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Temps de lecture estimé : 14 mn
08/04/24
Résumé:  Après avoir hésité, notre cycliste décide de tenter sa chance et de voir si c’est bien à un plan à trois qu’il a été invité.
Critères:  fhh grossexe caresses fellation cunnilingu sandwich init -couplea3
Auteur : Tournesol  (Auteure amatrice, récits inspirés de faits ou fantasmes)      Envoi mini-message

Série : Le jour où je suis devenu voyeur

Chapitre 02 / 02
Le jour où je suis devenu voyeur P2

Résumé des épisodes précédents :

Dans l’épisode précédent, notre cycliste tombe sur un couple en plein ébat au milieu d’une clairière. Le soir même, il les rencontre lors d’une fête de village au cours de laquelle ils l’invitent chez eux. Affaire à suivre…




Je détourne le regard et reprends l’observation du feu d’artifice, en espérant que cela fasse passer mon érection. Alors que le spectacle touche à sa fin, je les vois bouger du coin de l’œil. Quand la dernière fusée retombe, ils passent derrière moi. Leurs corps me frôlent et il me glisse à l’oreille :



En entendant ses mots, mon corps se tend et mon érection reprend de plus belle. Et merde. Ça ne va pas être simple de marcher ainsi. Je retrouve mes potes et leur dis que je rentre. Après tout, je bosse demain, donc mon excuse est crédible. Je quitte la fête, et une fois seul, reprends le petit bout de papier. Je relis l’adresse que j’entre dans mon GPS. Je le suis et quelques minutes plus tard, me retrouve devant un gîte. Malgré l’envie, j’hésite. Après tout, ils sont en couple, plus âgés que moi, et moi je n’ai eu que très peu d’expériences avec des femmes, et aucune avec un homme. Avouez que cela peut faire un peu peur. Et si c’était une blague ? Voilà ce qui me vient à l’esprit à cet instant.


Tant pis. Je chasse cette idée de mon esprit et je prends le risque. Il vaut mieux vivre avec des remords qu’avec des regrets. Je tente le coup et frappe à la porte. C’est elle qui m’ouvre, tout sourire.



Incapable d’aligner deux mots pour le moment, je la suis. Les pièces se trouvent à l’étage, sa robe est très fluide, j’ai donc une pleine vue sur ses fesses quand elle me précède dans l’escalier. Elle fait rouler ses hanches et prend son temps. Elle est nue sous sa robe, la petite cochonne ! Si elle veut me donner envie de rester, c’est bien parti. Il me faut beaucoup de concentration pour limiter l’érection qui repart de plus belle dans mon pantalon.



Elle me prend la main et m’emmène jusqu’au canapé. Elle s’installe en face de moi, son mec à côté d’elle. Elle reprend la parole.



En entendant cela, j’essaie de rester impassible. Pas sûr d’avoir bien réussi à cacher mon trouble. En tout cas, ils n’en parlent pas. Elle poursuit :



OK. Donc, c’est bien une histoire de plan à trois. Je ne m’étais pas fait des idées pour rien. Même si j’ai un peu de mal à me sentir à l’aise, cela me rassure. Et puis, cette dernière remarque me touche et en même temps m’excite. Tout en essayant de me donner une contenance, je finis par bafouiller un pauvre « merci ».



Ah, je suis bien un mec, parce qu’au final, la seule chose que j’ai retenue de tout ça c’est : je vais m’envoyer en l’air ce soir ! Et avec un couple, en plus !


Ils se relèvent. Cléa part à la cuisine nous chercher des rafraîchissements, et Stéphane, un jeu qui s’appelle Concept. Je connais. C’est un bon jeu pour faire connaissance. À chaque tour, une personne doit faire deviner aux autres qui jouent en équipe un mot, une expression, un film… à l’aide de pictogrammes. Du coup, je me retrouve tour à tour en équipe avec Cléa ou avec Stéphane.


Il y a une bonne ambiance. Ils me parlent d’eux. Cela fait un petit peu plus d’un an qu’ils sont ensemble. Ils se sont rencontrés grâce à la danse et n’habitent pas dans la même ville. Du coup, ils profitent à fond de chaque moment qu’ils peuvent passer ensemble. Je me sens à l’aise avec eux et me détends au fur et à mesure que la soirée avance.


Nous avons fini la carafe d’eau. Je me propose pour aller la remplir. Je sens leurs regards posés sur moi pendant que je me lève et me dirige vers la cuisine. Cela me trouble légèrement, et quand je reviens vers la table, je me prends les pieds dans la table basse. Un peu déséquilibré, je fais déborder la carafe que j’avais un peu trop remplie sur la robe de Cléa. Je repose précipitamment la carafe sur la table et me retourne vers elle qui, par réflexe, s’est levée.



Tout en disant cela, je la vois chercher Stéphane du regard. Je me retourne juste à temps pour le voir hocher la tête, lui signifiant ainsi son accord. Je regarde à nouveau Cléa pour voir si j’ai bien compris ce qui vient de se passer et elle me lance un regard qui en dit long, juste avant de retirer sa robe.


Je ne peux pas m’empêcher de la détailler. Elle ne porte plus qu’un soutien-gorge en dentelle blanche et un string assorti. Finalement, elle n’était pas totalement nue. Pourtant, dans l’escalier, je n’ai rien vu. Le blanc fait ressortir son bronzage. Et avec ses cheveux dorés, c’est du plus bel effet. Quelle belle femme ! Je comprends que son Stéphane en soit fou et la couve autant des yeux.


Elle s’approche de moi, me caresse le visage et me demande :



J’acquiesce, et sans plus attendre, elle approche son visage du mien et m’embrasse. Je suis figé au sol. Je lui rends son baiser et mes mains timides se posent sur son corps à moitié nu. Le contact de sa peau m’électrise. Mes mains parcourent son corps, la couvrent de caresses. J’aperçois Stéphane, toujours dans le canapé, qui nous observe. Sa main masse son entrejambe, déformé par une belle bosse. Mon short l’est tout autant. Les mains de Cléa glissent le long de mon t-shirt pour le soulever et le retirer. Elle recule alors et me regarde. Je ne me suis jamais trouvé très musclé, mais après deux mois à déplacer des canoës, j’ai un peu pris au niveau du torse et des bras. Visiblement, ce qu’elle voit lui plaît.


Elle se retourne vers Stéphane et l’invite à se relever, à retirer son polo et à se rapprocher de nous. Elle l’embrasse à son tour. Ils sont aussi excitants que cet après-midi dans la clairière. Cléa a toujours une main sur mon torse, l’autre sur celui de Stéphane. Leur baiser prend fin et Cléa nous demande de nous mettre entièrement nus. Elle récupère un des coussins du canapé, le pose par terre et se met à genoux dessus.


Sa bouche parfaitement placée au niveau de nos sexes, elle nous regarde tour à tour avant de les prendre en main et de nous masturber. Ses doigts fins glissent le long de nos verges tendues, et soudain, ce ne sont plus ses doigts, mais sa langue qui est sur la mienne. Je baisse les yeux et vois mon sexe disparaître au fond de sa gorge. Je gémis de plaisir. Elle alterne habilement les mouvements. Quel moment magique !


Et puis tout s’arrête. Elle se retire, remplace sa bouche par sa main, se retourne vers Stéphane et entreprend de lui faire la même chose qu’à moi. Je vois le plaisir sur leur visage. Sa main toujours sur mon sexe, entretient mon érection. De toute façon, à la voir le sucer ainsi, je ne risque pas de débander. C’est bien plus excitant en vrai que dans les vidéos pornos. Rien ne remplace le vrai.


Cléa alterne ainsi entre Stéphane et moi pendant encore un moment, jusqu’à ce que Stéphane la relève face à lui et l’embrasse. Je suis derrière Cléa. Je m’approche d’elle et l’embrasse dans le cou. Aux gémissements qu’elle fait, j’en conclus que le cou est une zone sensible chez elle. Je pose mes mains sur son corps : une sur un sein, l’autre sur son ventre. Ainsi, elle ne peut se soustraire à moi et à ce que je fais subir à son cou sensible.


Je vois Stéphane se baisser et lui retirer son string. Il ne se relève pas. Je comprends qu’il est resté au niveau de son entrejambe et la lèche. De mon côté, je retire son soutien-gorge et libère sa petite poitrine. Toujours dans son dos, je continue les baisers dans le cou et passe mes mains sur seins. Je titille ses petites pointes. Je ne saurais dire ce qui lui procure le plus de plaisir, mais la belle a l’air d’apprécier le tout.


J’entends Stéphane bouger. Il se relève et demande à Cléa de s’installer confortablement sur le canapé. Les jambes bien écartées, il me fait signe qu’elle est toute à moi. Pendant que Stéphane s’installe près d’elle pour l’embrasser, je m’agenouille sur le coussin resté par terre et m’installe entre ses jambes. Je commence par caresser l’intérieur de ses cuisses et, délicatement, y dépose quelques baisers. Lentement, pour la faire languir un peu, je trace un chemin vers son entrejambe. Quand j’arrive à ce niveau, je sens sa respiration s’accélérer. Je perçois son impatience. Je caresse sa petite chatte peu poilue, la détaille avant d’y plonger ma langue. Je m’attarde à l’entrée de son vagin, explore du bout de ma langue chaque colline et vallée de sa vulve, avant de remonter trouver son bouton magique, caché sous son petit capuchon. Elle se tortille légèrement. Mes doigts viennent la pénétrer et titiller son point G. Entre ma langue et mes doigts, elle gémit légèrement. Je relève la tête sans pour autant décoller ma langue de son clitoris. J’aime lire le plaisir que je procure sur le visage d’une femme. Et je comprends pourquoi je ne l’entendais plus trop : elle suce Stéphane pendant que je la lèche. Une main sur le sexe de celui-ci, l’autre sur ses fesses pour le garder près d’elle, elle le masturbe tout en lui prodiguant de sacrés coups de langue, la coquine.


Visiblement, cela ne l’empêche pas de profiter de ce que je lui fais, car son bassin bouge de plus en plus. Je délaisse la vision de cette créature de rêve en train de sucer ce bel Apollon pour reporter mon attention sur mes propres coups de langue. Je m’applique à ne pas lâcher son clitoris et à trouver le bon rythme.


Je crois que j’ai trouvé. Sans relever la tête, je comprends qu’elle a délaissé Stéphane. Une main vient se poser sur ma tête et je l’entends me dire :



Et là, sous mes doigts et ma langue, dans un cri de plaisir, elle se laisse envahir par l’orgasme.


Je continue un peu pour prolonger son plaisir, puis ralentis le rythme pour la laisser reprendre sa respiration jusqu’à ce qu’elle me demande de me relever et nous dise :



Stéphane et moi nous nous regardons et acquiesçons. Je récupère les préservatifs qui se trouvent dans mon portefeuille. Je préfère utiliser les miens, au moins, je sais qu’ils me conviennent. Alors oui, pour ne jamais être pris au dépourvu, et ce qui est en train de se passer me prouve que j’ai eu raison de le faire, j’ai toujours des préservatifs sur moi.


Quand j’arrive dans la chambre, Stéphane est allongé au bord du lit et Cléa se positionne au-dessus de lui pour qu’il la pénètre. Elle me fait signe de m’approcher et d’une main prend mon sexe pour le maintenir dans sa bouche. Au rythme des va-et-vient de son bassin, sa bouche coulisse autour de mon membre bien raide. Stéphane a mis une main sur le clitoris de Cléa et masse cette petite zone si sensible pour faire monter le plaisir. Malgré sa bouche bien occupée, elle soupire.


Le plaisir monte chez Cléa et les coups de langue sur mon sexe s’arrêtent. Concentrée sur son propre plaisir, elle explose de nouveau. Elle se penche sur Stéphane et l’embrasse avant de se retirer. Il se relève, et Cléa qui s’est retournée vers moi m’embrasse à mon tour avant de m’allonger sur le lit. Elle se positionne à quatre pattes au-dessus de mon sexe et reprend sa fellation. D’une main, j’attrape ses cheveux pour les relever et pouvoir mieux admirer ce qu’elle me fait. Je lui impose légèrement mon rythme et l’empêche de se retirer pour le moment. Ses lèvres sont douces et sa bouche chaude avale mon sexe d’une agréable manière. Je n’ai pas envie que cela s’arrête.


Tout en profitant de cette délicieuse fellation, je vois Stéphane attraper un tube de lubrifiant et s’approcher de Cléa. Il en fait couler un peu sur ses doigts, et bien plus entre les fesses de Cléa dans lesquels il vient glisser ses doigts. Peu habitué au sexe anal, je n’aurais pas pris cette initiative. Pourtant, aux bruits que fait Cléa, je comprends qu’elle y prend beaucoup de plaisir et que cela aurait été dommage de ne pas le faire.


Cléa me suce toujours, le plaisir monte de plus en plus. Je ne vais pas tarder à jouir et en faire part à Cléa. Elle s’arrête et me regarde avant de me demander :



Autant vous dire que je n’ai jamais fait cela, mais après tout, qui sait quand l’occasion se représentera ? Et la proposition est tellement bien faite que j’acquiesce. Je sais que cela implique que nos deux sexes se frôlent à l’intérieur de Cléa et je ne sais pas quel effet cela fera. Mais bon, vu que c’est la soirée des découvertes, autant en profiter.


Cléa attrape un de mes préservatifs et me l’enfile. Après un délicieux baiser, elle se repositionne au-dessus de moi et s’empale sur mon sexe tendu. Je peux voir ses seins bouger et les prends en coupe. Petits, ils tiennent parfaitement dans mes mains. Sa peau est douce. Et sa chatte chaude. Bien installé en elle, je profite pleinement de ce beau moment. Stéphane, toujours debout derrière elle, joue encore un peu avec son petit trou, avant de récupérer le tube de lubrifiant et de s’enduire le sexe, qui est plutôt de belle taille et pourrait impressionner vu là où il s’apprête à le mettre. Je me dis que ce n’est pas une nouveauté pour eux et qu’ils ont déjà dû le faire à deux, car je ne lis aucune appréhension dans leurs regards.


Puis je sens la chatte de Cléa se resserrer et le sexe de Stéphane entrer tout en douceur en elle. Cléa ne bouge plus. Stéphane est entré entièrement dans son cul et elle se laisse aller à profiter de nos mouvements. La paroi est fine. Nos deux sexes se touchent. Entre le doux vagin de Cléa et le massage que me procurent les mouvements du sexe de Stéphane, le plaisir monte très vite. Je comprends que c’est également le cas pour Cléa et Stéphane dont les respirations s’accélèrent. Et pour ajouter encore plus à son plaisir, Cléa met sa main sur son clitoris pour le titiller encore un peu.


C’est trop pour moi. Je me laisse submerger par le plaisir et jouis en elle. Cléa explose peu après moi, contractant alors son vagin sur mon sexe qui crache ses dernières gouttes d’orgasme. Enfin, c’est au tour de Stéphane qui, se laissant envahir par le plaisir, jouit dans son cul.


N’y connaissant pas grand-chose en plaisir anal, je n’ose bouger le premier. Stéphane se retire délicatement et vient s’allonger sur le lit. Cléa en fait de même et vient se loger entre nous, la tête posée sur le torse de Stéphane. Je retire la capote et m’installe contre elle, la tête contre son épaule, une main sur son ventre plat.


Allongés tous les trois sur le lit, nous reprenons nos respirations. Aucun d’entre nous n’ose parler, et sans nous en rendre compte, nous nous laissons gagner par la fatigue et nous nous endormons. Il est plus de 7 h quand je me réveille. Je dois aller bosser. Discrètement, je sors du lit, essayant de ne pas les réveiller.


Je sors de la chambre, et après un petit tour technique aux toilettes, je récupère mes vêtements restés dans le salon. Quand j’ai fini de m’habiller, je vois Cléa qui sort de la chambre. Elle a enfilé un t-shirt et une petite culotte en coton.



Je descends les escaliers et ouvre la porte d’entrée. Cléa m’a suivi. Je me retourne pour lui dire au revoir et elle me répond avec un de ses délicieux baisers.



Et elle me tend un papier avec son numéro de téléphone.


Je file récupérer ma voiture que j’ai laissée près de la fête hier et rentre chez moi me doucher et me changer avant d’aller travailler.


Je ne sais pas si l’occasion d’utiliser ce numéro se présentera. En attendant, je ne suis pas près d’oublier cette soirée.