Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 22466Fiche technique23643 caractères23643
3973
Temps de lecture estimé : 16 mn
11/06/24
Présentation:  À travers l’histoire d’Hélène et Paul j’ai aussi voulu évoquer quelques lieux parmi mes préférés. Si cela peut vous donner des idées de voyage. Après les tremblements de terre, les Marocains ont bien besoin de soutien.
Résumé:  Les liens entre Hélène et Paul vont se resserrer. Ils vont peu à peu se découvrir.
Critères:  fh fépilée vacances fsodo hdanus
Auteur : rincop      Envoi mini-message

Série : Paul et son 4x4

Chapitre 02 / 02
Le raid

Résumé de l’épisode précédent :

Paul souhaite participer à un raid auto au Maroc et cherche un équipier. C’est ainsi qu’il fait connaissance avec Hélène




Ils échangèrent des mails, parfois ils se téléphonaient, puis les contacts devinrent de moins en moins fréquents. Ils s’étaient tout dit ! Ils avaient l’impression que plus le départ approchait et que plus la date était lointaine. Enfin celle-ci devint une réalité. Ils devaient rejoindre Motril, sur la côte espagnole, en début d’après-midi du samedi. Ils avaient décidé de faire le parcours sur deux jours. Paul arriva chez Hélène dès le jeudi. Les retrouvailles avec toute la famille furent chaleureuses. La soirée fut écourtée, le lendemain, ils prenaient la route dès huit heures.


Le lendemain matin, c’est avec un peu de tristesse qu’Hélène dit au revoir à ses enfants et son mari, mais en même temps elle était tellement heureuse d’enfin participer à son premier raid.


Ils se partagèrent le volant, afin d’écourter les pauses. Vers dix-sept heures, ils étaient au niveau de Madrid. Hélène chercha sur son téléphone.



Paul acquiesça et Hélène réserva une chambre. Ils arrivèrent à l’hôtel vers dix-huit heures trente. Après avoir déposé leurs bagages, ils décidèrent de dîner en ville afin de visiter un peu celle-ci. Ils revinrent vers vingt-et-une heures trente, la route les avait fatigués et ils voulaient encore partir tôt.

L’espace douche était contigu à la chambre. Paul proposa d’aller prendre un verre au bar le temps qu’Hélène fasse sa toilette.



Tout en disant cela, elle se déshabilla et entra nue sous la douche. Paul en resta un peu « bouche-bée », et admira au passage sa généreuse poitrine et sa touffe, châtain comme ses cheveux. Une chose pourtant était inhabituelle, qu’il n’arrivait pas à déterminer. Il finit par trouver. Elle avait un bronzage intégral sans aucune trace de maillot !



Un peu gêné, Paul entra à son tour sous la douche. Hélène, elle, toujours nue, se brossait les dents.



Ils rentrèrent chacun dans leur lit dans le plus simple appareil.



La nuit fut bonne en effet, chacun dormit du sommeil du juste.


Le lendemain, ils arrivèrent à Motril parmi les premiers, à midi et demi. Un véhicule de l’organisation attendait et les accueillit. Il les fit se ranger avec trois autres déjà arrivés. Lorsque le groupe atteignit dix, ils embarquèrent. À Melilla, ils reçurent leur road-book et une puce téléphonique pour les appels à l’intérieur du Maroc. Première étape, Oujda, mais en grande partie en empruntant les pistes. Celles-ci n’étant pas trop difficiles, Paul laissa le volant à Hélène afin qu’elle se remette de son échec du stage de conduite (voir épisode précédent). Ils passèrent entre autres par le Djebel Bou Ismara. L’hôtel était situé dans la médina. Arrivés assez tôt dans l’après-midi, ils en profitèrent pour visiter un peu celle-ci, en particulier la Medersa.


L’hôtel s’avéra très confortable, pour ne pas dire luxueux. Cette fois-ci la salle de bain était séparée. Pour autant, Hélène se déshabilla avant d’y entrer. Pour elle la nudité allait de soi… Paul ne put s’empêcher de regarder la taille de son soutien-gorge, 90D, cela confirma ses impressions. Ils profitèrent bien du confort du moment, car le lendemain ils devaient dormir chez l’habitant. Et pour cause, le parcours s’avéra somptueux, mais les hébergements inexistants. Les vingt équipages étaient répartis entre quatre familles qui mettaient à leur disposition leur « salon ». Celui-ci était bordé de banquettes servant de couchettes. Cette fois-ci, pas question de dormir nus… Ce confort sommaire fut largement compensé par un délicieux repas. Au menu, couscous bien sûr, mais pas celui que l’on peut connaître en France ! Paul, en échange, distribua aux enfants des stylos et des cahiers, ainsi que quelques ballons de foot. Il avait emporté, à l’insu d’Hélène, un bon stock. Celle-ci fut surprise, mais enchantée. Elle se reprocha à elle-même de ne pas avoir pensé à ce genre de chose.


Le lundi, direction Marrakech, pour deux nuits, toujours en grande partie par les pistes. Paul prit le volant en main, afin de faire une surprise à Hélène. Il parvint à arriver à seize heures et se dirigea immédiatement vers le palais de la Bahia. Celle-ci fut émerveillée.



Elle le prit par le cou et lui fit deux grosses bises, une sur chaque joue.



Le soir ils partagèrent une table avec d’autres équipages et restèrent à l’hôtel pour assister à un spectacle de chants et danses.

Le lendemain matin, visite des palais Saadiens et de la Médersa. Après-midi consacrée à « se perdre » dans la médina. Sans oublier de visiter en passant le musée de Marrakech situé dans un magnifique palais. Un autre couple, avec lequel ils avaient sympathisé, s’était joint à eux. Paul conseilla à Hélène de ne rien acheter, d’autres endroits étant plus intéressants à cet égard. Elle ne put s’empêcher pour autant d’acquérir quelques « babioles ».

Ils revinrent à l’hôtel, bien fatigués de leur journée, vers dix-neuf heures. Douche puis dîner et dodo pas tard. Le lendemain matin, Hélène passa beaucoup de temps aux toilettes. En sortant, elle dit :



Deux journées chargées, avec bivouac, les attendaient. En effet, ils devaient rejoindre Merzouga par les pistes, en passant entre autres, par les gorges du Dades, de Todra et par le village de Tamttatouchte.

Pendant ces deux jours, ils vinrent au secours de deux autres équipages. L’un en panne de carburant, Paul avait pris la précaution de se munir de deux bidons de vingt litres, et l’autre victime d’une crevaison.

Les « soirées bivouac » furent agréables, autour de feux de camp, et l’occasion de faire plus ample connaissance avec les autres personnes ainsi que pour Paul de continuer ses distributions de fournitures scolaires. Chaque matin, Paul retrouva Hélène collée à lui, il est vrai que les nuits dans l’Atlas sont fraîches…


Ils arrivèrent enfin à Merzouga, où ils allaient retrouver un hôtel. Mauvaise surprise, leur chambre ne comportait qu’un lit. Paul se rendit à l’accueil et indiqua qu’il avait demandé une « chambre twin ». L’hôtel n’en comportait pas. Il demanda à avoir une deuxième chambre, mais c’était complet. Il transmit l’information à Hélène.



Ils en restèrent là. Le dîner s’avéra moyen, mais très convivial et s’éternisa un peu, les équipages commençaient à nouer des liens et sur commande ils purent avoir du vin. Certains abusèrent un peu. Un toast fut porté en l’honneur « des sauveurs Hélène et Paul » pour leurs coups de main.


Arrivés dans la chambre, Paul annonça qu’il allait dormir sur le tapis.



Le débat était clos et c’est ainsi qu’ils se retrouvèrent allongés côte à côte.

Paul faillit s’endormir rapidement, mais la douce chaleur féminine le tint éveillé et lui provoqua même une érection. Il attendit, mais elle ne passait pas. La respiration régulière d’Hélène lui fit penser qu’elle était endormie, il se mit alors à se masturber.

Au bout de cinq minutes, il sentit une main se poser sur son abdomen.



La main d’Hélène descendit sur sa verge, elle commença par lui agacer le méat, puis fit tourner son frein entre le pouce et l’index. Paul tendit sa main vers le bas ventre d’Hélène.



Paul ne se le fit pas répéter, et posa sa main à l’intérieur de la cuisse, là où la peau est la plus fine et la plus douce. Hélène poursuivit son « œuvre ». D’une main elle tira le prépuce très loin en arrière, et de l’autre, largement humectée de salive, elle commença de lents va-et-vient. Elle accéléra. Paul trouva la « méthode » un peu douloureuse, pour autant, il ne tarda pas à éjaculer dans un grand râle. Hélène laissa sa main, pleine de sperme, en place.



Le lendemain, dans les dunes, Hélène aborda d’elle-même le « sujet ».



Ils passèrent ensuite à d’autres sujets.

L’excursion dans les dunes les mena jusqu’à l’ancienne piste du « Dakar ». Puis ils mirent deux jours à rejoindre Agdz. Pendant ces deux nuits, ils dormirent sous des tentes collectives, à nouveau dans le même lit, il ne se passa rien…

À Agdz ils retrouvèrent le confort dans une chambre d’hôte. La leur était équipée de deux grands lits. Au coucher, Hélène s’approcha du lit de Paul et l’embrassa sur les lèvres.



Hélène rejoignit son lit.


Le lendemain fut consacré à la visite d’Agdz, en particulier ses Kasbahs.

Ils avaient ensuite une journée complète pour descendre la vallée du Drâa jusqu’à Mhamid afin de pouvoir visiter. Paul fit prendre à Hélène, qui conduisait, la piste parallèle à la route principale afin de mieux découvrir les oasis, les villages, ainsi que le défilé de l’Azlag. Paul fit faire en particulier une pause à Tamegroute, afin de visiter la bibliothèque et voir les potiers. Hélène regretta d’avoir acheté des poteries à Marrakech…


Les équipages furent répartis dans différents hôtels à Mahmid. Ils retrouvèrent une chambre twin.

Les deux jours suivants furent consacrés à profiter et traverser le désert. L’hébergement se faisait en bivouac collectif, par tentes de huit lits. Hélène et Paul durent partager le même. La deuxième nuit, des soupirs et gémissements leur parvinrent depuis le lit voisin. Paul sentit alors la main d’Hélène sous son tee-shirt, puis descendre dans son caleçon qu’elle fit glisser. Elle l’attira alors à elle puis se tourna sur le côté, une jambe repliée le long de son torse. Paul comprit le message et vint se coller à elle. Il passa une main sous sa nuisette afin de lui caresser les seins puis présenta sa verge à l’entrée de son sexe. Tout doucement, Hélène se pénétra puis entama de doux et lents va-et-vient. Ils poussèrent tous deux des gémissements étouffés. Paul présenta un doigt devant la rosette d’Hélène, mais celle-ci se déroba. Ils gardèrent un lent rythme, leur union dura longtemps avant qu’ils n’atteignent simultanément l’orgasme et sombrent, enlacés, dans le sommeil.

Le lendemain matin, le couple voisin leur demanda avec un grand sourire.



En cours de route vers Foum-Zguid, Hélène ne put s’empêcher de dire :



C’était en effet le dernier jour du raid. Une grande soirée était prévue, avec festin arrosé, chants, danses et animations variées. Elle se termina très tard, et ils furent heureux de dormir chacun dans leur lit.

De Foum-Zguid, ils se rendirent à Tata par la route, en faisant un petit crochet par le désert, il n’y avait pas grand-chose à voir mais ils avaient envie de garder encore un peu cette atmosphère particulière du grand sud. Arrivée à l’hôtel, Hélène déclara qu’il n’y avait plus besoin de chambre twin. Le soir, une fois couchée, elle vint s’allonger sur Paul et lui dit :



Et elle s’empala sur lui. Elle se redressa, en appui sur ses bras, et partit dans un rythme effréné. Elle émettait de nombreux gémissements et petits cris. Elle était très expressive ! Paul put admirer le balancement de ses seins et lire sur son visage l’intensité du plaisir lorsqu’elle atteignit l’orgasme dans un grand cri. Elle s’effondra alors sur lui. Ils restèrent ainsi un long moment, lui toujours fiché en elle.




Il la fit mettre à quatre pattes afin de la prendre en levrette et la pénétra d’un coup. Elle poussa à nouveau un grand cri puis un autre lorsque Paul lui inséra un doigt dans l’anus. Cette fois-ci elle ne s’était pas dérobée.

La chambre était emplie de « oh », « ah », « oh oui »… Avec un grand cri, Paul finit par se vider tout au fond de son vagin.


Quelque temps après, ce fut Hélène qui rompit le silence.



Le lendemain, ils arrivèrent dans les gorges d’Aït Mansour, puis se rendirent à Tafraoute dans une chambre d’hôte connue de Paul, où ils dégustèrent un excellent couscous berbère. Pendant ces trois nuits, bien que partageant le même lit, il ne se passa rien.


Direction ensuite Id-Aïssa que Paul avait présenté comme un « petit paradis ». Là encore, chambre d’hôte. Ils arrivèrent un peu tard, et firent simplement le tour du village. Ils rencontrèrent le maître d’école et Paul lui donna ses deux dernières caisses de fournitures scolaires et distribua ses derniers ballons. Pour le deuxième jour, ils avaient décidé de randonner jusqu’aux sources chaudes, munis d’un pique-nique. Ils déjeunèrent au bord ce celles-ci, puis eurent envie de se baigner. Paul avait bien scruté les environs pour s’assurer qu’ils étaient seuls. Ayant oublié leurs maillots de bain, ils se baignèrent nus. Jouant comme des adolescents, leurs corps se frôlèrent et l’envie leur vint de faire l’amour, en pleine nature et dans un cadre idyllique. Paul prit la main d’Hélène, et l’amena sur ses fesses. Celle-ci comprit et lui enfonça le majeur dans l’anus. L’érection et le plaisir de Paul n’en furent que plus forts.

Sur le chemin du retour, ils trouvèrent, assise sur le bord du chemin, une jeune Marocaine en pleurs.



Paul la prit sur son dos, Hélène se chargeant des sacs à dos. L’accueil au village fut chaleureux. Malheureusement, il n’y avait pas de médecin sur place. Paul proposa d’emmener la jeune femme à la « ville » la plus proche.



Paul insista, et ils partirent tous deux, accompagnés d’Hélène et de la mère de la jeune femme. Le médecin n’était qu’à une demi-heure en voiture. Paul régla la consultation, c’était une bonne entorse, et il acheta aussi une chaussure orthopédique.


Au retour, la mère invita Hélène à se rendre au hammam du village le lendemain en soirée, c’était le « jour des femmes ».



Leur hôte, informé de ce qu’ils avaient fait, leur offrit une nuit en demi-pension.



Pour leur dernier jour sur place, ils visitèrent les deux Agadir. Les gardiens ne voulurent en aucun cas de leurs pourboires, comme quoi les nouvelles allaient vite ! Paul n’insista pas trop, il sentit qu’il allait les vexer. Par contre il leur donna de l’argent pour contribuer à l’entretien des édifices, ce qui fut accepté.

En revenant, Hélène se rendit au Hammam. Pendant ce temps, Paul partagea un thé à la menthe avec quelques villageois. Ils se retrouvèrent pour le dîner. En se couchant, Paul constata qu’Hélène était entièrement épilée.



La « nouveauté » avait bien excité Paul, il prit Hélène dans ses bras et ils eurent une fougueuse étreinte. Après l’amour, Paul osa dire à Hélène :



­ Vous savez, avec ma femme nous le faisons régulièrement. Quand je l’ai rencontrée, j’avais vingt-deux ans, et elle un peu plus de dix-sept. Elle ne supportait pas la pilule et nous ne voulions pas nous limiter à une semaine par mois. Alors, cela a été notre moyen de contraception pendant dix ans. Elle y prenait un tel plaisir, que même après notre premier enfant, alors qu’elle avait un stérilet, nous avons continué, et que j’ai moi-même eu envie d’essayer avec un gode-ceinture. Je peux vous affirmer que le plaisir est incomparable.



Ils en restèrent là.


Ils avaient décidé de rejoindre Tiznit par les pistes. Un habitant d’Id-Aïssa, qui devait s’y rendre, leur avait proposé de leur servir de guide. Cela prendrait deux jours au lieu d’un, mais l’occasion était unique. En cours de route, ils purent visiter d’autres Agadir. La nuit chez l’habitant fut très sage. Paul se demanda s’il n’était pas allé un peu loin.


À Tiznit, ils achetèrent des bijoux, ils y sont très beaux. Paul offrit un collier à Hélène, cette dernière acheta pour sa fille un autre collier que Paul compléta avec des boucles d’oreille.

Ils se procurèrent également des babouches et de l’Amlou, ces deux produits étant fabriqués sur place. Pendant la nuit, bien que partageant le même lit, il ne se passa à nouveau rien.


Ils avaient fixé leur dernière étape marocaine à Fez. Le parcours fut un peu long, et en arrivant ils se contentèrent de dîner et de dormir, côte à côte et sans effusions. Le lendemain, ils visitèrent la ville et allèrent au souk. Le cuir leur plut beaucoup, Hélène choisit un pantalon en cuir, que Paul s’empressa de lui offrir. Elle acheta deux vestes, l’une pour son fils, et l’autre pour son mari, ainsi qu’un blouson pour sa fille. Paul se contenta d’une (belle) ceinture. Peu dire qu’ils eurent un « bon prix ».


Ils se couchèrent à nouveau tôt, Paul étendit le bras vers Hélène, qui ne le repoussa pas. Ils échangèrent des câlins. Paul vint se positionner derrière Hélène et la fit mettre en levrette. Il arrêta son coït avant qu’Hélène n’atteigne l’orgasme.



Il se positionna un peu plus haut.



Et il appuya légèrement son gland sur sa rosette.



Paul appuya alors un peu plus fort, et lorsque son gland eut forcé le sphincter, il s’arrêta. Après quelques minutes, c’est Hélène elle-même qui poussa un peu plus loin. Paul commença de lents va-et-vient à chaque fois un peu plus profonds, Hélène poussait des gémissements. Lorsque son pubis rencontra les fesses d’Hélène, il savait que la partie était gagnée. Il accéléra alors et les gémissements devinrent de petits cris, mais de plaisir. Le niveau sonore augmenta lorsqu’il fit coulisser sa verge sur toute sa longueur. Ils ne tardèrent pas à simultanément pousser un grand cri lorsqu’il éjacula tout au fond de l’anus. Hélène s’effondra à plat ventre, Paul toujours fiché en elle. Il mit du temps avant de se retirer, son érection ne retombant que lentement.



Et il l’embrassa dans le cou. Ils s’endormirent presque aussitôt.

Une longue étape les emmena le lendemain jusqu’à Grenade. Le soir, Hélène dit :



Cette fois-ci leur étreinte fut beaucoup plus longue.


Le lendemain matin, Hélène proposa de remonter l’Espagne sur deux jours. Cette étape supplémentaire leur donna l’occasion de pratiquer à nouveau la sodomie.



Lorsqu’ils arrivèrent en fin d’après-midi chez Hélène, ils furent accueillis avec des débordements de joie. Les effusions furent suivies de la distribution des cadeaux et d’un bon repas, bien arrosé, que Charlotte avait absolument voulu préparer pour « maman et Paul ».


La soirée ne se prolongea pas trop, François indiquant qu’il devait se lever tôt le lendemain. En fait, il était pressé de retrouver sa femme comme en témoignèrent tous les indices que perçut Paul à travers la cloison, et ce jusque tard dans la nuit…


Le lendemain matin, Paul eut la bonne surprise de voir qu’Hélène l’avait attendu pour lui dire « au revoir ».



Et il chercha à l’embrasser sur la bouche. Elle le repoussa sans violence.




Trois mois plus tard, Paul reçut un mail « j’ai fait un rejet de stérilet ».