n° 22369 | Fiche technique | 13218 caractères | 13218Temps de lecture estimé : 10 mn | 07/04/24 |
Présentation: Histoire d’un sportif chanceux. | ||||
Résumé: Quand un cycliste tombe sur un couple au cours de sa balade à vélo. | ||||
Critères: fh vacances -voyeur -lieuxpubl | ||||
Auteur : Tournesol (Auteure amatrice, récits inspirés de faits ou fantasmes) Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Le jour où je suis devenu voyeur Chapitre 01 / 02 | Épisode suivant |
La journée a été longue. Pour gagner un peu d’argent, l’été, je travaille chez un loueur de canoë. C’est assez physique, mais cela me plaît. Et puis, je fais de belles rencontres. Aujourd’hui, je me suis occupé d’un couple de trentenaires plutôt attirants. Elle portait un legging qui moulait à la perfection une belle paire de fesses et on devinait sous son débardeur deux jolis petits seins bien fermes, que j’ai légèrement effleurés en lui attachant son gilet de sauvetage, d’ailleurs. Je ne pense pas qu’elle s’en soit réellement aperçue, car elle discutait avec son ami et n’a pas réagi. Lui non plus n’était pas mal. De larges épaules, de belles fesses musclées également et un sourire enjôleur. Il couvait sa belle d’un regard qui en disait long sur l’affection qu’il avait pour elle.
Je ne sais pas pourquoi, mais je les ai trouvés très sexy tous les deux et j’ai dû m’éclipser un moment pour reprendre mes esprits et faire disparaître l’érection qui pointait dans mon short.
En rentrant chez moi, je me suis mis à repenser à eux. Ils avaient l’air d’un jeune couple. C’était beau de les regarder. Cela me donne de l’espoir. Ma dernière histoire ne s’est pas très bien terminée et, en grand timide, j’ai beaucoup de mal à aller vers les filles. De plus, je suis des études d’informatique et même si de plus en plus de filles commencent à s’y intéresser, la parité est loin d’être respectée. Allez, hop, une douche, un petit dîner et au dodo ! Demain, c’est repos pour moi…
Il fait un temps superbe aujourd’hui. Après le déjeuner, je décide d’aller faire un tour de VTT. Je connais bien ma région et il y a plein de petits chemins qui mènent à des clairières bien tranquilles. Je rajoute une serviette dans mon sac, au cas où l’envie de me poser dans l’une d’elles et de faire une sieste au soleil me prenait.
Cela fait plus d’une heure que je pédale quand j’arrive enfin dans une de ces clairières. Je ralentis avec l’idée d’y faire une pause. Quelle n’est pas ma surprise quand je vois, en plein milieu de celle-ci, un couple allongé sur une couverture ! Enfin, elle est allongée, et lui, je ne vois pas sa tête. Visiblement, elle est entre ses cuisses.
Discrètement, je m’arrête et recule pour opérer un demi-tour. J’ai fait quelques mètres quand finalement je décide de retourner jouer les voyeurs. Sans faire de bruit, je dépose mon vélo dans l’herbe et me rapproche tout en veillant à ne pas me faire repérer. Caché derrière une haie, je m’immobilise. D’ici, je suis un peu derrière eux et je les vois très bien. Je ne rate pas une miette du spectacle qui m’est offert.
La femme est nue et se tortille sous les effets de ce que son compagnon lui fait. Suivant sa position, j’arrive même à apercevoir sa langue qui lèche son sexe, que je devine ruisselant de mouille. Elle gémit et se cambre.
Mon regard s’attarde sur sa poitrine. Rien ne me la cache et je peux la mater facilement. Une érection se forme dans mon short. Je me félicite d’avoir choisi ce chemin aujourd’hui et encore plus d’avoir fait l’impasse sur le cycliste et opté pour un short de sport ample.
Je le vois s’activer sur son clitoris et deux de ses doigts la pénètrent. Elle gémit de plus en plus quand soudain l’orgasme la submerge, lui arrachant un râle de plaisir. Lentement, il vient s’allonger auprès d’elle et l’embrasse.
Quand la belle a retrouvé son souffle, elle se relève. Et là, je la reconnais. C’est la jeune femme d’hier et son amoureux. Cela ne fait qu’augmenter mon désir. Sans m’en rendre compte, j’ai commencé à me caresser par-dessus mon short.
Elle vient alors se positionner au-dessus de lui et le déshabille. Elle entreprend de le masturber. À quatre pattes au-dessus de lui, elle le regarde droit dans les yeux tout en caressant son membre viril bien tendu.
J’ai une vue magnifique sur ses fesses. Cette vision m’excite encore plus. Si cela est possible. Je n’y tiens plus. Je baisse mon short et empoigne mon sexe raide.
Elle s’est penchée et a enfourné son sexe dans sa bouche, tandis que sa main s’occupe de ses bourses. Ainsi installée, elle a les fesses si hautes et si écartées que cela me permet de voir son sexe et sa petite rondelle. Cette petite chatte luisante m’attire, mais je reste planté là, à m’agiter le manche, m’imaginant la prendre en levrette.
Il a mis une main sur sa tête et impose la cadence. Je reproduis le même rythme sur mon propre sexe et ne tarde pas à sentir l’orgasme venir. Je l’entends gémir et me retiens de mêler mes gémissements aux siens.
Ce spectacle est tellement excitant. Je sens mon sexe durcir encore plus et je jouis comme jamais, déversant en silence ma semence dans la haie qui me sert de cachette.
Lui n’a pas encore joui et elle le suce toujours, tout en le masturbant de sa main habile. De mon côté, même si j’ai joui, je ne veux pas lâcher mon sexe. Ma main me fait l’effet de sentir sa langue sur moi.
Finalement, c’est lui qui la repousse et se relève. Il est maintenant debout, face à elle, toujours à genoux qui lui présente sa bouche. Il prend sa verge en main et, dans un râle de plaisir infini, jouit dans sa bouche.
Elle n’en perd pas une goutte, la coquine, et avale le tout. Il vient s’agenouiller face à elle et l’embrasse d’un fougueux baiser. Quelle belle promenade ! Je ne suis pas près de l’oublier.
J’ai du mal à réaliser ce qui vient de se passer. Mais je ne peux pas rester là indéfiniment. Pendant qu’ils se relèvent et se rhabillent, j’en profite pour en faire de même et récupérer mon vélo que j’ai laissé à quelques mètres et reprends mon chemin.
Quand je traverse la clairière, lui me tourne le dos. Elle est dans ma direction. Je la vois finir de rajuster son t-shirt. Elle me regarde et je lui lance un regard qui signifie « j’ai tout vu » et trace mon chemin, piquant un fard devant mon audace et au souvenir de ce que je viens de voir et faire.
De retour chez moi, je file sous la douche. J’en ai bien besoin après ce qui s’est passé pendant cette sortie vélo. Je n’arrive pas à croire que j’ai joué les voyeurs et que je me suis fait plaisir en les matant. C’était vraiment trop bon. Rien que d’y repenser, j’ai de nouveau une érection. Allez, il faut que je reprenne mes esprits. Ce soir, c’est la fête au village à l’occasion du quinze août et nous nous sommes donné rendez-vous avec quelques copains d’enfance revenus au bercail comme moi à l’occasion des vacances d’été.
Cela fait plaisir de les retrouver, de se raconter un peu nos vies, assis autour de nos portions de frites et de nos saucisses. Ils ont tous de superbes anecdotes à raconter. Cela me change les idées. Depuis le début de l’été, je n’ai pas fait beaucoup de rencontres et je n’ai pas tellement sympathisé avec mes collègues de boulot. Je les écoute, d’un air distrait en regardant les gens qui gravitent autour.
Et c’est là que je les vois. Le couple sexy que j’ai allègrement maté cet après-midi vient d’arriver. Impossible de décoller mon regard. Ils sont encore plus beaux dans leurs vêtements de ville. Elle porte une petite robe bleue, fluide et légère et de petites sandales dorées. Lui, un polo rouge, un bermuda et des baskets blanches. Il est légèrement tourné, ce qui fait que je peux voir que son short lui moule bien les fesses.
Mais qu’est-ce qu’il m’arrive à moi, de remarquer les fesses d’un homme ?!
Les copains me ramènent sur terre.
Je ne réponds rien et me sens rougir. Heureusement, ils ne s’attardent pas sur mon cas et reprennent le fil de leur conversation, que je ne suis que d’une oreille. Mon regard est de nouveau sur eux. Ils se dirigent vers la piste de danse et de loin je les regarde. Enfin, j’essaie. Il y a beaucoup de monde entre eux et moi. Je m’excuse auprès de mes amis, prétextant un besoin pressant, et me dirige également vers la piste de danse. Je ne comprends pas ce qui me pousse ainsi vers eux. C’est comme s’ils m’attiraient sans le savoir. Une sorte de magnétisme. Je ne sais pas danser, et seul, je n’ose pas aller sur la piste, alors je reste sur le bord, à les regarder évoluer au rythme de la musique. Une telle complicité se dégage d’eux. Ce doit être cela qui m’attire.
Je suis happé par la contemplation de ce couple si sensuel quand soudain je reçois comme un électrochoc : ils ont arrêté de danser et me regardent. Merde. Je suis grillé. Tout en me regardant, ils discutent entre eux. Pas besoin d’être devin pour comprendre qu’ils parlent de moi. Je devrais partir, détourner le regard, mais j’en suis incapable. La voilà qui s’approche de moi maintenant. Son mec est resté de l’autre côté de la piste et la suit des yeux. Quand elle arrive vers moi, je dois être rouge pivoine et c’est tout juste si j’arrive à me redresser, comme pour me donner une contenance. Il est clair qu’elle vient me parler.
Et sans attendre ma réponse, elle me prend par la main et m’emmène sur la piste. J’essaie de me trémousser en rythme. À côté d’elle, je dois vraiment avoir l’air d’un clown qui s’agite n’importe comment. La musique se termine et enchaîne avec… un slow. Forcément. Il fallait que ça tombe sur un slow. Et puis, qui passe encore des slows ? Il n’y a vraiment qu’à un bal de village que cela arrive.
Elle prend mes mains et les pose tout en bas de son dos. Mes doigts sont d’ailleurs plutôt sur ses fesses que sur son dos. Elle passe les siennes autour de mon cou. Nous dansons ainsi quelques instants, puis elle plante ses yeux dans les miens et me demande :
Horriblement mal à l’aise, je vire au rouge cramoisi. Cela m’apprendra à vouloir jouer les braves en passant devant eux. Je voudrais partir à toutes jambes. Pourtant, je suis scotché sur place et elle me retient avec ses bras.
Visiblement, il n’y a que moi qui ne sais plus où me mettre. La lueur que je perçois dans ses yeux n’a rien à voir avec de la gêne. Bien au contraire. Comme si cela lui avait plu que je les surprenne. Le visage souriant, elle enchaîne :
Elle se rapproche ensuite de moi et me chuchote à l’oreille : « Si le spectacle t’a plu et que tu veux en voir plus, rendez-vous ici, après le feu d’artifice. »
Sur ce, elle fait glisser ses mains le long de mon visage, me donne un papier, plante un baiser sur ma joue et retourne vers son mec qui ne nous a pas quittés des yeux et attend le retour de sa belle. Juste avant d’arriver à sa hauteur, elle se retourne pour vérifier que je la regarde toujours, me lance un clin d’œil et embrasse avec fougue son amant.
Je rêve où elle vient de me proposer un plan à trois ! Il me faut un petit moment pour réaliser ce qui vient de se passer. Je suis toujours planté au milieu de la piste, là où elle m’a laissé. Je suis comme hypnotisé par la vision de cette déesse à la chevelure dorée qui repart en faisant danser les volants de sa robe. Et ce baiser qu’elle lui a donné. Tellement enivrant ! Et excitant ! Une fois mes esprits retrouvés, je quitte la piste à la recherche d’une source de lumière satisfaisante. Je déplie la feuille et y découvre une adresse. Je suppose que c’est la leur. Du moins, je l’espère.
Je regarde ma montre : vingt-deux heures quarante. Le feu d’artifice doit être tiré vers vingt-trois heures. Cela me laisse peu de temps pour décider si je veux y aller ou pas. Ce n’est peut-être pas plus mal.
Hors de question que j’aille raconter ce qui vient de se passer à mes amis. Je sais déjà qu’ils vont me chambrer. Alors de loin, je continue de les admirer. Ils savent que je les observe, mais cette fois, c’est comme s’ils dansaient pour moi, comme pour me donner envie d’accepter leur invitation. Je les trouve très beaux. Je ne sais pas ce que c’est comme danse, mais c’est doux et fluide. Leurs corps ondulent au rythme de la musique. Ses cheveux tournent autour d’elle. Il la fait tourner, tomber et encore tourner… Jamais leurs sourires ne s’effacent. À cet instant, ils sont les plus heureux à cette soirée. Et je ne vois plus qu’eux.
Malgré ma timidité, j’ai tout de même bien envie de les rejoindre.
Le feu d’artifice commence. Ils ne sont pas très loin de moi. Il se tient derrière elle et la serre dans ses bras. Elle, je ne vois pas ses bras. Cela m’intrigue. À la lueur des explosions du spectacle, je les observe, quand soudain je comprends : elle a mis ses mains dans le dos et lui masse le sexe à travers son bermuda. L’effet est immédiat. Rien que de savoir ce qu’elle est en train de faire, mon pantalon se déforme sous l’effet de mon érection. Le sien aussi doit être déformé par ses caresses. J’ai encore plus envie d’être avec eux.
Je détourne le regard et reprends l’observation du feu d’artifice, en espérant que cela fasse passer mon érection. Alors que le spectacle touche à sa fin, je les vois bouger du coin de l’œil. Quand la dernière fusée retombe, ils passent derrière moi. Leurs corps me frôlent et il me glisse à l’oreille :