n° 22518 | Fiche technique | 53867 caractères | 53867Temps de lecture estimé : 39 mn | 05/07/24 |
Résumé: Après les premiers émois, allons plus loin dans ce qui n’est plus vraiment une belle amitié ! | ||||
Critères: fh extraoffre copains médical vacances plage sport amour voir nudisme noculotte fsodo partouze pastiche délire humour | ||||
Auteur : Cormobin Envoi mini-message |
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Résumé de l’épisode précédent :
Meilleurs amis depuis longtemps, Simon et Clotilde sont devenus un peu plus que cela…
Nous en étions à :
Et soudain, une sonnerie de portable. Celui de Clotilde. Elle prend un air un peu embêté :
Célesse, c’est Célestine, la sœur aînée de Clotilde. Elles ont deux ans d’écart et elles sont très proches. Très très proches. Je connais bien Célesse, c’est au moins une de mes amies, même si je ne la vois jamais sans sa sœur.
XXX
J’ai fait la connaissance de Célestine un soir, chez Clotilde. J’en ai appris beaucoup sur elle ce soir-là. Clotilde m’avait invité à dîner, car elle était seule sans voiture, et qu’elle ne pouvait pas sortir. Quand je suis arrivé, la table était mise, avec trois couverts.
Elle me regarde en souriant, puis elle s’éloigne vers la porte de la salle de bain. Elle crie à travers la porte :
J’entends un « OK » un peu faible derrière la porte. Elle revient vers moi :
Je souris un peu bêtement, et quelques minutes plus tard, j’entends la porte de la salle de bain s’ouvrir, enfin, s’entrebâiller, et une voix, presque celle de Clotilde :
Et je vois arriver, très étonné, mais en fait, pas tant que ça après la conversation, une fille nue. Enfin, pas tout à fait, parce qu’elle a une serviette éponge autour de la tête :
Et elle me claque deux bises. Je reste sans voix.
Célesse se promène un peu. C’est vrai qu’elle ressemble beaucoup à sa sœur. Belle brune, avec la chatte qui va avec, entretenue sans plus. Plutôt mon genre. Elle finit par disparaître et par reparaître habillée quelques instants plus tard.
Ce que je ne savais pas, mais que je n’allais pas tarder à savoir, c’est que le fait d’avoir vu Célestine nue était juste le début des surprises, et pas parmi les plus étonnantes.
Clotilde amène les victuailles, visiblement, une grande salade pour tout le monde. Les deux filles gazouillent et rient. J’ai tout de même l’impression que ma présence les empêche de discuter librement. J’essaie de faire la conversation :
Un blanc, les deux filles se regardent. Sourient. Et finissent par éclater de rire.
Je trouve effectivement l’explication un peu courte. Devant mon air au mieux interloqué, au pire un peu bête, Célesse se lance dans le détail.
Son couple, ses enfants, font d’eux, une sorte de modèle idéal. Des parents aux professions réputées, un garçon, une fille, la famille parfaite. C’est presque le cas, sauf que Célesse est insatisfaite sur le plan sexuel. Et à la fois pour ne pas se faire surprendre en cherchant un amant, et aussi, par pragmatisme, les deux filles ont trouvé un accord très simple. Célesse dit à son mari qu’elle passe la soirée avec sa sœur. C’est parfois le cas, mais le plus souvent, Célesse vient chez Clotilde, lui emprunte des vêtements et sa voiture, et elle part en goguette. Le système semble parfaitement réglé, et maintenant, je suis le seul à connaître la combine.
Comme l’ambiance est détendue, je me risque tout de même à quelques questions :
Je me risque à des questions précises, pour égayer la conversation :
C’est vrai, j’aurais dû m’en douter. Je poursuis dans mon questionnement :
Là, je ne comprends pas, et Clotilde se marre :
Célesse continue son récit. Ils se sont connus quand ils étaient étudiants, et tout se passait bien. Tout se passait même très bien, car Célesse a assez vite été acceptée par le groupe de copains de Cédric. C’était la seule à ne pas faire d’étude médicale. Le groupe se composait de trois couples d’étudiants en médecine, et d’eux. Et bon, les soirées médecine, c’était plus proche de la partouze que de la soirée bingo, enfin, tout dépend de ce qu’on met derrière bingo. Mais Célesse, elle s’y est faite, ça lui a plu, et partouzer avec les copains, ou même avec davantage de monde, ça ne l’a jamais arrêtée. Jusqu’à aujourd’hui, ça continue d’ailleurs.
La situation s’est un peu calmée à la fin des études, mais le groupe des quatre couples se réunit régulièrement, et ça finit en partouze à chaque fois. C’est pour ça qu’elle précisait « tous les deux ». Parce que les partouzes, Cédric apprécie. Et Célesse aussi.
J’hésite à poser des questions. Je surprends un regard entre les deux sœurs :
C’est Clotilde qui répond :
Je me sens vraiment loin de ce genre de pratiques.
C’est pas possible, c’est pourtant simple : quand tu te fais prendre en levrette ou sodomiser, dans une pièce un peu obscure, par plusieurs mecs à la suite, tu ne sais pas toujours qui te pénètre et le mec ne sait pas toujours qui il fourre ou qui il encule, pour faire court. Y en a qui se contentent de vérifier que ce n’est pas un autre mec, ils enfilent une capote (oui, tout de même, c’est obligatoire, on est très strict là-dessus) et hop, ils enculent. Un cul de femme, ça reste un cul de femme. C’est plus compréhensible quand je parle comme ça ? C’est pour ça que je ne suis pas totalement sûre que Cédric n’ait jamais baisé Clotilde. Voilà.
Les deux filles sont littéralement mortes de rire devant mon air ahuri. Je tente une dernière question pour essayer de ne pas paraître totalement idiot :
Pendant le repas, pour ma cul-ture personnelle, elles évoquent leurs meilleurs coups.
Au moment de franchir la porte, Célesse, toujours aussi à l’aise à l’oral, ajoute :
Et sur ce, elle nous dit au revoir. Je me retrouve seul avec Clotilde, un peu sonné. Et c’est Clotilde qui me donne le coup de grâce, quand je suis un peu trop bête avec la question qui suit :
C’était il y a plus de trois ans, mais je m’en rappelle comme si c’était hier.
XXX
Clotilde revient, elle est toujours nue, le téléphone à la main, l’air moins soucieux.
Et donc Célesse nous raconte :
Clotilde me regarde, tristement. Petit silence. Célesse suppute qu’il y a quelque chose et demande :
Et Clotilde éclate de rire :
Clotilde se rhabille, prend ses affaires et s’apprête à partir. Je me rhabille également.
Je raccompagne Clotilde, on plaisante. À la porte, Clotilde me regarde et me fait une petite bise sur les lèvres :
Clotilde fait trois pas dehors. Puis elle se retourne, revient vers moi. Et elle me roule une pelle fantastique, interminable. Elle se colle à moi, toujours en m’embrassant, elle sent que je bande. Elle passe la main entre nous, serre juste ce qu’il faut, puis relâche, s’écarte et s’en va :
Clotilde m’appelle le mercredi soir. Elle commence par me donner des nouvelles de son beau-frère. Il est sorti très tard de l’hôpital, mais ça ne l’empêche pas d’exercer ses activités professionnelles. Célesse lui rappelle qu’il ne faut pas qu’il fasse de bricolage, car il est nul. Enfin, tout le monde a repris une activité normale. Clotilde a passé la nuit chez sa sœur, c’est tout. Elles ont passé pas mal de temps à discuter ensemble, surtout de notre séance sous la douche. Célesse est désolée de nous avoir interrompus. Clotilde lui a raconté, je ne sais pas trop les détails. Je sais quand même qu’elle a dit que je lui avais demandé souvent si je pouvais faire ci, faire ça, etc. Clotilde me remercie de nouveau d’avoir été prévenant, elle a pu ainsi suivre la progression de mon cerveau, en même temps que celle de mes mains sur son corps, et c’était aussi la position de Célesse qui ne supporte pas les mecs qui se croient tout permis. Elle a une amie, Clara, je crois, qui aime bien se faire diriger par les mecs. Elle répète souvent « Moi, un mec qui me demande s’il peut toutes les trente secondes, il entend vite un «non» ». Comme quoi, il y a des nanas qui regrettent l’époque où on ne leur demandait pas leur avis. Quelle mentalité !
Ensuite, elle me raconte ce qu’elle a prévu pour les prochains jours. Elle a réservé au Boyo Hôtel à Capbreton, car elle a un stage de surf : première prise de contact le vendredi soir, petite initiation, et ensuite, le samedi matin, séance de trois heures, à partir de neuf heures. Donc on convient que j’arrive à onze heures à l’hôtel, elle s’assurera de mon accueil, et je la rejoins à l’école de surf pour midi. Ensuite, ce sera restaurant en bord de mer, et le week-end sera pour nous. Je dois juste prendre mes affaires de baignade et de course. Car il faut qu’on aille courir aussi. N’oublions pas nos objectifs sportifs !
Autant j’aime bien la plage et les jeux de mer, de base, autant dès qu’on s’éloigne du rivage, je ne suis pas à l’aise. Quand on me pose des questions, j’explique que je me suis retrouvé face à un requin à Tahiti, mais c’est plutôt le fait d’avoir marché sur des oursins quand j’avais huit ans qui tempère mes ardeurs. Je ne suis jamais allé en Polynésie.
Le samedi matin, je quitte tranquillement mon domicile, et j’arrive comme prévu à l’hôtel. À la réception, j’explique que j’ai une réservation, et je donne mon nom. La réceptionniste a l’air un peu étonnée :
Je comprends à demi-mot, et je prends la clé.
J’arrête de poser des questions. Je monte dans la chambre, et effectivement, il y a les affaires de Clotilde. Un grand lit. Nous voilà mariés, ou presque… Je pose mes affaires, je souffle un peu.
Comme il fait beau, je prends de l’avance et j’arrive vers onze heures trente, et je regarde les groupes de surfeurs. Un homme à côté de moi, un peu plus âgé que moi. Il finit par me demander :
Je me reprends après quelques instants.
Mon voisin sourit :
Je regarde l’océan, mon voisin garde son sourire, mais arrête ses questions.
Je surveille, il y a des petits groupes de surfeurs, j’essaie de repérer Clotilde, mais avec les combinaisons, je n’y arrive pas.
Le premier groupe arrive, une douzaine ou une quinzaine de surfeurs. Quand ils retirent leurs combinaisons, on arrive à distinguer les garçons et les filles. Tous sont en maillot de bain dessous, évidemment, quelques filles sont seins nus. Ambiance jeune et détendue. Clotilde n’est pas dans ce premier groupe.
Les petits groupes se succèdent, toujours le même mode opératoire. On pose les combis, on range un peu, et on remonte.
J’aperçois enfin Clotilde. Je reconnais ses cheveux, et ses seins quand elle enlève la combinaison, car elle est seins nus dessous. Elle lève la tête, elle m’aperçoit. Elle pose aussitôt la combinaison et remonte la plage en courant. Elle arrive sur la jetée, elle court vers moi, et elle me saute dans les bras. Toujours seins nus. Et elle m’embrasse à pleine bouche. Visiblement, je lui ai manqué. Elle me lâche :
Puis elle repart. Mon voisin me regarde, sourit et lâche :
Clotilde rejoint le local de stockage de son club de surf, et me rejoint. Elle a enfilé un petit t-shirt et des tongs :
Elle s’avance et m’enlace :
Puis elle m’embrasse. Nous partons vers l’hôtel, qui est à deux pas. Nous passons devant la réception, les hôtesses sourient.
On arrive dans la chambre.
Je souris. Je la touche. Elle se colle à moi.
Aussitôt dit, aussitôt fait, Clotilde fait valser t-shirt et bas de maillot, et file dans la salle de bain. Elle en ressort cinq minutes plus tard, nue. Je prépare mon sac de plage.
Je continue à sourire bêtement. Que dire de plus ? Je regarde Clotilde, toujours nue, préparer un sac de plage, serviette de bain, crèmes diverses, ses tongs, et effectivement, je ne la vois pas mettre un maillot. Elle enfile une petite robe légère, juste au-dessus des genoux, et des sandales d’été.
Devant mon air mi-amusé, mi-interloqué, elle ajoute :
Nous partons pour Bayonne, petit restau en terrasse, tranquille, le temps est au beau fixe. On se promène, on se tient par la main, on se fait des petits bisous. On s’est déjà beaucoup promené ensemble, depuis des années, mais pas avec cette intimité physique. Je la tiens par la taille, je me hasarde à lui caresser la hanche, les fesses.
Au cours du repas, Clotilde me précise la suite du programme qu’elle a concocté. Après la plage, retour à l’hôtel, puis on se prépare pour une soirée sympa, peut-être un peu plus au sud à Saint-Jean-de-Luz, mais on ne se couche pas trop tard, car le lendemain, running d’au moins dix kilomètres. La surprise, c’est la venue de Célesse qui tient pour déjeuner avec nous le lendemain midi, et pour passer l’après-midi en notre compagnie. Célesse me prévient que connaissant sa sœur, il est possible qu’elle ait prévu quelque chose de coquin pour elle, à nous de voir si on veut rester avec elle sachant qu’il n’y aura aucune obligation. Célesse veut s’excuser de nous avoir interrompus, et elle veut aussi tout savoir de notre histoire.
Visiblement, ils avaient prévu une soirée avec son mari et ses amis, mais la blessure de Cédric à tout fait annuler. Et donc, d’après Clotilde, elle est au mieux en manque, au pire elle a « le feu au cul ». J’écoute avec attention et je me dis que je ne suis pas au bout de mes surprises.
La plage des Dunes est à Anglet. On connaît en général BAB, Bayonne-Anglet-Biarritz. La plage des Dunes est accessible via un petit tunnel qui passe juste à côté du golf de Chiberta. Un peu étonnant la première fois où on y va, parce qu’on a l’impression d’être en ville, avec toutefois ce côté un peu difficile de l’accès qui permet un nudisme toléré. Comme il n’y a pas de dunes, malgré le nom, si on excepte le chemin le long des plages, ni de coin un peu à l’écart, cette plage n’est pas du tout libertine, et on profite juste de la nudité, au soleil et dans l’eau. Cela permet aux jeunes comme aux moins jeunes de s’y prélasser, et des femmes toutes seules peuvent se permettre d’y aller sans risque d’être importunées, ce qui est appréciable. Dans le pire des cas, il peut y avoir un peu de drague, mais toujours avec respect.
Nous garons la voiture et traversons le golf. Il fait beau. Passage dans le tunnel, et arrivée sur la plage. Il y a un peu de monde, effectivement tous les âges. Clotilde fait de suite valser sa robe par-dessus ses épaules, et me propose d’aller nous tremper. Je me déshabille et je l’accompagne. La nudité ne m’a jamais réellement posé problème, et d’autant moins avec Clotilde.
Nous passons ainsi deux bonnes heures. Clotilde parfois repère les femmes qu’elle juge intéressantes. Elle mate aussi les mecs, et me fait part de son avis, régulièrement :
Je me contente de sourire, et de regarder, bien caché derrière mes lunettes de soleil.
Au bout de deux heures, alternant baignade, discussion, et bronzage, Clotilde sonne le chemin du retour :
Le trajet se passe au mieux. Pour bien conduire, Clotilde a remonté sa robe. Je tente de passer une main, amicale, mais je me fais rabrouer :
Nous passons devant la réception, et nous regagnons notre chambre. Une fois entrée, Clotilde pose ses chaussures et enlève sa robe :
Me voilà « son chou ». Nous voilà sous la douche. Clotilde me présente son dos. Je savonne. Sa peau est douce. Je savonne tout son corps. Depuis ses épaules, jusqu’à ses cuisses. Je me colle à elle. Je mordille ses épaules, son cou. Elle me les offre. Tend ses fesses en arrière, pour sentir mon corps, mon sexe. Je passe mes mains devant. J’empaume ses seins, je pince délicatement ses tétons. Clotilde ronronne, se frotte contre moi. Je bande. Je m’écarte un peu. Je la savonne de nouveau partout. Je m’attarde sur ses fesses. Je savonne. Les fesses. La raie. Je m’attarde. Je titille.
Elle a les cuisses légèrement écartées. Elle gémit. Elle tend encore ses fesses. Mon index s’immisce. Elle gémit. J’entre doucement. Je la câline de l’intérieur. Mon autre main la caresse, mais elle ne semble s’intéresser qu’à mon doigt. Elle semble s’ouvrir un peu plus.
Je m’exécute. Je continue. Je progresse.
Je tourne légèrement, dans un sens, dans l’autre doucement. Je sens son cul s’assouplir.
Je groupe l’index et le majeur. Ils rentrent facilement. Mais pas loin.
Le temps s’allonge. J’avance tout doucement. Ma main gauche s’avance. Je lui caresse les seins. Je remonte un doigt vers sa bouche. Elle le mordille légèrement, mais le rejette très vite.
Je continue. Doucement. Clotilde tend sa main droite en arrière. À l’aveugle. Elle cherche ma queue. Je me déplace légèrement pour la poser dans sa main.
Clotilde lâche ma queue et pose ses deux mains sur le mur. Elle tend encore plus ses fesses en arrière. Je me présente à l’entrée. Ma queue s’enfonce doucement. Mais sûrement. J’ai l’impression de buter sur un obstacle. J’ai un peu d’expérience en sodomie, mais chaque femme est différente. Alors que les pénétrations vaginales sont plus semblables entre elles.
Effectivement. Je sens son cul s’ouvrir.
Plus d’obstacle. Je m’enfonce. Doucement. Clotilde gémit.
Elle gémit encore. Elle recommence à bouger les fesses.
Je suis ses demandes. Je la prends par les hanches. Je lime. Elle gémit un peu plus fort. À chaque coup.
Je continue encore sur le même rythme. Il me semble que Clotilde ondule plus vite.
Je la sens sourire.
Pour la première fois depuis un moment, je parle.
Clotilde tend à nouveau une main derrière elle, mais elle passe entre ses cuisses, cette fois. Elle m’attrape les couilles, les câline un peu. Puis les relâche. Elle se tient au mur.
J’y vais. Je ne me retiens plus.
Je la vois enlever une main du mur. Elle se branle.
Je sens le plaisir monter. Je m’attarde sur cette sensation pour la faire monter, et j’explose. Clotilde crie. Elle tourne légèrement sa tête. Elle sourit. Elle ne bouge plus :
Je reprends mes esprits. La jouissance était top. Je sens que je débande doucement, et je sors de son corps. Clotilde se retourne, et m’embrasse. L’eau continue à couler. Je l’avais presque oublié. Elle attrape ma queue, elle la branle doucement. Je suis encore un peu raide.
Nous sourions bêtement. Nous échangeons des bêtises. Je lui savonne les seins. Je descends jusqu’à sa chatte.
Elle me savonne aussi, de haut en bas, mes épaules, mes cuisses, puis elle remonte, ma queue, mes couilles, doucement, elle câline. Elle branle doucement. Je réagis.
Je sors de la douche, je commence à me sécher. Clotilde s’accroupit dans la douche, la pomme de la douche à la main.
Je suis sur mon petit nuage. Clotilde sort de la salle de bain, sourit et me rejoint. Elle pose sa main sur ma poitrine :
Clotilde attrape ma main et la plaque sur sa chatte :
Me voilà contraint de m’exécuter. Doucement. Clotilde gémit.
Clotilde s’assoit sur moi, et vient plaquer son bassin sur mon visage :
Et je lape. Je commence tout en douceur. Le clito, les lèvres, avec application, douceur, dehors, un peu dedans. J’essaie d’être attentif aux réactions de Clotilde. Elle a posé ses genoux de part et d’autre de ma tête. Elle n’est pas trop lourde, donc finalement, ce n’est pas trop inconfortable. Je prends mon temps. Je lui tiens les fesses avec mes mains. Je griffe très légèrement son dos, mais je veux surtout qu’elle se concentre sur les sensations que je lui prodigue avec ma langue.
Je prends mon temps. Il me semble qu’elle est surtout réactive aux caresses externes, donc je me concentre sur le clito, qui ne semble pas insensible à mon action, et de temps en temps, je descends un peu sur les lèvres. J’en profite pour respirer du mieux possible.
Elle appuie à peine son bassin contre mon visage. Elle ondule un peu. Je serre un peu plus ses fesses dans mes mains. Cela me permet de contrôler aussi la pression sur moi, et d’accentuer, puis de relâcher. Je force un peu ma langue sur le clito. J’insiste. Elle se tend en avant, avec le bassin, et penche son dos légèrement en arrière. Elle se met en appui sur ses mains. Non, sur une seule. De la main droite, elle m’attrape, et me branle légèrement. Je bande. Cela doit lui faire du bien de me sentir raidir dans sa main.
Elle ondule de plus en plus. Elle écarte un peu ses genoux, libérant un peu mes oreilles, je l’entends commencer à haleter. J’avance ma main droite vers le milieu de ses fesses. J’introduis mon majeur, ça entre très facilement. Il doit rester du sperme pour lubrifier le passage. J’entre une phalange, c’est ce qu’il faut pour ressentir les sensations, et je sais qu’elle aime, même si elle vient de se faire sodomiser.
J’accélère vraiment. Même si la position est acceptable, je ne vais pas pouvoir continuer très longtemps. Avec mes oreilles, mon doigt, ma bouche, ma langue, tout mon corps, je suis la montée de son plaisir. Elle commence à gémir, puis de plus en plus fort. C’est son cul qui annonce le début de l’orgasme, par les spasmes sur mon doigt. C’est ce qui me donne le top pour y aller plus fort encore avec ma langue.
Elle crie. J’espère qu’il n’y a pas beaucoup de monde dans les chambres avoisinantes. En fait, je m’en tape. Seul son orgasme m’importe. Et ce qui va suivre.
L’orgasme est là, puissant, si j’en juge par la force des contractions sur mon doigt, mais ça va diminuer. Je la sens couler un peu plus sur mon visage. J’aime son goût.
Il me faut préparer et réussir la suite, le plus vite possible. J’enlève mon doigt de son cul, je remonte comme je peux mes mains sur mon dos, jusqu’à ses épaules, et en même temps, je me relève et je la bascule. Surprise, elle m’a lâché, tant mieux, elle aurait pu se faire mal au poignet. Ou me faire mal. Comme je suis tout de même nettement plus lourd qu’elle, j’arrive à la retourner, la faire descendre sur mon corps, et à l’allonger sur le lit. Le risque, cela aurait été de la faire tomber, ou de la tordre.
Aussitôt fait, je me redresse sur elle. Comme j’ai réussi à faire glisser ses genoux, je suis entre ses cuisses. Le physique est donc prêt, il faut réussir le psychologique. Je cherche son regard, je le trouve, même si elle me semble un peu ailleurs, encore dans son orgasme. En phase de redescente. L’objectif est d’arrêter cette redescente, et de repartir vers le haut. Elle a l’air un peu surprise :
C’est là où tout se joue. Il faut avoir un vocabulaire direct, mais qui ne choque pas. Avec Clotilde, on se connaît depuis des années, donc je sais que rien de ce que je peux dire ne peut la choquer. Mais on est de jeunes amants. Je vois un début de question dans son regard, j’ajoute donc :
Elle n’est peut-être pas sûre, mais elle a compris un peu. Elle attrape mon sexe bandé et m’introduit en elle. Je pousse. Je m’enfonce. Elle râle. Elle a compris que son orgasme allait repartir. Je pousse encore, je suis très attentif à son expression. Je ne vois pas de douleur, que du plaisir. Je vais jusqu’à ce que je pense être au bout. Elle râle encore :
Je me redresse, j’attrape ses chevilles, et je les place sur mes épaules, je m’enfonce encore, je lime. Elle ferme les yeux.
Je souris. Elle ouvre les yeux, sourit aussi.
Elle crie. Je m’appuie sur ses jambes posées contre ma poitrine. Je vais aussi loin que possible, sans lui faire mal. Elle crie plus fort. Puis elle se crispe un peu.
Je lâche ses jambes, elle les redescend, je m’allonge sur elle. Je l’embrasse. Elle m’embrasse. Nous nous embrassons. Mais pas trop de conjugaisons, reprenons l’action. Après un peu de repos, enfin, je lime doucement. Je reprends ses chevilles en main, je me redresse, je les place sur mes épaules, je pousse, je m’enfonce, elle jouit instantanément. Elle ne parle plus. Elle ferme les yeux. Elle crie de temps en temps. Elle rit.
J’alterne ainsi les phases jambes en haut, jambes en bas. Elle ouvre les yeux un peu plus grands :
Comment ne pas satisfaire une telle demande ? J’arrête de penser à son plaisir, je pense au mien. J’écarte très légèrement mes cuisses pour libérer mes couilles, et je me concentre sur le plaisir qui monte. Je jouis. Elle rit. Elle me prend dans ses bras.
Elle rit franchement. Cela fait secouer son corps qui risque de m’éjecter.
Je retourne dans la salle de bain. Elle me rejoint, après être passée par la cuvette des WC. Décidément, nous passons presque autant de temps sous la douche qu’à la plage.
Elle remet la même petite robe. Toujours sans rien dessous. Je ne dis rien. Je me rhabille comme pour le midi. Le temps est chaud. Sur le chemin du restaurant, nous marchons main dans la main. Elle se penche vers moi.
Je ne sais quoi répondre. Elle poursuit :
La soirée a été idéale. Repas sympa. Petite balade en bord de mer en sortant, et bain de minuit. Il devait y avoir d’autres couples un peu plus loin. On ne s’est pas attardé, on est rentré à l’hôtel, et on a passé la nuit ensemble. Paradoxalement, quand on n’était qu’amis, il nous était déjà arrivé de dormir ensemble, mais là, en tant qu’amants, c’était une première.
Le matin, repas léger, et footing intense. Une douzaine de kilomètres, avec balade en bord de mer en marchant pour faire redescendre le cardio. Clotilde s’était mise d’accord avec sa sœur pour le rendez-vous au restaurant, où nous avons passé un excellent moment à trois. Arrivée à la fin du repas, Célesse qui connaissait les lieux nous a proposé de retourner à la plage des Dunes :
Clotilde sourit, peut-être avec un brin de gêne, et moi, je ne comprends pas :
Clotilde intervient :
Nous partons à la plage. J’insiste pour prendre deux voitures. En chemin, je discute avec Clotilde :
On finit par se garer et on arrive sur la plage. Célesse jette des coups d’œil un peu partout. Pendant qu’on marche jusqu’au bord de l’eau, je la questionne :
Lequel ?
Effectivement, avec ses sandales, Célesse a une chaîne à chaque cheville. J’insiste :
Elle ne répond pas. Nous étalons nos serviettes, et les deux sœurs enlèvent leur robe. Effectivement, pas de maillot. À poil toutes les deux. Et on pourrait les confondre. Je concède :
Nous partons avec Clotilde nous tremper. Je me suis déshabillé également. On se tient par la main. L’eau est bonne. On se retourne et on aperçoit Célesse en pleine discussion avec un mec. On va nager plus loin. Dans l’eau, Clotilde peut venir dans mes bras. Elle m’embrasse. Elle bouge son bassin :
Je regarde encore sur la plage. Célesse est toujours en pleine discussion, mais pas avec le même mec. Clotilde voit mon regard.
Je me dirige vers Clotilde. Je promène mes mains un peu partout :
Et j’en profite pour pincer ses tétons. Ils sont magnifiquement dressés dans l’eau. Je ne peux pas me retenir. Je poursuis un peu, en la prenant dans mes bras. Je la lève un peu, ses seins sont à hauteur de mon visage. Je lui suce le téton gauche :
Je suce l’autre :
Clotilde redescend et m’embrasse à pleine bouche. Nous jouons encore un peu. Célesse vient nous rejoindre :
Clotilde est espiègle :
Je demande :
Célesse part se baigner. Je reste avec Clotilde :
Nous arrivons à la soirée, enfin, à l’apéro, avec Célesse. Elle sonne. C’est le mec avec qui elle a discuté qui vient nous accueillir. Célesse s’isole un peu avec lui, et revient vers nous, et nous partons nous installer. Il y a une grande piscine. Personne dans l’eau encore. Un buffet pour les boissons et les toasts. Il y a une dizaine de personnes, certaines en couples, d’autres en petits groupes, ça rit. Certains nous adressent un petit sourire. Population plus jeune que je ne pensais. Clotilde s’adresse à sa sœur :
Nous nous installons ensemble après avoir visité le buffet. Visiblement, nous sommes le seul groupe de trois, mais personne ne semble s’en offusquer. Un autre couple arrive. Après avoir discuté avec Romain, Ils passent par le buffet et s’installent à l’écart. La dernière table libre.
Je m’intéresse :
Quelques minutes plus tard, Romain vient chercher Célesse. Ils discutent tous les deux, et se dirigent vers le bord de la piscine. Romain prend la parole.
Et Célesse, sans dire un mot, se dirige vers le couple qui est arrivé le dernier. Elle demande à la femme de se lever. Elle lui enlève sa robe. Pas de culotte, la femme a juste un rosebud. Célesse appuie dessus, le manipule. La femme se laisse faire. Célesse lui parle. La femme se dirige vers son mari, son conjoint, enfin, l’homme qui est avec elle. Elle le déshabille également. Puis la femme enlève la robe de Célesse. Célesse se tourne alors vers tout le monde :
Et elle embrasse à pleine bouche la femme. Je m’adresse à Clotilde :
La femme avec Romain enlève sa robe. Elle est nue. Elle se promène un peu. Un rosebud également. Je me penche vers Clotilde :
Clotilde me regarde avec étonnement. Je précise :
J’essaie de trouver un sujet de conversation qui colle avec la situation :
Pas pour l’instant, mais ça peut changer. Elle est toujours prête pour ça. Elle ne devrait pas tarder à avoir quelque chose dans le cul. Ça ne m’étonnerait pas qu’elle se fasse sodomiser par tous les mecs présents ce soir.
Elle réfléchit un peu :
Je reste sans voix. Clotilde poursuit :
Comme elle voit que j’hésite à parler, elle poursuit :
On regarde donc Célesse avec sa nouvelle partenaire. Ou ses nouveaux partenaires, parce que le Monsieur ne reste pas inactif. Comme c’est à quelques dizaines de mètres de nous, on ne voit pas bien ce qu’il se passe, mais ils ont l’air de bien s’entendre. Il y a un peu de mouvement dans les autres couples, mais à peine. Clotilde s’agite un peu sur sa chaise.
Je me marre. Ah, un couple se lève, ils se déshabillent et vont dans la piscine. Je demande à Clotilde :
Et je lui prends la main :