n° 22522 | Fiche technique | 17124 caractères | 17124 2996 Temps de lecture estimé : 12 mn |
07/07/24 |
Résumé: Simon et Clotilde se trouvent embarqués dans une soirée pleine de rebondissements. | ||||
Critères: fh ffh couple couplus copains piscine collection amour cérébral voir fellation fgode fdanus échange partouze pastiche humour | ||||
Auteur : Cormobin Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Ma meilleure amie Chapitre 03 / 03 | FIN de la série |
Résumé des épisodes précédents :
Après avoir dépassé leur belle amitié, Simon et Clotilde ont « conclu ». Voici la fin de leur week-end
Nous en étions à :
Clotilde a tout d’un coup l’air surprise :
Effectivement, Célesse quitte les bras, nombreux, dans lesquels elle s’abandonnait pour se diriger, nue, vers Romain, toujours accompagnée de sa muse. Une discussion s’engage, Célesse est souriante. Les deux femmes se déplacent, élégamment, elles sont souriantes. Les rosebuds brillent au soleil. Il ne se passe pas grand-chose. Clotilde poursuit :
Effectivement, Célesse vient nous rejoindre, toujours nue, toujours souriante, et elle s’adresse à nous :
Et donc Clotilde enlève sa robe, sachant qu’elle ne portait rien d’autre, affiche son plus beau sourire, et me dit :
Je vois donc Clotilde qui part faire le tour avec sa marche nonchalante, et surtout sa croupe attirante. Célesse fait de même, mais d’un pas plus lent. Elle attend visiblement que Romain, qui discute avec le couple, ait concrétisé son plan. Je le vois en effet qui tend la main à la femme qui se lève et qui s’apprête à l’accompagner. Je ne sais pas ce qu’ils se disent, mais la femme refait un pas en arrière et donne sa robe à son mari. Elle est nue, souriante. Elle part avec Romain et sa compagne.
Je n’y comprends pas grand-chose, mais ces temps-ci, c’est courant, donc ça ne m’inquiète pas plus que ça. Je vois Célesse et Clotilde qui font le tour des couples, tranquillement, toujours nues, ce qui ne semble ni surprendre ni gêner personne. J’ai juste l’impression d’une pause dans un spectacle, ou bien d’un dîner quand on attend un ou des derniers convives. Là, la différence réside dans le site, et encore, mais surtout dans la tenue. L’homme laissé par sa compagne « black listée » discute avec Célesse, qui est revenue vers lui. Clotilde se promène comme si elle était chez elle. Il doit y avoir encore deux ou trois couples, qui attendent, sagement, dans le sens où tout le monde est habillé.
Ah, la compagne de Romain revient, seule. Célesse s’avance vers elle. Elles sourient comme si de rien n’était, regardent Clotilde qui, visiblement, a compris et qui repart faire le tour. Les deux femmes, elles, se dirigent vers l’homme seul, lui parlent, et s’assoient à côté de lui, et commencent à discuter. Tiens, je ne sais pas comment elle a fait, mais Célesse a un rosebud, elle aussi.
Clotilde revient vers moi et me dit :
Nous nous dirigeons vers la piscine. On se trempe. Je vois que Clotilde regarde le mari délaissé, et les deux femmes avec lui. Mine de rien, le mari n’a pas l’air si délaissé que ça. Les deux femmes ont commencé à s’occuper de lui. Nues, toujours, elles ont pris les choses en main. Je regarde sans regarder vraiment, après tout, je ne suis pas concerné. Clotilde, par contre, a vraiment l’air intéressée. Je m’approche d’elle. Elle me fait quelques commentaires :
C’est vrai qu’elle semble bien la connaître, y compris dans des moments comme ça. Je barbote à côté de Clotilde, qui ne semble pas faire attention à ma présence. Ah si, je me trompais, sa main me cherche et me trouve. Elle me branle doucement. Là-bas, Célesse a enjambé le mari, lui tourne le dos, et s’agite. Je sens la main se raffermir.
Nous nous installons sur les canapés de jardin, et aussitôt, Clotilde m’embouche. Je suis installé confortablement, je me laisse aller. Clotilde me suce et me câline, tranquillement. Son regard balaie parfois la propriété, à la recherche d’actions. Par moment, elle me lâche et me fait des commentaires avant de me reprendre en bouche. Je trouve ça très excitant, car j’imagine les pensées à l’intérieur de sa tête, tout en prenant du plaisir à m’en donner, sans hâte. Et ça donne des trucs comme ça :
Effectivement, le couple qui était avec nous juste avant dans la piscine s’est installé à quelques mètres de nous, et Madame prodigue également une fellation à Monsieur. Clotilde poursuit :
Je continue à me laisser faire. C’est-à-dire à ne rien faire. J’entends l’autre nana s’adresser à Clotilde :
Comme si elle s’y attendait, Clotilde rétorque :
C’est vrai. Les longues conversations ne sont pas propices aux longues fellations. Cependant, comme son cerveau doit continuer à fonctionner, elle se croit obligée d’ajouter :
Ces paroles flatteuses, peut-être un peu exagérées, ou pour épater la voisine, renforcent ma vigueur, comme elle dit. D’ailleurs, la voisine reste coite. J’entends quelques bruits. Je ne vois pas ce que c’est, mais Clotilde lève la tête, sans me lâcher. Ah si, finalement, elle me lâche :
C’étaient donc ça, ces bruits.
J’attends un peu, et effectivement, je vois Célesse arriver, toujours nue. Clotilde ne lève plus la tête. J’ai l’impression qu’elle accélère un peu. Comme si elle avait attendu l’orgasme de sa sœur pour s’activer. Je me sens obligé de faire la conversation :
Et je vois Célesse se diriger vers nos voisins, et s’installer. La nana s’arrête de sucer, et tend la queue de son mec à Célesse :
Aussitôt dit, aussitôt fait, ou aussitôt sucé. Célesse prend la queue dans sa bouche. Mais pas longtemps. Elle la ressort et la tend à la nana :
La nana s’y remet, et au bout de quelques secondes :
Et à peine Célesse à l’œuvre, le mec crie. J’aperçois Célesse se concentrer, puis elle tend la queue à la nana, tout en déglutissant :
Tout ça, c’est un peu beaucoup pour moi. Je bande de plus en plus fort. Clotilde doit en être pleinement consciente. Elle n’a pas parlé depuis longtemps. Elle me tient bien. Elle commence à me caresser les couilles de son autre main. Je la préviens :
Et j’explose dans sa bouche. C’est très bon. Je sens Clotilde aspirer, branler, et caresser, le tout en même temps et en douceur. Je savoure le plaisir. Clotilde reste en place, branle un peu plus doucement, câline encore un peu les couilles. Puis elle se relève. Me regarde bien dans les yeux. Elle déglutit. Elle sourit :
Je souris, sans doute bêtement. Un homme fier n’est pas nécessairement un homme intelligent. Il faut que je me note ça quelque part.
Un peu de bruit plus haut. L’homme, l’époux, a pris les choses, enfin, surtout les hanches, de l’hôtesse en mains. Il y va fort. La nana l’encourage avec des oui oui sans équivoque. Si elle se fait sodomiser, elle aime vraiment ça. Tant mieux. L’homme crie. La femme aussi. Si elle simule, c’est réussi. Sinon, elle vient de jouir du cul.
L’homme se retire. La femme se redresse et je l’entends dire au mec :
Elle s’en va. Peu de temps. Elle revient avec la femme, nue, et avec Romain, habillé. Romain a l’air confus :
Et sa femme d’ajouter :
Et je la vois se tourner, se pencher en avant et écarter ses fesses. Sans aucune pudeur, elle ajoute :
L’épouse semble rouge de colère. Elle regarde son mari, qui semble en train de s’habiller. Elle ne dit rien. Dès que son mari a fini de se remettre, elle lui fait un signe de la main. Et ils partent tous les deux. Personne d’autre ne réagit, si ce n’est Romain qui va sans doute les accompagner jusqu’à la porte.
Il revient quelques instants après. Le sourire, mesuré, aux lèvres :
Autour du buffet, l’ambiance est détendue. Chacun échange ses impressions, avant que Romain ne raconte ce qu’il a improvisé. Dans la maison, il y a une pièce avec juste des ouvertures au plafond, qui sert un peu de galerie d’art. Avec sa compagne, ils ont eu le temps de mettre en place le truc dit de la poignée cassée. En fait, sa compagne a démonté très vite la poignée, et il est resté enfermé avec la black-listée. La conversation était difficile, et le temps lui a semblé très très long.
L’ambiance se détend, autour des buffets. C’est assez étonnant, car les conversations sont assez libres, avec des filles nues, et les autres personnes habillées. Cela ne semble gêner personne. La fin d’un stress gênant, probablement. La libido, l’envie de laisser parler les corps, tout cela est un peu passé au second rang.
Les verres et les coupes se vident, les toasts s’engloutissent. Clotilde s’est absentée, et est revenue avec sa robe. Célesse est toujours nue, et cela ne semble pas du tout l’affecter. Son rosebud brille et ça aussi, personne ne semble s’en rendre compte ou s’en offusquer.
La soirée se poursuit à son rythme. Un ou deux couples se sont éloignés et semblent commencer à se câliner. Nous discutons tous les trois, et un couple, qui était resté à l’écart, s’approche de nous trois. Ils ont une bonne tête. Pour le reste, pas facile d’en juger, car ils sont habillés. Ils avaient dû rester à l’écart car je ne les avais pas remarqués. La femme s’adresse à Célesse :
Célesse sourit et répond :
Clotilde rougit sous le compliment :
Mince alors, pensé-je, ça commençait à m’intéresser. Clotilde a sans doute lu dans mes pensées, et m’écrase le pied en ajoutant :
Mon mari ? Les choses avancent vite. J’arrive à sourire malgré la pointe de l’escarpin qui malmène mes orteils. Célesse demande innocemment :
Et Célesse s’en va et ajoute à notre intention :
En nous éloignant, j’essaie de reproduire le ton de Célesse en demandant innocemment :
Et elle a éclaté de rire, riant de sa propre plaisanterie, puis m’a roulé une pelle dont je commence à devenir addict. J’ai continué à sourire bêtement. Va falloir que je surveille.
Et nous voilà partis, main dans la main, avec cette incertitude, vers la voiture, puis l’océan. Pipe ou pas pipe, that is the question.