n° 22479 | Fiche technique | 19577 caractères | 19577Temps de lecture estimé : 14 mn | 17/06/24 |
Résumé: Pensant préserver son couple, Nicolas accepte de passer une semaine avec la maîtresse de sa femme, naviguant à vue dans des situations qui défient toutes ses attentes. | ||||
Critères: fh fbi extracon gros(ses) groscul lunettes campagne amour jalousie fdanus hdanus hgode jouet jeu | ||||
Auteur : Rainbow37 Envoi mini-message |
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Résumé des épisodes précédents :
Nicolas a surpris sa femme au lit avec sa collègue Patricia. Pour préserver son couple, il a accepté de passer une semaine de vacances avec Patricia en se faisant passer pour son petit ami. Mais à naviguer entre plaisanteries et vérités inconfortables, Nicolas est confronté à un ultimatum de Patricia.
Ce matin, je me réveille à nouveau avec Patricia contre ma peau. Mais je vais vous la faire courte, elle a eu froid, le chant des petits oiseaux, le soleil, et tout ça… Non, ce qui m’importe, c’est ce qu’il y a dans la valise de Patricia, je ne peux toujours pas concevoir que l’objet redouté puisse finir dans mon fondement avant la fin de la semaine, et d’ailleurs avant la fin des temps non plus. Ma pauvre Karinette, si tu savais dans quoi je me suis fourré…
Notre matinée est dédiée à une promenade à travers les champs avec Patricia, en compagnie de son père et d’une tantine. L’attitude de Patricia est nouvelle, elle ne cesse de se coller à moi à la moindre occasion, comme si elle me cherchait intentionnellement. Je me doute qu’elle a remis le plug, mais ce matin, je n’ai pas osé vérifier dans la valise avant de partir, et vous savez très bien pourquoi.
Et la grosse qui continue de m’asticoter… Bon OK, elle aime jouer, alors on va jouer ! Alors que son père et tantine s’arrêtent pour admirer les champs, je me positionne à côté de Patricia. Sans en avoir l’air, je pose délicatement ma main sur son gros fessier pour le caresser. Aucune réaction de sa part… mais une demi-molle pour moi, merde je devrais éprouver du dégoût à la palper, on va dire que c’est une réaction mécanique. Reprenons, je dois la faire craquer devant son père et tantine, du nerf ! Avec les doigts je trace lentement son sillon culier, toujours rien, à ma grande surprise, Patricia ne réagit pas du tout. Elle ne l’a pas enfilé ce matin !?! Oh non, elle me le réserve peut-être !
Je fais quoi maintenant ? Je continue ? Je descends plus bas ? Maintenant que j’ai commencé… Ma main arrive à la jonction de ses cuisses et je sens enfin quelque chose de métallique à travers le tissu de son pantalon. C’est la base évasée du plug, un peu comme la partie émergée de l’iceberg. Je souris en sentant cette confirmation, elle l’a bien remis et entre nous, il est mieux là qu’à l’endroit que vous pensez. Mais je reste attentif à la réaction de Patricia.
Alors, j’exerce une pression délicate sur la base du plug, le faisant légèrement bouger à l’intérieur de son séant. Cette fois, je perçois une réaction chez elle, une légère tension dans son corps suivie d’un soupir étouffé. Patricia ferme les yeux un instant, puis elle se penche légèrement en avant, comme pour se stabiliser, mais aussi pour apprécier ce plaisir discret que je lui offre. C’est pas du tout ce que j’attendais, pire ça me fait bander, voilà que mon corps me trahit alors que j’ai des pannes de désir pour ma propre femme. Patricia vient contre moi, nos corps l’un contre l’autre, alors elle soupire à mon oreille, ce qui ajoute un peu plus à mon excitation.
Je rumine intérieurement après les mots de Patricia, et je rentre en traînant des pieds pour marquer mon mécontentement. Moi, je n’ai pas hâte du tout, mais alors pas du tout. Ça l’amuse vraiment de jouer avec mes nerfs, avec ses petits rires et ses regards malicieux ne font qu’accroître mon angoisse. Beau papa et tantine n’ont rien vu de notre manège discret, regardant les poteaux électriques au milieu des champs ou les avions dans le ciel.
De retour à la maison, elle recommence à tourner autour de moi avec son sourire espiègle, finissant par me prendre la main.
Une fois à l’intérieur, elle ferme la porte derrière eux et adopte un ton plus sérieux.
Mon cœur bat plus vite tandis que Patricia retire ses vêtements, avant de s’allonger sur le lit. J’ai un peu de mal à concevoir qu’une femme normale puisse s’afficher nue devant un homme qu’elle connaît à peine sans être payée, mais c’est bien ce qu’elle fait en me dévoilant sans pudeur son intimité pour la première fois. Un frisson de surprise me parcourt l’échine alors que j’essaie de dissimuler mon étonnement : la taille inhabituellement grande du clitoris de Patricia. Il est plus développé que le petit et discret trésor anatomique de la plupart des femmes que j’ai connues ou même vu dans le porno. Même sa fente a des lèvres particulièrement grandes, quelle femme étrange ! Patricia prend un coussin et l’appose sous elle pour que ses hanches soient légèrement surélevées, ainsi je peux clairement voir la base du plug niché entre ses fesses. Avec précaution, elle applique le lubrifiant autour de la base du jouet.
Je ne vous dis pas l’impression étrange que me font ses mots sublimes alors que je me prépare à jouer de mes doigts glissants et tremblants sur son trou de balle. Je prends alors une profonde inspiration et commence à tirer lentement le jouet en métal, sentant la résistance de ses muscles internes. À mesure que le plug glisse vers l’extérieur, l’anus de Patricia se dilate autour de lui. Sa respiration s’accélère, entrecoupée de gémissements et d’appréciations de ce moment particulier.
Lorsque la grosse partie centrale du plug jouet est presque entièrement sortie, Patricia laisse échapper un long gémissement grave, à la fois de soulagement et de plaisir. Je continue à tirer délicatement jusqu’à ce que l’ensemble soit complètement retiré. Alors j’observe avec fascination la rondelle dilatée de Patricia se contracter, restant légèrement ouverte pendant un instant. Je pose délicatement le plug sur une lingette désinfectante que Patricia m’avait posé sur le côté. Elle le nettoie soigneusement avant de se relever pour le ranger dans sa valise.
Nous descendons ensuite rejoindre ses parents pour le repas, Patricia affichant un sourire radieux, comme si de rien n’était. Moi je tente de retrouver mon calme, me demandant si je pourrais jamais m’habituer à ce genre de situation.
Le reste de la journée est d’une normalité ahurissante après les évènements du matin, je ne sais pas si c’est feint ou si c’est une question d’habitude, mais Patricia semble cloisonner facilement ses moments de plaisir intime avec le reste de ses activités. Pour moi, c’est plus compliqué comme vous pouvez l’imaginer, je ne cesse de cogiter, surtout à l’approche de la soirée et ce premier « entraînement ».
Alors je m’attarde un peu au moment du coucher, repoussant l’échéance, discutant avec le père de Patricia ou traînant un peu devant la télé. Puis je me résigne à monter pour me coucher en espérant que mon « coach » soit déjà en train de dormir. Raté, elle m’attend avec un livre qu’elle pose avec un sourire narquois à mon arrivée.
Je sens mon cœur s’accélérer tandis que je me dirige vers la salle de bain. Sous la douche, je suis fébrile, je me rassure en me disant que c’est une blague, ça va pas arriver et… Non, tout ça semble si bien préparé et ordonné dans l’esprit de Patricia jusqu’à finir par m’empaler, ça va forcément arriver. Alors me vient une idée en tête, combattre le feu par le feu, et anticiper. J’essaie de m’insérer un doigt, oui vous rigolez mais pour une première si vous voulez que quelque chose soit bien fait, faites-le vous-même. Je ne m’attendais à rien, mais je suis quand même déçu, je trouve ça compliqué d’accéder à mon… ce que vous savez, et ça devient vite désagréable une fois trouvé. Merde, c’est pourtant qu’un doigt. Comment pourrais-je accueillir un objet de la taille de ce plug ? L’idée seule me terrifie.
Quand je reviens dans la chambre, Patricia est assise sur le lit, le tube de lubrifiant à la main. Elle me fait signe de m’asseoir au milieu du lit et d’écarter les jambes. Je tergiverse, mal à l’aise.
Cherchant une autre excuse, je bafouille.
Elle applique une généreuse quantité de lubrifiant sur son doigt alors que je ferme les yeux, écartant les jambes avec une résignation mêlée de curiosité. Le liquide froid sur mon anus provoque un frisson intense, je laisse retomber ma tête sur l’oreiller, m’abandonnant à ses désirs et anticipant la douleur. Patricia commence à jouer doucement autour de ma rondelle, éveillant des sensations nouvelles et surprenantes.
Elle insère délicatement son doigt, explorant lentement. Je ressens d’abord un mélange d’inconfort et de curiosité, puis il se passe une chose étrange, mon corps réagissant malgré moi. C’est différent par rapport à ce que j’ai ressenti sous la douche, et je devrais pas vous le dire, mais ça fait presque du bien. Patricia pouffe de nouveau.
Ah ouais… Je n’avais même pas remarqué. Soudain, je sursaute en sentant la main libre de Patricia écarter la mienne pour s’emparer de mon sexe et commencer à me masturber. Ses gestes sont bruts et dénués de sensualité, mais mes sensations deviennent progressivement plus agréables, jusqu’à ce qu’elle touche un « interrupteur magique » avec son doigt sondeur. Mon sexe pulse d’un coup, et je sens une vague de plaisir inédite m’envahir, alors je la réprime pour retirer toute satisfaction à Patricia. Mais je suis surpris par l’intensité de l’orgasme, je sens bientôt cette chaleur du sperme que j’éjacule en jets généreux sur mon ventre.
Sous le regard complaisant de Patricia, je me sens pourtant mal à l’aise. Ce plaisir nouveau me trouble, l’identité de celle qui me l’a procuré me déconcerte d’autant plus, alors je me dépêche de me lever pour aller sous la douche et me nettoyer. Lorsque je reviens dans la chambre, Patricia est tranquillement en train de lire, comme si de rien n’était. Je n’ose lui parler et finis par m’allonger à côté d’elle, le cœur encore agité par l’expérience, avant de m’endormir rapidement.
Le lendemain matin, je me réveille tout sourire, me sentant incroyablement bien et léger. Je me demande si cette sensation de bien-être est due à « l’entraînement » de la veille. Mince, et si j’avais vraiment aimé ça ? Vous ne pouvez pas imaginer comment cette pensée me surprend et me trouble à la fois. Je n’ose penser à la réaction de ma Karinette si elle découvrait ça.
Patricia se réveille progressivement à côté de moi, puis elle se lève pour aller à la douche. Lorsqu’elle revient, je m’apprête à y aller à mon tour, mais elle m’arrête, un sourire en coin.
Je ne proteste pas, alors elle me donne le tube de lubrifiant et se met à quatre pattes sur le lit. Étonnamment, je n’éprouve plus la même appréhension qu’auparavant, ni de dégoût à devoir toucher son corps.
Voilà, vous avez la recette du bonheur selon Patricia, amusez-vous bien. Moi, je m’applique à bien suivre ses instructions, fasciné par la manière dont son corps répond à mes gestes. C’est avec un certain émerveillement que je stimule doucement les sphincters de Patricia, les sentant se détendre sous mes doigts. Les gémissements de Patricia me paraissent comme des injonctions à faire durer le moment.
Lorsque j’enfonce enfin le plug, je suis subjugué par la dilation de Patricia, trouvant une beauté inattendue dans cette exploration des capacités physiques du corps humain. Reste une surprise, lorsqu’après avoir engagé la plus grosse partie du jouet, je vois le corps de Patricia qui aspire sans mon aide le reste de l’objet comme s’il le dévorait. Une fois le plug bien en place, Patricia se retourne, un sourire de satisfaction sur les lèvres, appréciant les sensations de son corps qui s’adapte à l’engin.
Je regrette un peu que nous restions à la maison ce matin, car j’aurais aimé torturer Patricia avec son jouet. Cependant, je ne rate pas l’occasion de le lui bouger le plug discrètement dès que je peux pendant la matinée, savourant les petites réactions qu’elle ne peut plus me cacher. Chaque pression, chaque soupir partagé nous rapproche d’une manière que je n’aurais jamais imaginée. Euh… Je viens vraiment de penser ça ?
Toute la journée, je ne pense qu’à une chose : mon deuxième entraînement. L’anticipation me rend nerveux et excité à la fois, mince, je déraille ? Qu’est-ce qu’il m’arrive ? Lorsque le soir arrive enfin, je me précipite sous la douche pour me préparer. J’essaie à nouveau de m’explorer, mais décidément, les sensations ne sont pas les mêmes sans les attentions expertes de Patricia. Je suis également déçu de ne pas trouver ma propre prostate, alors que Patricia l’a très bien fait dès la première fois.
Je la rejoins dans la chambre, prêt pour ce qui va suivre. Enfin pas tant que ça.
Je m’exécute, mais je trouve très vite cette position un peu humiliante, avec mon cul offert, vulnérable. Je m’attends à sentir la fraîcheur du lubrifiant, mais là encore, Patricia me surprend et commence à me caresser à cru. Je me fige lorsque ses mains s’emparent de chacun de mes globes fessiers, les étirant doucement. Puis, je suis surpris par une sensation humide et chaude qui me parcourt l’anus : la langue de Patricia.
Elle explore ma rondelle avec des coups de langue lents et appuyés, faisant des cercles, entrant parfois légèrement. Je suis étonné par l’intensité du plaisir que cela procure, bien plus fort que ce que je ne l’aurais imaginé. Allez, je vous l’avoue, je commence vraiment à aimer ça. Aimer chaque coup de langue qui enflamme mes nerfs, aimer chaque filet de salive qui descend sur mes cuisses. Puis, soudainement, Patricia arrête et me donne une claque sur les fesses.
Je suis presque déçu qu’elle ait arrêté si brusquement, me surprenant à penser que j’aurais aimé venir avec sa langue dans mon fondement, quitte à masturber moi-même mon sexe bien dur pour une fois. Patricia fouille dans sa valise et revient avec un jouet que nous n’avons jamais utilisé : la tige en métal arquée avec des boules de diamètres différents à chaque extrémité. J’ai un réflexe de recul et je resserre les jambes, comment va-t-elle l’utiliser sur moi ? Et quel bout va-t-elle me mettre, le petit ou le grand ? Je la regarde lubrifier la plus petite extrémité, ce qui me rassure un peu malgré tout. Puis elle joue à le faire parcourir entre mes cuisses, sur mes bourses, sur mon sexe, guettant mes réactions avec attention. Non, je ne vais pas vous dire que ça m’excite.
Enfin, Patricia pose l’extrémité sur mon anus et flâne un peu dessus avant de pousser l’objet en moi. Je ressens une pression croissante, puis un relâchement étrange et intense lorsque mes muscles cèdent pour accueillir l’objet. L’intrusion est inconfortable au début, mais devient rapidement très agréable. Patricia commence à faire un va-et-vient avec le jouet, et soudain, mon sexe se met à pulser, laissant échapper quelques gouttes de sperme sur mon gland. Nous nous regardons tous les deux, étonnés.
Effectivement, je bande toujours alors que j’ai éprouvé un peu de plaisir. Du coup, elle continue d’agiter l’objet en moi tout en attrapant mon sexe pour me pougner énergiquement. Les sensations redeviennent très vite agréables, j’ai envie de m’étendre sur le lit et de fermer les yeux, mais je reste accroché au regard habité de Patricia. Mon sexe pulse plus intensément et je jouis pleinement cette fois en grimaçant sous le poids de l’orgasme. La vision de la main de Patricia pleine de mon sperme qui continue de me travailler ajoute à mon excitation alors qu’elle s’évertue à m’extraire mes dernières gouttes de plaisir.
Alors que je retourne sous la douche, j’ai du mal à comprendre tout ce qu’il vient de se passer. Les nouvelles sensations, la manière dont mon corps a réagi, tout cela me laisse perplexe, mais aussi curieusement satisfait. À mon retour, Patricia semble déjà dormir. Je reste un instant perdu dans mes pensées, l’observant alors qu’elle me tourne le dos, contemplant le rythme régulier de sa respiration. J’éteins la lumière, plongeant la pièce dans l’obscurité, prêt à dormir.
Je ne saurais vous expliquer pourquoi, mais je fais quelque chose que je ne peux réprimer : je me colle à son corps froid pour me lover contre elle, l’entourant d’un bras protecteur. Patricia réagit doucement, posant sa main sur mon bras dans un geste que je n’arrive pas à identifier. Est-ce de l’attention, ou quelque chose de plus profond, plus intime ? La réponse reste suspendue dans l’air, mais pour l’instant, je me sens tellement bien.