n° 22507 | Fiche technique | 11804 caractères | 11804 2011 Temps de lecture estimé : 9 mn |
02/07/24 |
Résumé: Mon épouse chérie me fait m’exhiber – et plus – devant ses amies. | ||||
Critères: fffh couplus exhib | ||||
Auteur : dodo40 Envoi mini-message |
Amour aime s’exhiber : j’ai raconté quelques anecdotes à ce sujet.
Mais un jour elle me dit que c’est injuste :
À poil est une façon de parler car, si Amour est épilée totalement par son esthéticienne, moi aussi, c’était rare il y a vingt ans, je me rase intégralement.
Quand Amour est décidée comme ça, inutile d’essayer de lui résister, même si ses idées m’inquiètent un peu parfois !
Le vendredi en question, exécution donc ! J’aime bien être nu, à la maison comme ailleurs, donc pas de problème de ce côté-là. Seule inquiétude : qu’a-t-elle prévu ?
Dix-neuf heures trente, la voilà. Elle n’est pas seule bien sûr : elle rentre et m’appelle, je vais dans l’entrée et me trouve devant Ja-Nique, notre initiatrice libératrice qui nous connaît bien, mais aussi devant Françoise, la femme d’un copain de tennis et deux autres nanas inconnues.
On peut compter sur Ja-Nique dans ces situations. Elle s’empresse de dire :
Françoise en rajoute :
Silence et sourire chez les deux inconnues.
Françoise et elles ont la même quarantaine d’années que nous. Toutes sont jolies, moins qu’Amour bien sûr, mais je ne suis pas objectif ! Ja-nique est égale à elle-même, un peu plus jeune, mince et grande, elle sait se mettre en valeur et en profiter.
Ja-Nique vient vers moi, me prend la queue et en la secouant doucement m’embrasse sur les lèvres en disant bonsoir beau mâle. Elle exagère, mais ses secousses me rendent de plus en plus beau !
Françoise m’embrasse à son tour, bien plus sagement, comme celles qu’Amour me présente comme Clémence et Marion, des copines de gym.
Amour joue à la chef : puisque tu as voulu être à poil, tu vas y rester toute la soirée et nous servir.
Me voilà donc nu, en quasi érection devant cinq jolies femmes et « condamné » à rester ainsi exhibé tant qu’Amour voudra.
Elle me demande de leur servir l’apéritif. Un majordome anglais a-t-il imaginé un jour être dans une telle situation ?
Ja-Nique continue à tirer sur non pas la corde, mais sur ma bite chaque fois que je m’approche d’elle. Comme Amour en fait autant, ses copines sourient et s’interrogent visiblement sur ce qui est permis !
C’est gagné, je bande comme un âne… Enfin, c’est une image un peu prétentieuse pour le format !
Françoise est nettement la plus à l’aise : son mari lui a raconté le passage d’Amour nue devant eux et elle est moins surprise. Elle est donc la première à oser demander si elles aussi peuvent toucher.
Amour explique que je suis le seul à décider :
La balle est chez moi. Enfin, je croyais car Ja-Nique vient encore de me devancer :
Évidemment je ne la contredis pas !
Et l’apéritif continue de façon nettement plus agitée : il faut que je reste debout pour servir ces dames qui ont toujours envie de ce qui n’est pas à portée de leur main. Mais quand j’apporte le plat ou le verre demandé, il y a autre chose à portée de mains ! Jamais ma queue n’a été autant effleurée ou franchement touchée par autant de mains différentes en si peu de temps !
Amour continue à commander :
C’est donc nu, en érection, sous ces cinq paires d’yeux féminins que je sors de quoi faire le pique-nique, qu’Amour avait préparé, des assiettes, des verres… et des bouteilles.
Nous voilà six à table, cinq nanas habillées pour le travail dont elles sont sorties il n’y a pas longtemps et un homme nu… et content de l’être !
La conversation roule sur notre mode de vie et sur la liberté que nous nous accordons. Les trois « nouvelles » ont du mal à y croire, mais Ja-Nique confirme et insiste. Nous en sommes à la quatrième bouteille de rouge. Après l’apéritif ces dames commencent à ne plus être inhibées, plutôt imbibées !
Marion demande alors si Amour accepterait que je la « drague ». Sourire général devant l’euphémisme ! Réponse d’Amour, évidente pour nous :
Amour me demande donc si je peux aider Marion, actuellement célibataire !
Marion est un petit bout de femme de quarante-cinq ans, un peu forte, mais j’aime les formes. C’est le moment de reprendre la main :
Amour et Ja-Nique n’attendaient que ça. Marion sait qu’elle a tout à gagner. Les voilà toutes les trois nues avant que Clémence et Françoise n’aient le temps de s’interroger. Elles suivent.
Jouer ainsi à deux, trois, quatre, c’est rare et formidable. Mais là, cinq jolies femmes devant un seul homme ! Mon cœur va-t-il tenir ? Et les moyens seront-ils suffisants ? Heureusement, prudent, j’ai très peu bu. Jamais je n’avais eu un tel fantasme ! Amour, tu es vraiment formidable d’avoir organisé ça !
Marion s’allonge sur le canapé et attend. Pas longtemps, juste ce qu’il me faut pour enfiler consécutivement un préservatif et son sexe trempé : l’alcool, la situation et l’attente l’ont excitée. Pénétration immédiate, sous les yeux de nos invitées. Amour et Ja-Nique se caressent mutuellement les fesses puis s’embrassent. Françoise et Clémence regardent. En croient-elles leurs yeux ? Le mari de leur copine enfile une amie sous les yeux de sa femme qui s’occupe avec une autre !
Mais je suis prudent : après quelques allers-retours, je ressors pour donner de la langue sur ce sexe inha-bité depuis trop longtemps aux dires de sa propriétaire ! La voir jouir si vite est un plaisir et une fierté.
Amour fait l’entremetteuse :
Et moi de faire la fine bouche :
Sans rien dire, c’est Clémence qui s’installe et, cuisses grandes ouvertes, ouvre un sexe blond, presque sans poils, et sort un petit bouton sensible : dès qu’elle le touche, elle fait un petit bond.
Changement de capote : comment refuser un tel appel ! La pénétration est lente, profonde, régulière et jouissive. Je me retiens tant que je peux, mais non, trop c’est trop. Je triture les seins gonflés et sors. Juste à temps pour enlever le préservatif et juter sur ces seins.
La machine commence à vieillir, mais Ja-Nique la connaît. Elle me laisse un peu de temps et prend en bouche l’appareil qui regonfle comme un ballon. Amour fait l’article :
Ja-Nique sait qu’il ne faut pas abuser des mécaniques sensibles. Elle s’arrête et maintient la pression avec une main.
Oui, Françoise est partante. Mais plus moi !
Amour a compris que ce n’était pas ça. Sans que je ne lui dise rien, elle se positionne derrière Françoise et lèche vigoureusement, en s’écartant le plus possible pour que tous voient bien, sexe et anus, pendant que Ja-nique la caresse
.
Françoise a-t-elle compris ? Elle n’a pas l’air surprise lorsque ma queue, guidée par Ja-Nique, perfore un œillet sombre dont l’ouverture montre qu’il en a vu d’autres !
Pendant ce temps, Amour et Ja-Nique se caressent et s’embrassent. Leurs seins frottent les uns sur les autres. Elles ont eu la bonne idée de se mettre dans mon champ de vision. Le spectacle me maintient en forme.
Que font Clémence et Marion ? Je ne vois pas, mais j’entends des soupirs. Amour me dira plus tard qu’elles se caressaient, d’abord chacune puis mutuellement.
La sodomie est un art difficile et fatigant ! Ça ne tient pas longtemps, du moins pas assez à mon goût. Pourtant Françoise a l’air d’être satisfaite lorsque je lâche son bouton que je triturais depuis le début pour sortir, enlever l’emballage plastique du cadeau et gicler sur les belles fesses de la femme de mon partenaire de tennis !
Ja-Nique et Amour, je « connais » mais pas encore assez Marion, déclencheuse prétendument frustrée de la soirée. Pendant que Françoise et Clémence se touchent doucement leur poitrine respective, je m’approche de Marion. Ai-je été présomptueux ? Ça se pourrait bien… Ce n’est qu’une demie molle qui s’approche de nouveau de ce canon. Décidément les cours de gym sont efficaces, les corps de ces dames sont magnifiques. Mais d’ailleurs, tous les corps sont magnifiques !
Amour sait ce qu’il me faut ! Pendant que je lèche doucement un sexe trempé qui m’attend, elle part dans notre chambre et revient avec notre gode-ceinture qu’elle tend à Ja-Nique. Celle-ci l’attache et me pénètre presque à sec ! L’effet est immédiat : Marion n’a plus à attendre ! Nouvelle pénétration de cette nouvelle « conquête » pour la soirée. Les secousses que m’impose Ja-Nique dirigent celles que je donne à Marion. Clémence a été abandonnée et Françoise, bonne camarade, ne la laisse pas seule. Douces caresses sur tout le corps de Clémence qui semble apprécier cette découverte des caresses féminines. Décidément, Françoise mérite d’être connue ! Seule Amour est inoccupée, elle vient d’une main me caresser le dos, et de l’autre se branle énergiquement.
Quelle soirée ! Un rêve éveillé. Tout ça pour une question d’égalité homme – femme devant l’exhibition ! Certains appellent ça un vice !
Epuisés et comblés, nous nous cajolons tous un peu avant de nous rhabiller et de nous séparer en nous disant, pleins de sous-entendus, « à bientôt ».
Merci, Amour, d’avoir organisé cette soirée. Mais quand, plus tard, je la remercierai, elle répondra que, même si elle n’a pas été pénétrée autrement que par les doigts de JaNique, elle a pris un immense plaisir visuel et intellectuel ! Et elle me pardonnera sans hésitation mon incapacité à combler la lacune qu’elle a donc ressentie. Elle sait que personne, même pas son mari, n’est inépuisable ! Partie remise au lendemain au réveil, entre nous, amoureusement.
Ja-Nique aussi a été un peu négligée, mais nous savons qu’elle se rattrapera vite ! Et d’ailleurs Amour m’affirme que ses caresses ont fait jouir notre amie.
Cette fois c’est sûr, notre réputation est faite dans la ville… Improbable que ces dames ne parlent pas de cette soirée mémorable pour Amour et moi… et nous en sommes sûrs pour elles aussi. Nous serons catalogués dans la catégorie « libertins à tendances homosexuelles » par les sots, dont aucune de nos invitées de ce soir ne font visiblement partie, qui n’auront pas compris que s’aimer autorise tout et que se faire du bien ne fait pas de mal, tant qu’on est entre personnes consentantes !
Et si cette réputation est faite, tant pis ou tant mieux, ce « coming out » nudiste et libertin pourrait être l’occasion d’autres plaisirs. Non, pas « pourrait être » : sera.
La suite un jour peut-être, si vous avez aimé.