hiver, avec Madame, nous avions passé un très agréable moment.


À l’heure, Madame vient donc me chercher. À sa vue, je reçois un choc, et je dois certainement ressembler au loup de Tex Avery. Nous ne sommes pas encore en été, mais elle a choisi parmi ces tenues très aguichantes la robe noire longue, dos nu qui se noue par le cou, avec un large décolleté qui ne permet aucun soutien-gorge, fendue très haut, laissant voir ses cuisses et même ses hanches nues. Celle achetée lors de notre dernier passage dans une boutique de lingerie et de sex-toys. Elle l’avait repérée sur un portant et je n’avais pas dû insister pour qu’elle l’essaye. Vêtue de cette robe qui ne peut pas se porter ailleurs qu’en club libertin ou à domicile, ma femme était absolument radieuse et surtout très excitante. Même la vendeuse avait été admirative quand celle-ci était entrée dans la cabine d’essayage pour vérifier si tout allait bien ! Merci, mademoiselle, mais la dame, qui peut être largement ta mère, n’a pas besoin d’aide. Son homme est là pour l’aider et pour lui dire que la robe lui va parfaitement et qu’elle est très belle et désirable avec.

Pour nous, cette robe très sexy sera pour la maison où dans la chambre d’hôtel… et je suis alors très impressionné qu’elle ait pensé ce jour à la revêtir.


Madame, avec un maquillage assez sophistiqué, est sublime dans cette robe qui suggère l’amour. Son décolleté laisse entrevoir son beau sillon et la naissance de ses mamelons. C’est un véritable appel à la caresse, au baiser entre ses seins… et plus. Je remarque à ses pieds, la nouvelle paire de chaussures argent à brides et à talons qu’elle a achetée le mois passé lors de notre dernier séjour en Alsace… Le message envoyé est sans équivoque, elle veut me faire plaisir.

Le précédent rendez-vous, elle avait mis sa blouse d’infirmière, des bas noirs autofixants, ses escarpins noirs, et comme dessous, un string minimaliste et son soutien-gorge seins nus à balconnet qu’elle m’avait révélés après avoir ôté, un à un les boutons-pression de sa blouse blanche.


Je rentre dans le jeu en lui tendant la main, en la saluant et elle me demande de la suivre.

Dans l’escalier qui monte, elle me précède et j’ai tout le loisir de lorgner ses jambes qui se dévoilent au travers des fentes et ses fesses à peine cachées par les pans de sa robe. Je n’aperçois pas de bout de tissu sur ces hanches : peut-être a-t-elle mis un de ses strings qui monte haut ? Dans la chambre qui va servir de salon de consultation à la thérapeute, notre traditionnelle serviette verte est posée sur le lit pour le protéger, la chaleur provenant de la cheminée et passant par la grille de ventilation maintient une agréable température. Mais je n’aperçois pas le flacon d’huile de massage que nous aimons tant utiliser quand je joue le rôle du masseur. À la place, elle a préparé la bougie de massage parfumée achetée aussi lors de notre dernier séjour alsacien.


Debout face à moi, elle me demande, bien dans son rôle, comment je vais, si avec ma femme j’ai pu avoir des rapports satisfaisants. Depuis ces quatre mois qui séparent notre dernier rendez-vous avec Madame, j’explique avec quelques détails les circonstances de nos rapports… Elle joue bien le jeu en m’encourageant à poursuivre mes narrations par des « et puis ? », « elle a aimé ? », « et vous ? ». À sa question, si j’ai éprouvé des difficultés, je lui explique que sans la pilule l’érection est plus laborieuse, que j’ai eu quelques fois des difficultés à jouir malgré mon excitation et mon désir pour ma femme… Je lui parle de notre récent et court voyage en Alsace qui d’ailleurs a été l’un de nos meilleurs séjours, car je lui explique que ma femme s’est comportée comme une sacrée coquine et que de mon côté j’ai abusé d’elle. Et que j’avais même écrit un texte que je ne lui avais pas encore donné à lire et je décèle, à l’évocation de ce texte en suspens, une légère crispation de ses yeux, confirmée par un « Ah ? », puis, se reprenant dans son rôle :



Mettant fin à cette introduction, elle me demande de me déshabiller pour un examen de routine. Je m’exécute, et bien qu’excité par sa tenue érotique, je ne suis pas encore bien bandé. Elle constate que je n’ai pas de slip et me dit :



Elle me touche le buste, la poitrine, puis me palpe les couilles, me tire le sexe, décalotte le gland, puis me demande de m’allonger sur la serviette, de dos, et elle se positionne de part et d’autre de mes jambes, en écartant les pans de sa robe qui l’entrave un peu ; j’ai juste le temps de remarquer l’absence de culotte. Poli et respectueux de cette spécialiste, je garde cette information pour moi. Elle prend le bol où se consume la bougie parfumée, verse l’huile chaude sur sa paume et commence un vigoureux massage du torse, des épaules.

Elle me demande de me détendre et pendant quelques petites minutes elle me masse.


Elle va maintenant vérifier mon tonus érotique, comme elle dit. Mon sexe est alors empoigné vigoureusement, me faisant sursauter.

Je ne m’attendais pas à une telle entame de séance. Quand je la masse, les préliminaires sont plus longs. Après les épaules et le dos, je tourne longuement autour du pot : les hanches, l’intérieur de ses cuisses, en frôlant ses lèvres intimes, les fesses, la raie, en frôlant son anus… et j’attends une trahison de son corps qui se manifeste par de légères oscillations des hanches, du bassin… Alors je fais gicler une portion d’huile à la base de ses reins que je fais glisser vers sa raie culière… mais ce n’est pas moi le masseur aujourd’hui !


Cet après-midi, c’est Madame qui me masse le sexe abondamment avec l’huile chauffée. Je commence à me raidir vraiment, et elle déclare :



Elle me demande si j’ai pris la petite pilule et je lui confirme.



Oui, ma puce, je voulais mettre toutes les chances de mon côté, pour ton plaisir…


Je ne sais pas ce qu’elle a en tête. Je pensais que comme la dernière fois, elle allait me sucer un peu puis me branler et enfin me demander de la prendre.


Mais cet après-midi, ma femme dans son rôle de Madame la sexologue veut se faire plaisir différemment. Elle déclare vérifier si mon érection est de qualité… Coquine ! Ce massage de ma bite par ses mains enduites d’huile l’a aussi excitée. Comme moi, elle a envie de faire l’amour.

Alors que je suis toujours allongé de dos sur la serviette, elle se positionne à califourchon au-dessus de moi. Elle abaisse son basin et commence un massage de ma bite avec sa vulve, qu’elle avait donc nue sous sa robe. Elle remue d’avant en arrière, son buste penché en avant, ses seins à quelques centimètres de ma bouche.

Puis, elle se saisit de ma bite bien dressée, abondamment lubrifiée par le mélange de l’huile et de sa mouille, branlée par ce doux frottement des chairs, et se l’enfile dans son con. Je ne sens aucune résistance tellement elle est humide et tellement ma queue est glissante. Elle est empalée, face à moi, et son corps pèse contre mes hanches et mes cuisses. Elle bouge d’avant en arrière. Je prends ses seins dans mes mains, je pince ses tétons. Elle me dit d’arrêter : elle peut partir vite quand on lui torture ses seins. Je sens sa chatte couler ! Je bouge sous elle, projetant mon basin vers le haut.

Elle se penche en arrière. Zut, ma queue sort. Alors elle se frotte en faisant coulisser ma queue sur sa chatte et son clitoris pendant quelques instants. Je suis trop bien, à me branler sur sa vulve liquéfiée !

Puis elle se penche de nouveau en avant et remet ma bite dans sa chatte, je la sens extrêmement ouverte. Je pose mes mains sur ses hanches, puis ses fesses. Quelques va-et-vient, mais ma bite glisse à nouveau hors de son sexe. Je reprends l’initiative en me déplaçant alors très légèrement afin de pouvoir faire coulisser mon sexe dur entre ses fesses. J’aime lui faire cela. Mon gland se fraie un chemin entre ses deux globes fessiers et je pose ma bouche sur son mamelon, l’embrassant doucement et le titillant légèrement de la langue, tout en frottant ma queue dans sa raie. Elle halète, elle est très excitée, ma doctoresse !


J’ai envie de la tester. Je lui écarte vraiment les fesses, délaissant cette fois ses seins qui sont souvent des déclencheurs de ses orgasmes et pour bien me concentrer sur l’intromission que j’ai envie de lui faire subir. Sans le voir, j’ai l’image dans mon esprit, de son anus exposé… En tâtonnant, tout en sensation, je pointe mon gland sur son cul. La sensation est étrangement excitante. Je tape, je pousse, ma bite glisse, mais j’ai enfin trouvé un bon angle et je sens son sphincter s’ouvrir petit à petit sous les coups redoublés. La position n’est pas des plus pratique, mais justement cela rend l’expérience plus excitante.


J’ai l’impression que tout mon bout est enfin rentré dans son anus. C’est bon pour moi, cette sensation étroite, de forçage, de perversité, mais aussi de complicité intuitive ; ce n’est pas un viol ; je propose audacieusement et elle ne se dérobe pas. Je nous imagine comme si j’étais spectateur de ce couple en train de baiser : la bite qui parvient à la forcer, dans cette position, elle à califourchon sur moi, mes deux mains écartelant son cul, ses seins ballottant, si proches de ma bouche. C’est jouissif, mais je ne veux pas jouir, même si je la sens très excitée : son sexe est complètement ouvert, car je reçois sa mouille abondante sur mon bas-ventre. J’ai envie de plus et j’espère qu’elle va elle-même se reculer pour s’enfoncer complètement mon sexe dans son cul.


Mais, Madame parle :



Oui, ma puce, je confirme.


Elle me dit que « ma femme ne sait pas ce qu’elle perd ». La salope me provoque. Je pourrais jouir maintenant à l’entrée de son cul, en l’embrassant, en prenant sa bouche pendant que je lui prends gentiment, délicatement, superficiellement le cul. Comme lors de jour de l’An où j’ai outrageusement forcé avec mon gros gland seulement, son petit trou, pendant qu’elle souhaitait la bonne année par téléphone à sa sœur.

Ma femme aime ces caresses autour de son anus. Très souvent, après avoir éjaculé dans son con, elle me présente ses fesses, de côté. Le jeu est alors que je lui glisse ma queue, plus molle après mon éjaculation, mais glissante de mon foutre et de son jus, entre ses fesses, et que je lui pince le bout d’un mamelon, dans cette position de deux petites cuillères imbriquées l’une dans l’autre. Elle se tortille alors le cul autour de ma bite et souvent, elle part ainsi. J’aime bien. J’imagine ce qu’elle voudrait se faire si ma bite était restée dure, et je lui susurre à l’oreille les sévices sexuels que j’aimerai lui faire pendant qu’elle prend son pied de cette façon. Alors, pour elle, c’est l’explosion. Elle ne me dit pas formellement, ma chère épouse réservée dans ses mots, qu’elle apprécie cette caresse si intime, alors que nous la pratiquons assez fréquemment, depuis tant d’années.


Elle me sort de mon songe quand Madame dit :



Sur le coup, je ne comprends pas vraiment la figure qu’elle veut faire. Je suis si bien à l’entrée de son cul. J’imagine un instant, une position difficile, elle couchée sur mon torse, mais ma bite dans son cul.

Tout d’un coup, elle se redresse et se relève pour se mettre à quatre pattes sur le lit, le cul tourné vers la fenêtre. Madame me dit de me mettre derrière elle.

OK, je dois bouger. J’étais si bien, le gland dans sa rosette, la bite bien raide, avec un léger pilonnage, qui m’a maintenu en érection. Le traitement est efficace, madame la thérapeute, avec ce scénario et sa tenue de femme qui désire faire l’amour. Mais je n’ai pas joui.


Je me mets alors en position les pieds au sol, mon bassin à la hauteur de ses reins… sa robe noire dévoile enfin son fessier tellement bandant. Je vois sa chatte ouverte. Elle est désirable, sa peau blanche mise en évidence par le contraste du tissu noir. Je n’hésite pas, quasiment certain que c’est ce qu’elle veut ! Après, l’introduction coquine, presque involontaire, passons aux choses sérieuses. Je suis lubrifié, d’abord par l’huile puis par sa cyprine. Elle sait que j’ai envie de retourner dans son petit trou préparé par mon gros gland. C’est bien son cul que je vais prendre, sans demander à ma thérapeute. Mon bout est absorbé avec un petit soupir qui passe ses lèvres. Je ne pousse même pas, ma bite glisse dans son trou ! Elle recule même pour venir elle-même en butée contre mon pubis.



J’avais bien compris le message, mais elle me sidère d’être aussi directe ! Elle, si réticente à l’usage de vocabulaire grossier ! Son rôle de Madame lui permet de se livrer…

Je rentre dans le jeu en lâchant :



Mais le message se veut être clair : n’hésites pas à te lâcher, mon amour.


Je bouge lentement, je n’ai pas envie de la défoncer. Je cherche son clitoris, mais la position n’est pas facile, je préférerai qu’elle se masturbe elle-même. Je lui touche les seins qui pendent. C’est toujours un de mes meilleurs moments : enculer ma femme en lui touchant ses seins.

Mais aujourd’hui, c’est avec Madame que je veux jouir. Habillée comme une salope, avec ses chaussures argentées toujours aux pieds. Et avec ma bite épaisse dans son cul.

Après quelques minutes de va-et-vient lents, je m’écrase sur elle, je n’ai plus l’endurance de mes cinquante ans. Elle est à plat ventre sur le lit. Nous n’avons pas joui même si le plaisir a été intense. Par cette fusion des corps et par cette intimité partagée.


J’hésite à entreprendre un pilonnage dans cette position. D’ailleurs, elle a une autre idée. Alors que je suis toujours enfoncé dans son anus, elle me demande de bouger sur le côté. Nous sommes maintenant les deux petites cuillères. Sa mouille continue à couler sur mes couilles et mes cuisses. J’ai l’impression qu’elle n’a jamais été aussi ouverte, un doigt vient confirmer cette sensation. Je bouge un peu, je me sens sortir un peu, j’ai besoin de regrossir. Madame aurait dû m’encourager en me disant des propos cochons comme « vas-y, continue à enculer ta salope » pour que je regrossisse. J’ai l’impression de me masturber dans son cul pour retrouver de la vigueur et je dois me remotiver en imposant à Madame mes doigts sur son petit bouton, ou en pinçon sur son bout de sein si sensible. Cela me permet de retrouver une nouvelle vigueur plus rapidement.

Me sentant de nouveau plus dur, elle repousse ma main et se touche le clitoris, le torture, elle bouge son cul autour de ma bite pourtant moins raide. Elle monte, ses gémissements s’amplifient. Je me renfonce profondément dans son cul en lui levant la jambe et entreprenant une série de coups de reins vigoureux.


Je jouis dans son cul.


Madame resserre les jambes et sa main se pose sur ma hanche comme pour me retenir, me laisser soudé à elle. Je sais qu’elle va partir si je lui malaxe maintenant son sein, son téton. Son orgasme ne tarde pas, il est brutal, mettant fin à notre jeu de rôle.

Nous restons emboîtés l’un dans l’autre un long moment. Nous devons récupérer. Je lui dis que je suis vidé, mais heureux, je la remercie pour ce merveilleux moment. Elle ronronne doucement. Je lui caresse les épaules, les bras, les hanches… elle a la peau douce. L’odeur de l’huile parfumée nous imprègne et rend ce moment romantique.


Je me sens dégrossir, sortir progressivement de son corps. Je me lève pour me doucher…

Redevenue ma femme, elle me demande de penser, un de ces soirs, à lui montrer le texte que j’ai écrit pour raconter notre dernier séjour alsacien…


Tiens donc ?


Elle a bien retenu ma confidence lâchée, la coquine, mais je me dis que si elle se rappelle bien ce que nous avons fait, ce texte très pornographique sera parfait pour booster notre libido, un soir, bien blottis l’un contre l’autre… À moins que ce ne soit précisément ce séjour particulier évoqué qui l’ait émoustillée et libérée… mais elle ne me l’avouera pas.


Ce qui est certain, c’est que le souvenir de nos moments intimes les plus particuliers est notre meilleur aphrodisiaque, même à plus de soixante ans passés…